La Fac et mes charmants hôtes
Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Hellene39 ont reçu un total de 8 523 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 504 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Fac et mes charmants hôtes
Quand il fallut rentrer en Fac de psycho. Je devais loger à Paris. Or mes parents avaient un couple d’amis habitant Neuilly/Seine ce qui n’était pas trop loin de cette fac à Boulogne Billancourt.
Ils étaient aisés comme mes parents et avaient un hôtel particulier avec toute la place possible et je pouvais être logée avec une certaine indépendance. Je connaissais ce couple et même si je ne les avais pas vu depuis longtemps mes souvenirs de petite fille étaient agréables avec eux.
Je fis mes bagages pour la rentrée, et j’allais m’installer chez eux, bien en avance après le 16 Aout. Sur place c’était idéal, ce vieux bâtiment de prestige avait une dépendance qui était une petite maison dans le parc, attenant au portail qui était prévue pour le gardien de la propriété. Il y avait deux pièces spacieuses, salle de bain et une petite cuisine. Bien plus qu’il ne m’en fallait. J’étais en plus autonome, je ne dérangerais pas ni n’interférerais avec la vie de ces amis. Marion la maîtresse de maison avait une quarantaine d’année, Charles lui était proche de la cinquantaine mais il paraissait beaucoup moins comme sa femme en fait.
Ils m’ont accueilli comme la fille de la maison. Ils n’avaient eu qu’un fils unique, qui c'était tué à moto, dix ans plus tôt. C’était pour eux un plaisir de me recevoir. On me fit savoir que j’étais indépendante, mais si je voulais prendre les repas le soir, avec eux et utiliser les avantages de la maison ce serait totalement open, je compris qu’ils souhaitaient en fait que je sois assez présente. Ce n’étais pas un calvaire surtout que je n’avais aucun ami à Paris. J’aurais la tranquillité pour mes études et l’agrément d’une semi-vie familiale. En prime une piscine king-size en plein Paris c’est le pied.
Les retrouver me fit bizarre, gamine je voyais de vieilles personnes, et là j’avais affaire a un couple plutôt glamour. Charles est un très bel homme, les tempes grisonnantes, grand et assez athlétique. Marion avait des yeux d’un bleu profond, de longs cheveux blonds, une silhouette presque parfaite comme son maquillage. J’appris avec plaisir que le ménage dans mes appartements serait fait par leur employée de maison qui cuisinait aussi. Comme je l’avais précisé j’ai toujours été dans un tel environnement, parents très aisés, des privilégiés en un mot.
Pour que tout se passe bien j’étais arrivée juste après le 15 aout à mon nouveau domicile. Il faisait un temps magnifique et j’ai rapidement pris l’habitude d’aller piquer une tête dans la piscine. Quel plaisir quand il faut chaud. Charles et Marion étaient enchantés de m’avoir le soir à table avec eux. On parlait de tout, de mes études prochaines, de souvenirs avec mes parents, de la vie en général. Marion aimait beaucoup me taquiner sur ma supposée vie sentimentale. Charles tentait de me défendre de la curiosité de sa femme. Charles était vraiment charmant avec moi. Toujours prévenant.
Quand je pris l’habitude de me baigner Charles était souvent sur la terrasse près de la piscine pour y prendre un café et lire les journaux. La rentrée était prévue presque mi-octobre et le temps magnifique durait. Charles aussi nageait et je remarquais que bien qu’il soit proche de la cinquantaine, il était sportif et çà se voyait. Souvent je restais au soleil un petit peu, car ma peau de rousse n’apprécie pas les rayons ardents.
Il faut que je fasse une digression à propos de ma vie sexuelle d’alors. J’avais eu pas mal d’aventure d’un soir, avec des flirts, j’avais même eu une aventure avec une copine et ce n’était pas si mal. En un mot, elle était curieuse, moi aussi on a essayé. Elle a beaucoup plus apprécié que moi il semble car ensuite elle était toujours en couple avec des filles. Ma virginité c’était enfuie il y avait bien longtemps à cause d’un emballement d’un jeu solitaire et d’une longue canette de bière. Hé oui on n'est jamais si bien servie que par sois même. Ce n’est pas glamour, mais c’est ma faute.
