La dominante pulpeuse

Récit érotique écrit par Bobyletank [→ Accès à sa fiche auteur]
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La dominante pulpeuse
Chapitre 1
Quelque part dans un endroit perdu, dans la nature des quartiers bourgeois d’une grande agglomération …
Un téléphone sonne et vibre annonçant un réveil programmé. Le corps nu et moite roulant d’un coté à l’autre sur le gigantesque matelas avec pour objectif mettre fin à tout ce vacarme matinal. En ce matin de printemps il fait déjà chaud, les prévisions météorologiques n’avaient pas menti cette fois. L’été serait bien en avance cette année !
La chaleur a déjà pénétré dans cette luxueuse pièce de cet ancien manoir récemment rénové par la propriétaire des lieux.
L’endroit servant de chambre spacieuse et agencée méticuleusement où au fond un dressing abritant une garde-robe et une salle de bain personnelle permet d’être autonome dans cette immense bâtisse de style gothique.
La personne, une femme, toujours allongé s’étire calmement puis doucement se frotte l’intérieur des cuisses. Une main vient en contact de son entre jambe.
Une caresse matinale lui ferait le grand bien pour débuter cette journée ; Alors pourquoi y renoncer !
Elle enchaine une série de petit cercle autour de son clitoris qu’elle humidifie du bout de son doigt. Se tirant sur un téton avec l’autre main elle respire de plus en plus fort. Ses grosses lèvres brunes deviennent tellement mouillées que son doigt émet des petits bruits quand elle tape dessus son clitoris qui est sorti à son tour de son enveloppe.
Manque de temps, c’est le moment d’accélérer la cadence pour se finir en beauté, ce qu’elle fait en remuant lentement son bassin pour déclencher le fameux orgasme qu’elle désire tant… ça y est, son corps tremble, elle pousse un long gémissement, puis deux, trois, tremblement à nouveau, puis plus rien. Son corps se relâche, un sourire se forme sur son visage, ses deux mains ont rejoint sa poitrine dressée. La raie de son cul n’a pas été épargnée. Le liquide de son sexe coule, elle tire sur ses tétons pour se féliciter de cette masturbation réussite.
Une de plus ….
Il est temps de sortir de ce lit à présent souillé. Elle se redresse, fait glisser la couverture pour recouvrir la petite tâche ; Il ne faudrait pas que la femme de ménage l’aperçoive en effectuant sa corvée de chambre.
« Et alors … C’est naturel de se faire du bien ! » Dit-elle à voix basse sensuellement.
De passage à la salle de bain pour effectuer sa toilette, elle allume le dressing pour choisir sa tenue ; opte sans hésitation pour un chemiser et une jupe ; La fraicheur du printemps étant encore présente.
Déroulant soigneusement une paire de bas noir en soie fine sur ses jambes, les agrafe sur un porte-jarretelle, puis ajuste le tout avant d’enfiler sa jupe qui camouflera l’ensemble de la lingerie ; Le nylon sombre transparent offre un galbe sur ses fortes cuisses et c’est nettement plus pratique pour aller aux toilettes dans la journée.
Boutonnant son chemisier en faisant attention de ne pas attacher les deux premiers boutons dans le but de dévoiler la naissance de sa poitrine généreuse. Elle se maquille, une giclée de parfum dans le cou et glisse ses pieds aux ongles vernis dans ses escarpins noirs plateformes la relevant instantanément du sol. Perchée sur ses talons longs et fins, elle peut maintenant allumer les hommes qui se retourneront lors de son passage au bureau.
Allumer et dominer ….
Allumer en l’attirant dans son jeu de séduction.
Dominer pour en faire son objet.
Partir et oublier ….
Chapitre 2
En refermant la porte de sa chambre elle croise le domestique dans le couloir qu’il l’honore d’un bref « Bonjour Madame ».
Surprise et gênée à la fois, elle lui renvoie la politesse en se dirigeant vers l’escalier.
Deux pensées lui traversent l’esprit ; « Depuis combien de temps est-il à l’étage ? A-t-il entendu mes gémissements ? »
Elle l’imagine le sexe à la main, se masturbant nerveusement aux toilettes en se remémorant les bruits de gémissements, voir pire ; Dans sa propre chambre au milieu de l’intimité personnelle de sa vie reniflant ses dessous portés et souillés.
La présence de son chauffeur personnel dans le hall de la résidence lui fait interrompre ces pensées osées. Elle le salue en accélérant le pas et augmentant le son de ses talons sur le sol. La berline l’attend dehors moteur tournant au ralenti.
