La descente d'Isabelle dans la fange. - histoire érotique

Moussa gare son véhicule dans une impasse peu fréquentée, il vient ouvrir la portière à Isabelle, il l’aide à mettre de l’ordre dans ses vêtements. Ils marchent une centaine de mètres pour arriver devant une petite porte. Il compose le code d’entrée, ainsi, ils entrent. Il s’agit de la porte de service d’un sex-shop avec salles de projection individuelles.

Il guide sa petite pute vers une petite salle ou un noir, d’un certain âge comme l’attestent ses cheveux gris, entièrement nu, les attend. Grand et musclé, son sexe d’une taille hors norme, bien qu’au repos, pend.
-  Voici Isabelle, une belle jeune femme qui consent à connaître le grand frisson d’être traitée comme une pute soumise. Isabelle, je te présente Malik. Il va bien s’occuper de toi.

Malik s’adresse directement à Moussa.
- Tu lui as dit pourquoi elle est là ?
- Non, je lui ai simplement dit qu’un black bien équipé lui soulagera son envie. 
Malik sourit, il ordonne.
- Enlève-lui ses vêtements, je veux la voir nue. 

Moussa déshabille Isabelle qui se laissa faire. Malik s’approche d’elle, il lui prend les seins dans ses grandes mains, il les soupèse comme de la marchandise, les triture, il en étire les bouts.
- Pas mal ? Cette pute là nous rapportera beaucoup plus avec des seins d’une taille au dessus.

Brusquement, il lui tord cruellement les mamelons. Elle crie de douleur. Moussa, qui se tient derrière elle, l’immobilise, il la fait taire en appliquant une main sur sa bouche.
- C’est juste un rappel, pour que tu saches qui est le maître, que tu sois obéissante. Ce sera bien pire si nous ne sommes pas contents de toi.

Malik se fait beaucoup plus doux pour caresser le pubis ainsi que la vulve lisse de la soumise, avant de lui enfoncer deux doigts dans le vagin, qui secrète des gouttes de mouille lorsque que ces doigts la branlent. Puis Malik joue avec les grandes et petites lèvres, les palpant et les écartant comme un maquignon à la foire aux bestiaux.
- Tu as raison Moussa, ça vaut le coup qu’on s’occupe d’elle. Elle est bien faite et son visage est avenant. Elle est jeune, c’est une pute qui peut servir longtemps.

Isabelle, à la fois effrayée et excitée, incapable de se révolter, éprouve un plaisir malsain à être ainsi traitée en esclave soumise.
- Elle n’est pas graissée. Déclare son amant.
- J’ai ce qu’il faut. 

Malik sort de la pièce, il revient quelques minutes plus tard avec un jeune noir nu, qui a dans une main un pot de lubrifiant, le même que celui utilisé par Moussa, et dans l’autre une boite de préservatifs.
- Prépare la ?
Demande Malik au jeune homme.
Entre-temps, Moussa a ordonné à sa petite pute de se positionner à genoux par terre, le buste reposant sur l’assise du canapé, elle doit écarter ses fesses.

Le jeune homme enduit l’anus d'Isabelle du gel lubrifiant, il la pénètre de ses doigts profondément. Son sexe, qu’il a long et fin, durcit rapidement, privilège de la jeunesse. Il enfile un préservatif, puis il enduit son sexe ainsi équipé d’une bonne dose de lubrifiant. Il se positionne derrière l'apprentie, il l’encule sans un mot. D’abord lentement, quand elle commence à gémir, il attrape la jeune femme aux hanches et augmente la cadence. Même dans cette condition dégradante ou elle est réduite, elle reste victime de ses sens, elle se met à râler de plaisir.

Constatant que la pénétration se fait maintenant sans difficultés, Malik s’adresse au jeune, Ali.
- Elle est prête, c’est à mon tour. 
Alors, Ali se retire.

Malik prend sa place, il enfonce son sexe imposant dans l'anus d'Isabelle d’un brutal coup de reins. Elle crie de douleur, avec l’impression qu’elle va être fendue en deux. Il reste un moment immobile, le temps que la douleur diminue, puis il se remet en mouvement, doucement. Le plaisir envahit peu à peu Isabelle qui n’a jamais connu une sensation aussi forte.
- Elle te plaît, la grosse queue du black ? 
Lui murmura Moussa qui la tient par les cheveux.
- OH ! Oui ! Elle me remplit bien. 

Malik continue à la sodomiser, sans hâte. Elle gémit, respire difficilement par saccades. Il accélère la cadence.
- Ça te plaît qu’on te traite comme une vraie putain ? D’être totalement soumise ? Insiste Moussa.

Elle ne répond pas, trop bouleversée par ce qu’elle vit, elle est soulevée par une jouissance brutale. Malik maintient son sexe au plus profond de son rectum tant qu’elle est animée de tremblements, puis il se retire de son anus, devenu un trou béant. Aucun des trois hommes présents n’a éjaculé.

Moussa laisse quelques minutes à sa Isabelle pour récupérer, ensuite il lui demande de se lever et de le suivre. Il la conduit dans une pièce dont les murs sont constitués de miroirs, le sol recouvert d’une moquette rouge. Une sorte de lit rond tourne au milieu.
- C’est un peep-show. Dans un quart d’heure, il y aura des hommes derrière ces miroirs qui vont se branler en te regardant te faire sodomiser successivement par Ali et Malik. Ce que tu viens de subir est une répétition. Il faut te préparer. 

