La deuxième vie de Sabrina 2
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La deuxième vie de Sabrina 2
La nuit fut assez calme. Louis lui laissa prendre du repos et vers 7h, il la réveilla en lui caressant la chatte. Il la fit jouir avant d’exiger une pipe complète, ce qu’elle n’avait encore jamais fait ! Elle aima le foutre et comprit que les préjugés de José n’étaient pas les siens…
La journée fut assez calme et très professionnelle… Vers 16h30, Louis lui demanda de venir dans son bureau. Sabrina, qui portait la robe de la veille, mais sans soutif, le rejoignit donc.
« Bien entendu, ce soir, je dine et je couche chez toi ! Mais, avant, il nous faut aller dans un sex-shop de ma connaissance. On part dans une demi-heure. Je veux que tu enlèves ta culotte et que tu me la donnes. Préviens la nourrice que tu ne passeras pas avant 19h. Il va, d’ailleurs, falloir que tu t’organises pour avoir plus de libertés. »
« C’est prévu. Ma belle-mère vient le week-end prochain pour s’installer chez nous ! Tu veux ma culotte maintenant ? »
« Ca va pas faciliter nos soirées, présence de ta belle-mère !!! Oui, donne-la et dorénavant, tu n’en porteras plus ici ou quand nous sortirons ensemble. »
Docile et même fière, Sabrina enleva son tanga rouge et le tendit à Louis. Trente minutes plus tard, ils partaient ensemble et elle se sentait définitivement une autre femme, sans sous-vêtements, la main de Louis posée sur ses fesses…
Il choisit d’utiliser la petite voiture de Sabrina et 25 minutes suffirent à se rendre dans la boutique, dont Sabrina ne connaissait pas l’existence. Elle se sentait un peu nerveuse d’y entrer, mais elle suivit Louis. Il se dirigea vers le rayon sex-toys et choisit trois plugs, des boules de geisha et un œuf vibrant dernier cri. Puis, il entraîna Sabrina vers le fond de la boutique. Il y avait, là, trois hommes, pas très jeunes (plus de 40 ans, mais Louis en avait plus de 50) qui semblaient mater Sabrina avec lubricité.
« Enlève ta robe, ma chérie. Ces messieurs seront ravis de voir ton corps et c’est rien de le dire !!! »
Sabrina paniqua un instant. Elle lança un regard suppliant à Louis. Il lui sourit et fit un geste d’impatience. Elle ôta sa robe, les mecs la regardaient à distance, sans sembler vouloir approcher.
« Messieurs, sortez vos queues ! Ma petite femelle va vous sucer… Ce sera tout, mais vous aurez le droit de la toucher pendant ce temps !!! Sabrina, mets-toi à genoux et taille une belle pipe à nos amis… »
Les hommes avaient des bites assez banales. Du format de celle de José. Elle se mit à l’ouvrage, montrant une bonne technique de base et beaucoup de bonne volonté. Très vite, l’un des hommes lui lâcha son foutre sur le visage. Les mains se baladaient sur son corps, ses seins, son cul et sa moule étaient visités sans ménagement. Le deuxième se vida sur ses seins et Louis invita le dernier à jouir dans sa bouche. Ce fut fait assez rapidement. Les hommes partirent et Louis aida Sabrina à s’essuyer puis à enfiler sa robe. Il paya ses achats et ils sortirent.
« C’était bien, ma belle. Tu as été très pro et c’est ce que j’attends de toi. A l’avenir, il te faudra sûrement sucer régulièrement des hommes que tu ne connaîtras pas forcément. Les plus importants de nos clients à venir, seront séduits par cette gratification. Parfois, ils pourront te baiser ou t’enculer. Mais toujours avec capote ! As-tu déjà fait l’amour avec une femme ? »
« Oui, deux ou trois fois. Avec Christine, lorsqu’on était jeunes… »
« Bien, il est possible que nous y ayons recours avec des clientes ! A partir de maintenant, tu es mon plus commercial. On va toucher de très belles primes d’expansion. Rentrons maintenant… »
Il prit le volant pour le retour et demanda à Sabrina de relever sa robe pour que les routiers puissent apercevoir sa chatte. Elle devait devenir exhibitionniste et il lui dit que l’après-midi du lendemain, elle ferait des essayages pour voyeurs.
