LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (5x14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2400 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 007 164 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 006 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (5x14)
Je viens de me gagner 180 € en suçant six mecs dont deux étrangers que je soulage de 50 € au lieu des 20 que je prends depuis que je fais la pute pour survivre quand je vois débouler une grosse rousse avec une batte de base-ball qui veut me massacrer car je travaille sur son territoire.
Une pouffiasse avec une immense chevelure rousse et des seins énormes sortant à moitié de son soutien-gorge, c’est tout ce que j’ai le temps de voir quand précipitamment je m’assoie au volant et que je démarre le plus vite que je peux.
Je sens qu’elle lâche un grand coup de batte sur le dessus de ma voiture quand je passe à son côté manquant de la renverser.
Je vais jusqu’à Mâcon retour au restoroute de Beaune, le drôle de bruit dans mon moteur s’intensifie mais j’arrive à regagner Beaune.
Il est loin d’être l’heure de la prise de travail de Fantine mais je retourne à l’hôtel où je retrouve ma carte d’entrée dans ma chambre que j’ai payée jusqu’à 10 heures.
• Réveillez-moi à 9 heures s’il vous plaît.
• Ce sera fait madame bonne nuit.
Je passe la fin de ma nuit dans la chambre blottie de peur de voir arriver la grosse avec son bout de bois.
Je sors et je vois ma voiture avec le toit enfoncé avant de rejoindre Fantine.
• Je suis bête excuse moi d’avoir oublié de te prévenir, à Saint-Ambreuil direction Lyon c’est le territoire de la grosse Berthe que les routiers appellent la grosse Bertha comme le canon pendant la guerre.
Elle a plus de 70 ans et 20 ans d’autoroute, les conducteurs disent tous qu’ils passent leur chemin et qu’elle se fait une fois de temps en temps un Tchèque ou un Polak qui roule depuis plus d’un mois.
70 ans 20 ans d’autoroute, si je fais le rapprochement si cette galère continue trop longtemps je serais la prochaine grosse Bertha de cette portion d’autoroute.
• Ta copine elle en tenait une belle.
• Oui, nous avons passé la journée ensemble.
• Es-tu une gouine ?
• J’ai connu une jeune fille dans ma jeunesse et les bons moments que j’ai passés avec Juliette me les ont rappelés mais j’ai surtout constaté que j’étais bisexuelle et que j’aime autant les hommes que les femmes.
• Quand je serais en manque de sexe je t’inviterais un week-end à la maison quand ma mère gardera mes enfants.
• Vends-tu des cartes de téléphone portable ?
• Oui 20 minutes.
• J’en prends une.
Je bois un café, mange un croissant discrètement offert par celle qui vient de me faire comprendre qu’elle aussi est certainement bi.
• Je te laisse, je dois aller m’occuper de ma voiture.
Je retourne auprès de la malade.
• Allo monsieur Ludo, c’est Fantine qui m’a dit de vous appeler, j’ai une bielle qui déconne sur ma voiture.
• Oui.
• Dans une heure au restoroute de Beaune direction Paris.
• Je vous attends, à Fantine vous à parler de moi.
En bien j’espère.
Nous rigolons et il raccroche sans faire d’allusion à une quelconque compensation.
• C’est bien une bielle, vous aviez raison, vous vous y connaissez en moteur.
• Non mais une amie, oui.
Il charge la voiture et je monte à son côté pus nous quittons l’autoroute à Beaune.
Nous retournons vers Chalon et il entre son camion pour décharger ma voiture.
Prenez votre nécessaire de toilette je vais vous installer dans le petit cabanon que j’ai transformé en chambre d'hôtes Duchesse.
Duchesse, les nouvelles vont vite sur l’autoroute car à aucun moment je lui ai dit comment je m’appelais j’ai simplement parlé de Fantine et de ma 208 break.
• Je file, il va falloir que je sorte le moteur avec ma chèvre ce soir, vous pouvez regarder la télé qui est dans vote chambre.
• Tu m’as appelé Duchesse, mon surnom sur l’autoroute, tu sais donc qui je suis, je te remercie de regarder ma voiture et de la réparer, on peut donc nous tutoyer.
• Ok, c’est plus simple Fantine m’a dit ce qui t’est arrivée je suis là pour t’aider.
