La dominante pulpeuse 3

Récit érotique écrit par Bobyletank [→ Accès à sa fiche auteur]
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La dominante pulpeuse 3
Chapitre 7
*
Comme tous les matins, l’entrepreneuse croisait Maria la domestique du manoir en quittant sa chambre pour se rendre au travail.
- Bonjour Maria ! Comment allez-vous ?
- Bonjour Madame ! Très bien ; Avez-vous quelque chose de particulier à laver aujourd’hui ?
- Non Maria, par ailleurs, Merci beaucoup pour ma paire de chaussure, elles sont parfaites !
- Oui j’ai réussi à faire disparaitre ces satanés tâches blanchâtres, ça venait d’où ?
- Aucune idée Maria !
Elle se sentait gênée de la question et pris un air surpris. Avant que la femme de ménage puisse reprendre son chemin, elle l’interpella :
- Euh Maria … Que dites-vous de m’accompagner pour diner ce soir ? Cela me ferait plaisir, c’est une invitation bien sûr !
- D’accord …Oui où ça et vers quelle heure ?
- Je connais un petit restaurant chic en ville, je viendrais vous récupérer chez vous vers dix-neuf heures.
- Cela me va très bien, ça me laissera le temps de me changer alors !
- Parfait à ce soir Maria… S’exclama-t-elle en quittant le hall d’entrée.
La journée au travail fut surchargée. L’entrepreneuse fut reconduite en fin d’après-midi chez elle. Après quelques consignes à son conducteur pour le lendemain elle lui souhaita bonne soirée afin de confirmer qu’il pouvait disposer.
En sortant de la douche elle enfila quelque chose d’élégant en rapport avec ses escarpins noirs ouvert. Parfumée et maquillée, la femme pulpeuse quitta le manoir avec le taxi qu’elle avait commandé. Un petit détour pour récupérer Maria puis direction la ville alors que la nuit commençait à faire son apparition.
Assises à l’arrière du véhicule les deux femmes échangèrent entre elles sur l’architecture des environs. La domestique pour l’occasion avait revêtu un ensemble tailleur et veste bleu marine ainsi qu’une paire de botte à talon carré noire. Un look élégant et raffiné ; Ce qui était contraire au style vestimentaire qu’elle portait quotidiennement au manoir pour travailler.
Après quelques verres de vin blanc l’atmosphère se détendit beaucoup plus. Elles apprirent à faire plus connaissances l’une envers l’autre. Maria était très fière de ses origines hispaniques, ce qui expliquait son teint halé et ses longs cheveux noirs. Elle étala sa vie, sa situation de célibat, zéro progéniture !
- Eh moi Maria ! Savez-vous ce que je fais réellement comme dans la vie ?
- Euh oui … plus ou moins Madame ! Vous êtes gérante d’une entreprise ?
- D’accord… répondit l’entrepreneuse ! Mais gérante de quoi ?
Maria se sentit très mal à l’aise tout à coup, elle faisait mine de chercher une réponse autour d’elle.
- Réalisatrice de film ? répondit la domestique.
- Oui Maria…Attention pas n’importe quel film !
- Du genre coquins…Souffla doucement Maria en rougissant.
- Oh eh ben ! c’est ce qui se dit de moi au manoir alors …Les cochons… fit l’entrepreneuse sur un ton de rigolade.
Elle renchaina avec un léger ton autoritaire et sérieux :
- Maria … Comme toutes les femmes célibataires ils vous arrivent de visualiser des films coquins qu’on se le dise entre nous.
La domestique fit signe que oui discrètement de la tête. Elle continua d’écouter sa patronne qui lui raconta son passage au Japon et sa passion pour les Hentai pour en finir avec son entreprise de production. Entre temps Maria s’était confiée que cela faisait longtemps qu’un homme ne l’avait pas honoré, l’entrepreneuse en fut même surprise et désolée …
- Oh Maria… Une ravissante femme comme vous… Les hommes sont parfois égoïstes !