Elle récupéra les enfants après avoir laissé Louis sur le parking du boulot où il prit sa voiture pour aller directement chez elle. Il était arrivé avant Sabrina. Il s’occupa du diner pendant qu’elle douchait les enfants et les faisaient manger. Ils dinèrent en tête à tête, Sabrina nue avec l’œuf vibrant dans le con ! Louis jouait avec la télécommande, lui imposant une excitation constante. Une fois tout rangé, il la prit sur la table de cuisine, à la hussarde, mais dans le cul, car l’œuf était toujours en place… L’orgasme fut si fort, qu’elle en perdit à demi conscience.
« Je crois que tu adoreras la double pénétration, ma salope… On va tâcher d’en organiser une assez vite. »
Ils allèrent dans la chambre et, comme il n’avait pas jouit, il la prit en levrette, lui bourrant la chatte avec conviction. Elle jouit d’autant plus qu’il lui avait mis un plug dans le cul. Il la remplit de foutre puis exigea qu’elle lui nettoie la bite.
« A partir de demain, tu auras un plug dans le fion en permanence. Il faut entretenir la souplesse de ta rondelle, surtout qu’il se peut que tu te fasses enculée par un plus gros calibre que le mien !!! »
Ils dormirent, Sabrina gardant le sperme dans sa chatte pensa qu’elle n’avait encore pas pris sa pilule… Il était à peine 6h quand il la réveilla en lui administrant un cunnilingus divin. Mais, il cessa bien avant qu’elle ne jouisse pour la prendre, jambes relevées très haut. Il lui pilonna la moule à la faire hurler, puis lui ramona le cul avant de lui décharger dans la bouche. Sabrina savait, maintenant, qu’il était l’homme qui la révélerait !!! Elle ferait tout ce qu’il exigerait d’elle, même si cela la dégouterait. L’expérience au sex-shop l’avait surprise, elle en avait honte, mais elle se sentait fière de l’avoir fait, parce que Louis le voulait !!! Soumise, voilà ce qu’elle était…
Une fois les enfants en nourrice, la matinée fut assez intense. Le plug dans son cul nu n’était pas trop gênant. Les ouvriers arrivèrent vers 10h. Louis leur demanda pour combien de temps ils en auraient. Le plus âgé (environ 50 ans) dit qu’à deux, il faudrait pas loin de deux jours. Mais, dés ce soir, le plus gros serait fait. Demain, ils installeraient la porte. Louis lança :
« Si vous finissez avant 15h demain, vous aurez une récompense de la part de mon adjointe, dont vous serez heureux… »
Sabrina rougit. Elle se doutait bien de ce dont il s’agissait. Une pipe pour ces messieurs…
A midi, Louis déclara qu’il était temps d’aller déjeuner avant d’aller faire le shopping prévu. Avant de quitter les lieux, il passa par le bureau de la comptabilité. Elle le vit parler avec l’assistante, Sarah, une très belle blonde de 26 ans, en couple avec un ex employé de la société, qui s’était installé à son compte et ramait pour s’en sortir. Louis, une fois en voiture, dit que Sarah viendrait diner avec eux le lendemain soir. Surprise, Sabrina demanda si son compagnon serait avec elle. Louis l’informa qu’il était en déplacement et qu’il voulait proposer à Sarah, un avancement salutaire pour le couple… De toutes évidences, il avait envie de se la faire et il voulait tester la bisexualité de Sabrina.