J’ai de vilains défauts, le moindre n’étant pas ma surconsommation de porno sur internet. Oui messieurs, certaines femmes adorent ça aussi. J’ai une libido énorme et des besoins aussi énormes. Mais souvent c’est l’autarcie qui gagne. Hé oui messieurs je suis ce que vous appelleriez une “petite branleuse”. Et je suis douée pour çà. La fréquence des jeux est souvent bien trop élevée. Si je ne me suis pas donné au minimum 3 orgasmes par jour, ça ne va pas. Et si une période d’intense libido se présente. J'arrive presque à m’épuiser. Voilà comment je suis.
Revenons à la piscine. Au début, j’avais des maillots très classiques. Mais je remarquais que Charles aimait être là toujours quand j’y étais et je vis rapidement qu’il ne me quittait pas des yeux. De mon côté je ne le regardais plus comme l’ami de mes parents, mais comme un bel homme viril au tempes grises certes, mais plus j’y pensais plus je me voyais bien dans ses bras. Marion qui parfois venait aussi prendre un verre ou un café au bord de cette piscine ne semblait pas dérangé par la jeune fille peu vêtue qui parfois venait parler à son mari. Marion me faisait souvent des compliments sur ma plastique, me disant qu’elle aimerait bien rajeunir. Je ne l’ai jamais vue dans cette période venir se baigner. Mais à en juger au travers de ses vêtements elle avait une silhouette tout à fait intéressante. Une fois elle me questionnait sur le type de copain, d’homme que j’aimais. Je lui disais, grand, musclé, sportif, intelligent et gentil. Elle me répondit, tout comme Charles mais plus jeune en somme. Je ne réfléchis pas et lui répondit, pas forcément plus jeune. Elle eut un instant de silence, regarda Charles et lui lança en pouffant.
- Méfie toi mon cher, la petite aimes les hommes dans ton genre.
- Quel mauvais goût !! Hélène avec votre physique vous méritez bien mieux !! J'ai plus de 2 fois votre âge.
Je n’osais répondre me contentant de rire a la blague. Mais je voyais que Marion observait mes réactions. Elle posa la main sur mon genou.
- Ne rougis pas comme ça, on plaisante, et puis tu as raison, l’âge on s’en moque un peu. Tu sais parfois je regarde certains jeunes hommes avec envie. C'est naturel.
Je commençais à concevoir un fort intérêt pour Charles, il fut renforcé quand je fis une découverte qui fut le point de départ d’une période intense et trouble de ma vie. Dans mon petit chez moi près du portail, j’étais comme une concierge aux premières loges. Je fis la remarque que presque deux fois par semaine, mes hôtes recevaient des amis. En général 2 ou 3 voitures occupées par des couples ou parfois 3 personnes. Ces jours-là on me signalais qu’il y avait une réception et que la cuisinière m’apporterait mon souper avant de partir. Solange la domestique, était vraiment sympathique et serviable sans être servile.
Je m’étonnais que lors d’une réception, elle n’était pas obligée de rester pour assurer le service. Elle m’expliquait qu’elle préparait tout pour une sorte de buffet c’était le vœu de ses patrons. Et elle préférait çà, plutôt que de rester tard. Non pas que cela serait pénible pour elle, mais elle logeait en banlieue et son trajet était long, le soir tard ce serais plus compliqué encore. Elle adorait son travail auprès de Charles et Marion qui la gratifiais d’un salaire largement au-dessus de ce qui était habituel. Elle lâcha un commentaire qui me mis en éveil.
- Je ne sais pas ce qu’ils font ces soirées là mais j’ai toujours le lendemain, un gros travail dans les chambres d’amis. Me dit –elle avec un clin d’œil.
Elle n’en dit pas plus mais cela avait fait mouche dans mon esprit. Je décidais donc de bien regarder ce qui se passais. Au bout de deux semaines, j’avais quelques idées. En moyenne 4 ou 6 personnes étaient invitées parfois 8. Les lumières restaient allumées jusqu’à 3h 4h du matin. La façade que je voyais avait des fenêtres sur les pièces communes et les chambres principales au premier. Une nuit je fis le tour du bâtiment et vis des fenêtres éclairées, 3 au premier. Indiquant une occupation, cela correspondait bien au nombre de personnes arrivées ce soir-là.
Intriguée, je décidais que la prochaine fois j’essaierais d’aller jeter un œil dans la maison pour voir ce qui se passait. Je me doutais un peu après les confidences de Solange.