Il remonte au volant après m’avoir montré le petit cabanon puis retourne sur l’autoroute.
J’ai l’habitude d’écouter la radio pendant des heures aussi je décide de prendre un bain avant de m’allonger sur le lit bien mœlleux mis à ma disposition, il fait chaud et pendant ce temps de vacances aussi pensant avoir le temps je m’allonge nue m’étant à peine essuyée.
• Je suis là, je peux entrer.
Le temps que j’ouvre les yeux il est assis sur le bord du lit.
• Je suis revenue il y a une heure et je travaille sur le moteur, j’ai placé la chèvre et démonté les alimentations pour le gazole.
J’essaye de cacher mon corps nu mais rien n’est à ma portée.
• Laisse, j’adore les jolies femmes et tu l’es particulièrement, j’adore tes seins.
Il avance sa main et me flatte le sein gauche, le droit est rapidement jaloux se trouve recouvert.
Depuis que j’ai jeté ma gourme après avoir compris que mon mari en sautait une autre sans pour autant jouer avec mon corps, je n’ai plus de pudeur et j’écarte les cuisses.
• Caresse-moi j’ai envie.
Je me croyais incapable de dire de tels mots.
• Je suis fauchée pour te payer alors mon corps va nous servir de monnaie d’échange et en plus j’espère en tirer du plaisir, d’après ce que j’ai entendu tu serais un bon coup.
Flatter les mâles même les plus mauvais et quand ils s’occupent de vous ils se sentent les rois du monde.
• Sorts ma queue travaille un peu.
En d’autres circonstances me demander de faire un travail en sortant sa queue m’aurait cabrée et il se serait ramassé une remarque, non seulement je veux le payer en espèce mais aussi tirer un coup ai pour me plaire.
Si Pierre m’entendait penser presque tout haut au moment où je défais son ceinturon et que je récupère une queue bien plus grosse que celle que j’ai vue à ce jour avec mon mari, mon premier amant et tous les clients qui ont forcé mes mâchoires.
5 à 6 centimètres de diamètre et 35 à 40 de long, je vais me faire déchirer mais à ce moment de ma vie plus rien ne me rebute et quand je la mets dans ma bouche je la fais entrer jusqu’au plus loin possible dans ma gorge à la limite de m’étouffer.
Ses couilles remplissent mes mains et je les caresse tendrement.
• Putain t’es bonne, on voit que tu as de l’expérience, comprends-tu pourquoi je préfère aider des filles comme toi et avoir une partenaire qui sait devancer les désirs des hommes.
Viens t’empaler.
Je me redresse et sans qu’il bouge j’enjambe ce monstre qui monte vers le ciel, d’un coup sec je m’empale littéralement.
On a des pensées bizarres par moments, elle est belle mais quant à la télé dans une émission sur la sexologie ils avaient parlés de queue gigantesque ils avaient montré des queues noires ce qui m’avait fait fantasmer.
Celle que je fais entrer en moi est d’un même calibre mais est blanche réalisant à moitié le fantasme que j’avais depuis ce film interdit pour moins de 16 ans.
Je pensais que le fantasme de bite de cette grosseur serait à jamais enfoui dans mon esprit persuadé de rester fidèle à mon mari mais les circonstances de la vie viennent de précipiter celle de Ludo en moi.
• Oui, bouge sur moi, attend je te prends sous les fesses, salope t’es étroite, ton fourreau m’enserre de manière aussi divine que quand j’encule mes partenaires, tu aimes te faire enculer ?
• Contente-toi de ma chatte, chaque chose en son temps, je pense que tu vas mettre quelques heures avant de finir de réparer ma voiture, si elle marche ce sera peut-être ta prime.
Il me balance alors que j’allais jouir.
• J’y retourne j’ai hâte que tu m’offres mon cadeau.
• Hé, es-tu un peu foldingue, j’allais prendre mon plaisir.
• C’était pour rigoler, place-toi en levrette j’adore prendre mes maîtresses dans cette position.
Ouf, je me positionne, il vient derrière moi et sa magnifique queue revient prendre sa place, j’ai le sentiment qu’il entre plus loin atteignant mon utérus et dès qu’il bouge une nouvelle boule monte en moi.
• Oui, oui, oui, c’est bien continu.