La soirée continua avec beaucoup d’échanges et de sympathies entre les deux femmes. Le restaurant allait bientôt fermer ses portes et l’entrepreneuse proposa d’aller terminer la soirée ailleurs.
- Où allons-nous Madame ?
- Laissez-vous guider Maria et faites-moi confiance lui répondit sa patronne en tapotant un bref message sur son smartphone.
Après avoir réglé l’addition elles quittèrent le restaurant pour rejoindre un taxi qui les attendait sur le parking. L’entrepreneuse glissa discrètement l’adresse et paya d’avance la prestation au chauffeur pendant que Maria prenait place à l’intérieur. La voiture traversa la ville sans rencontrer de soucis et finit par arriver à destination.
- C’est ici Maria …Suivez-moi !
Les deux femmes descendirent du taxi en saluant brièvement le chauffeur. L’entrepreneuse avançait d’un pas rapide en informant la domestique qu’ils se rendaient chez une personne qu’elle connaissait depuis peu et qu’elle n’avait pas de soucis à se faire.
La porte de la demeure était entrouverte légèrement. Sans hésitation elles entrèrent puis traversèrent le couloir pour rejoindre le salon. L’entrepreneuse faisait claquer ses talons hauts pour indiquer sa présence au propriétaire des lieux.
- Venez Maria nous allons prendre place dans le canapé.
Un seau de glace dans lequel reposait une bouteille de vin moelleux débouché, avait été déposé sur la table basse. Deux verres à pied étaient retournés dessus. L’endroit éclairé par la lueur de la cheminée était cosy.
-Nous sommes installées, nous attendons le service ! Ordonna à vive voix l’entrepreneuse.
Maria resta muette et observa la porte qui venait de s’ouvrir.
Un homme pénétra dans la pièce et salua d’un geste élégant les deux femmes assises. Il portait un costume trois pièce sombre, son visage recouvert par un demi masque noir en satin. Maria eu un bref sourire en comprenant que la personne voulait garder son identité secrète. Il fit le service puis recula pour se mettre en retrait. L’entrepreneuse saisit son verre et porta un toast à Maria puis entama la discussion :
- Avez-vous passé une bonne soirée ?
- Oui madame c’était très bien !
- Mettez-vous à l’aise Maria … n’hésitez pas à retirer vos chaussures, vos pieds doivent être fatigués avec vos déplacements au manoir.
- Disons un peu Madame …
- Allez y alors ! faites comme chez vous répondit d’une voix autoritaire sa patronne.
La domestique s’exécuta en retirant ses bottines, l’homme lui glissa un repose pieds rembourré afin qu’elle puisse étendre ses jambes.
La voix autoritaire continua :
- Masses les pieds de notre invité !
L’homme s’avança lentement, se courba en saisissant délicatement un pied puis massa en commençant par les orteils à travers le collant chair que portait la domestique.
- Relaxez-vous Maria … Mon esclave est bien dressé, il a une attirance pour les jolis pieds féminins.
- Je te présente Maria … c’est ma domestique… c’est elle qui a nettoyé la semence que tu as laissé sur mes mules à lanières lors de notre dernière rencontre.
Le soumis écoutait en se concentrant.
- Elle a fait un travail remarquable et j’aimerais que tu la remercies à présent ! C’est une femme délaissée par les hommes.
Maria voulut prendre la parole mais l’entrepreneuse avait basculé dans son rôle de dominatrice. Elle lui fit signe de se taire.
L’esclave s’appliqua davantage et exécuta avec ferveur les gestes de massage en la fixant derrière son masque. Sa convive se mit à respirer plus fortement.
Relâchant tous ses muscles, la domestique se sentait reine de la soirée.
- Retires lui son collant … Ordonna la dominatrice.
Elle qui était calé à l’autre extrémité du canapé, scrutait la scène sans en perdre une miette.
Le soumis glissa délicatement ses deux mains sous la robe de Maria, saisit la ceinture élastique puis fit descendre le collant de soie couleur chair en le faisant rouler le long de ses jambes.
La dominatrice récupéra la pièce de lingerie roulée et observa le gousset d’entrejambe. Elle eut un bref sourire en s’apercevant qu’il était bien humide.