La semaine suivante, le mardi réception. Solange me déposa mon souper, et me dit voilà ce soir çà s’amuse on dirait. Et vous n’êtes pas invitée encore cette fois.
Je commençais à penser que j’aimerais bien être invitée. J’avais trouvé dans mes affaires un jean noir et un sweat à capuche noire. J’avais trop vue de films d’action hollywoodiens sans doute. Vers 21h30 je me glissais dans le parc, longeant les haies, essayant de me fondre dans les ombres. Arrivée aux murs du bâtiment, je les longeais essayant de trouver un endroit d’où je pourrais voir à l’intérieur. J’entendais des discussions, des rires étouffés. Il y avait de l’animation. Je trouvais soudain un soupirail qui semblait donner dans une sorte de remise. On n'était pas loin de la cuisine sans doute la réserve. Je me glissais par l’ouverture sans me demander si je pourrais ressortir. J’avais prévu une lampe de poche, je l’allumais et en effet j’étais dans le garde-manger, du moins étaient entreposés la des conserves, des paquets de pâtes, des bouteilles. Une porte donnait directement dans la cuisine je la poussais, par chance pas fermée. Tout était sombre, mais je me guidais au son, je finis par arriver dans un coin plus connu par moi. Je me repérais d’autant mieux. Les rires se faisaient plus nets, les discussions plus compréhensives, d'autres bruits indéfinissables, des sortes de cris étouffés et des petits bruits secs et cadencés.
Je commençais à me dire que j’étais folle de m’introduire comme çà dans l’intimité de mes hôtes qui étaient vraiment adorables avec moi. Mais je sentais que j’allais mettre le doigt sur un truc énorme. Mon cerveau tournait a fond et échafaudais des tas de théories. Je ne pensais pas me tromper, et pour finir j’avais vu juste.
Ce grand couloir débouchait sur la petite salle à manger. Les conversations devenaient compréhensibles et les bruits plus nets. J’entendais des soupirs, des plaintes et ces petits claquements je mettais ma main au feu que c’était ceux d’une cravache ou d’un fouet sur sans doute la peau d’une femme ou un homme. La porte donnant sur la salle à manger était entrebâillée.
Accroupie l’œil collé à la fente laissée entre les 2 portes. Je voyais la salle et les personnes qui l’occupaient. Je remarquais surtout, le peu de vêtements portés par ces gens. Une jeune femme blonde, les mains liées au-dessus de la tête, adossée au mur était, elle totalement nue, et recevait de la part d’une grande brune aux cheveux courts habillée de cuir ou de latex des coups assez violents sur tout le corps. La blonde gémissait, criais un peu mais semblait parfaitement heureuse de recevoir cette correction. Plus proche de moi je voyais Marion et une autre femme a cheveux longs agenouillées au pieds de Charles qui portait une sorte de pantalon en cuir qui laissait libre, et ses fesses et son sexe. En fait il n’avait que les jambes du pantalon. Il portait également une sorte de harnais ou de bretelles sur son torse. Il avait à la main un martinet et fouettais alternativement les deux femmes qui suçaient son sexe avec ferveur.
Je fus presque tentée, de me mettre nue et d’entrer. Mais je doutais que l’accueil fut chaleureux. Cette vue, confirmais mes doutes. Mes hôtes aimaient le sexe, les partouzes je m’attendais à çà. Mais le SM là j’étais surprise, très excitée car j’avais un penchant pour ce genre de relations, j’en rêvais. Je fantasmais sur ce genre de situation depuis bien longtemps. A cet instant je décidais que d’une façon ou d’une autre mes hôtes allaient m’inviter. Au fond maintenant avec ce que je savais je pourrais surement leur forcer la main.
Je sais ce n’est pas très fair-play, mais j’aimes arriver aux buts fixés peu importe par quels moyens. Voilà qui va vous donner une sale opinion de moi. Je suis comme çà, je n’y peux rien. Sachez que parfois je regrette amèrement ce que j’ai fait, et parfois on me le fait payer chèrement.
Mon plan était simple, séduire Charles, qui à l’évidence semblait apprécier ma plastique. Et le conduire à m’intégrer à leurs jeux. N’ayez crainte, ces péripéties n’ont en rien altéré mes études qui furent plus que réussies.
Le décors est planté la suite sera nettement plus torride, c’est promis.
