La deuxième fois
Récit érotique écrit par Innocent_madness [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La deuxième fois
Après une première fois, il faut, toujours, une deuxième fois, sinon c’est dommage, on reste sur sa faim. Et Dieu sait combien je déteste être frustrée. Toujours est-il que, cette fois, il n’y avait pas de frustration, bien au contraire.
Au départ, je n’étais pas censée le voir. Mais les événements de la vie en ont décidés autrement. Il m’a même permis de ne pas "m’ennuyer" plusieurs heures dehors, en me laissant seule chez lui. Cet homme est fou, je sais. Mais, pour une fois, je n’ai pas fait de bêtises, j’ai été sage (comme quoi tout arrive). En l’attendant, je me suis délectée d’une douche, je me suis changée (pour lui, mais faut pas lui dire, il s‘en sentirait trop important), j’ai regardé deux films, et je me suis endormie dans son lit en lisant mon livre.
Il devait rentrer tard ou plutôt tôt le lendemain. Je me rappelle ne pas l’avoir entendu rentrer, mais avoir simplement sentit une présence dans sa chambre ce qui m’a réveillée. Et il était là, en effet. J’aurai dût, peut-être, faire semblant de dormir, mais c’est plus fort que moi. J’aime être, parfois (parfois, pas toujours), simplement prise. Et je savais que ca allait arriver avec lui. Je le savais parce qu’en fin de compte, c’est pour ça que j’étais là….
Pourtant, j’avais décidé que, cette fois plus particulièrement, j’oserai ne pas me laisser totalement faire. J’oserai dire non et ne pas m’exécuter quitte à en subir les conséquences plus tard, mais, au moins, ca change un peu. A ce moment là, mes souvenirs deviennent… confus.
Mais je me souviens de quelques bribes. Quelques éléments marquants. Notamment lorsqu’il m’a fait mettre nue et qu’il m’a dit qu’il me manquait quelque chose. Même si, au départ, j’ai refusé, je suis tout de même allée chercher mon collier et je l'ai passé autour du cou. Je me rappelle cette délicieuse honte qui m’inondait alors que je devais me caresser pendant qu’il se lavait les dents devant moi. C’était étrange mais, rien qu’en y repensant, je m’en mords les lèvres.
J’ai un souvenir délicieux de ce premier corps à corps où, pour une fois, c’était moi qui était sur lui. Un simple plaisir d’être possédée mais d’avoir un semblant d’impression de mener le jeu pour une fois. Que c’est moi qui conduit la danse, même si je savais pertinemment que c’était lui qui décidait.
Je me rappelle, aussi, que lorsque je pensais pouvoir dormir, à nouveau il m’ en a empêché. Mais en repensant à ce moment, outre le fait que ca ne me laisse pas totalement indifférente, j’en souris. Il a eut l’audace, de me dire "vas-y dors, fais comme si j’étais pas là" alors qu’il s’enfonçait entre mes fesses. Je me souviens avoir résisté, plus pour l’embêter que par réelle envie de ne rien faire. J’aime ces rapports de force (lorsque j’ai plus ou moins confiance en l’autre) car c’est d’autant plus délectable après, de me sentir rompue à sa volonté, à son ou plutôt ses désirs.
Je ne pourrais pas oublier lorsqu’il m’a fait me lever et poser mes mains sur sa porte afin de me prendre dans cette position. J’ai résisté et, je dois avouer, que j’ai même eut mal. Pourtant, en y resongeant, c’était simplement excellent cette position. Je n’avais aucune prise et je me souviens que mes mains glissaient tant que j’ai appuyé sur l’interrupteur de la lumière.
J’arrive pas à m’enlever de la tête, le nombre de fois où, il me forçait à le regarder alors qu’il me prenait. Mes jambes relevées, j’étais totalement à sa disposition et son regard pervers me poursuit encore en écrivant ces quelques lignes. Mais c’est agréable de lui permettre d’avoir cet ascendant total sur moi, lui permettre, en quelque sorte, de transpercer mes pensée par ce regard confronté au sein.
Impossible d’oublier lorsqu’il m’a humiliée en me demandant si je pensais qu’il pourrait "me défoncer le cul?" et que je lui ai répondu non. Quelques minutes plus tard, tout à sa tâche il m’a dit, simplement "il me semble que là je te défonce le cul ». Je crois que s’il avait bien regardé, il aurait remarqué la rougeur qui se présentait sur mes joues.
Il y a aussi eut le matin où, sans raison apparente, il s’est mis à me fesser avec force. Sans raison apparente parce qu’avec toutes les fois où je lui avais dit non, où je ne m’étais pas laissée faire, je le savais et je le sais toujours, que j’avais bien mérité cette punition,
Il a eut d’autres perversités à mon égards, d’autres idées, d’autres mini-humiliations, d’autres façons de me montrer que chez lui j’étais à lui simplement. Mais, en fin de compte j’aimais ça, plus que je ne voulais bien l’avouer sur le moment.
Pour conclure, un souvenir qui me marque parce qu’une fois de plus, il a repoussé une de mes limites de ma pudeur. Simplement, alors que nous étions dans la rue il me demandait de déboutonner des boutons de mon pull. Prise par le jeu je m’exécutais et, lorsque sa main a plongé dans la large ouverture que formait mon haut, j’ai été gênée. D’autant que je sentais que mes seins, du moins, mon soutien-gorge, était visible des passants.
