La femme d'un client
Récit érotique écrit par Alfred [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La femme d'un client
- J’ai besoin de ses plans demain !
- Je vous les emmène si vous voulez ?
- Non je vous envoie Véronique ! Elle me fait signe qu’elle est OK !
- Je prépare tout ça !
- Elle attendra si ce n’est pas fini ! Merci je vais me coucher je suis HS !
Il est con ou complice ce mec, je ne comprends pas, il me jette sa femme dans les bras et lui vat se coucher. J’ai fais connaissance de Véronique il y a quelques jour chez son mari qui est un de mes clients. J’ai senti que je lui plaisais.
Il faut un quart d’heure à Véronique pour venir. Elle arrive en un peu plus de dix minutes elle n’as pas du respecter les limitations de vitesse ! Véronique est une femme de quarante ans très belle blonde assez grande aux formes parfaites avec des seins superbes et un cul exceptionnel.
J’ouvre la porte avant qu’elle ne sonne. Elle me serre la main je la fai entrer.
Elle porte un jean, un gilet noir sur un chemisier blanc, ses cheveux sont en liberté, elle n’est pas maquillée. Elle me saute dessus dés que la porte est fermée, sa bouche se colle à la mienne et une de ses mains file directement sur ma queue qui enfle immédiatement :
- prends-moi ! j’en crève d’envie !
- Véronique !
- Mon mari ?
- Oui
- Il dort !
- Mais ?
- il ne pense pas que je puisse faire ce que je vais faire !
- il est con !
- si tu veux ! je m’en fou ! baise-moi et vite je suis en feu !
Je passe mes mains sous son chemisier et je butte sur ses seins en libertés, je lui pince doucement les tétons, elle envoie sa tête en arrière et pousse un feulement de plaisir. Je remonte ses vêtements et je les fais voler, ses seins sont vraiment superbes, je les tète avec avidité et elle les gonfle et me presse la tête contre elle, je glisse une main sur la taille de son pantalon et dans une adresse qui me fait sourire je défais la ceinture et déboutonne sa braguette rapidement. Un déhanchement adroit m’aide à faire glisser le carcan qui s’avère être le dernier rempart de sa nudité. Nue offerte je me dégage un peu pour admirer sa plastique, je sais qu’elle est belle, mais j’ai encore envie de me régaler les yeux. Elle est très fière de sa poitrine, elle écarte les épaules et bombe le torse ! Superbe ! Je m’agenouille devant cette beauté et je plonge mon nez dans sont duvet blond. Je glisse ma langue et ho surprise, elle a rasée ses lèvres. Ma langue n’a aucun mal à découvrir une source abondante et parfumée, je n’ai même pas besoin d’écarter ses grandes lèvres, le passage s’est ouvert depuis qu’elle a du fermer la porte de sa maison. Elle relève une jambe et la pose sur mon épaule, et en plus elle est très souple. Ma langue a du mal à absorber tout le miel qui s’échappe de son puits de plaisir. Je promène la pointe affutée de ma langue sur tout son sexe quand je passe sur son clitoris, elle se cambre un peu quand je m’égard sur son anus elle se plie légèrement. Ses mains sont restées sur ma tête et elle me serre contre son entrejambe. Je presse de plus en plus fort mes caresses, elle couine et son bassin est agité d’un mouvement très caractéristique qui me dit qu’elle n’attend qu’une chose, se faire prendre. Patiente jeune femme je vais d’abord bien préparer le terrain ! Mon majeur droit se glisse dans sa fente et vient taquiner l’intérieure de son vagin. D’abord des mouvements souples, doux lents puis à la vitesse de la montée de son excitation mon doigt va de plus en plus vite. Ma langue très élargie se démène sur sont bouton que je sens bien. Elle me tire les cheveux, je ne vois rien dans ma position mais j’ l’imagine la tête en arrière la bouche grande ouverte, les yeux fermés. Mon doigt entre loin et quand il sort il fait un crochet qui s’appuie fermement dans son intérieur. Mon accélération est constante. Sont vagin est pris de spasmes, ses mains s’affolent dans mes cheveux, je passe ma main gauche dans le creux de son dos et je la serre fermement contre moi. Sa jambe quitte mon épaule. Elle se raidit, ses fesses