La deuxième fois
Récit érotique écrit par Beaucefm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La deuxième fois
Après que mon ami Alain m'eut initié aux plaisirs de l'amour entre garçons, j'avoue avoir mis quelques jours à me remettre totalement de mes émotions.
Pendant pratiquement toute une semaine, je me suis carrément demandé si je devais ou non continuer de me tenir avec lui. Il n'en demeure pas moins cependant que chaque fois que je me suis masturbé au cours de ces quelques jours, c'était en admirant sa photo d'école. Et le plaisir que j'en ai éprouvé me faisait penser chaque fois que j'aimerais recommencer.
Je me suis éloigné temporairement de notre cercle d'amis communs car je craignais que l'histoire sorte et que mon entourage soit éventuellement mis au courant de l'affaire. Le doute et la crainte me troublaient les idées. Ce garçon m'envoûtait à un point tel que j'avais peine à rassembler mes idées et les organiser.
Je n'étais pas choqué par les événements. Bien au contraire, je dirais même que j'éprouvais depuis cet instant un besoin irrépressible de faire l'amour avec lui. C'est une autre raison pour laquelle je me demandais si j'allais désormais être encore capable de le côtoyer de la même façon qu'auparavant. Et si j'avais une érection en présence de nos amis...
Je m'imaginais mal en train d'essayer de contenir une érection embarrassante au mauvais moment. Tout allait si bien jusqu'à cette soirée où nous avons commis ces gestes. Sans les regretter, il était tout de même légitime d'au moins me demander si nous n'avions pas été trop loin et si cette histoire ne briserait pas notre relation.
Des questions sur mes préférences sexuelles me revenaient aussi. Sur mon attirance envers les filles notamment. Au milieu de l'adolescence, à une période de son existence où on n'a encore pratiquement rien connu de la vie, une telle aventure nous apporte un tout nouvel éclairage sur la sexualité et nous force à nous interroger.
Je me demandais si, malgré mon attirance à l'égard des filles, je n'étais pas carrément homo. Ce n'était pas de l'homophobie ou du déni, mais l'homosexualité revêtait, comme pour n'importe quel adolescent inculte, même encore aujourd'hui, un côté négatif, presque sordide. J'avais peur. Je craignais le rejet, la souffrance.
La semaine suivante, Alain m'a rejoint à la sortie de l'école. Il a couru pour me rattraper. Je pense qu'il comprenait bien mon malaise.
— Es-tu choqué ? Me demanda-t-il. Parce que tu me connais mal si tu penses que j'ai été dire ça à tout le monde. J'ai trop de respect pour toi.
— Ce n'est pas ça, lui répondis-je.
— Ne me prends pas pour un con, me dit-il d'un ton grave. Si tu ne veux plus me parler, t'as qu'à me le dire. Ne joue pas au plus fin avec moi.
Les idées ont commencé à tourner dans mon esprit à un rythme effrayant. Ses paroles venaient de me frapper en plein cœur, comme une décharge de fusil. J'allais peut-être ne plus jamais pouvoir côtoyer mon ami parce que nous avions fait l'amour ensemble. C'était de la folie pure. Jamais plus je ne pourrais sentir ses lèvres sur mon ventre, sa langue me lécher les cuisses et ses doigts me caresser doucement.
— Alain, ce n'est pas ça. J'ai juste peur. Peur que ça se sache. Peur que je ne sois pas normal. Peur de plein d'affaires. J'aimerais ça qu'on puisse continuer de se voir.
— Qu'est-ce qui te fait croire qu'on ne se reverra pas ? Me demanda-t-il. On est les meilleurs amis du monde et j'ai juste eu envie de partager des choses avec toi. C'est tout.
On marchait ensemble. Sa présence à mes côtés me rassurait et me faisait peur à la fois. Je le croyais quand il me disait qu'il n'avait rien révélé de notre aventure, mais je me disais que de marcher ainsi avec lui pourrait attirer les soupçons de quiconque aurait été mis au courant de l'affaire. Ça peut sembler ridicule, certes. Mais avez-vous la moindre idée de ce que ça peut être comme choc pour un adolescent ? On a marché comme ça jusque devant chez lui.
— Si tu veux venir coucher chez moi ce soir, dis-le moi. Sinon, je comprendrai. C'est correct.
— Je suis content de savoir que t'as gardé ça pour toi. T'es vraiment mon meilleur ami. Je me dépêche d'aller manger et je reviens.
Ce soir-là, je suis passé chez moi pour manger en quatrième vitesse et suis revenu chez Alain illico presto.
