La Fable du Renard Argenté et de l’Agneau pas si innocent.
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 34 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de lelivredejeremie ont reçu un total de 94 071 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 705 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Fable du Renard Argenté et de l’Agneau pas si innocent.
- C’est qui, ce mec ? a grogné Julie, la barmaid et sœur du proprio du Gaypard, plutôt vide ce soir. ‘’Il hésite, il hésite… Mais il attend quoi ?’’
Je me suis tourné sur mon tabouret de bar. ‘’Oh ! C’est mon date sur l’appli… Nom de code ‘Silver Fox’, renard argenté, ça s’invente pas.’’
- Il grisonne, en effet, c’est ton kiff ? Tu t’es déjà fait mon frère, alors ?
- Jusqu’à ce que j’aie pris trente kilos de muscle et que mes poils se soient décidés à pousser partout, je ne serai jamais le genre de Léo, tu sais… Et mon kiff, comme tu dis… Quand je suis actif, ce sont des garçons de mon âge, plus souples et réactifs, mais en mode passif, je préfère les hommes matures, et mariés, c’est stratégique, ils sont clean, puis ils ne quitteront jamais leur femme mais espèrent quand même te garder sous le coude et s’assurer un coup régulier, alors ils s’appliquent côté endurance.
- Malgré ton air innocent, tu es machiavélique, Jérémie. Ah ! Il bouge, l’homme supposé marié…
- Ouaip, il va retirer son alliance dans trois, deux… Et voilà ! Tellement prévisible. Dis, Léo me laisse accès à son bureau, pour le canap’, c’est bon ?
- OK pour moi, alors, c’est pas fermé, a murmuré Julie, alors que Silver Fox, la cinquantaine hésitante, en costard, est entré dans le bar et m’a rejoint.
- Tu es aussi beau que sur tes photos.
- Ah, ben, merci pour le compliment, ça s’est fait, ai-je soufflé, ‘’Sinon, on peut… J’ai pas la nuit, j’ai un groupe de révision pour les partiels avec des potes demain matin. Tu dois pas pisser ? Moi bien, puis je pourrais voir à quoi m’attendre’’ ai-je minaudé.
- Puis on va chez toi ? Je t’ai dit, je ne peux pas recevoir.
Je l’ai tiré vers la porte du fond, pour éviter l’entrée des toilettes et le trainer dans le local marqué ‘privé’. ‘’Moi non plus, je suis à la cité U, ça va pas le faire, mais le canapé est confortable’’ ai-je soufflé en virant sommairement mes fringues, avant de m’y asseoir et de le tirer vers moi.
- Je me déshabille ?
- Nan, juste ça, ai-je dit en détachant sa ceinture et sa braguette, pour laisser tomber son pantalon sur ses chevilles et passer la main sur le relief prometteur sous son horrible slip kangourou. ‘’Je peux la voir ?’’
- Oui, bien sûr, a-t-il presque gémi en abaissant l’élastique du sous-vêtement pour libérer son sexe lourd.
- Miam !
- Tu trouves ? Ma fe… euh… d’autres trouvent parfois les veines apparentes disgracieuses…
- C’est le charme des queues matures, les veines durcissent avec l’âge, mais tu lui… ou leur diras que ça change pas grand’chose aux sensations, hein ! Là, c’est surtout l’épaisseur que je trouve appétissante… Du coup, tu te mets à genoux et tu me prépares un minimum, steuplé, ai-je intimé en m’enfonçant dans le canapé avant de relever les jambes, mes mains dans leur pliant.
- Ah ! Oui, bien sûr…
- Mon cul, pas ma queue, ai-je grondé, avant de tirer son visage entre mes fesses offertes.
Après une minute, j’ai interrompu la caresse maladroite, et même bâclée. ‘’Tu préfères comment, d’habitude ?’’
- D’hab… ?
Tu viens de te trahir, mec, je suis ton premier ou quoi ? ‘’Ben ouais, missionnaire ou levrette ?’’
- Ah ! Oui, euh… C’est juste que tu es si beau, si désirable, de face je crains que l’excitation… donc oui, je préfère de dos.
- OK, ai-je lâché nonchalamment et me retournant, les genoux sur l’assise. ‘’Préservatif, hein !’’