Assise jambes croisées sur la banquette arrière de la luxueuse voiture, qui est en mouvement à présent, elle scrute son smartphone pour organiser son emploi du temps chargé :
- Débriefing du chiffre d’affaires mensuel en première partie.
- Réunion en fin de matinée.
- Visioconférence avec ses collaborateurs Japonais en milieu d’après-midi à cause du décalage horaire.
Poussant un profond soupir.
Elle relâche lentement sa nuque sur l’appui tête et profites du trajet restant pour faire le point … de sa vie… de sa carrière …
… passage obligé dans cette haute école de commerce de la capitale ; Elle tombe amoureuse de cette routine, cette vie parisienne. Métro, boulot, dodo ; Cela n’aura été qu’éphémère pour elle. Sortant major de sa promotion elle poursuit sa réussite professionnelle en Asie, là où elle va découvrir une culture à part.
La culture Nippone, sa cuisine reconnue, sa technologie, l’univers manga, les longues séries d’animés traitant tous les sujets de cette petite société timide et pudique…
Puis viendra les œuvres Hentai … dont elle tombera sous le charme …
…Animés à caractère pornographique arborant différentes formes de perversion liées à la sexualité des Japonais.
Bien souvent censuré à son goût, elle avait eu du flair et avait saisi l’occasion d’importer cela en France, créer sa propre industrie sur le sexe, retirer toutes les censures et de l’étendre à de nombreuses catégories d'œuvres … fétichisme, sadomasochisme, viol, bondage, etc…
Pour résumé c’était pervers et bizarroïde.
La future entrepreneuse avait vu juste ; Les plates- formes de streaming de la toile ne pouvaient plus s’empêcher de diffuser ses créations. Gravissant rapidement les marches de la notoriété elle était devenue la personnalité la plus riche de son époque tout en restant dans l’anonymat.
En revanche du côté vie privée, c’était l’échec.
Pas de mari, pas de progéniture, juste une belle résidence ou elle investissait tout son or dans les murs. Le regard sensuel et pervers qu’elle portait envers les hommes se faisait parfois ressentir. Plus d’un mâle a souffert d’érection en bavardant avec. Elle affichait un corps bien en chair, des rondeurs pulpeuses et savait les mettre en valeur.
Seule dans sa chambre le soir, elle s’adonnait aux caresses pour combattre la solitude et décompresser de ses journées éprouvantes. En se masturbant, elle faisait ressurgir ses aventures, ses conquêtes. Le souvenir de sa défloration lui revenait souvent en tête …
Une soirée dansante, de l’alcool, un bel étalon bronzé qui lui fait du charme en lui parlant de sa misère. Cela finira plus tard dans la nuit, dans un coin sombre retiré de la plage ou elle sera prise énergétiquement à quatre pattes. Elle découvrira la levrette pour la première fois. Le plaisir montait dans son corps mais cessera quand en pleine montée d’orgasme elle entendra l’individu en rut pousser son râle et lâcher sa semence dessus ses larges fesses.
« Heureuse mais déçue du court moment de plaisir » avait -elle pensé en sentant le liquide chaud et visqueux coulé le long de sa raie à l’air ….
Par la suite, elle avait enchainé plusieurs plans d’un soir mais toujours le même résultat ; un vidage de couille et plus de suite. Les hommes désiraient son cul avant tout ! En retour, son partenaire devait la faire monter au ciel avec sa langue. Assise ou allongée, la culotte ou le string tenant autour d’une cheville, L’homme devait lui rendre la pareille. « Donnant donnant ».
Chapitre 3
La portière de la voiture s’ouvra laissant un courant d’air froid entrer dans l’habitacle.
« Nous sommes arrivés Madame ! » S’exprima son chauffeur en lui désignant le chemin.
Se reconnectant à la réalité, elle fit un signe de la tête pour le remercier, sortit, puis tira sur sa jupe pour la réajuster. Une fois dehors la fraicheur s’installa sur les parties intérieures de ses cuisses que la soie ne couvrait pas. Du haut de ses escarpins, elle se dirigea d’un pas rapide vers le hall de la réception de l’immense tour afin de s’y abriter.
Une fois à l’intérieur, l’entrepreneuse fit un grand signe de la main à son personnel. Manière pour elle de saluer tout le monde sans perdre de temps. Traversa un long couloir, franchit une porte et arriva enfin dans son bureau. L’endroit était tempéré convenablement. Pourtant ses tétons lui firent rappeler la fraicheur. Ils étaient dressés, déformant le chemisier moulant. Un moment gênant pour une femme, surtout quand on possède une lourde poitrine. Cela ne passe jamais inaperçu.