Moussa la ramène dans la première pièce. Les deux blacks n’y sont plus, cependant une femme, d’une cinquantaine d’années, encore belle, vient les rejoindre. Elle nettoie l’entre-jambe d'Isabelle, qui est luisant de mouille, avec une lingette. Elle la fait asseoir, elle refait totalement son maquillage. Elle finit quand on entend l’appel à venir :
- Apprécier un spectacle inédit au peep-show : Une jeune bourgeoise sodomisée par deux blacks.

Moussa reconduit notre Isabelle vers la pièce du peep-show, il la pousse avec autorité sur le lit rond. Malik entre à sa suite, il lui intime l’ordre de s’agenouiller, elle s’exécute docilement, avec un sentiment de crainte et aussi d’excitation, elle espère secrètement retrouver les sensations vécues lors de sa précédente sodomie. Malik se place devant elle, il lui met son sexe imposant dans la bouche. D’une main, il tient la tête d'Isabelle pour lui imposer sa domination. Sa queue grossit rapidement dans sa bouche, elle l’étouffe presque. Elle se met à le pomper, elle n’est plus qu’une femelle appliquée à donner du plaisir à un homme.

Alors, Ali entre, il vient se placer derrière elle, il la sodomise comme il l’a fait la première fois. Quand Malik lui signifie de lui céder sa place, Ali se retire, il se précipite pour enlever le préservatif et faire gicler plusieurs jets de sperme dans la bouche ouverte de l'actrice. Lorsque Malik la sodomise à son tour, elle souffre moins que lors de la répétition. Sodomisée par un black puissant qui la remplit comme elle ne l’a encore jamais été, elle sent le plaisir monter.

Son regard capte son image dans les glaces : Elle est maquillée comme une pute, le menton maculé du sperme qu'elle n'a pu gober, les seins ballottant. Elle imagine les hommes qui se masturbent en la voyant ainsi, cela l’affole, précipitant un orgasme dévastateur qui lui fait presque perdre connaissance. Maintenue à quatre pattes par les deux hommes, Malik l’encule jusqu’à ce que la fin de la séance soit annoncée. Il sort alors de son cul, retire le préservatif et éjacule l'anus ouvert d'Isabelle, il s'écarte ensuite afin de montrer aux spectateurs invisibles, le trou de cul d'Isabelle, agrandit avec le bord et le tour, maculé de sperme, le temps que le lit fasse deux tours.

Isabelle, dans un état second, est transportée dans une salle de bains ou la femme, qui l’a précédemment maquillée, s’occupe d’elle. Elle prend un long bain chaud afin de récupérer, elle est démaquillée, son rectum est enduit d’une crème apaisante. Moussa lui apporte ses vêtements, il l’aide à s’habiller. Malik vient saluer Moussa, il le complimente.
- Ta pute manque d’endurance, elle jouit trop vite, alors c’est bien pour un début, les clients ont été satisfaits. On la reprend quand tu veux.

Ils quittent tous les deux cet endroit de luxure. Dans la voiture, elle s’effondre en larmes.
- Je suis vraiment devenue une pute. Tu m'as fait enculer par ces deux salauds sans que je puisse me défendre et en plus, je n’ai pas pu m’empêcher de jouir…

Il la prend dans ses bras, il la console, puis avec sa voix douce et envoûtante, il lui répond.
- C’est parce que ça te plaît d’être traitée comme une vraie putain, c’est ton vieux fantasme. Ces jouissances perverses viennent de ta nature profonde. Tu aimes les grosses bites, c'est comme ça, tu n'y peux rien. Tu dois l’accepter ? Je peux te faire connaître des jouissances encore plus intenses. Es-tu prête à aller plus loin ? Avec moi ? 

Il marque une pause, comme elle ne répond pas.
- Demain, tu ne me verras pas, cependant je te téléphonerais. Tu te donneras du plaisir, le matin et le soir, en t’enfonçant dans ton cul sur le godemiché noir, lubrifié comme je te l’ai appris.  Tu réfléchiras à ce qui vient de ce passer et à ce que je t’ai dit. 
( Ainsi elle restera sous l’influence de l’aphrodisiaque contenu dans le lubrifiant ) Pense Moussa.

Il la dépose enfin à l'appartement.
Seule dans l’appartement, elle dîne sur le pouce, elle se couche rapidement, mais ne trouve pas le sommeil. Elle ressasse les humiliations de la journée : La visite médicale et à sa soumission à Malik. Ils ont l’intention de modifier son corps par le port d’anneaux aux seins et au sexe et d’augmenter le volume de sa poitrine par un traitement hormonal. Ils feront d’elle une pute docile, d’abord au peep-show et ensuite ?

Dans un bordel ? Sur le trottoir ? C’est un peu son fantasme de jeunesse, mais entre le fantasme et la réalité, il y a un pas à ne pas franchir. Tout va trop vite, trop loin. Elle doit reprendre le contrôle de sa vie, pourtant elle mouille au souvenir des orgasmes qu’elle a subis. Elle s’est sentie remplie comme elle ne l’a encore jamais été, elle a connu une extase indescriptible. Elle aime qu’on la baise sans lui demander son avis, qu’on lui parle crûment, elle se rend compte que bientôt, elle ne pourra plus s’en passer. Il est peut-être trop tard. Elle pense à son amour pour Moussa, la conduit à sa déchéance ?