Trois heures durant, ils firent le tour de diverses boutiques, commençant par la lingerie. Il choisit cinq ensembles très osés, dont deux avec une culotte fendue. La vendeuse qui avait assisté aux essayages, déclarait que cela allait parfaitement à Sabrina. Se montrer nue devant cette femme d’au moins 55 ans, avait émoustillé cette dernière. En sortant de la boutique, elle ne portait pas de sous-vêtements, conformément aux souhaits de Louis. Elle avait la plus courte de ses jupes et un débardeur qui avait bien du mal à contenir ses seins. Ils firent trois magasins de fringues où elle essaya nombre de tenues sexy voir indécentes. Dès le premier magasin, elle remarqua que Louis laissait le rideau de la cabine d’essayage franchement trop ouvert. A maintes reprise, elle vit des femmes jeter un œil à l’intérieur et sourire de la voir plus ou moins nue. Elle pensa qu’elle avait de la chance de ne pas être surprise par un homme. Dans la dernière boutique, alors qu’elle était nue, elle vit un type de moins de trente ans, qui se rinçait l’œil. Elle rougit, mais continua. Le mec resta planté sur sa position et assista à tout l’essayage. Nul doute qu’il avait vu le plug. Vers la fin, Louis lui fit signe de rentrer. L’homme, souriant, entra et Louis tira le rideau. Sabrina était nue.
« Elle te plait ma petite cochonne ? »
« Beaucoup ! Je viens souvent ici les mercredis après-midi et je n’ai jamais vu une si belle femme à poil… »
« Tu aimerais la baiser ? »
« Evidement… Et bien plus même ! »
« Ce n’est pas possible ici, mais peut être chez toi ? Tu habites loin ? »
« Pas plus de 15 minutes… »
« Nous avons à peine une heure de libre. C’est trop juste…Tu peux venir chez elle ce soir ? »
« C’est où ? »
Sabrina, stupéfaite, entendit Louis indiquer son adresse au type et lui recommander de venir avec un bon nombre de capotes. Rendez-vous pris pour 20h30, ils partirent.
« Il est mignon, ce mec, non ? »
« Un peu jeune et pervers, surtout ! Mais tu veux vraiment qu’il me baise ??? »
« Bien sûr. Il faut que tu sois prête pour tous les cas de figures et si ce n’est pas un bon coup, tant pis !!! »
Ils rentrèrent, Sabrina récupérant ses enfants et Louis la rejoignant vers 19h. Après que les enfants furent couchés, il dit :
« Je pense que tu devrais appeler ton mari. Ton fils risque de lui parler de ma présence tous les soirs. Donc, tu l’appelles, tu lui dis que comme je suis encore à l’hôtel, nous dinons ensemble tous les soirs et que je pars vers 21h30 maximum… Mais, avant, mets-toi à poil !!! »
Bien entendu, elle s’exécuta. Une fois nue, elle prit son portable et appela José. Echange de banalités et de mots doux, puis, elle aborda le sujet Louis. Pendant ce temps, ce dernier s’était déshabillé et queue tendue, il s’approchait. Il lui saisit les chevilles et lui releva les jambes, la faisant basculer en arrière sur le fauteuil où elle était assise. Elle lui jeta un regard suppliant. Non, il n’allait quand même pas la baiser alors qu’elle parlait à José. Sûr de lui, Louis planta pourtant sa bite dans la chatte ouverte de Sabrina. Elle étouffa un cri et lui fut reconnaissante de ne pas la pilonner immédiatement.
« Oui, mon chéri, tu me manques. Mais avec mon nouveau job, cela ne va pas s’arranger… non, Louis ne m’a pas fait d’avances, mais il veut que je change mes habitudes vestimentaires et que je sois plus féminine…Ah, ben si c’est ton souhait le plus cher, alors je vais faire le nécessaire… Comment, j’ai une drôle de voix ??? C’est parce que je suis un peu enrouée…Louis, fait le diner. C’est un vrai « maître-queue » !!! Oui, c’est ça, à samedi mon amour… plein de bisous partout »
Louis entama alors un mouvement puissant, lui arrachant des cris de plaisir. Il jouit dans sa chatte. Ils mangèrent rapidement puis il l’installa sur le lit, lui liant les poignets aux montants.