On a joué beaucoup sur l'ordinateur. Mais on a aussi passé la majeure partie de la soirée à discuter de nous deux, de mes craintes, de notre amitié, du plaisir qu'il avait éprouvé à me déniaiser et du mien à être ainsi initié. On a rie aussi. Ça nous a fait un bien fou. À moi surtout.
Il m'a parlé de son cousin, mais pas trop. J'ai compris qu'il s'en voulait un peu d'avoir ainsi ébruité leur secret. Mais j'ai quand même appris qu'il était pas mal plus âgé qu'Alain et je me suis dit que j'aimerais bien le rencontrer ce type. Parce qu'à entendre Alain, il était de toute évidence drôlement bien équipé. Puis, un mec expérimenté qui vous apprend, ça doit être agréable, non ?
Je lui ai aussi parlé de mon cousin avec lequel j'avais joué à de petits jeux coquins mais avec qui j'aurais aimé pouvoir expérimenter beaucoup plus. Alain et moi étions en érection. Ces révélations commençaient à nous faire terriblement d'effet.
Je soupçonne aujourd'hui la providence d'avoir mis nos deux cousins sur nos chemins respectifs pour nous préparer à toutes ces belles choses. Heureusement, son cousin lui avait appris des choses intéressantes. Et le mien m'avait touché avec une telle délicatesse que je n'étais plus tout à fait farouche et que j'étais curieux d'en recevoir davantage.
C'est un peu ingrat et franchement égoïste comme réflexion, mais je me fichais éperdument qu'il eut s'agit d'inceste ou de pédophilie de la part de nos cousins plus âgés. Alain ne s'en formalisait d'ailleurs pas non plus. Alors pourquoi s'en priver et tout foutre en l'air en révélant ça à nos familles.
Le temps filait si rapidement qu'on s'est à peine rendu compte qu'il était rendu tout près de minuit et que toute la maisonnée dormait sauf nous deux.
— Sois honnête. As-tu aimé ça la semaine dernière ? Chuchota Alain.
— Bien oui, lui répondis-je.
— Pourquoi t'as été plusieurs jours sans me parler ?
— C'est juste que j’aie peur des conséquences. J'avais peur que tu en parles.
— Moi en tout cas, me dit Alain, j'ai adoré ça. Ça goûte tellement bon. Je deviens quasiment comme un animal, comme une chienne en chaleur. Pour en avoir un maximum, dit Alain, faut quasiment que tu suces. Sinon, juste comme je t'ai fait, t'en perds beaucoup. Nous autres, ce qu'on faisait, c'est que je mettais à genoux et qu'il se masturbait devant moi, puis il éjaculait dans ma bouche pendant que je le suçais. C'est toute une sensation.
— Nous autres ? Demandai-je. Ça veut dire qui ?
— Tu le sais, me répondit sèchement Alain, c'est mon cousin. Puis, laisse donc faire.
— Excuse-moi, répondis-je. Je voulais juste savoir.
— Ce n'est pas grave. Je ne veux pas en parler davantage, tout simplement.
— Si on faisait ça ensemble, me laisserais-tu essayer ? Lui demandai-je à voix basse.
— Essayer quoi ? Me demanda Alain avec une étincelle qui brillait dans son regard.
— Serais-tu debout cette fois-là ? Et moi à genoux ?
— Tu sais, moi, j'ai juste envie de faire des affaires agréables avec mon meilleur ami.
On a retiré nos vêtements en quatrième vitesse, nous étions tous les deux en érection. C'est la première fois que je me tenais debout complètement nu devant un garçon. Nous prenions évidemment notre douche au vestiaire devant d'autres garçons et j'avais vu Alain nu auparavant. Mais jamais je ne m'étais encore ainsi dévoilé de façon aussi révélatrice, pour ainsi dire.
Nous étions très beaux tous les deux. Nous admirions nos corps d'éphèbes pratiquement sans poils, sinon quelques-uns sur le pubis. Si nous avions disposé d'une douche à cet instant précis, je lui aurais volontiers savonné le dos et les fesses de longues minutes. J'aurais glissé ma main entre ses cuisses par derrière et lui aurais caressé le sac à pleine main.
Nos pénis étaient déjà en érection. Je me suis agenouillé devant Alain et j'ai commencé à lui caresser les cuisses, puis les testicules. J'ai fermé les yeux. L'odeur de son sexe me faisait un effet incroyable. Je me sentais exactement comme il me l'avait décrit, comme une petite salope qui attend sa récompense. Ça sentait drôlement bon.