Je finis par avoir la boule au ventre qui éclate, comme avec mon puceau j’ai un bel orgasme et je sens le sperme de Ludo inonder le fond de mon vagin…
Une pouffiasse avec une immense chevelure rousse et des seins énormes sortant à moitié de son soutien-gorge, c’est tout ce que j’ai le temps de voir quand précipitamment je m’assoie au volant et que je démarre le plus vite que je peux.
Je sens qu’elle lâche un grand coup de batte sur le dessus de ma voiture quand je passe à son côté manquant de la renverser.
Je vais jusqu’à Mâcon retour au restoroute de Beaune, le drôle de bruit dans mon moteur s’intensifie mais j’arrive à regagner Beaune.
Il est loin d’être l’heure de la prise de travail de Fantine mais je retourne à l’hôtel où je retrouve ma carte d’entrée dans ma chambre que j’ai payée jusqu’à 10 heures.
• Réveillez-moi à 9 heures s’il vous plaît.
• Ce sera fait madame bonne nuit.
Je passe la fin de ma nuit dans la chambre blottie de peur de voir arriver la grosse avec son bout de bois.
Je sors et je vois ma voiture avec le toit enfoncé avant de rejoindre Fantine.
• Je suis bête excuse moi d’avoir oublié de te prévenir, à Saint-Ambreuil direction Lyon c’est le territoire de la grosse Berthe que les routiers appellent la grosse Bertha comme le canon pendant la guerre.
Elle a plus de 70 ans et 20 ans d’autoroute, les conducteurs disent tous qu’ils passent leur chemin et qu’elle se fait une fois de temps en temps un Tchèque ou un Polak qui roule depuis plus d’un mois.
70 ans 20 ans d’autoroute, si je fais le rapprochement si cette galère continue trop longtemps je serais la prochaine grosse Bertha de cette portion d’autoroute.
• Ta copine elle en tenait une belle.
• Oui, nous avons passé la journée ensemble.
• Es-tu une gouine ?
• J’ai connu une jeune fille dans ma jeunesse et les bons moments que j’ai passés avec Juliette me les ont rappelés mais j’ai surtout constaté que j’étais bisexuelle et que j’aime autant les hommes que les femmes.
• Quand je serais en manque de sexe je t’inviterais un week-end à la maison quand ma mère gardera mes enfants.
• Vends-tu des cartes de téléphone portable ?
• Oui 20 minutes.
• J’en prends une.
Je bois un café, mange un croissant discrètement offert par celle qui vient de me faire comprendre qu’elle aussi est certainement bi.
• Je te laisse, je dois aller m’occuper de ma voiture.
Je retourne auprès de la malade.
• Allo monsieur Ludo, c’est Fantine qui m’a dit de vous appeler, j’ai une bielle qui déconne sur ma voiture.
• Oui.
• Dans une heure au restoroute de Beaune direction Paris.
• Je vous attends, à Fantine vous à parler de moi.
En bien j’espère.
Nous rigolons et il raccroche sans faire d’allusion à une quelconque compensation.
• C’est bien une bielle, vous aviez raison, vous vous y connaissez en moteur.
• Non mais une amie, oui.
Il charge la voiture et je monte à son côté pus nous quittons l’autoroute à Beaune.
Nous retournons vers Chalon et il entre son camion pour décharger ma voiture.
Prenez votre nécessaire de toilette je vais vous installer dans le petit cabanon que j’ai transformé en chambre d'hôtes Duchesse.
Duchesse, les nouvelles vont vite sur l’autoroute car à aucun moment je lui ai dit comment je m’appelais j’ai simplement parlé de Fantine et de ma 208 break.
• Je file, il va falloir que je sorte le moteur avec ma chèvre ce soir, vous pouvez regarder la télé qui est dans vote chambre.
• Tu m’as appelé Duchesse, mon surnom sur l’autoroute, tu sais donc qui je suis, je te remercie de regarder ma voiture et de la réparer, on peut donc nous tutoyer.
• Ok, c’est plus simple Fantine m’a dit ce qui t’est arrivée je suis là pour t’aider.
Il remonte au volant après m’avoir montré le petit cabanon puis retourne sur l’autoroute.