Ils étaient aisés comme mes parents et avaient un hôtel particulier avec toute la place possible et je pouvais être logée avec une certaine indépendance. Je connaissais ce couple et même si je ne les avais pas vu depuis longtemps mes souvenirs de petite fille étaient agréables avec eux.
Je fis mes bagages pour la rentrée, et j’allais m’installer chez eux, bien en avance après le 16 Aout. Sur place c’était idéal, ce vieux bâtiment de prestige avait une dépendance qui était une petite maison dans le parc, attenant au portail qui était prévue pour le gardien de la propriété. Il y avait deux pièces spacieuses, salle de bain et une petite cuisine. Bien plus qu’il ne m’en fallait. J’étais en plus autonome, je ne dérangerais pas ni n’interférerais avec la vie de ces amis. Marion la maîtresse de maison avait une quarantaine d’année, Charles lui était proche de la cinquantaine mais il paraissait beaucoup moins comme sa femme en fait.
Ils m’ont accueilli comme la fille de la maison. Ils n’avaient eu qu’un fils unique, qui c'était tué à moto, dix ans plus tôt. C’était pour eux un plaisir de me recevoir. On me fit savoir que j’étais indépendante, mais si je voulais prendre les repas le soir, avec eux et utiliser les avantages de la maison ce serait totalement open, je compris qu’ils souhaitaient en fait que je sois assez présente. Ce n’étais pas un calvaire surtout que je n’avais aucun ami à Paris. J’aurais la tranquillité pour mes études et l’agrément d’une semi-vie familiale. En prime une piscine king-size en plein Paris c’est le pied.
Les retrouver me fit bizarre, gamine je voyais de vieilles personnes, et là j’avais affaire a un couple plutôt glamour. Charles est un très bel homme, les tempes grisonnantes, grand et assez athlétique. Marion avait des yeux d’un bleu profond, de longs cheveux blonds, une silhouette presque parfaite comme son maquillage. J’appris avec plaisir que le ménage dans mes appartements serait fait par leur employée de maison qui cuisinait aussi. Comme je l’avais précisé j’ai toujours été dans un tel environnement, parents très aisés, des privilégiés en un mot.
Pour que tout se passe bien j’étais arrivée juste après le 15 aout à mon nouveau domicile. Il faisait un temps magnifique et j’ai rapidement pris l’habitude d’aller piquer une tête dans la piscine. Quel plaisir quand il faut chaud. Charles et Marion étaient enchantés de m’avoir le soir à table avec eux. On parlait de tout, de mes études prochaines, de souvenirs avec mes parents, de la vie en général. Marion aimait beaucoup me taquiner sur ma supposée vie sentimentale. Charles tentait de me défendre de la curiosité de sa femme. Charles était vraiment charmant avec moi. Toujours prévenant.
Quand je pris l’habitude de me baigner Charles était souvent sur la terrasse près de la piscine pour y prendre un café et lire les journaux. La rentrée était prévue presque mi-octobre et le temps magnifique durait. Charles aussi nageait et je remarquais que bien qu’il soit proche de la cinquantaine, il était sportif et çà se voyait. Souvent je restais au soleil un petit peu, car ma peau de rousse n’apprécie pas les rayons ardents.
Il faut que je fasse une digression à propos de ma vie sexuelle d’alors. J’avais eu pas mal d’aventure d’un soir, avec des flirts, j’avais même eu une aventure avec une copine et ce n’était pas si mal. En un mot, elle était curieuse, moi aussi on a essayé. Elle a beaucoup plus apprécié que moi il semble car ensuite elle était toujours en couple avec des filles. Ma virginité c’était enfuie il y avait bien longtemps à cause d’un emballement d’un jeu solitaire et d’une longue canette de bière. Hé oui on n'est jamais si bien servie que par sois même. Ce n’est pas glamour, mais c’est ma faute.
J’ai de vilains défauts, le moindre n’étant pas ma surconsommation de porno sur internet. Oui messieurs, certaines femmes adorent ça aussi. J’ai une libido énorme et des besoins aussi énormes. Mais souvent c’est l’autarcie qui gagne. Hé oui messieurs je suis ce que vous appelleriez une “petite branleuse”. Et je suis douée pour çà. La fréquence des jeux est souvent bien trop élevée. Si je ne me suis pas donné au minimum 3 orgasmes par jour, ça ne va pas. Et si une période d’intense libido se présente. J'arrive presque à m’épuiser. Voilà comment je suis.
