La dernière séance - histoire érotique

Certains se souviennent de ces vieux cinémas de la capitale à l'entrée pas très chère mais où tout pouvait se passer.
Il y en avait un près du métro Anvers, 5 francs l'entrée, une grande salle souvent comble dans la journée mais le soir plus calme.
Il y avait beaucoup de gays qui se retrouvaient dans les toilettes, aux urinoirs où ça bandait dur et dans les chiottes où l'on entendait des cris.
Mais cela se passait aussi dans la salle, au fond de la salle il n'était pas rare de voir un mec en sucer un autre sans se cacher...

-C'était le bon temps disait un vieil ami qui me racontait des histoires vécues comme celle que je vais vous raconter ou plutôt laisser Gilles vous la raconter à sa façon.

Cette histoire remonte dans les années 70-80, j'avais l'habitude d'aller dans ce cinéma qui passait souvent des westerns ou des Kung-fu et il y avait pas mal de jeunesse pas farouche.
Un soir j'ai chopé la dernière séance et, entrant dans la salle j'ai trouvé qu'elle était assez clairsemée. Je m'installe au fond et un bon western est en route. Je prends mes aises, n'ayant personne près de moi, le premier voisin est deux rangs devant moi légèrement décalé sur la gauche.

Le film se poursuit et j'ai mon attention attirée par l'homme devant qui n'arrête pas de se pencher en avant et je finis par me demander ce qu'il fait quand subitement je vois qu'il allonge ses jambes sur le dossier devant lui et qu'il est pieds nus.

Je vois très bien les pieds se détailler dans la lumière de l'écran.

Cela me fait sourire car c'est bien le style de ce cinéma, tout le monde fait comme chez lui.
Mais mon regard est souvent attiré par les pieds qu'il fait bouger et à un moment se met à les caresser, passant son doigt entre les orteils, se tripote le gros orteil longuement.

Je ne sais pas ce qui se passe, mais je trouve cette scène très érotique et je me mets à bander, je bouge ma belle queue dans mon pantalon de survêt pour qu'elle puisse prendre ses aises. Mes yeux ne quittent plus sa main et ses pieds qui jouent ensemble.
Faut que je vois ça de plus près.

Je change de rangée et je me rapproche du mec pour mieux voir ses pieds et sa main qui joue avec. Je bande de plus en plus, presque l'envie de me branler en le matant, mais une idée me traverse la tête, est ce que je pourrais lui lécher les pieds ?

Je change encore une fois de rangée et je viens m'asseoir à deux sièges de lui, le matant sans vergogne. Il tourne la tête vers moi tout en se caressant le pied, il a un petit sourire et je constate qu'il s'agit d'un rebeu d'une trentaine d'années, enfin de ce que je peux voir dans la lumière de l'écran de cinéma.

Les coups de feu continuent à l'écran, le mec me toise toujours et mes yeux vont de ses yeux à ses pieds comme une invit. Je vois qu'il a l'air surpris et il regarde ses pieds, son sourire s'accentue et une jambe se soulève et vient se poser sur ma cuisse, juste le pied qui me transmet sa chaleur.

On se regarde, je dois avoir l'air étonné quand même et, sans un mot je touche son pied, il sourit toujours alors ma main caresse le dessus du pied, ses orteils bougent sur ma cuisse, je passe mon doigt entre les orteils tout en le fixant.

Il se tourne sur son siège et j'ai les deux pieds sur moi dont un qui remonte sur ma poitrine et là tout s'emballe pour moi.
Je prends le pied entre mes mains et le masse avec mes pouces sur la plante des pieds, je regarde les orteils qui s'écartent, bougent doucement dans la pénombre.
Je monte le pied un peu plus haut et je dépose mes lèvres sur le gros orteils et j'embrasse tous les orteils lentement les uns après les autres.

Il les fait bouger et le gros orteil force ma bouche, je l'entoure de mes lèvres et ma langue l'enveloppe en l'aspirant, le noyant de salive et je le suce comme je sucerais une bite.
-c'est ça salope suce bien tous mes orteils et partout surtout et n'oublie pas que j'ai un autre pied.
Je ne sais vraiment pas ce qui m'a pris ce soir là, mais j'ai sucé, léché complètement les deux pieds à la lumière de l'écran, sans s'occuper s'il y avait des mateurs et j'ai pris mon pied de faire ça.

Il bougeait ses orteils dans ma bouche, il tendait bien son pied pour que je lèche partout et m'encourageait de sa voix de rebeu, une voix grave et chaude qui me faisait bander encore plus.
J'étais seul au monde avec deux pieds quand j'ai vu un mouvement, j'ai relevé les yeux pour voir qu'il avait sorti son zob et qu'il se caressait en me regardant œuvrer.