- Je… Oh flûte, j’en ai pas.
- C’est pas vrai… ai-je soupiré. ‘’Tant pis, j’en ai trop envie, là, ça fait trois jours, je suis en manque…’’
Bon, j’aurais dû me douter, les frottements augmentés, peau contre muqueuse… Après seulement une trentaine de mouvements, il a gémi ‘’Je v… je vais jouir… Aaah… Hmmmmm’’
- Continue, encooore, putain ! J’y suis presque, ai-je mendié en agitant mes doigts serrés sur mon sexe.
J’ai jeté une feuille de sopalin sur le cuir du canapé pour y éponger ma semence, et tourné la tête vers lui, debout, tenant sa bite ramollie en main. J’ai tenté. ‘’Ça s’écoule, là, tu lèches ou je dois m’essuyer ?’’
Confirmation ultime qu’il n’était pas du tout coutumier des rituels du sexe gay, notamment celui-ci, que je venais d’inventer, il l’a fait.
- On peut se revoir ?
- Nan, c’est signalé dans mon profil sur l’appli, je revois jamais les mecs, c’est comme ça.
- C’était bon, pour toi ?
- Ben, t’as vu, j’ai fini par jouir… à défaut d’orgasme anal, ai-je distraitement admis.
- Un org… ? Tu as souvent connu ?
- Une fois sur deux, je dirais, et non, tu ne me demande pas combien ça en fait au total.
(***)
Ping !
- Tu es très demandé, a dit Nathan, un pote de promo assez beau et bandant que pour me faire renoncer exceptionnellement à l’un de mes deux principes : toujours des inconnus, et jamais deux fois le même mec… avant qu’il reprenne sa fellation.
Ping !
- Attends, sérieux ?
- Silver Fox… ai-je soupiré, en reposant mon smartphone.
- C’est qui, lui ?
- Le mec de dimanche soir, au Gaypard.
- Qui t’a mis les cernes que tu portais lundi à la fac… Mais il insiste, là.
- Il commence à doucement faire chier, treize ou quatorze messages en trois jours sur la messagerie de l’appli…
- Wow ! Il est amoureux, c’est romantique, mais tu peux le bloquer, non ?
- Ça m’amuse un peu de le chauffer à blanc… Et romantique, c’est pas trop le mot, attends, je te lis ses textos, ça commence soft… ‘J’ai aimé, et toi aussi, je pense’… J’ai répondu ‘Ouais, pas mal’… Puis quatre messages à sens unique jusqu’à ‘Je sais ce que tu as dit, mais j’aimerais vraiment te revoir’… Ensuite, ça a dégénéré… ‘Je viens de me toucher en pensant à ton cul serré’ avec une photo de sa queue poisseuse, trop dégueu’… blablabla… et le dernier ‘Hey, petite salope, tu réagissais bien plus dimanche, à venir à la rencontre de mes coups de bite’… Bon, ce soir, il est calmé, on dirait ‘Je veux te voir’… ‘Je te donnerai du plaisir comme tu le souhaite, de face si tu veux’… Merci mais non, merci. Sinon, on en était où, nous ?
Ping !
- Putain, mais il va pas me lâcher, lui… Attends… ‘Je suis à la cité U, devant ton bâtiment, il y a de la lumière à ta fenêtre’. Mais comment il sait ça, lui ?
- Il t’aura suivi dimanche et aura repéré la chambre qui s’éclaire, j’imagine. Invite-le à monter…
- Hein ? Pourquoi ?
- Pour nous mater, ça m’excite plutôt, en fait.
J’ai accédé au petit caprice de Nathan et, sous sa dictée, j’ai tapé sur l’écran [OK, 2è étage, chambre 211, la porte est déverrouillée, entre avec la queue à l’air. On est en sess’ de partiels, tu ne croiseras personne à cette heure]
- Hmmm… Il n’y a pas que moi que ça semble exciter, tu bandes toujours, prends-moi, avant qu’il arrive.
Je ne me souviens pas avoir enfilé une capote, appliqué le lubrifiant, et pénétré un garçon aussi vite mais alors qu’il actionnait la poignée et ouvrait la porte, Nathan à quatre pattes sur mon matelas, a poussé un long gémissement guttural suivi de ‘’Oooh oui, baise-moi, fooort !’’