Jules, le mec du magasin, arriva à l’heure dite. Il dut se mettre nu avant de pouvoir accéder à la chambre. Il fut très heureux de découvrir Sabrina attachée.
« Voilà, elle est à toi pour aussi longtemps que tu tiendras. Mais il faut assurer un maximum. Si tu nous déçois, je te vire… Déjà, tu as une très belle pine, alors sois bon. »
Il avait une bite de plus de 25cm, fine, mais très dure. Il mit une capote et pénétra la chatte humide de Sabrina. Trois orgasmes féminins plus tard, il l’encula. Sabrina découvrit le plaisir d’être très profondément remplie. Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas risquer de réveiller les enfants. Quand elle eut jouit, Jules demanda l’autorisation de lui jouir dans la bouche. Louis refusa. Jules se branla donc, pour arroser le visage de Sabrina de son foutre. Il entreprit un cunnilingus, la faisant à nouveau jouir, puis il la reprit, avec une nouvelle capote, par la chatte et le cul… Cette fois, il se vida dans la capote et dans le fion de Sabrina… Louis l’autorisa à prendre un peu de repos avant de faire subir une sodomie ultra violente à une Sabrina épuisée. Il déchargeât sur les reins de la jeune femme. C’est à ce moment-là qu’elle se rendit compte que Louis avait fait des photos ! Jules déclara qu’il avait son compte et qu’il était temps pour lui de rentrer.
« Dis-moi, tu es en couple ? »
« Oui, mais elle travaille sur Paris et ne rentre que les fins de semaines. »
« J’aimerais bien que tu me la présentes. Tu as une photo d’elle ? »
« Heu, non. Mais, vous voudriez la sauter ? »
« Ca me parait être le minimum que tu puisses me proposer !!! »
« Je ne sais pas si elle acceptera… C’est pas une gourmande. »
« Ben j’y remédierais !!! »
Sabrina n’en doutait pas, mais cela ne la regardait pas…Demain serait un autre jour et elle savait qu’il scellerait définitivement sa nouvelle vie…
La journée fut assez calme et très professionnelle… Vers 16h30, Louis lui demanda de venir dans son bureau. Sabrina, qui portait la robe de la veille, mais sans soutif, le rejoignit donc.
« Bien entendu, ce soir, je dine et je couche chez toi ! Mais, avant, il nous faut aller dans un sex-shop de ma connaissance. On part dans une demi-heure. Je veux que tu enlèves ta culotte et que tu me la donnes. Préviens la nourrice que tu ne passeras pas avant 19h. Il va, d’ailleurs, falloir que tu t’organises pour avoir plus de libertés. »
« C’est prévu. Ma belle-mère vient le week-end prochain pour s’installer chez nous ! Tu veux ma culotte maintenant ? »
« Ca va pas faciliter nos soirées, présence de ta belle-mère !!! Oui, donne-la et dorénavant, tu n’en porteras plus ici ou quand nous sortirons ensemble. »
Docile et même fière, Sabrina enleva son tanga rouge et le tendit à Louis. Trente minutes plus tard, ils partaient ensemble et elle se sentait définitivement une autre femme, sans sous-vêtements, la main de Louis posée sur ses fesses…
Il choisit d’utiliser la petite voiture de Sabrina et 25 minutes suffirent à se rendre dans la boutique, dont Sabrina ne connaissait pas l’existence. Elle se sentait un peu nerveuse d’y entrer, mais elle suivit Louis. Il se dirigea vers le rayon sex-toys et choisit trois plugs, des boules de geisha et un œuf vibrant dernier cri. Puis, il entraîna Sabrina vers le fond de la boutique. Il y avait, là, trois hommes, pas très jeunes (plus de 40 ans, mais Louis en avait plus de 50) qui semblaient mater Sabrina avec lubricité.