Revenons à la piscine. Au début, j’avais des maillots très classiques. Mais je remarquais que Charles aimait être là toujours quand j’y étais et je vis rapidement qu’il ne me quittait pas des yeux. De mon côté je ne le regardais plus comme l’ami de mes parents, mais comme un bel homme viril au tempes grises certes, mais plus j’y pensais plus je me voyais bien dans ses bras. Marion qui parfois venait aussi prendre un verre ou un café au bord de cette piscine ne semblait pas dérangé par la jeune fille peu vêtue qui parfois venait parler à son mari. Marion me faisait souvent des compliments sur ma plastique, me disant qu’elle aimerait bien rajeunir. Je ne l’ai jamais vue dans cette période venir se baigner. Mais à en juger au travers de ses vêtements elle avait une silhouette tout à fait intéressante. Une fois elle me questionnait sur le type de copain, d’homme que j’aimais. Je lui disais, grand, musclé, sportif, intelligent et gentil. Elle me répondit, tout comme Charles mais plus jeune en somme. Je ne réfléchis pas et lui répondit, pas forcément plus jeune. Elle eut un instant de silence, regarda Charles et lui lança en pouffant.
- Méfie toi mon cher, la petite aimes les hommes dans ton genre.
- Quel mauvais goût !! Hélène avec votre physique vous méritez bien mieux !! J'ai plus de 2 fois votre âge.
Je n’osais répondre me contentant de rire a la blague. Mais je voyais que Marion observait mes réactions. Elle posa la main sur mon genou.
- Ne rougis pas comme ça, on plaisante, et puis tu as raison, l’âge on s’en moque un peu. Tu sais parfois je regarde certains jeunes hommes avec envie. C'est naturel.
Je commençais à concevoir un fort intérêt pour Charles, il fut renforcé quand je fis une découverte qui fut le point de départ d’une période intense et trouble de ma vie. Dans mon petit chez moi près du portail, j’étais comme une concierge aux premières loges. Je fis la remarque que presque deux fois par semaine, mes hôtes recevaient des amis. En général 2 ou 3 voitures occupées par des couples ou parfois 3 personnes. Ces jours-là on me signalais qu’il y avait une réception et que la cuisinière m’apporterait mon souper avant de partir. Solange la domestique, était vraiment sympathique et serviable sans être servile.
Je m’étonnais que lors d’une réception, elle n’était pas obligée de rester pour assurer le service. Elle m’expliquait qu’elle préparait tout pour une sorte de buffet c’était le vœu de ses patrons. Et elle préférait çà, plutôt que de rester tard. Non pas que cela serait pénible pour elle, mais elle logeait en banlieue et son trajet était long, le soir tard ce serais plus compliqué encore. Elle adorait son travail auprès de Charles et Marion qui la gratifiais d’un salaire largement au-dessus de ce qui était habituel. Elle lâcha un commentaire qui me mis en éveil.
- Je ne sais pas ce qu’ils font ces soirées là mais j’ai toujours le lendemain, un gros travail dans les chambres d’amis. Me dit –elle avec un clin d’œil.
Elle n’en dit pas plus mais cela avait fait mouche dans mon esprit. Je décidais donc de bien regarder ce qui se passais. Au bout de deux semaines, j’avais quelques idées. En moyenne 4 ou 6 personnes étaient invitées parfois 8. Les lumières restaient allumées jusqu’à 3h 4h du matin. La façade que je voyais avait des fenêtres sur les pièces communes et les chambres principales au premier. Une nuit je fis le tour du bâtiment et vis des fenêtres éclairées, 3 au premier. Indiquant une occupation, cela correspondait bien au nombre de personnes arrivées ce soir-là.
Intriguée, je décidais que la prochaine fois j’essaierais d’aller jeter un œil dans la maison pour voir ce qui se passait. Je me doutais un peu après les confidences de Solange.
La semaine suivante, le mardi réception. Solange me déposa mon souper, et me dit voilà ce soir çà s’amuse on dirait. Et vous n’êtes pas invitée encore cette fois.