(***)
- Donc, ce que tu m’as dit sur les queues matures… a-t-il murmuré, toujours adossé à la porte.
- Dans mon rectum, oui, mais autour de la mienne, je préfère du bien plus jeune, tu ne peux pas trop me le reprocher…
- Et tu t’es mis à la capote, je vois.
- Ben ouais, je déteste lécher mon jus, perso. Puis il y a le truc de sécurité, Nathan a vraiment beaucoup de succès sur le campus… Je suis ton quantième, mon petit Nathan ? Tu te vexes pas, hein !
- Euh… Soixante-dixième, par là.
- Et en hors-piste ?
- Sans latex… le vingtième, je dirais.
- Tu vois ? Toi, t’es nouveau dans le milieu, j’étais clairement ton premier, après trente ans à baiser ta femme. Bon, on ne te retient pas, tu peux aller la rejoindre, et estime-toi heureux que je ne te suive pas jusque chez toi, à mon tour.
- Oh ! Il vient de mettre un coup de pied à sa caisse de beauf, tu crois qu’on l’a vexé ? a dit Nathan, qui l’observait de la fenêtre.
- Sa faute, il n’avait qu’à lire les conditions générales sur mon profil, et ne pas insister.
- Tu leur as bien fait une entorse pour moi, j’étais pas un inconnu.
Je me suis collé à son dos, j’ai passé les bras sous les siens pour caresser son sexe et doucement jouer avec son prépuce. ‘’Et j’ai bien envie d’en faire une à mon second principe, si tu acceptes de renoncer au tien…’’
- À part les dimensions minimum requises, je n’ai aucun principe, Jérémie.
- Sauf celui d’être inconditionnellement passif.
- Tu voudrais que je te…
Nathan ne sera jamais un très bon coup dans cette configuration, mais il embrasse bien, et surtout, il est encore plus beau quand il jouit !
Aussi, il m’a présenté plusieurs de ses potes au rectum avide, et le milieu gay est finalement un tout petit monde, apparemment, Silver Fox se prend râteau sur râteau… Mais je ne suis pas cruel, je ne l’ai jamais bloqué sur l’appli, il peut toujours se branler sur mes photos.
Je me suis tourné sur mon tabouret de bar. ‘’Oh ! C’est mon date sur l’appli… Nom de code ‘Silver Fox’, renard argenté, ça s’invente pas.’’
- Il grisonne, en effet, c’est ton kiff ? Tu t’es déjà fait mon frère, alors ?
- Jusqu’à ce que j’aie pris trente kilos de muscle et que mes poils se soient décidés à pousser partout, je ne serai jamais le genre de Léo, tu sais… Et mon kiff, comme tu dis… Quand je suis actif, ce sont des garçons de mon âge, plus souples et réactifs, mais en mode passif, je préfère les hommes matures, et mariés, c’est stratégique, ils sont clean, puis ils ne quitteront jamais leur femme mais espèrent quand même te garder sous le coude et s’assurer un coup régulier, alors ils s’appliquent côté endurance.
- Malgré ton air innocent, tu es machiavélique, Jérémie. Ah ! Il bouge, l’homme supposé marié…
- Ouaip, il va retirer son alliance dans trois, deux… Et voilà ! Tellement prévisible. Dis, Léo me laisse accès à son bureau, pour le canap’, c’est bon ?
- OK pour moi, alors, c’est pas fermé, a murmuré Julie, alors que Silver Fox, la cinquantaine hésitante, en costard, est entré dans le bar et m’a rejoint.
- Tu es aussi beau que sur tes photos.
- Ah, ben, merci pour le compliment, ça s’est fait, ai-je soufflé, ‘’Sinon, on peut… J’ai pas la nuit, j’ai un groupe de révision pour les partiels avec des potes demain matin. Tu dois pas pisser ? Moi bien, puis je pourrais voir à quoi m’attendre’’ ai-je minaudé.
- Puis on va chez toi ? Je t’ai dit, je ne peux pas recevoir.