« Enlève ta robe, ma chérie. Ces messieurs seront ravis de voir ton corps et c’est rien de le dire !!! »
Sabrina paniqua un instant. Elle lança un regard suppliant à Louis. Il lui sourit et fit un geste d’impatience. Elle ôta sa robe, les mecs la regardaient à distance, sans sembler vouloir approcher.
« Messieurs, sortez vos queues ! Ma petite femelle va vous sucer… Ce sera tout, mais vous aurez le droit de la toucher pendant ce temps !!! Sabrina, mets-toi à genoux et taille une belle pipe à nos amis… »
Les hommes avaient des bites assez banales. Du format de celle de José. Elle se mit à l’ouvrage, montrant une bonne technique de base et beaucoup de bonne volonté. Très vite, l’un des hommes lui lâcha son foutre sur le visage. Les mains se baladaient sur son corps, ses seins, son cul et sa moule étaient visités sans ménagement. Le deuxième se vida sur ses seins et Louis invita le dernier à jouir dans sa bouche. Ce fut fait assez rapidement. Les hommes partirent et Louis aida Sabrina à s’essuyer puis à enfiler sa robe. Il paya ses achats et ils sortirent.
« C’était bien, ma belle. Tu as été très pro et c’est ce que j’attends de toi. A l’avenir, il te faudra sûrement sucer régulièrement des hommes que tu ne connaîtras pas forcément. Les plus importants de nos clients à venir, seront séduits par cette gratification. Parfois, ils pourront te baiser ou t’enculer. Mais toujours avec capote ! As-tu déjà fait l’amour avec une femme ? »
« Oui, deux ou trois fois. Avec Christine, lorsqu’on était jeunes… »
« Bien, il est possible que nous y ayons recours avec des clientes ! A partir de maintenant, tu es mon plus commercial. On va toucher de très belles primes d’expansion. Rentrons maintenant… »
Il prit le volant pour le retour et demanda à Sabrina de relever sa robe pour que les routiers puissent apercevoir sa chatte. Elle devait devenir exhibitionniste et il lui dit que l’après-midi du lendemain, elle ferait des essayages pour voyeurs.
Elle récupéra les enfants après avoir laissé Louis sur le parking du boulot où il prit sa voiture pour aller directement chez elle. Il était arrivé avant Sabrina. Il s’occupa du diner pendant qu’elle douchait les enfants et les faisaient manger. Ils dinèrent en tête à tête, Sabrina nue avec l’œuf vibrant dans le con ! Louis jouait avec la télécommande, lui imposant une excitation constante. Une fois tout rangé, il la prit sur la table de cuisine, à la hussarde, mais dans le cul, car l’œuf était toujours en place… L’orgasme fut si fort, qu’elle en perdit à demi conscience.
« Je crois que tu adoreras la double pénétration, ma salope… On va tâcher d’en organiser une assez vite. »
Ils allèrent dans la chambre et, comme il n’avait pas jouit, il la prit en levrette, lui bourrant la chatte avec conviction. Elle jouit d’autant plus qu’il lui avait mis un plug dans le cul. Il la remplit de foutre puis exigea qu’elle lui nettoie la bite.