- Continues ! Tu donnes du plaisir à Maria…
Il reprit sa séance de massage en commençant doucement par la plante de ses pieds, ses talons puis la base de ses orteils. Ensuite approcha ses lèvres et commença à les embrasser en savourant leur parfum prononcé.
Maria colla ses deux pieds sur le visage de l’inconnu pour lui faire comprendre de continuer.
Il se mit à frotter légèrement les pieds contre son visage puis fourra quelques orteils dans sa bouche et enfin les lécha.
L’excitation dans la pièce montait. Depuis l’autre bout du canapé la dominatrice observait attentivement les réactions de la domestique. Elle aussi sentait son sexe s’humidifier et finit par écarter les cuisses et glisser discrètement une main dans son collant noir transparent afin d’y atteindre ses lèvres gonflées.
La domestique de son côté s’était complètement relâchée sur le canapé. Elle avait remonté sa robe et écarté elle aussi ses cuisses laissant dévoiler son intimité.
- Regardes la belle chatte lisse que Maria t’offre !
- Oui Madame… Répondit l’esclave.
De ses pieds, il remonta doucement jusqu’à la fente brillante et trempée en lui couvrant les jambes de longs baisers.
Arrivée devant l’orifice il resta un bref moment à l’observer sans réactions.
- Bouffes la, ne la fais pas attendre !
D’un geste vers l’avant il enfonça le bout de sa langue dans le trou humide et lapa du haut vers le bas, récoltant la mouille épaisse.
Maria grimaça en essayant de retenir le tremblement de ses cuisses. Mais rien à faire, elle relâcha son bassin vers l’avant pendant que le soumis faisait tournoyer sa langue en elle.
Voyant que sa domestique n’était pas à l’aise, la dominatrice préféra la rassurer en lui glissa doucement :
- Laissez-vous aller, vous n’avez aucunes gênes à avoir Maria !
Tandis que le soumis faisait courir sa langue dans tous les recoins de sa chatte, Maria déboutonnait son chemiser pour atteindre les agrafes de son soutien-gorge.
Deux belles mamelles pendantes. C’est ce que la domestique offrit en spectacle.
Deux jolis gros tétons dressés qu’elle fit rouler sous ses doigts et qu’elle exhiba devant sa patronne et son soumis.
-Humm ils sont magnifiques Maria …Complimenta la dominatrice. Sa voix tremblait d’excitation. Elle qui contemplait la scène, la main toujours sous son collant faisait des mouvements circulaires de masturbation entre ses grosses cuisses.
Maria continuait de pétrir ses mamelles et de tirer sur ses tétons en suivant du regard l’inconnu masqué qui allait la faire jouir. Elle se mit à soupirer lentement puis son corps se tendit comme si une décharge électrique l’avait transpercé.
-Oui Oh Ouiiii …Oh putain…
La domestique tremblait de tout son corps comme possédé. Le soumis continuait de la bouffer pendant l’orgasme afin d’y récolter le plus de sécrétion. Elle essaya de lui repousser la tête mais la dominatrice surgit derrière le canapé et lui saisit les poignets en s’adressant à son soumis :
- ENCORE… BOUFFES LA… plus profond …Fais la couler.
La domestique se tordait dans tous les sens en gémissant puis, relâcha soudainement son corps en tremblant une dernière fois. Le soumis se retira légèrement en arrière.
Maria ferma les yeux en souriant …
La dominante lui relâcha les poignets puis fit le tour du canapé pour admirer la scène de plus près.
L’assise en velours était souillée d’une belle tâche humide. En remontant le regard elle vit les cuisses de la domestique trempées.
-Laisses nous maintenant …Ordonna la dominante.
L’esclave se leva et se retira dans une pièce à l’arrière du salon.
-Comment vous sentez vous Maria à présent ?
Maria reprenait doucement ses esprits et fit signe que tout était ok.
-Ne trainez pas à remettre vos vêtements avant d’attraper froid.
- Oui Madame …
- Et rentrons vite, j’ai le collant trempé ! Avoua l’entrepreneuse en rigolant.