deviennent très dur et d’un coup elle part dans un mélange de cries rauques. Dans des mouvements saccadés et désordonnés son sexe s’échappe à ma caresse buccale, ses jambes se serre et emprisonne ma main. Je dois la serrer fermement de ma main gauche pour ne pas qu’elle tombe. Ses mains m’emprisonnent la tête et me tire les cheveux, je fais la grimace, mais que c’est bon d’avoir une si jolie fille qui vous jouie dans la bouche alors trois cheveux tirés ne représentent rien. Elle se calme, j’attends quelques secondes et très doucement je relance mon doigt et ma langue. Je la sens se tendre à nouveau sa jambe s’écarte pour s’offrir, mais elle se ressert très vite pour profiter pleinement de la jouissance qui la ravage à nouveau. La je continue à la caresser, elle me presse le visage contre son sexe et deux puis trois vagues de plaisir la secoue. Ma main gauche effleure dans le creux de ses reins une goutte de transpiration qui s’écouler. Ma main droite est dégoulinante de sa liqueur. Elle se penche un peu et me prend par les aisselles et me fait remonter vers sa bouche, elle déguste ma langue et me glisse entre deux coups de langues :
- c’est bon mon jus sur tes lèvres ! prend moi !
Elle passe sa jambe gauche au tour de ma taille et sa main droite me prend la verge et me dirige dans son antre. La pénétration est sublime, son sexe s’ouvre et se resserre sur moi. Elle a un mouvement de bassin très ample mon sexe manque à chaque mouvement de sortir et dans l’autre sens ses lèvres viennent se coller contre mes boules durcies ! Sa langue me picore délicatement, ses seins dressés me pointent contre la poitrine. J’ai ses fesses musclées entre mes mains et j’accompagne ses mouvements. Sa langue entre dans ma bouche et s’active anarchiquement son orgasme la prend d’un coup, elle me serre dans ses bras très violement. Son bassin c’est immobilisé son ventre bouge encore, elle dégage sa bouche et pousse un grognement bestiale. Je la décolle du sol sa jambe droite se place au tour de ma taille. Je me mets à la buriner, tout en cherchant un endroit pour la poser, je suis costaud, mais elle est lourde ! Je lui pose le bord des fesses sur ma commode et je peux lui donner de grand coup de reins qui la font s’offrir encore plus. Elle enlève ses mains de mon cou et les posent sur la commode, mais elle glisse et un débranchement pas prévu se produit. Je la rattrape et on part touts les deux dans un éclat de rire. J’en profite pour la faire se tourner. Je lui fais poser les mains sur la commode et s’en écarter un peu, je lui fais cambrer les reins et écarter les cuisses. Je la prendrai volontiers en photo pour avoir un souvenir pour mes vieux jours. Je m’accroupie derrière elle, son sexe est dégoulinant, ses grandes lèvres sont enflées et grandes ouvertes. Son vagin en attente palpite. Je vais lécher mordiller aspirer ce temple du plaisir. Ma langue coquine n’ignore pas son anus et elle accepte avec un petit soupir que je l’enfonce dans son anus. Je le mouille d’un mélange de ma salive et de son lubrifiant naturelle. Je me relève et je prends mon sexe en main et je joue avec mon gland à lui caresser tout son centre de plaisir. Devant ses mouvements coïtaux j’accède à son envie et je la prends d’un coup profond. Elle se tend et sa tête part de nouveau en arrière. J’y vais doucement lentement avec des allers retours très long puis j’accélère très vite ses fesses claques contre mes cuisses. Elle jouie à nouveau. Je m’arrête, elle se débranche et se tourne pour s’agenouiller devant moi. Elle posse ses deux mains sur mes fesses et sa bouche s’ouvre et m’avale profondément. Elle me pompe, m’aspire, s’étouffe presque d’aller très loin. Elle me lâche me regarde droit dans les yeux et se relève et reprend sa position offerte. Elle passe sa main entre ses jambes et dirige ma queue vers son vagin, elle me fait entrer en elle et c’est elle qui donne le rythme. Elle laisse sa main et me masse les testicules. Puis sa main me sort d’elle et elle me dirige vers son anus. Elle me dit :
- Laisses-moi faire !
