La dépaneuse
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La dépaneuse
L’entreprise de téléphonie m’a donné un rendez vous entre 14 et 18 heures aujourd’hui. Un après midi entier pour certainement une bricole. Je prend un jour de RTT et attends patiemment. Vers 14 heures 30 un coup de sonnette. Enfin ils arrivent. Ils arrivent est de trop car c’est une jeune femme seule avec une sacoche.
- Bonjour, je viens pour votre téléphone. J’ai fait des essais dans la cabine télécom de votre quartier et tout est correct. D’après ce que j’ai vu la panne ne peut venir que de chez vous. Je vérifie quand même, vous comprenez si c’est à l’intérieur vous aurez la charge des frais.
- Sinon ?
- Sinon, je répare à nos frais.
La voila partie à la recherche des prises avec ses instruments elle semble ausculter ma maison. Je la suit, non pas pour la surveiller mais pour regarder son popotin quand elle se penche en avant.
Elle est en jean, il me semble qu’elle en est plus sexy. Je me la taperai bien. Qui sait combien de mecs elle s’est payé. Je m’excite tout seul. J’en arrive à bander. Trop même car en se levant brusquement elle tamponne ma queue.
Elle fait un drôle de sourire, elle semble se moquer de moi, d’autant plus qu’elle vient volontairement contre ma bite. Je sens ses fesses bien serrées contre mon pubis. Elle se retourne, me sourit, range ses outils pour dire :
- Tout est en ordre, ce n’est pas votre circuit qui est en panne. J’ai réussi à tout remettre en état.
- Merci beaucoup.
- Non ne me remerciez pas encore, j’ai a repérer une autre panne plus importante.
- Ah, où donc ?
- Dans votre pantalon.
La vache de fille, elle n’a pas froid au yeux.
- Vous pouvez réparer ?
- Si vous voulez. Je dois me mettre en tenue.
- Alors allons y.
Elle se débarrasse bien vite de tous ses vêtements. Trop vite à mon avis.
- Vous le faites souvent ?
- Dès que l’occasion se présente, je ne refuse jamais un peu d’amour. En plus le temps est compté, je dois finir à 18 heures.
Et en plus elle compte son temps de travail.
Je ferais mieux de me taire, elle s’attaque à moi, elle sort ma bite, la regarde en détail, se baisse un peu sans s’accroupir prend ma bite dans sa bouche. Je sursaute presque quand elle me lèche et encore plus quand ses lèvres me prennent. Ma bite est bien dans cette bouche, aussi bien sans doute que dans sa chatte. Elle est mise de telle façon que je peux facilement lui mettre mes mains sur les fesses. Je les caresse avant de faire passer deux doigts dans la raie. Elle ne bronche pas, sinon qu’elle lèche plus fort. Inutile de dire que je trouve son anus et ne me gêne pas pour entrer mes doigts dans son cul.
Quand elle se relève, je n’ai heureusement pas joui. Elle me laisse le temps de me déshabiller pour venir contre moi, ma bite coincée entre nos deux ventres. Nos lèvres se réunissent pour un long baiser. Sa langue n’hésite pas à entrer dans ma bouche. Elle embrasse érotiquement, en réalité sa langue sort de ma bouche pour me lécher les lèvres et demander ma langue pour qu’elles se lèchent hors de nos bouches. C’est drôlement excitant. Ses seins sont contre moi. Elle fait comme moi, elle me caresse les fesses et va à la recherche de mon cul. Drôle de fille, nous n’avons pas encore baisé et elle se permet des familiarités que je ne laisse jamais faire. Quand elle est sur mon cul, elle fait des mouvements avec son ventre, ma bite lui en est reconnaissante. Tellement reconnaissante que je la laisse faire quand elle me met deux phalanges dans mon arrière train. Elle les fait aller et venir, j’en arrive à être sur le point de jouir. C’est bizarre d’être deux a faire la même chose à l’autre. Nous nous sodomisons presque l’un l’autre.
Elle décide de faire plus pour ma pine : elle la prend dans sa main, me branle lentement. Je veux lui rendre ce qu’elle fait, j’arrive difficilement à passer ma main entre nous deux. Je trouve un clitoris bien gonflé et mouillé. Je la branle lentement. Je pensais avoir affaire à une dure à cuire mais elle jouit presque de suite. En plus je suis obligé de la tenir car elle tombait pendant l’orgasme.