- Vous allez avoir du lavage à faire demain !
*
Comme tous les matins, l’entrepreneuse croisait Maria la domestique du manoir en quittant sa chambre pour se rendre au travail.
- Bonjour Maria ! Comment allez-vous ?
- Bonjour Madame ! Très bien ; Avez-vous quelque chose de particulier à laver aujourd’hui ?
- Non Maria, par ailleurs, Merci beaucoup pour ma paire de chaussure, elles sont parfaites !
- Oui j’ai réussi à faire disparaitre ces satanés tâches blanchâtres, ça venait d’où ?
- Aucune idée Maria !
Elle se sentait gênée de la question et pris un air surpris. Avant que la femme de ménage puisse reprendre son chemin, elle l’interpella :
- Euh Maria … Que dites-vous de m’accompagner pour diner ce soir ? Cela me ferait plaisir, c’est une invitation bien sûr !
- D’accord …Oui où ça et vers quelle heure ?
- Je connais un petit restaurant chic en ville, je viendrais vous récupérer chez vous vers dix-neuf heures.
- Cela me va très bien, ça me laissera le temps de me changer alors !
- Parfait à ce soir Maria… S’exclama-t-elle en quittant le hall d’entrée.
La journée au travail fut surchargée. L’entrepreneuse fut reconduite en fin d’après-midi chez elle. Après quelques consignes à son conducteur pour le lendemain elle lui souhaita bonne soirée afin de confirmer qu’il pouvait disposer.
En sortant de la douche elle enfila quelque chose d’élégant en rapport avec ses escarpins noirs ouvert. Parfumée et maquillée, la femme pulpeuse quitta le manoir avec le taxi qu’elle avait commandé. Un petit détour pour récupérer Maria puis direction la ville alors que la nuit commençait à faire son apparition.
Assises à l’arrière du véhicule les deux femmes échangèrent entre elles sur l’architecture des environs. La domestique pour l’occasion avait revêtu un ensemble tailleur et veste bleu marine ainsi qu’une paire de botte à talon carré noire. Un look élégant et raffiné ; Ce qui était contraire au style vestimentaire qu’elle portait quotidiennement au manoir pour travailler.
Après quelques verres de vin blanc l’atmosphère se détendit beaucoup plus. Elles apprirent à faire plus connaissances l’une envers l’autre. Maria était très fière de ses origines hispaniques, ce qui expliquait son teint halé et ses longs cheveux noirs. Elle étala sa vie, sa situation de célibat, zéro progéniture !
- Eh moi Maria ! Savez-vous ce que je fais réellement comme dans la vie ?
- Euh oui … plus ou moins Madame ! Vous êtes gérante d’une entreprise ?
- D’accord… répondit l’entrepreneuse ! Mais gérante de quoi ?
Maria se sentit très mal à l’aise tout à coup, elle faisait mine de chercher une réponse autour d’elle.
- Réalisatrice de film ? répondit la domestique.
- Oui Maria…Attention pas n’importe quel film !
- Du genre coquins…Souffla doucement Maria en rougissant.
- Oh eh ben ! c’est ce qui se dit de moi au manoir alors …Les cochons… fit l’entrepreneuse sur un ton de rigolade.
Elle renchaina avec un léger ton autoritaire et sérieux :
- Maria … Comme toutes les femmes célibataires ils vous arrivent de visualiser des films coquins qu’on se le dise entre nous.
La domestique fit signe que oui discrètement de la tête. Elle continua d’écouter sa patronne qui lui raconta son passage au Japon et sa passion pour les Hentai pour en finir avec son entreprise de production. Entre temps Maria s’était confiée que cela faisait longtemps qu’un homme ne l’avait pas honoré, l’entrepreneuse en fut même surprise et désolée …
- Oh Maria… Une ravissante femme comme vous… Les hommes sont parfois égoïstes !
La soirée continua avec beaucoup d’échanges et de sympathies entre les deux femmes. Le restaurant allait bientôt fermer ses portes et l’entrepreneuse proposa d’aller terminer la soirée ailleurs.