« A partir de demain, tu auras un plug dans le fion en permanence. Il faut entretenir la souplesse de ta rondelle, surtout qu’il se peut que tu te fasses enculée par un plus gros calibre que le mien !!! »
Ils dormirent, Sabrina gardant le sperme dans sa chatte pensa qu’elle n’avait encore pas pris sa pilule… Il était à peine 6h quand il la réveilla en lui administrant un cunnilingus divin. Mais, il cessa bien avant qu’elle ne jouisse pour la prendre, jambes relevées très haut. Il lui pilonna la moule à la faire hurler, puis lui ramona le cul avant de lui décharger dans la bouche. Sabrina savait, maintenant, qu’il était l’homme qui la révélerait !!! Elle ferait tout ce qu’il exigerait d’elle, même si cela la dégouterait. L’expérience au sex-shop l’avait surprise, elle en avait honte, mais elle se sentait fière de l’avoir fait, parce que Louis le voulait !!! Soumise, voilà ce qu’elle était…
Une fois les enfants en nourrice, la matinée fut assez intense. Le plug dans son cul nu n’était pas trop gênant. Les ouvriers arrivèrent vers 10h. Louis leur demanda pour combien de temps ils en auraient. Le plus âgé (environ 50 ans) dit qu’à deux, il faudrait pas loin de deux jours. Mais, dés ce soir, le plus gros serait fait. Demain, ils installeraient la porte. Louis lança :
« Si vous finissez avant 15h demain, vous aurez une récompense de la part de mon adjointe, dont vous serez heureux… »
Sabrina rougit. Elle se doutait bien de ce dont il s’agissait. Une pipe pour ces messieurs…
A midi, Louis déclara qu’il était temps d’aller déjeuner avant d’aller faire le shopping prévu. Avant de quitter les lieux, il passa par le bureau de la comptabilité. Elle le vit parler avec l’assistante, Sarah, une très belle blonde de 26 ans, en couple avec un ex employé de la société, qui s’était installé à son compte et ramait pour s’en sortir. Louis, une fois en voiture, dit que Sarah viendrait diner avec eux le lendemain soir. Surprise, Sabrina demanda si son compagnon serait avec elle. Louis l’informa qu’il était en déplacement et qu’il voulait proposer à Sarah, un avancement salutaire pour le couple… De toutes évidences, il avait envie de se la faire et il voulait tester la bisexualité de Sabrina.
Trois heures durant, ils firent le tour de diverses boutiques, commençant par la lingerie. Il choisit cinq ensembles très osés, dont deux avec une culotte fendue. La vendeuse qui avait assisté aux essayages, déclarait que cela allait parfaitement à Sabrina. Se montrer nue devant cette femme d’au moins 55 ans, avait émoustillé cette dernière. En sortant de la boutique, elle ne portait pas de sous-vêtements, conformément aux souhaits de Louis. Elle avait la plus courte de ses jupes et un débardeur qui avait bien du mal à contenir ses seins. Ils firent trois magasins de fringues où elle essaya nombre de tenues sexy voir indécentes. Dès le premier magasin, elle remarqua que Louis laissait le rideau de la cabine d’essayage franchement trop ouvert. A maintes reprise, elle vit des femmes jeter un œil à l’intérieur et sourire de la voir plus ou moins nue. Elle pensa qu’elle avait de la chance de ne pas être surprise par un homme. Dans la dernière boutique, alors qu’elle était nue, elle vit un type de moins de trente ans, qui se rinçait l’œil. Elle rougit, mais continua. Le mec resta planté sur sa position et assista à tout l’essayage. Nul doute qu’il avait vu le plug. Vers la fin, Louis lui fit signe de rentrer. L’homme, souriant, entra et Louis tira le rideau. Sabrina était nue.
« Elle te plait ma petite cochonne ? »
« Beaucoup ! Je viens souvent ici les mercredis après-midi et je n’ai jamais vu une si belle femme à poil… »
« Tu aimerais la baiser ? »
« Evidement… Et bien plus même ! »
« Ce n’est pas possible ici, mais peut être chez toi ? Tu habites loin ? »
« Pas plus de 15 minutes… »
« Nous avons à peine une heure de libre. C’est trop juste…Tu peux venir chez elle ce soir ? »
« C’est où ? »
Sabrina, stupéfaite, entendit Louis indiquer son adresse au type et lui recommander de venir avec un bon nombre de capotes. Rendez-vous pris pour 20h30, ils partirent.