J'étais fier de faire bander ce jeune rebeu et j'ai redoubler d'efforts sur ses pieds, caressant ses mollets, essayant de remonter plus haut... Il me laissait faire mais a réussi à mettre tous ses orteils dans ma bouche me dilatant la bouche. Je me souviens que les larmes coulaient et que je voyais son gros zob à travers.

Il écartait bien les jambes et j'ai vu dans le peu de lumière qu'il avait sorti ses couilles et son zob, qu'il se tripotait les couilles, se caressant lentement sans me quitter des yeux.
J'étais comme hypnotisé par ce mec et j'ai glissé à genoux entre les rangées et ma tête est remontée sur une jambe comme attirée par les couilles qu'il m'a présenté dans sa main.
-bouffe ça ma salope, elles sont encore meilleures que mes pieds! T'es une bonne salope quand même!

Encouragé par ses mots, j'ai léché les couilles qu'il tenait dans sa main et l'autre main m'empêchait de lécher son sexe.

Mais j'ai honoré les couilles, inondées et léchées, avalées que je devais ressembler à un hamster. J'étais heureux quand je l'ai entendu râler, grogner.
D'un seul coup il a lâché son zob et le gros morceau m'est tombé sur le visage, putain ça sentait bien le rebeu, le mâle en rut, tout ce que j'aime. Il m'a pris la tête entre ses mains et l'a remontée jusqu'à ce que mes lèvres touchent son gland circoncis.
-avale salope j'ai une surprise pour toi!

Je n'avais qu'à continué à jouer la salope consentante. J'ai ouvert la bouche et là j'ai compris que c'était vraiment un gros morceau que j'aurais aimé avoir dans mon cul, mais là le gland glissait sur ma langue, le palais et avançait rapidement au fond de ma gorge, ses mains maintenaient ma tête et appuyaient toujours, quand le gland a voulu aller plus loin j'ai été pris d'une quinte de toux, je pleurais comme une madeleine mais lui me maintenait fermement.

Le passage s'est fait, bien sûr ce n'était pas le premier zob qui entrait comme ça en moi, et j'ai senti le gros morceau me remplir la gorge. Mes lèvres touchaient juste les poils pubiens.
-allez suce salope que je me vide!

J'étais vraiment coincé entre ses mains, et mon dos sur les banquettes avant, c'est lui qui s'est branlé avec ma tête, je n'avais qu'à fermer mes lèvres et le laisser faire.
Il avait vraiment dû être excité de se faire lécher les pieds et les couilles car il n'a pas tardé à juter et pas qu'une giclée, ça me ressortait pas la bouche, le nez, j'en mettais partout et lui serrait ma tête et râlait.

J'ai fait un bon nettoyage, sentant que tout était terminé et j'ai fait mes yeux de salopes en le regardant. Ses yeux me transperçaient, sa main m'a caressé la joue, m'a tapoté en disant :
-toi tu veux te faire niquer!
J'ai fait oui de la tête.
-alors bouffe moi les couilles et j'te nique après.

Il ne m'a pas fait attendre longtemps, m'a fait relever, me retourner devant lui. Il a baissé mon pantalon et mon slip et m'a fait asseoir sur son zob.
Putain que j'ai gueulé car le gros morceau m'a ouvert le cul, faisant se retourner les quelques spectateurs qui sont revenus au film. Ce n'est pas un mec qui se fait enculer qui troublait les spectateurs!

J'étais bien assis sur son sgeg mais ça ne devait pas être assez pour lui, il m'a fait relever et pencher en avant le torse par dessus le siège avant et s'est mis à me niquer à grands coups de reins. Putain qu'est ce que j'ai pris et quand il a juté en moi, cette fois j'ai tout gardé.

Il est revenu s'asseoir avec moi toujours sur lui, m'a fait pencher en arrière pour me dire :
-t'es la plus belle salope que j'ai rencontré ici, tu veux que j'te branle ?

Tu parles que je voulais, je me suis renversé en arrière, la tête dans son cou, le respirant pour garder son odeur de rebeu et il m'a branlé, et bien sûr cela n'a pas duré très longtemps tellement j'avais envie. J'ai essayé de l'embrasser mais il a détourné la tête, me faisant relever et son zob est sorti rapidement de mon cul.
-casses toi maintenant! a t-il dit en guise de remerciements.

-et les mecs présents dans la salle ne venaient pas vous mater ? j'ai demandé.
-des fois ça arrivait et ça finissait en petite touze, tu te retrouvais à sucer plusieurs queues, souvent de rebeux et quelques blacks mais pas tellement à l'époque ou te faire niquer à la chaîne... dit Gilles.
-ça t'es arrivé ?
-tu veux tout savoir le même jour!
-et après t'es rentré chez toi ?
-en passant par les chiottes, y'avait autant de monde que dans la salle! Mais c'est une autre histoire Fabrice!!!