Je l’ai tiré vers la porte du fond, pour éviter l’entrée des toilettes et le trainer dans le local marqué ‘privé’. ‘’Moi non plus, je suis à la cité U, ça va pas le faire, mais le canapé est confortable’’ ai-je soufflé en virant sommairement mes fringues, avant de m’y asseoir et de le tirer vers moi.
- Je me déshabille ?
- Nan, juste ça, ai-je dit en détachant sa ceinture et sa braguette, pour laisser tomber son pantalon sur ses chevilles et passer la main sur le relief prometteur sous son horrible slip kangourou. ‘’Je peux la voir ?’’
- Oui, bien sûr, a-t-il presque gémi en abaissant l’élastique du sous-vêtement pour libérer son sexe lourd.
- Miam !
- Tu trouves ? Ma fe… euh… d’autres trouvent parfois les veines apparentes disgracieuses…
- C’est le charme des queues matures, les veines durcissent avec l’âge, mais tu lui… ou leur diras que ça change pas grand’chose aux sensations, hein ! Là, c’est surtout l’épaisseur que je trouve appétissante… Du coup, tu te mets à genoux et tu me prépares un minimum, steuplé, ai-je intimé en m’enfonçant dans le canapé avant de relever les jambes, mes mains dans leur pliant.
- Ah ! Oui, bien sûr…
- Mon cul, pas ma queue, ai-je grondé, avant de tirer son visage entre mes fesses offertes.
Après une minute, j’ai interrompu la caresse maladroite, et même bâclée. ‘’Tu préfères comment, d’habitude ?’’
- D’hab… ?
Tu viens de te trahir, mec, je suis ton premier ou quoi ? ‘’Ben ouais, missionnaire ou levrette ?’’
- Ah ! Oui, euh… C’est juste que tu es si beau, si désirable, de face je crains que l’excitation… donc oui, je préfère de dos.
- OK, ai-je lâché nonchalamment et me retournant, les genoux sur l’assise. ‘’Préservatif, hein !’’
- Je… Oh flûte, j’en ai pas.
- C’est pas vrai… ai-je soupiré. ‘’Tant pis, j’en ai trop envie, là, ça fait trois jours, je suis en manque…’’
Bon, j’aurais dû me douter, les frottements augmentés, peau contre muqueuse… Après seulement une trentaine de mouvements, il a gémi ‘’Je v… je vais jouir… Aaah… Hmmmmm’’
- Continue, encooore, putain ! J’y suis presque, ai-je mendié en agitant mes doigts serrés sur mon sexe.
J’ai jeté une feuille de sopalin sur le cuir du canapé pour y éponger ma semence, et tourné la tête vers lui, debout, tenant sa bite ramollie en main. J’ai tenté. ‘’Ça s’écoule, là, tu lèches ou je dois m’essuyer ?’’
Confirmation ultime qu’il n’était pas du tout coutumier des rituels du sexe gay, notamment celui-ci, que je venais d’inventer, il l’a fait.
- On peut se revoir ?
- Nan, c’est signalé dans mon profil sur l’appli, je revois jamais les mecs, c’est comme ça.
- C’était bon, pour toi ?
- Ben, t’as vu, j’ai fini par jouir… à défaut d’orgasme anal, ai-je distraitement admis.
- Un org… ? Tu as souvent connu ?
- Une fois sur deux, je dirais, et non, tu ne me demande pas combien ça en fait au total.
(***)
Ping !
- Tu es très demandé, a dit Nathan, un pote de promo assez beau et bandant que pour me faire renoncer exceptionnellement à l’un de mes deux principes : toujours des inconnus, et jamais deux fois le même mec… avant qu’il reprenne sa fellation.
Ping !
- Attends, sérieux ?
- Silver Fox… ai-je soupiré, en reposant mon smartphone.
- C’est qui, lui ?
- Le mec de dimanche soir, au Gaypard.
- Qui t’a mis les cernes que tu portais lundi à la fac… Mais il insiste, là.
- Il commence à doucement faire chier, treize ou quatorze messages en trois jours sur la messagerie de l’appli…
- Wow ! Il est amoureux, c’est romantique, mais tu peux le bloquer, non ?