J’ai l’habitude d’écouter la radio pendant des heures aussi je décide de prendre un bain avant de m’allonger sur le lit bien mœlleux mis à ma disposition, il fait chaud et pendant ce temps de vacances aussi pensant avoir le temps je m’allonge nue m’étant à peine essuyée.
• Je suis là, je peux entrer.
Le temps que j’ouvre les yeux il est assis sur le bord du lit.
• Je suis revenue il y a une heure et je travaille sur le moteur, j’ai placé la chèvre et démonté les alimentations pour le gazole.
J’essaye de cacher mon corps nu mais rien n’est à ma portée.
• Laisse, j’adore les jolies femmes et tu l’es particulièrement, j’adore tes seins.
Il avance sa main et me flatte le sein gauche, le droit est rapidement jaloux se trouve recouvert.
Depuis que j’ai jeté ma gourme après avoir compris que mon mari en sautait une autre sans pour autant jouer avec mon corps, je n’ai plus de pudeur et j’écarte les cuisses.
• Caresse-moi j’ai envie.
Je me croyais incapable de dire de tels mots.
• Je suis fauchée pour te payer alors mon corps va nous servir de monnaie d’échange et en plus j’espère en tirer du plaisir, d’après ce que j’ai entendu tu serais un bon coup.
Flatter les mâles même les plus mauvais et quand ils s’occupent de vous ils se sentent les rois du monde.
• Sorts ma queue travaille un peu.
En d’autres circonstances me demander de faire un travail en sortant sa queue m’aurait cabrée et il se serait ramassé une remarque, non seulement je veux le payer en espèce mais aussi tirer un coup ai pour me plaire.
Si Pierre m’entendait penser presque tout haut au moment où je défais son ceinturon et que je récupère une queue bien plus grosse que celle que j’ai vue à ce jour avec mon mari, mon premier amant et tous les clients qui ont forcé mes mâchoires.
5 à 6 centimètres de diamètre et 35 à 40 de long, je vais me faire déchirer mais à ce moment de ma vie plus rien ne me rebute et quand je la mets dans ma bouche je la fais entrer jusqu’au plus loin possible dans ma gorge à la limite de m’étouffer.
Ses couilles remplissent mes mains et je les caresse tendrement.
• Putain t’es bonne, on voit que tu as de l’expérience, comprends-tu pourquoi je préfère aider des filles comme toi et avoir une partenaire qui sait devancer les désirs des hommes.
Viens t’empaler.
Je me redresse et sans qu’il bouge j’enjambe ce monstre qui monte vers le ciel, d’un coup sec je m’empale littéralement.
On a des pensées bizarres par moments, elle est belle mais quant à la télé dans une émission sur la sexologie ils avaient parlés de queue gigantesque ils avaient montré des queues noires ce qui m’avait fait fantasmer.
Celle que je fais entrer en moi est d’un même calibre mais est blanche réalisant à moitié le fantasme que j’avais depuis ce film interdit pour moins de 16 ans.
Je pensais que le fantasme de bite de cette grosseur serait à jamais enfoui dans mon esprit persuadé de rester fidèle à mon mari mais les circonstances de la vie viennent de précipiter celle de Ludo en moi.
• Oui, bouge sur moi, attend je te prends sous les fesses, salope t’es étroite, ton fourreau m’enserre de manière aussi divine que quand j’encule mes partenaires, tu aimes te faire enculer ?
• Contente-toi de ma chatte, chaque chose en son temps, je pense que tu vas mettre quelques heures avant de finir de réparer ma voiture, si elle marche ce sera peut-être ta prime.
Il me balance alors que j’allais jouir.
• J’y retourne j’ai hâte que tu m’offres mon cadeau.
• Hé, es-tu un peu foldingue, j’allais prendre mon plaisir.
• C’était pour rigoler, place-toi en levrette j’adore prendre mes maîtresses dans cette position.
Ouf, je me positionne, il vient derrière moi et sa magnifique queue revient prendre sa place, j’ai le sentiment qu’il entre plus loin atteignant mon utérus et dès qu’il bouge une nouvelle boule monte en moi.
• Oui, oui, oui, c’est bien continu.
Je finis par avoir la boule au ventre qui éclate, comme avec mon puceau j’ai un bel orgasme et je sens le sperme de Ludo inonder le fond de mon vagin…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...