Je commençais à penser que j’aimerais bien être invitée. J’avais trouvé dans mes affaires un jean noir et un sweat à capuche noire. J’avais trop vue de films d’action hollywoodiens sans doute. Vers 21h30 je me glissais dans le parc, longeant les haies, essayant de me fondre dans les ombres. Arrivée aux murs du bâtiment, je les longeais essayant de trouver un endroit d’où je pourrais voir à l’intérieur. J’entendais des discussions, des rires étouffés. Il y avait de l’animation. Je trouvais soudain un soupirail qui semblait donner dans une sorte de remise. On n'était pas loin de la cuisine sans doute la réserve. Je me glissais par l’ouverture sans me demander si je pourrais ressortir. J’avais prévu une lampe de poche, je l’allumais et en effet j’étais dans le garde-manger, du moins étaient entreposés la des conserves, des paquets de pâtes, des bouteilles. Une porte donnait directement dans la cuisine je la poussais, par chance pas fermée. Tout était sombre, mais je me guidais au son, je finis par arriver dans un coin plus connu par moi. Je me repérais d’autant mieux. Les rires se faisaient plus nets, les discussions plus compréhensives, d'autres bruits indéfinissables, des sortes de cris étouffés et des petits bruits secs et cadencés.
Je commençais à me dire que j’étais folle de m’introduire comme çà dans l’intimité de mes hôtes qui étaient vraiment adorables avec moi. Mais je sentais que j’allais mettre le doigt sur un truc énorme. Mon cerveau tournait a fond et échafaudais des tas de théories. Je ne pensais pas me tromper, et pour finir j’avais vu juste.
Ce grand couloir débouchait sur la petite salle à manger. Les conversations devenaient compréhensibles et les bruits plus nets. J’entendais des soupirs, des plaintes et ces petits claquements je mettais ma main au feu que c’était ceux d’une cravache ou d’un fouet sur sans doute la peau d’une femme ou un homme. La porte donnant sur la salle à manger était entrebâillée.
Accroupie l’œil collé à la fente laissée entre les 2 portes. Je voyais la salle et les personnes qui l’occupaient. Je remarquais surtout, le peu de vêtements portés par ces gens. Une jeune femme blonde, les mains liées au-dessus de la tête, adossée au mur était, elle totalement nue, et recevait de la part d’une grande brune aux cheveux courts habillée de cuir ou de latex des coups assez violents sur tout le corps. La blonde gémissait, criais un peu mais semblait parfaitement heureuse de recevoir cette correction. Plus proche de moi je voyais Marion et une autre femme a cheveux longs agenouillées au pieds de Charles qui portait une sorte de pantalon en cuir qui laissait libre, et ses fesses et son sexe. En fait il n’avait que les jambes du pantalon. Il portait également une sorte de harnais ou de bretelles sur son torse. Il avait à la main un martinet et fouettais alternativement les deux femmes qui suçaient son sexe avec ferveur.
Je fus presque tentée, de me mettre nue et d’entrer. Mais je doutais que l’accueil fut chaleureux. Cette vue, confirmais mes doutes. Mes hôtes aimaient le sexe, les partouzes je m’attendais à çà. Mais le SM là j’étais surprise, très excitée car j’avais un penchant pour ce genre de relations, j’en rêvais. Je fantasmais sur ce genre de situation depuis bien longtemps. A cet instant je décidais que d’une façon ou d’une autre mes hôtes allaient m’inviter. Au fond maintenant avec ce que je savais je pourrais surement leur forcer la main.
Je sais ce n’est pas très fair-play, mais j’aimes arriver aux buts fixés peu importe par quels moyens. Voilà qui va vous donner une sale opinion de moi. Je suis comme çà, je n’y peux rien. Sachez que parfois je regrette amèrement ce que j’ai fait, et parfois on me le fait payer chèrement.
Mon plan était simple, séduire Charles, qui à l’évidence semblait apprécier ma plastique. Et le conduire à m’intégrer à leurs jeux. N’ayez crainte, ces péripéties n’ont en rien altéré mes études qui furent plus que réussies.
Le décors est planté la suite sera nettement plus torride, c’est promis.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Hellene39
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite svp !
Une belle mise en situation dans un monde de privilégiés
Vu ce que vous avec déjà écris je suis impatient de lire la suite
Merci miss Hélène
Vu ce que vous avec déjà écris je suis impatient de lire la suite
Merci miss Hélène
Belle introduction. Merci