- Où allons-nous Madame ?
- Laissez-vous guider Maria et faites-moi confiance lui répondit sa patronne en tapotant un bref message sur son smartphone.
Après avoir réglé l’addition elles quittèrent le restaurant pour rejoindre un taxi qui les attendait sur le parking. L’entrepreneuse glissa discrètement l’adresse et paya d’avance la prestation au chauffeur pendant que Maria prenait place à l’intérieur. La voiture traversa la ville sans rencontrer de soucis et finit par arriver à destination.
- C’est ici Maria …Suivez-moi !
Les deux femmes descendirent du taxi en saluant brièvement le chauffeur. L’entrepreneuse avançait d’un pas rapide en informant la domestique qu’ils se rendaient chez une personne qu’elle connaissait depuis peu et qu’elle n’avait pas de soucis à se faire.
La porte de la demeure était entrouverte légèrement. Sans hésitation elles entrèrent puis traversèrent le couloir pour rejoindre le salon. L’entrepreneuse faisait claquer ses talons hauts pour indiquer sa présence au propriétaire des lieux.
- Venez Maria nous allons prendre place dans le canapé.
Un seau de glace dans lequel reposait une bouteille de vin moelleux débouché, avait été déposé sur la table basse. Deux verres à pied étaient retournés dessus. L’endroit éclairé par la lueur de la cheminée était cosy.
-Nous sommes installées, nous attendons le service ! Ordonna à vive voix l’entrepreneuse.
Maria resta muette et observa la porte qui venait de s’ouvrir.
Un homme pénétra dans la pièce et salua d’un geste élégant les deux femmes assises. Il portait un costume trois pièce sombre, son visage recouvert par un demi masque noir en satin. Maria eu un bref sourire en comprenant que la personne voulait garder son identité secrète. Il fit le service puis recula pour se mettre en retrait. L’entrepreneuse saisit son verre et porta un toast à Maria puis entama la discussion :
- Avez-vous passé une bonne soirée ?
- Oui madame c’était très bien !
- Mettez-vous à l’aise Maria … n’hésitez pas à retirer vos chaussures, vos pieds doivent être fatigués avec vos déplacements au manoir.
- Disons un peu Madame …
- Allez y alors ! faites comme chez vous répondit d’une voix autoritaire sa patronne.
La domestique s’exécuta en retirant ses bottines, l’homme lui glissa un repose pieds rembourré afin qu’elle puisse étendre ses jambes.
La voix autoritaire continua :
- Masses les pieds de notre invité !
L’homme s’avança lentement, se courba en saisissant délicatement un pied puis massa en commençant par les orteils à travers le collant chair que portait la domestique.
- Relaxez-vous Maria … Mon esclave est bien dressé, il a une attirance pour les jolis pieds féminins.
- Je te présente Maria … c’est ma domestique… c’est elle qui a nettoyé la semence que tu as laissé sur mes mules à lanières lors de notre dernière rencontre.
Le soumis écoutait en se concentrant.
- Elle a fait un travail remarquable et j’aimerais que tu la remercies à présent ! C’est une femme délaissée par les hommes.
Maria voulut prendre la parole mais l’entrepreneuse avait basculé dans son rôle de dominatrice. Elle lui fit signe de se taire.
L’esclave s’appliqua davantage et exécuta avec ferveur les gestes de massage en la fixant derrière son masque. Sa convive se mit à respirer plus fortement.
Relâchant tous ses muscles, la domestique se sentait reine de la soirée.
- Retires lui son collant … Ordonna la dominatrice.
Elle qui était calé à l’autre extrémité du canapé, scrutait la scène sans en perdre une miette.
Le soumis glissa délicatement ses deux mains sous la robe de Maria, saisit la ceinture élastique puis fit descendre le collant de soie couleur chair en le faisant rouler le long de ses jambes.
La dominatrice récupéra la pièce de lingerie roulée et observa le gousset d’entrejambe. Elle eut un bref sourire en s’apercevant qu’il était bien humide.