Ce qui est "bien " avec lui, c’est qu’il pousse toujours plus loin mes limites, et je me demande, si troisième fois il y aura, ce qu’il me réservera le moment venu.
Au départ, je n’étais pas censée le voir. Mais les événements de la vie en ont décidés autrement. Il m’a même permis de ne pas "m’ennuyer" plusieurs heures dehors, en me laissant seule chez lui. Cet homme est fou, je sais. Mais, pour une fois, je n’ai pas fait de bêtises, j’ai été sage (comme quoi tout arrive). En l’attendant, je me suis délectée d’une douche, je me suis changée (pour lui, mais faut pas lui dire, il s‘en sentirait trop important), j’ai regardé deux films, et je me suis endormie dans son lit en lisant mon livre.
Il devait rentrer tard ou plutôt tôt le lendemain. Je me rappelle ne pas l’avoir entendu rentrer, mais avoir simplement sentit une présence dans sa chambre ce qui m’a réveillée. Et il était là, en effet. J’aurai dût, peut-être, faire semblant de dormir, mais c’est plus fort que moi. J’aime être, parfois (parfois, pas toujours), simplement prise. Et je savais que ca allait arriver avec lui. Je le savais parce qu’en fin de compte, c’est pour ça que j’étais là….
Pourtant, j’avais décidé que, cette fois plus particulièrement, j’oserai ne pas me laisser totalement faire. J’oserai dire non et ne pas m’exécuter quitte à en subir les conséquences plus tard, mais, au moins, ca change un peu. A ce moment là, mes souvenirs deviennent… confus.
Mais je me souviens de quelques bribes. Quelques éléments marquants. Notamment lorsqu’il m’a fait mettre nue et qu’il m’a dit qu’il me manquait quelque chose. Même si, au départ, j’ai refusé, je suis tout de même allée chercher mon collier et je l'ai passé autour du cou. Je me rappelle cette délicieuse honte qui m’inondait alors que je devais me caresser pendant qu’il se lavait les dents devant moi. C’était étrange mais, rien qu’en y repensant, je m’en mords les lèvres.
J’ai un souvenir délicieux de ce premier corps à corps où, pour une fois, c’était moi qui était sur lui. Un simple plaisir d’être possédée mais d’avoir un semblant d’impression de mener le jeu pour une fois. Que c’est moi qui conduit la danse, même si je savais pertinemment que c’était lui qui décidait.
Je me rappelle, aussi, que lorsque je pensais pouvoir dormir, à nouveau il m’ en a empêché. Mais en repensant à ce moment, outre le fait que ca ne me laisse pas totalement indifférente, j’en souris. Il a eut l’audace, de me dire "vas-y dors, fais comme si j’étais pas là" alors qu’il s’enfonçait entre mes fesses. Je me souviens avoir résisté, plus pour l’embêter que par réelle envie de ne rien faire. J’aime ces rapports de force (lorsque j’ai plus ou moins confiance en l’autre) car c’est d’autant plus délectable après, de me sentir rompue à sa volonté, à son ou plutôt ses désirs.
Je ne pourrais pas oublier lorsqu’il m’a fait me lever et poser mes mains sur sa porte afin de me prendre dans cette position. J’ai résisté et, je dois avouer, que j’ai même eut mal. Pourtant, en y resongeant, c’était simplement excellent cette position. Je n’avais aucune prise et je me souviens que mes mains glissaient tant que j’ai appuyé sur l’interrupteur de la lumière.
J’arrive pas à m’enlever de la tête, le nombre de fois où, il me forçait à le regarder alors qu’il me prenait. Mes jambes relevées, j’étais totalement à sa disposition et son regard pervers me poursuit encore en écrivant ces quelques lignes. Mais c’est agréable de lui permettre d’avoir cet ascendant total sur moi, lui permettre, en quelque sorte, de transpercer mes pensée par ce regard confronté au sein.
Impossible d’oublier lorsqu’il m’a humiliée en me demandant si je pensais qu’il pourrait "me défoncer le cul?" et que je lui ai répondu non. Quelques minutes plus tard, tout à sa tâche il m’a dit, simplement "il me semble que là je te défonce le cul ». Je crois que s’il avait bien regardé, il aurait remarqué la rougeur qui se présentait sur mes joues.
Il y a aussi eut le matin où, sans raison apparente, il s’est mis à me fesser avec force. Sans raison apparente parce qu’avec toutes les fois où je lui avais dit non, où je ne m’étais pas laissée faire, je le savais et je le sais toujours, que j’avais bien mérité cette punition,
Il a eut d’autres perversités à mon égards, d’autres idées, d’autres mini-humiliations, d’autres façons de me montrer que chez lui j’étais à lui simplement. Mais, en fin de compte j’aimais ça, plus que je ne voulais bien l’avouer sur le moment.
Pour conclure, un souvenir qui me marque parce qu’une fois de plus, il a repoussé une de mes limites de ma pudeur. Simplement, alors que nous étions dans la rue il me demandait de déboutonner des boutons de mon pull. Prise par le jeu je m’exécutais et, lorsque sa main a plongé dans la large ouverture que formait mon haut, j’ai été gênée. D’autant que je sentais que mes seins, du moins, mon soutien-gorge, était visible des passants.
Ce qui est "bien " avec lui, c’est qu’il pousse toujours plus loin mes limites, et je me demande, si troisième fois il y aura, ce qu’il me réservera le moment venu.
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