- avec plaisir !
Elle me dirige et ses fesses s’ouvre, je vois son anus s’écarter s’ouvrir un peu et mon sexe venir l’embrasser et entrer méthodiquement. Je disparais entièrement. Elle ne bouge plus sa main se pose à coté de l’autre sur la commode et elle commence une sarabande démoniaque. Je dois me retenir pour ne pas jouir trop vite, ses mouvements deviennent à nouveau désordonnés. Elle s’immobilise et je vois tout son corps trembler, elle glisse et s’affale au sol je n’ai même pas le temps de la retenir. Elle tremble. Puis redresse la tête ses yeux sont humide. Elle se relève et reprend sa position, elle se prend à nouveau et se lance à nouveau dans une dense de jouissance. Je suis près à jouir. Je lui dis :
- je vais partir !
Elle s’arrache se tourne et me prend de ses deux mains, sa bouche m’avale et en deux ou trois mouvements de ses mains me fait partir dans sa gorge, elle laisse ses lèvres serrées sur mon gland et ses mains me branlent. Je me vide avec à mon tour des cris de fauves satisfaits. Elle me masse les couilles et déguste tout ce que je peux lui offrir. Elle continue à me sucer, elle fait disparaître tout mon sexe dans sa bouche, le sort, le branle, me lèche les bourses. Du bout de la langue elle cherche dans mon méat un reste de sperme. Elle me regarde ses yeux sont plein de bonheur. Elle se redresse et me dit en m’embrassant dans le coup :
- je rentre mon con de mari va m’attendre !
- revient quand tu veux !
- je reviendrai.
Elle se rhabille vite et disparaît dans la nuit.
- Je vous les emmène si vous voulez ?
- Non je vous envoie Véronique ! Elle me fait signe qu’elle est OK !
- Je prépare tout ça !
- Elle attendra si ce n’est pas fini ! Merci je vais me coucher je suis HS !
Il est con ou complice ce mec, je ne comprends pas, il me jette sa femme dans les bras et lui vat se coucher. J’ai fais connaissance de Véronique il y a quelques jour chez son mari qui est un de mes clients. J’ai senti que je lui plaisais.
Il faut un quart d’heure à Véronique pour venir. Elle arrive en un peu plus de dix minutes elle n’as pas du respecter les limitations de vitesse ! Véronique est une femme de quarante ans très belle blonde assez grande aux formes parfaites avec des seins superbes et un cul exceptionnel.
J’ouvre la porte avant qu’elle ne sonne. Elle me serre la main je la fai entrer.
Elle porte un jean, un gilet noir sur un chemisier blanc, ses cheveux sont en liberté, elle n’est pas maquillée. Elle me saute dessus dés que la porte est fermée, sa bouche se colle à la mienne et une de ses mains file directement sur ma queue qui enfle immédiatement :
- prends-moi ! j’en crève d’envie !
- Véronique !
- Mon mari ?
- Oui
- Il dort !
- Mais ?
- il ne pense pas que je puisse faire ce que je vais faire !
- il est con !
- si tu veux ! je m’en fou ! baise-moi et vite je suis en feu !