J'avais quand même la profonde conviction que j'allais m'écrouler tellement je tremblais. Dans ma poitrine, mon cœur battait à un tel rythme que j'ai cru qu'il allait en sortir.
Avant même d'avoir eu le temps de caresser sa queue, il pressa doucement son gland contre le rebord des lèvres et le fit se promener d'un côté à l'autre de ma bouche.
Alain me caressa les joues et le menton avec le bout de sa bite. Un moment donné, en ouvrant les lèvres, je sortis la langue et m'aventurai à lui lécher le gland. Je pensais que j'allais m'écraser contre le sol. Je me sentais défaillir. Un paquet de sentiments se mélangeait dans ma tête.
J'étais partagé entre l'excitation, la honte, la crainte, mais aussi une envie incroyable qu'il me bourre la bouche avec sa semence. Je compris dès lors ce qu'il voulait dire lorsqu'il m'avait avoué plus tôt qu'il se sentait comme une chienne en chaleur en de telles circonstances. À ce moment précis, je voulais qu'il me possède. Je voulais précisément qu'il me remplisse la bouche. Et c'est ce que j'ai fait. Il a pénétré ma bouche lentement.
J'étais franchement maladroit, mais je me délectais néanmoins de son sexe. Jamais je n'avais pensé que ce pouvait être aussi agréable d'accueillir ainsi la queue d'un autre garçon. J'ai rapidement pris de l'assurance et les mouvements que j'appliquais sur la tige de mon copain faisaient de plus en plus effet.
Alain s'amusait à pousser pour me l'enfoncer dans la bouche et j'avoue que ça me paniquait un peu. Il n'en demeure pas moins que l'excitation était si grande que je ne me sentais plus capable de m'interrompre. Sans même m'en rendre compte, j'ai commencé à émettre des gémissements de contentement et Alain s'est mis à râler à peu près au même moment.
Ce ne fut pas bien long avant que mon ami éjacule dans ma bouche. Sur le coup, le jet a passé proche de m'étouffer. J'ai eu un petit haut-le-cœur en accueillant la première giclée dans la gorge, mais j'ai tout avalé. Et ce fut très bon. Nous nous sommes ensuite essuyé, avons remis nos sous-vêtements, puis on s'est mis au lit rapidement parce qu'il était très tard. Mais de la façon dont Alain m'a caressé une dernière fois avant que nous nous mettions au lit, je savais qu'il avait envie d'autres choses...
Pendant pratiquement toute une semaine, je me suis carrément demandé si je devais ou non continuer de me tenir avec lui. Il n'en demeure pas moins cependant que chaque fois que je me suis masturbé au cours de ces quelques jours, c'était en admirant sa photo d'école. Et le plaisir que j'en ai éprouvé me faisait penser chaque fois que j'aimerais recommencer.
Je me suis éloigné temporairement de notre cercle d'amis communs car je craignais que l'histoire sorte et que mon entourage soit éventuellement mis au courant de l'affaire. Le doute et la crainte me troublaient les idées. Ce garçon m'envoûtait à un point tel que j'avais peine à rassembler mes idées et les organiser.
Je n'étais pas choqué par les événements. Bien au contraire, je dirais même que j'éprouvais depuis cet instant un besoin irrépressible de faire l'amour avec lui. C'est une autre raison pour laquelle je me demandais si j'allais désormais être encore capable de le côtoyer de la même façon qu'auparavant. Et si j'avais une érection en présence de nos amis...
Je m'imaginais mal en train d'essayer de contenir une érection embarrassante au mauvais moment. Tout allait si bien jusqu'à cette soirée où nous avons commis ces gestes. Sans les regretter, il était tout de même légitime d'au moins me demander si nous n'avions pas été trop loin et si cette histoire ne briserait pas notre relation.
Des questions sur mes préférences sexuelles me revenaient aussi. Sur mon attirance envers les filles notamment. Au milieu de l'adolescence, à une période de son existence où on n'a encore pratiquement rien connu de la vie, une telle aventure nous apporte un tout nouvel éclairage sur la sexualité et nous force à nous interroger.
Je me demandais si, malgré mon attirance à l'égard des filles, je n'étais pas carrément homo. Ce n'était pas de l'homophobie ou du déni, mais l'homosexualité revêtait, comme pour n'importe quel adolescent inculte, même encore aujourd'hui, un côté négatif, presque sordide. J'avais peur. Je craignais le rejet, la souffrance.
La semaine suivante, Alain m'a rejoint à la sortie de l'école. Il a couru pour me rattraper. Je pense qu'il comprenait bien mon malaise.