Nous allons dans la chambre, elle s’effondre sur le lit. Je peu enfin prendre la direction de notre union. Je l’ai faite jouir par devant, j’ai mis mon doigt dans son cul, elle avait aimé. Je me prépare pour l’enculer. Je prend sa mouille sur sa chatte. Je la laisse sur le dos, elle écarte et lève ses cuisses, elle est prête pour la suite :
- Tu aimes te faire mettre ?
- J’adore baiser, j’adore me faire enculer. J’aime tout en amour, tu serais une femme, pour moi, c’est pareil, sauf que c’est une langue qui lèche mon con. Mets moi la au cul.
Puisqu’elle le demande, je n’ai aucune raison de l’en priver. Je surélève ses fesses en mettant l’oreiller sous ses fesses. Il est pile à la hauteur qui me convient. J’ai tout juste le temps de poser ma bite sur le trou qu’elle donne un grand coup de rein. Mon gland se trouve maintenant au fond de son cul, mes couilles battent sur ses fesses. Je n’ai plus qu’à assurer les vas et vient.
Je sens sa main entre nous, elle va se masturber pour mieux jouir.
Bien sur qu’elle jouit bien, elle ne cesse de gémir de plus en plus fort pendant la montée de son plaisir. Maintenant qu’elle est sur le point d’avoir un orgasme, elle cesse de gémir, elle cri sa jouissance.
Je vais sortir de son anus maintenant, j’ai envie de la baiser. Au début elle ne le veut pas. Je suis obligé de presque la violer pour arriver à entrer normalement là où les femmes aiment. Elle me veut bien enfin. Je trouve sa chatte toute luisante de cyprine, je laisse aller ma pine dans sa chatte, partout, jusqu’au moment où je n’en peux plus, ou je jouis sur la chatte, ou je jouis dans son corps. Le choix est vite fait, j’entre en elle, dans son ventre, je coulisse dans sa chatte, elle m’accompagne, je sens son ventre se crisper, elle jouit encore. Je devrais dire que nous jouissons ensemble. Je dois lui donner des litres de sperme. Quel plaisir des dieux que de jouir ensemble, nos crispations se confondent en une seule.
Il est tard, presque l’heure de partir, elle prend ma bite encore dans la bouche, elle la nettoie de nos liquides sexuels.
Avant de partir, elle me dit qu’il faut qu’elle revienne souvent pour vérifier si ma ligne fonctionne. Je pense : putain qu’elle baise bien.
- Bonjour, je viens pour votre téléphone. J’ai fait des essais dans la cabine télécom de votre quartier et tout est correct. D’après ce que j’ai vu la panne ne peut venir que de chez vous. Je vérifie quand même, vous comprenez si c’est à l’intérieur vous aurez la charge des frais.
- Sinon ?
- Sinon, je répare à nos frais.
La voila partie à la recherche des prises avec ses instruments elle semble ausculter ma maison. Je la suit, non pas pour la surveiller mais pour regarder son popotin quand elle se penche en avant.
Elle est en jean, il me semble qu’elle en est plus sexy. Je me la taperai bien. Qui sait combien de mecs elle s’est payé. Je m’excite tout seul. J’en arrive à bander. Trop même car en se levant brusquement elle tamponne ma queue.
Elle fait un drôle de sourire, elle semble se moquer de moi, d’autant plus qu’elle vient volontairement contre ma bite. Je sens ses fesses bien serrées contre mon pubis. Elle se retourne, me sourit, range ses outils pour dire :
- Tout est en ordre, ce n’est pas votre circuit qui est en panne. J’ai réussi à tout remettre en état.
- Merci beaucoup.
- Non ne me remerciez pas encore, j’ai a repérer une autre panne plus importante.
- Ah, où donc ?
- Dans votre pantalon.
La vache de fille, elle n’a pas froid au yeux.
- Vous pouvez réparer ?
- Si vous voulez. Je dois me mettre en tenue.
- Alors allons y.
Elle se débarrasse bien vite de tous ses vêtements. Trop vite à mon avis.
- Vous le faites souvent ?
- Dès que l’occasion se présente, je ne refuse jamais un peu d’amour. En plus le temps est compté, je dois finir à 18 heures.
Et en plus elle compte son temps de travail.