« Il est mignon, ce mec, non ? »
« Un peu jeune et pervers, surtout ! Mais tu veux vraiment qu’il me baise ??? »
« Bien sûr. Il faut que tu sois prête pour tous les cas de figures et si ce n’est pas un bon coup, tant pis !!! »
Ils rentrèrent, Sabrina récupérant ses enfants et Louis la rejoignant vers 19h. Après que les enfants furent couchés, il dit :
« Je pense que tu devrais appeler ton mari. Ton fils risque de lui parler de ma présence tous les soirs. Donc, tu l’appelles, tu lui dis que comme je suis encore à l’hôtel, nous dinons ensemble tous les soirs et que je pars vers 21h30 maximum… Mais, avant, mets-toi à poil !!! »
Bien entendu, elle s’exécuta. Une fois nue, elle prit son portable et appela José. Echange de banalités et de mots doux, puis, elle aborda le sujet Louis. Pendant ce temps, ce dernier s’était déshabillé et queue tendue, il s’approchait. Il lui saisit les chevilles et lui releva les jambes, la faisant basculer en arrière sur le fauteuil où elle était assise. Elle lui jeta un regard suppliant. Non, il n’allait quand même pas la baiser alors qu’elle parlait à José. Sûr de lui, Louis planta pourtant sa bite dans la chatte ouverte de Sabrina. Elle étouffa un cri et lui fut reconnaissante de ne pas la pilonner immédiatement.
« Oui, mon chéri, tu me manques. Mais avec mon nouveau job, cela ne va pas s’arranger… non, Louis ne m’a pas fait d’avances, mais il veut que je change mes habitudes vestimentaires et que je sois plus féminine…Ah, ben si c’est ton souhait le plus cher, alors je vais faire le nécessaire… Comment, j’ai une drôle de voix ??? C’est parce que je suis un peu enrouée…Louis, fait le diner. C’est un vrai « maître-queue » !!! Oui, c’est ça, à samedi mon amour… plein de bisous partout »
Louis entama alors un mouvement puissant, lui arrachant des cris de plaisir. Il jouit dans sa chatte. Ils mangèrent rapidement puis il l’installa sur le lit, lui liant les poignets aux montants.
Jules, le mec du magasin, arriva à l’heure dite. Il dut se mettre nu avant de pouvoir accéder à la chambre. Il fut très heureux de découvrir Sabrina attachée.
« Voilà, elle est à toi pour aussi longtemps que tu tiendras. Mais il faut assurer un maximum. Si tu nous déçois, je te vire… Déjà, tu as une très belle pine, alors sois bon. »
Il avait une bite de plus de 25cm, fine, mais très dure. Il mit une capote et pénétra la chatte humide de Sabrina. Trois orgasmes féminins plus tard, il l’encula. Sabrina découvrit le plaisir d’être très profondément remplie. Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas risquer de réveiller les enfants. Quand elle eut jouit, Jules demanda l’autorisation de lui jouir dans la bouche. Louis refusa. Jules se branla donc, pour arroser le visage de Sabrina de son foutre. Il entreprit un cunnilingus, la faisant à nouveau jouir, puis il la reprit, avec une nouvelle capote, par la chatte et le cul… Cette fois, il se vida dans la capote et dans le fion de Sabrina… Louis l’autorisa à prendre un peu de repos avant de faire subir une sodomie ultra violente à une Sabrina épuisée. Il déchargeât sur les reins de la jeune femme. C’est à ce moment-là qu’elle se rendit compte que Louis avait fait des photos ! Jules déclara qu’il avait son compte et qu’il était temps pour lui de rentrer.
« Dis-moi, tu es en couple ? »
« Oui, mais elle travaille sur Paris et ne rentre que les fins de semaines. »
« J’aimerais bien que tu me la présentes. Tu as une photo d’elle ? »
« Heu, non. Mais, vous voudriez la sauter ? »
« Ca me parait être le minimum que tu puisses me proposer !!! »
« Je ne sais pas si elle acceptera… C’est pas une gourmande. »
« Ben j’y remédierais !!! »
Sabrina n’en doutait pas, mais cela ne la regardait pas…Demain serait un autre jour et elle savait qu’il scellerait définitivement sa nouvelle vie…
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