— Es-tu choqué ? Me demanda-t-il. Parce que tu me connais mal si tu penses que j'ai été dire ça à tout le monde. J'ai trop de respect pour toi.
— Ce n'est pas ça, lui répondis-je.
— Ne me prends pas pour un con, me dit-il d'un ton grave. Si tu ne veux plus me parler, t'as qu'à me le dire. Ne joue pas au plus fin avec moi.
Les idées ont commencé à tourner dans mon esprit à un rythme effrayant. Ses paroles venaient de me frapper en plein cœur, comme une décharge de fusil. J'allais peut-être ne plus jamais pouvoir côtoyer mon ami parce que nous avions fait l'amour ensemble. C'était de la folie pure. Jamais plus je ne pourrais sentir ses lèvres sur mon ventre, sa langue me lécher les cuisses et ses doigts me caresser doucement.
— Alain, ce n'est pas ça. J'ai juste peur. Peur que ça se sache. Peur que je ne sois pas normal. Peur de plein d'affaires. J'aimerais ça qu'on puisse continuer de se voir.
— Qu'est-ce qui te fait croire qu'on ne se reverra pas ? Me demanda-t-il. On est les meilleurs amis du monde et j'ai juste eu envie de partager des choses avec toi. C'est tout.
On marchait ensemble. Sa présence à mes côtés me rassurait et me faisait peur à la fois. Je le croyais quand il me disait qu'il n'avait rien révélé de notre aventure, mais je me disais que de marcher ainsi avec lui pourrait attirer les soupçons de quiconque aurait été mis au courant de l'affaire. Ça peut sembler ridicule, certes. Mais avez-vous la moindre idée de ce que ça peut être comme choc pour un adolescent ? On a marché comme ça jusque devant chez lui.
— Si tu veux venir coucher chez moi ce soir, dis-le moi. Sinon, je comprendrai. C'est correct.
— Je suis content de savoir que t'as gardé ça pour toi. T'es vraiment mon meilleur ami. Je me dépêche d'aller manger et je reviens.
Ce soir-là, je suis passé chez moi pour manger en quatrième vitesse et suis revenu chez Alain illico presto.
On a joué beaucoup sur l'ordinateur. Mais on a aussi passé la majeure partie de la soirée à discuter de nous deux, de mes craintes, de notre amitié, du plaisir qu'il avait éprouvé à me déniaiser et du mien à être ainsi initié. On a rie aussi. Ça nous a fait un bien fou. À moi surtout.
Il m'a parlé de son cousin, mais pas trop. J'ai compris qu'il s'en voulait un peu d'avoir ainsi ébruité leur secret. Mais j'ai quand même appris qu'il était pas mal plus âgé qu'Alain et je me suis dit que j'aimerais bien le rencontrer ce type. Parce qu'à entendre Alain, il était de toute évidence drôlement bien équipé. Puis, un mec expérimenté qui vous apprend, ça doit être agréable, non ?
Je lui ai aussi parlé de mon cousin avec lequel j'avais joué à de petits jeux coquins mais avec qui j'aurais aimé pouvoir expérimenter beaucoup plus. Alain et moi étions en érection. Ces révélations commençaient à nous faire terriblement d'effet.
Je soupçonne aujourd'hui la providence d'avoir mis nos deux cousins sur nos chemins respectifs pour nous préparer à toutes ces belles choses. Heureusement, son cousin lui avait appris des choses intéressantes. Et le mien m'avait touché avec une telle délicatesse que je n'étais plus tout à fait farouche et que j'étais curieux d'en recevoir davantage.
C'est un peu ingrat et franchement égoïste comme réflexion, mais je me fichais éperdument qu'il eut s'agit d'inceste ou de pédophilie de la part de nos cousins plus âgés. Alain ne s'en formalisait d'ailleurs pas non plus. Alors pourquoi s'en priver et tout foutre en l'air en révélant ça à nos familles.
Le temps filait si rapidement qu'on s'est à peine rendu compte qu'il était rendu tout près de minuit et que toute la maisonnée dormait sauf nous deux.
— Sois honnête. As-tu aimé ça la semaine dernière ? Chuchota Alain.
— Bien oui, lui répondis-je.
— Pourquoi t'as été plusieurs jours sans me parler ?
— C'est juste que j’aie peur des conséquences. J'avais peur que tu en parles.