Mais pour elle, cela reste une manière d’exhibition légale.
Exhiber ses cabochons tout durs sous divers hauts ne la dérange surtout pas. Elle se réjouit toujours du regard que les hommes ont en scrutant ses seins dressés.
La journée de travail peut débuter enfin. Une tasse de café, assise derrière son bureau, elle prend connaissance de sa boite mail. Faisant défiler le contenu, l’objet d’un mail attire son attention.
Être aux ordres d’une femme :
Homme cherche femme de caractère et autoritaire pour être à ses soins.
Une photo en pièce jointe montre un homme aux pieds d’une femme voluptueuse en lingerie. La lecture lui provoque une bouffée de chaleur, c’est le genre d’expérience qu’elle aimerait essayer à terme. Hésitant quelques secondes, l’entrepreneuse décide de reprendre à bien son travail. Après avoir répondu à la totalité de ses courriels, effectué ses réunions, la journée touche à sa fin rapidement.
Avant de quitter le bureau, elle ouvre sa boite mail, ouvre le courrier mis de côté puis d’un geste sec clique sur répondre.
De retour au manoir une envie de décompresser de sa journée la pousse à se faire couler un bain. Elle retire soigneusement ses vêtements, les jettent dans la corbeille dédiée au linge sale puis se glisse doucement dans l’eau bouillante en poussant un gémissement de satisfaction. Sa poitrine ne cesse de se dresser dans cette chaleur humide. Elle repense à ce mail, ça l’excite. La photo de ses pieds dans le nylon à suffit en guise de réponse, son visage dessine un sourire vicieux.
Effectuant un effort pour attraper son téléphone sur un rebord de la salle de bain, elle fait glisser ses doigts sur l’écran pour ouvrir les dernières notifications.
Il y a du nouveau dans son courrier.
Une courte réponse inscrite sous la photo de ses pieds ; Il s’agit d’un lien concernant une géolocalisation, rien d’autre.
Réflexe de curiosité elle appui dessus. Son smartphone affiche l’itinéraire et la photo d’une devanture style maison de maître. L’endroit ne lui dit rien. Après plusieurs minute de réflexion elle tapote sur l’écran pour rédiger un bref message :
Je suis là dans une demi-heure, prépares toi esclave !
Quelque part dans un endroit perdu, dans la nature des quartiers bourgeois d’une grande agglomération …
Un téléphone sonne et vibre annonçant un réveil programmé. Le corps nu et moite roulant d’un coté à l’autre sur le gigantesque matelas avec pour objectif mettre fin à tout ce vacarme matinal. En ce matin de printemps il fait déjà chaud, les prévisions météorologiques n’avaient pas menti cette fois. L’été serait bien en avance cette année !
La chaleur a déjà pénétré dans cette luxueuse pièce de cet ancien manoir récemment rénové par la propriétaire des lieux.
L’endroit servant de chambre spacieuse et agencée méticuleusement où au fond un dressing abritant une garde-robe et une salle de bain personnelle permet d’être autonome dans cette immense bâtisse de style gothique.
La personne, une femme, toujours allongé s’étire calmement puis doucement se frotte l’intérieur des cuisses. Une main vient en contact de son entre jambe.
Une caresse matinale lui ferait le grand bien pour débuter cette journée ; Alors pourquoi y renoncer !
Elle enchaine une série de petit cercle autour de son clitoris qu’elle humidifie du bout de son doigt. Se tirant sur un téton avec l’autre main elle respire de plus en plus fort. Ses grosses lèvres brunes deviennent tellement mouillées que son doigt émet des petits bruits quand elle tape dessus son clitoris qui est sorti à son tour de son enveloppe.
Manque de temps, c’est le moment d’accélérer la cadence pour se finir en beauté, ce qu’elle fait en remuant lentement son bassin pour déclencher le fameux orgasme qu’elle désire tant… ça y est, son corps tremble, elle pousse un long gémissement, puis deux, trois, tremblement à nouveau, puis plus rien. Son corps se relâche, un sourire se forme sur son visage, ses deux mains ont rejoint sa poitrine dressée. La raie de son cul n’a pas été épargnée. Le liquide de son sexe coule, elle tire sur ses tétons pour se féliciter de cette masturbation réussite.
Une de plus ….
Il est temps de sortir de ce lit à présent souillé. Elle se redresse, fait glisser la couverture pour recouvrir la petite tâche ; Il ne faudrait pas que la femme de ménage l’aperçoive en effectuant sa corvée de chambre.