Je passe mes mains sous son chemisier et je butte sur ses seins en libertés, je lui pince doucement les tétons, elle envoie sa tête en arrière et pousse un feulement de plaisir. Je remonte ses vêtements et je les fais voler, ses seins sont vraiment superbes, je les tète avec avidité et elle les gonfle et me presse la tête contre elle, je glisse une main sur la taille de son pantalon et dans une adresse qui me fait sourire je défais la ceinture et déboutonne sa braguette rapidement. Un déhanchement adroit m’aide à faire glisser le carcan qui s’avère être le dernier rempart de sa nudité. Nue offerte je me dégage un peu pour admirer sa plastique, je sais qu’elle est belle, mais j’ai encore envie de me régaler les yeux. Elle est très fière de sa poitrine, elle écarte les épaules et bombe le torse ! Superbe ! Je m’agenouille devant cette beauté et je plonge mon nez dans sont duvet blond. Je glisse ma langue et ho surprise, elle a rasée ses lèvres. Ma langue n’a aucun mal à découvrir une source abondante et parfumée, je n’ai même pas besoin d’écarter ses grandes lèvres, le passage s’est ouvert depuis qu’elle a du fermer la porte de sa maison. Elle relève une jambe et la pose sur mon épaule, et en plus elle est très souple. Ma langue a du mal à absorber tout le miel qui s’échappe de son puits de plaisir. Je promène la pointe affutée de ma langue sur tout son sexe quand je passe sur son clitoris, elle se cambre un peu quand je m’égard sur son anus elle se plie légèrement. Ses mains sont restées sur ma tête et elle me serre contre son entrejambe. Je presse de plus en plus fort mes caresses, elle couine et son bassin est agité d’un mouvement très caractéristique qui me dit qu’elle n’attend qu’une chose, se faire prendre. Patiente jeune femme je vais d’abord bien préparer le terrain ! Mon majeur droit se glisse dans sa fente et vient taquiner l’intérieure de son vagin. D’abord des mouvements souples, doux lents puis à la vitesse de la montée de son excitation mon doigt va de plus en plus vite. Ma langue très élargie se démène sur sont bouton que je sens bien. Elle me tire les cheveux, je ne vois rien dans ma position mais j’ l’imagine la tête en arrière la bouche grande ouverte, les yeux fermés. Mon doigt entre loin et quand il sort il fait un crochet qui s’appuie fermement dans son intérieur. Mon accélération est constante. Sont vagin est pris de spasmes, ses mains s’affolent dans mes cheveux, je passe ma main gauche dans le creux de son dos et je la serre fermement contre moi. Sa jambe quitte mon épaule. Elle se raidit, ses fesses deviennent très dur et d’un coup elle part dans un mélange de cries rauques. Dans des mouvements saccadés et désordonnés son sexe s’échappe à ma caresse buccale, ses jambes se serre et emprisonne ma main. Je dois la serrer fermement de ma main gauche pour ne pas qu’elle tombe. Ses mains m’emprisonnent la tête et me tire les cheveux, je fais la grimace, mais que c’est bon d’avoir une si jolie fille qui vous jouie dans la bouche alors trois cheveux tirés ne représentent rien. Elle se calme, j’attends quelques secondes et très doucement je relance mon doigt et ma langue. Je la sens se tendre à nouveau sa jambe s’écarte pour s’offrir, mais elle se ressert très vite pour profiter pleinement de la jouissance qui la ravage à nouveau. La je continue à la caresser, elle me presse le visage contre son sexe et deux puis trois vagues de plaisir la secoue. Ma main gauche effleure dans le creux de ses reins une goutte de transpiration qui s’écouler. Ma main droite est dégoulinante de sa liqueur. Elle se penche un peu et me prend par les aisselles et me fait remonter vers sa bouche, elle déguste ma langue et me glisse entre deux coups de langues :
- c’est bon mon jus sur tes lèvres ! prend moi !