— Moi en tout cas, me dit Alain, j'ai adoré ça. Ça goûte tellement bon. Je deviens quasiment comme un animal, comme une chienne en chaleur. Pour en avoir un maximum, dit Alain, faut quasiment que tu suces. Sinon, juste comme je t'ai fait, t'en perds beaucoup. Nous autres, ce qu'on faisait, c'est que je mettais à genoux et qu'il se masturbait devant moi, puis il éjaculait dans ma bouche pendant que je le suçais. C'est toute une sensation.
— Nous autres ? Demandai-je. Ça veut dire qui ?
— Tu le sais, me répondit sèchement Alain, c'est mon cousin. Puis, laisse donc faire.
— Excuse-moi, répondis-je. Je voulais juste savoir.
— Ce n'est pas grave. Je ne veux pas en parler davantage, tout simplement.
— Si on faisait ça ensemble, me laisserais-tu essayer ? Lui demandai-je à voix basse.
— Essayer quoi ? Me demanda Alain avec une étincelle qui brillait dans son regard.
— Serais-tu debout cette fois-là ? Et moi à genoux ?
— Tu sais, moi, j'ai juste envie de faire des affaires agréables avec mon meilleur ami.
On a retiré nos vêtements en quatrième vitesse, nous étions tous les deux en érection. C'est la première fois que je me tenais debout complètement nu devant un garçon. Nous prenions évidemment notre douche au vestiaire devant d'autres garçons et j'avais vu Alain nu auparavant. Mais jamais je ne m'étais encore ainsi dévoilé de façon aussi révélatrice, pour ainsi dire.
Nous étions très beaux tous les deux. Nous admirions nos corps d'éphèbes pratiquement sans poils, sinon quelques-uns sur le pubis. Si nous avions disposé d'une douche à cet instant précis, je lui aurais volontiers savonné le dos et les fesses de longues minutes. J'aurais glissé ma main entre ses cuisses par derrière et lui aurais caressé le sac à pleine main.
Nos pénis étaient déjà en érection. Je me suis agenouillé devant Alain et j'ai commencé à lui caresser les cuisses, puis les testicules. J'ai fermé les yeux. L'odeur de son sexe me faisait un effet incroyable. Je me sentais exactement comme il me l'avait décrit, comme une petite salope qui attend sa récompense. Ça sentait drôlement bon.
J'avais quand même la profonde conviction que j'allais m'écrouler tellement je tremblais. Dans ma poitrine, mon cœur battait à un tel rythme que j'ai cru qu'il allait en sortir.
Avant même d'avoir eu le temps de caresser sa queue, il pressa doucement son gland contre le rebord des lèvres et le fit se promener d'un côté à l'autre de ma bouche.
Alain me caressa les joues et le menton avec le bout de sa bite. Un moment donné, en ouvrant les lèvres, je sortis la langue et m'aventurai à lui lécher le gland. Je pensais que j'allais m'écraser contre le sol. Je me sentais défaillir. Un paquet de sentiments se mélangeait dans ma tête.
J'étais partagé entre l'excitation, la honte, la crainte, mais aussi une envie incroyable qu'il me bourre la bouche avec sa semence. Je compris dès lors ce qu'il voulait dire lorsqu'il m'avait avoué plus tôt qu'il se sentait comme une chienne en chaleur en de telles circonstances. À ce moment précis, je voulais qu'il me possède. Je voulais précisément qu'il me remplisse la bouche. Et c'est ce que j'ai fait. Il a pénétré ma bouche lentement.
J'étais franchement maladroit, mais je me délectais néanmoins de son sexe. Jamais je n'avais pensé que ce pouvait être aussi agréable d'accueillir ainsi la queue d'un autre garçon. J'ai rapidement pris de l'assurance et les mouvements que j'appliquais sur la tige de mon copain faisaient de plus en plus effet.
Alain s'amusait à pousser pour me l'enfoncer dans la bouche et j'avoue que ça me paniquait un peu. Il n'en demeure pas moins que l'excitation était si grande que je ne me sentais plus capable de m'interrompre. Sans même m'en rendre compte, j'ai commencé à émettre des gémissements de contentement et Alain s'est mis à râler à peu près au même moment.
Ce ne fut pas bien long avant que mon ami éjacule dans ma bouche. Sur le coup, le jet a passé proche de m'étouffer. J'ai eu un petit haut-le-cœur en accueillant la première giclée dans la gorge, mais j'ai tout avalé. Et ce fut très bon. Nous nous sommes ensuite essuyé, avons remis nos sous-vêtements, puis on s'est mis au lit rapidement parce qu'il était très tard. Mais de la façon dont Alain m'a caressé une dernière fois avant que nous nous mettions au lit, je savais qu'il avait envie d'autres choses...
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