« Et alors … C’est naturel de se faire du bien ! » Dit-elle à voix basse sensuellement.
De passage à la salle de bain pour effectuer sa toilette, elle allume le dressing pour choisir sa tenue ; opte sans hésitation pour un chemiser et une jupe ; La fraicheur du printemps étant encore présente.
Déroulant soigneusement une paire de bas noir en soie fine sur ses jambes, les agrafe sur un porte-jarretelle, puis ajuste le tout avant d’enfiler sa jupe qui camouflera l’ensemble de la lingerie ; Le nylon sombre transparent offre un galbe sur ses fortes cuisses et c’est nettement plus pratique pour aller aux toilettes dans la journée.
Boutonnant son chemisier en faisant attention de ne pas attacher les deux premiers boutons dans le but de dévoiler la naissance de sa poitrine généreuse. Elle se maquille, une giclée de parfum dans le cou et glisse ses pieds aux ongles vernis dans ses escarpins noirs plateformes la relevant instantanément du sol. Perchée sur ses talons longs et fins, elle peut maintenant allumer les hommes qui se retourneront lors de son passage au bureau.
Allumer et dominer ….
Allumer en l’attirant dans son jeu de séduction.
Dominer pour en faire son objet.
Partir et oublier ….
Chapitre 2
En refermant la porte de sa chambre elle croise le domestique dans le couloir qu’il l’honore d’un bref « Bonjour Madame ».
Surprise et gênée à la fois, elle lui renvoie la politesse en se dirigeant vers l’escalier.
Deux pensées lui traversent l’esprit ; « Depuis combien de temps est-il à l’étage ? A-t-il entendu mes gémissements ? »
Elle l’imagine le sexe à la main, se masturbant nerveusement aux toilettes en se remémorant les bruits de gémissements, voir pire ; Dans sa propre chambre au milieu de l’intimité personnelle de sa vie reniflant ses dessous portés et souillés.
La présence de son chauffeur personnel dans le hall de la résidence lui fait interrompre ces pensées osées. Elle le salue en accélérant le pas et augmentant le son de ses talons sur le sol. La berline l’attend dehors moteur tournant au ralenti.
Assise jambes croisées sur la banquette arrière de la luxueuse voiture, qui est en mouvement à présent, elle scrute son smartphone pour organiser son emploi du temps chargé :
- Débriefing du chiffre d’affaires mensuel en première partie.
- Réunion en fin de matinée.
- Visioconférence avec ses collaborateurs Japonais en milieu d’après-midi à cause du décalage horaire.
Poussant un profond soupir.
Elle relâche lentement sa nuque sur l’appui tête et profites du trajet restant pour faire le point … de sa vie… de sa carrière …
… passage obligé dans cette haute école de commerce de la capitale ; Elle tombe amoureuse de cette routine, cette vie parisienne. Métro, boulot, dodo ; Cela n’aura été qu’éphémère pour elle. Sortant major de sa promotion elle poursuit sa réussite professionnelle en Asie, là où elle va découvrir une culture à part.
La culture Nippone, sa cuisine reconnue, sa technologie, l’univers manga, les longues séries d’animés traitant tous les sujets de cette petite société timide et pudique…
Puis viendra les œuvres Hentai … dont elle tombera sous le charme …
…Animés à caractère pornographique arborant différentes formes de perversion liées à la sexualité des Japonais.
Bien souvent censuré à son goût, elle avait eu du flair et avait saisi l’occasion d’importer cela en France, créer sa propre industrie sur le sexe, retirer toutes les censures et de l’étendre à de nombreuses catégories d'œuvres … fétichisme, sadomasochisme, viol, bondage, etc…
Pour résumé c’était pervers et bizarroïde.
La future entrepreneuse avait vu juste ; Les plates- formes de streaming de la toile ne pouvaient plus s’empêcher de diffuser ses créations. Gravissant rapidement les marches de la notoriété elle était devenue la personnalité la plus riche de son époque tout en restant dans l’anonymat.
En revanche du côté vie privée, c’était l’échec.
Pas de mari, pas de progéniture, juste une belle résidence ou elle investissait tout son or dans les murs. Le regard sensuel et pervers qu’elle portait envers les hommes se faisait parfois ressentir. Plus d’un mâle a souffert d’érection en bavardant avec. Elle affichait un corps bien en chair, des rondeurs pulpeuses et savait les mettre en valeur.