- Ça m’amuse un peu de le chauffer à blanc… Et romantique, c’est pas trop le mot, attends, je te lis ses textos, ça commence soft… ‘J’ai aimé, et toi aussi, je pense’… J’ai répondu ‘Ouais, pas mal’… Puis quatre messages à sens unique jusqu’à ‘Je sais ce que tu as dit, mais j’aimerais vraiment te revoir’… Ensuite, ça a dégénéré… ‘Je viens de me toucher en pensant à ton cul serré’ avec une photo de sa queue poisseuse, trop dégueu’… blablabla… et le dernier ‘Hey, petite salope, tu réagissais bien plus dimanche, à venir à la rencontre de mes coups de bite’… Bon, ce soir, il est calmé, on dirait ‘Je veux te voir’… ‘Je te donnerai du plaisir comme tu le souhaite, de face si tu veux’… Merci mais non, merci. Sinon, on en était où, nous ?
Ping !
- Putain, mais il va pas me lâcher, lui… Attends… ‘Je suis à la cité U, devant ton bâtiment, il y a de la lumière à ta fenêtre’. Mais comment il sait ça, lui ?
- Il t’aura suivi dimanche et aura repéré la chambre qui s’éclaire, j’imagine. Invite-le à monter…
- Hein ? Pourquoi ?
- Pour nous mater, ça m’excite plutôt, en fait.
J’ai accédé au petit caprice de Nathan et, sous sa dictée, j’ai tapé sur l’écran [OK, 2è étage, chambre 211, la porte est déverrouillée, entre avec la queue à l’air. On est en sess’ de partiels, tu ne croiseras personne à cette heure]
- Hmmm… Il n’y a pas que moi que ça semble exciter, tu bandes toujours, prends-moi, avant qu’il arrive.
Je ne me souviens pas avoir enfilé une capote, appliqué le lubrifiant, et pénétré un garçon aussi vite mais alors qu’il actionnait la poignée et ouvrait la porte, Nathan à quatre pattes sur mon matelas, a poussé un long gémissement guttural suivi de ‘’Oooh oui, baise-moi, fooort !’’
(***)
- Donc, ce que tu m’as dit sur les queues matures… a-t-il murmuré, toujours adossé à la porte.
- Dans mon rectum, oui, mais autour de la mienne, je préfère du bien plus jeune, tu ne peux pas trop me le reprocher…
- Et tu t’es mis à la capote, je vois.
- Ben ouais, je déteste lécher mon jus, perso. Puis il y a le truc de sécurité, Nathan a vraiment beaucoup de succès sur le campus… Je suis ton quantième, mon petit Nathan ? Tu te vexes pas, hein !
- Euh… Soixante-dixième, par là.
- Et en hors-piste ?
- Sans latex… le vingtième, je dirais.
- Tu vois ? Toi, t’es nouveau dans le milieu, j’étais clairement ton premier, après trente ans à baiser ta femme. Bon, on ne te retient pas, tu peux aller la rejoindre, et estime-toi heureux que je ne te suive pas jusque chez toi, à mon tour.
- Oh ! Il vient de mettre un coup de pied à sa caisse de beauf, tu crois qu’on l’a vexé ? a dit Nathan, qui l’observait de la fenêtre.
- Sa faute, il n’avait qu’à lire les conditions générales sur mon profil, et ne pas insister.
- Tu leur as bien fait une entorse pour moi, j’étais pas un inconnu.
Je me suis collé à son dos, j’ai passé les bras sous les siens pour caresser son sexe et doucement jouer avec son prépuce. ‘’Et j’ai bien envie d’en faire une à mon second principe, si tu acceptes de renoncer au tien…’’
- À part les dimensions minimum requises, je n’ai aucun principe, Jérémie.
- Sauf celui d’être inconditionnellement passif.
- Tu voudrais que je te…
Nathan ne sera jamais un très bon coup dans cette configuration, mais il embrasse bien, et surtout, il est encore plus beau quand il jouit !
Aussi, il m’a présenté plusieurs de ses potes au rectum avide, et le milieu gay est finalement un tout petit monde, apparemment, Silver Fox se prend râteau sur râteau… Mais je ne suis pas cruel, je ne l’ai jamais bloqué sur l’appli, il peut toujours se branler sur mes photos.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par lelivredejeremie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...