- Continues ! Tu donnes du plaisir à Maria…
Il reprit sa séance de massage en commençant doucement par la plante de ses pieds, ses talons puis la base de ses orteils. Ensuite approcha ses lèvres et commença à les embrasser en savourant leur parfum prononcé.
Maria colla ses deux pieds sur le visage de l’inconnu pour lui faire comprendre de continuer.
Il se mit à frotter légèrement les pieds contre son visage puis fourra quelques orteils dans sa bouche et enfin les lécha.
L’excitation dans la pièce montait. Depuis l’autre bout du canapé la dominatrice observait attentivement les réactions de la domestique. Elle aussi sentait son sexe s’humidifier et finit par écarter les cuisses et glisser discrètement une main dans son collant noir transparent afin d’y atteindre ses lèvres gonflées.
La domestique de son côté s’était complètement relâchée sur le canapé. Elle avait remonté sa robe et écarté elle aussi ses cuisses laissant dévoiler son intimité.
- Regardes la belle chatte lisse que Maria t’offre !
- Oui Madame… Répondit l’esclave.
De ses pieds, il remonta doucement jusqu’à la fente brillante et trempée en lui couvrant les jambes de longs baisers.
Arrivée devant l’orifice il resta un bref moment à l’observer sans réactions.
- Bouffes la, ne la fais pas attendre !
D’un geste vers l’avant il enfonça le bout de sa langue dans le trou humide et lapa du haut vers le bas, récoltant la mouille épaisse.
Maria grimaça en essayant de retenir le tremblement de ses cuisses. Mais rien à faire, elle relâcha son bassin vers l’avant pendant que le soumis faisait tournoyer sa langue en elle.
Voyant que sa domestique n’était pas à l’aise, la dominatrice préféra la rassurer en lui glissa doucement :
- Laissez-vous aller, vous n’avez aucunes gênes à avoir Maria !
Tandis que le soumis faisait courir sa langue dans tous les recoins de sa chatte, Maria déboutonnait son chemiser pour atteindre les agrafes de son soutien-gorge.
Deux belles mamelles pendantes. C’est ce que la domestique offrit en spectacle.
Deux jolis gros tétons dressés qu’elle fit rouler sous ses doigts et qu’elle exhiba devant sa patronne et son soumis.
-Humm ils sont magnifiques Maria …Complimenta la dominatrice. Sa voix tremblait d’excitation. Elle qui contemplait la scène, la main toujours sous son collant faisait des mouvements circulaires de masturbation entre ses grosses cuisses.
Maria continuait de pétrir ses mamelles et de tirer sur ses tétons en suivant du regard l’inconnu masqué qui allait la faire jouir. Elle se mit à soupirer lentement puis son corps se tendit comme si une décharge électrique l’avait transpercé.
-Oui Oh Ouiiii …Oh putain…
La domestique tremblait de tout son corps comme possédé. Le soumis continuait de la bouffer pendant l’orgasme afin d’y récolter le plus de sécrétion. Elle essaya de lui repousser la tête mais la dominatrice surgit derrière le canapé et lui saisit les poignets en s’adressant à son soumis :
- ENCORE… BOUFFES LA… plus profond …Fais la couler.
La domestique se tordait dans tous les sens en gémissant puis, relâcha soudainement son corps en tremblant une dernière fois. Le soumis se retira légèrement en arrière.
Maria ferma les yeux en souriant …
La dominante lui relâcha les poignets puis fit le tour du canapé pour admirer la scène de plus près.
L’assise en velours était souillée d’une belle tâche humide. En remontant le regard elle vit les cuisses de la domestique trempées.
-Laisses nous maintenant …Ordonna la dominante.
L’esclave se leva et se retira dans une pièce à l’arrière du salon.
-Comment vous sentez vous Maria à présent ?
Maria reprenait doucement ses esprits et fit signe que tout était ok.
-Ne trainez pas à remettre vos vêtements avant d’attraper froid.
- Oui Madame …
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime bien cette série le pon de vue de la domina est intéressant.
Merci
Thallium
Merci
Thallium