Seule dans sa chambre le soir, elle s’adonnait aux caresses pour combattre la solitude et décompresser de ses journées éprouvantes. En se masturbant, elle faisait ressurgir ses aventures, ses conquêtes. Le souvenir de sa défloration lui revenait souvent en tête …
Une soirée dansante, de l’alcool, un bel étalon bronzé qui lui fait du charme en lui parlant de sa misère. Cela finira plus tard dans la nuit, dans un coin sombre retiré de la plage ou elle sera prise énergétiquement à quatre pattes. Elle découvrira la levrette pour la première fois. Le plaisir montait dans son corps mais cessera quand en pleine montée d’orgasme elle entendra l’individu en rut pousser son râle et lâcher sa semence dessus ses larges fesses.
« Heureuse mais déçue du court moment de plaisir » avait -elle pensé en sentant le liquide chaud et visqueux coulé le long de sa raie à l’air ….
Par la suite, elle avait enchainé plusieurs plans d’un soir mais toujours le même résultat ; un vidage de couille et plus de suite. Les hommes désiraient son cul avant tout ! En retour, son partenaire devait la faire monter au ciel avec sa langue. Assise ou allongée, la culotte ou le string tenant autour d’une cheville, L’homme devait lui rendre la pareille. « Donnant donnant ».
Chapitre 3
La portière de la voiture s’ouvra laissant un courant d’air froid entrer dans l’habitacle.
« Nous sommes arrivés Madame ! » S’exprima son chauffeur en lui désignant le chemin.
Se reconnectant à la réalité, elle fit un signe de la tête pour le remercier, sortit, puis tira sur sa jupe pour la réajuster. Une fois dehors la fraicheur s’installa sur les parties intérieures de ses cuisses que la soie ne couvrait pas. Du haut de ses escarpins, elle se dirigea d’un pas rapide vers le hall de la réception de l’immense tour afin de s’y abriter.
Une fois à l’intérieur, l’entrepreneuse fit un grand signe de la main à son personnel. Manière pour elle de saluer tout le monde sans perdre de temps. Traversa un long couloir, franchit une porte et arriva enfin dans son bureau. L’endroit était tempéré convenablement. Pourtant ses tétons lui firent rappeler la fraicheur. Ils étaient dressés, déformant le chemisier moulant. Un moment gênant pour une femme, surtout quand on possède une lourde poitrine. Cela ne passe jamais inaperçu.
Mais pour elle, cela reste une manière d’exhibition légale.
Exhiber ses cabochons tout durs sous divers hauts ne la dérange surtout pas. Elle se réjouit toujours du regard que les hommes ont en scrutant ses seins dressés.
La journée de travail peut débuter enfin. Une tasse de café, assise derrière son bureau, elle prend connaissance de sa boite mail. Faisant défiler le contenu, l’objet d’un mail attire son attention.
Être aux ordres d’une femme :
Homme cherche femme de caractère et autoritaire pour être à ses soins.
Une photo en pièce jointe montre un homme aux pieds d’une femme voluptueuse en lingerie. La lecture lui provoque une bouffée de chaleur, c’est le genre d’expérience qu’elle aimerait essayer à terme. Hésitant quelques secondes, l’entrepreneuse décide de reprendre à bien son travail. Après avoir répondu à la totalité de ses courriels, effectué ses réunions, la journée touche à sa fin rapidement.
Avant de quitter le bureau, elle ouvre sa boite mail, ouvre le courrier mis de côté puis d’un geste sec clique sur répondre.
De retour au manoir une envie de décompresser de sa journée la pousse à se faire couler un bain. Elle retire soigneusement ses vêtements, les jettent dans la corbeille dédiée au linge sale puis se glisse doucement dans l’eau bouillante en poussant un gémissement de satisfaction. Sa poitrine ne cesse de se dresser dans cette chaleur humide. Elle repense à ce mail, ça l’excite. La photo de ses pieds dans le nylon à suffit en guise de réponse, son visage dessine un sourire vicieux.
Effectuant un effort pour attraper son téléphone sur un rebord de la salle de bain, elle fait glisser ses doigts sur l’écran pour ouvrir les dernières notifications.
Il y a du nouveau dans son courrier.
Une courte réponse inscrite sous la photo de ses pieds ; Il s’agit d’un lien concernant une géolocalisation, rien d’autre.
Réflexe de curiosité elle appui dessus. Son smartphone affiche l’itinéraire et la photo d’une devanture style maison de maître. L’endroit ne lui dit rien. Après plusieurs minute de réflexion elle tapote sur l’écran pour rédiger un bref message :
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