Je ferais mieux de me taire, elle s’attaque à moi, elle sort ma bite, la regarde en détail, se baisse un peu sans s’accroupir prend ma bite dans sa bouche. Je sursaute presque quand elle me lèche et encore plus quand ses lèvres me prennent. Ma bite est bien dans cette bouche, aussi bien sans doute que dans sa chatte. Elle est mise de telle façon que je peux facilement lui mettre mes mains sur les fesses. Je les caresse avant de faire passer deux doigts dans la raie. Elle ne bronche pas, sinon qu’elle lèche plus fort. Inutile de dire que je trouve son anus et ne me gêne pas pour entrer mes doigts dans son cul.
Quand elle se relève, je n’ai heureusement pas joui. Elle me laisse le temps de me déshabiller pour venir contre moi, ma bite coincée entre nos deux ventres. Nos lèvres se réunissent pour un long baiser. Sa langue n’hésite pas à entrer dans ma bouche. Elle embrasse érotiquement, en réalité sa langue sort de ma bouche pour me lécher les lèvres et demander ma langue pour qu’elles se lèchent hors de nos bouches. C’est drôlement excitant. Ses seins sont contre moi. Elle fait comme moi, elle me caresse les fesses et va à la recherche de mon cul. Drôle de fille, nous n’avons pas encore baisé et elle se permet des familiarités que je ne laisse jamais faire. Quand elle est sur mon cul, elle fait des mouvements avec son ventre, ma bite lui en est reconnaissante. Tellement reconnaissante que je la laisse faire quand elle me met deux phalanges dans mon arrière train. Elle les fait aller et venir, j’en arrive à être sur le point de jouir. C’est bizarre d’être deux a faire la même chose à l’autre. Nous nous sodomisons presque l’un l’autre.
Elle décide de faire plus pour ma pine : elle la prend dans sa main, me branle lentement. Je veux lui rendre ce qu’elle fait, j’arrive difficilement à passer ma main entre nous deux. Je trouve un clitoris bien gonflé et mouillé. Je la branle lentement. Je pensais avoir affaire à une dure à cuire mais elle jouit presque de suite. En plus je suis obligé de la tenir car elle tombait pendant l’orgasme.
Nous allons dans la chambre, elle s’effondre sur le lit. Je peu enfin prendre la direction de notre union. Je l’ai faite jouir par devant, j’ai mis mon doigt dans son cul, elle avait aimé. Je me prépare pour l’enculer. Je prend sa mouille sur sa chatte. Je la laisse sur le dos, elle écarte et lève ses cuisses, elle est prête pour la suite :
- Tu aimes te faire mettre ?
- J’adore baiser, j’adore me faire enculer. J’aime tout en amour, tu serais une femme, pour moi, c’est pareil, sauf que c’est une langue qui lèche mon con. Mets moi la au cul.
Puisqu’elle le demande, je n’ai aucune raison de l’en priver. Je surélève ses fesses en mettant l’oreiller sous ses fesses. Il est pile à la hauteur qui me convient. J’ai tout juste le temps de poser ma bite sur le trou qu’elle donne un grand coup de rein. Mon gland se trouve maintenant au fond de son cul, mes couilles battent sur ses fesses. Je n’ai plus qu’à assurer les vas et vient.
Je sens sa main entre nous, elle va se masturber pour mieux jouir.
Bien sur qu’elle jouit bien, elle ne cesse de gémir de plus en plus fort pendant la montée de son plaisir. Maintenant qu’elle est sur le point d’avoir un orgasme, elle cesse de gémir, elle cri sa jouissance.
Je vais sortir de son anus maintenant, j’ai envie de la baiser. Au début elle ne le veut pas. Je suis obligé de presque la violer pour arriver à entrer normalement là où les femmes aiment. Elle me veut bien enfin. Je trouve sa chatte toute luisante de cyprine, je laisse aller ma pine dans sa chatte, partout, jusqu’au moment où je n’en peux plus, ou je jouis sur la chatte, ou je jouis dans son corps. Le choix est vite fait, j’entre en elle, dans son ventre, je coulisse dans sa chatte, elle m’accompagne, je sens son ventre se crisper, elle jouit encore. Je devrais dire que nous jouissons ensemble. Je dois lui donner des litres de sperme. Quel plaisir des dieux que de jouir ensemble, nos crispations se confondent en une seule.
Il est tard, presque l’heure de partir, elle prend ma bite encore dans la bouche, elle la nettoie de nos liquides sexuels.
Avant de partir, elle me dit qu’il faut qu’elle revienne souvent pour vérifier si ma ligne fonctionne. Je pense : putain qu’elle baise bien.
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