Elle passe sa jambe gauche au tour de ma taille et sa main droite me prend la verge et me dirige dans son antre. La pénétration est sublime, son sexe s’ouvre et se resserre sur moi. Elle a un mouvement de bassin très ample mon sexe manque à chaque mouvement de sortir et dans l’autre sens ses lèvres viennent se coller contre mes boules durcies ! Sa langue me picore délicatement, ses seins dressés me pointent contre la poitrine. J’ai ses fesses musclées entre mes mains et j’accompagne ses mouvements. Sa langue entre dans ma bouche et s’active anarchiquement son orgasme la prend d’un coup, elle me serre dans ses bras très violement. Son bassin c’est immobilisé son ventre bouge encore, elle dégage sa bouche et pousse un grognement bestiale. Je la décolle du sol sa jambe droite se place au tour de ma taille. Je me mets à la buriner, tout en cherchant un endroit pour la poser, je suis costaud, mais elle est lourde ! Je lui pose le bord des fesses sur ma commode et je peux lui donner de grand coup de reins qui la font s’offrir encore plus. Elle enlève ses mains de mon cou et les posent sur la commode, mais elle glisse et un débranchement pas prévu se produit. Je la rattrape et on part touts les deux dans un éclat de rire. J’en profite pour la faire se tourner. Je lui fais poser les mains sur la commode et s’en écarter un peu, je lui fais cambrer les reins et écarter les cuisses. Je la prendrai volontiers en photo pour avoir un souvenir pour mes vieux jours. Je m’accroupie derrière elle, son sexe est dégoulinant, ses grandes lèvres sont enflées et grandes ouvertes. Son vagin en attente palpite. Je vais lécher mordiller aspirer ce temple du plaisir. Ma langue coquine n’ignore pas son anus et elle accepte avec un petit soupir que je l’enfonce dans son anus. Je le mouille d’un mélange de ma salive et de son lubrifiant naturelle. Je me relève et je prends mon sexe en main et je joue avec mon gland à lui caresser tout son centre de plaisir. Devant ses mouvements coïtaux j’accède à son envie et je la prends d’un coup profond. Elle se tend et sa tête part de nouveau en arrière. J’y vais doucement lentement avec des allers retours très long puis j’accélère très vite ses fesses claques contre mes cuisses. Elle jouie à nouveau. Je m’arrête, elle se débranche et se tourne pour s’agenouiller devant moi. Elle posse ses deux mains sur mes fesses et sa bouche s’ouvre et m’avale profondément. Elle me pompe, m’aspire, s’étouffe presque d’aller très loin. Elle me lâche me regarde droit dans les yeux et se relève et reprend sa position offerte. Elle passe sa main entre ses jambes et dirige ma queue vers son vagin, elle me fait entrer en elle et c’est elle qui donne le rythme. Elle laisse sa main et me masse les testicules. Puis sa main me sort d’elle et elle me dirige vers son anus. Elle me dit :
- Laisses-moi faire !
- avec plaisir !
Elle me dirige et ses fesses s’ouvre, je vois son anus s’écarter s’ouvrir un peu et mon sexe venir l’embrasser et entrer méthodiquement. Je disparais entièrement. Elle ne bouge plus sa main se pose à coté de l’autre sur la commode et elle commence une sarabande démoniaque. Je dois me retenir pour ne pas jouir trop vite, ses mouvements deviennent à nouveau désordonnés. Elle s’immobilise et je vois tout son corps trembler, elle glisse et s’affale au sol je n’ai même pas le temps de la retenir. Elle tremble. Puis redresse la tête ses yeux sont humide. Elle se relève et reprend sa position, elle se prend à nouveau et se lance à nouveau dans une dense de jouissance. Je suis près à jouir. Je lui dis :
- je vais partir !
Elle s’arrache se tourne et me prend de ses deux mains, sa bouche m’avale et en deux ou trois mouvements de ses mains me fait partir dans sa gorge, elle laisse ses lèvres serrées sur mon gland et ses mains me branlent. Je me vide avec à mon tour des cris de fauves satisfaits. Elle me masse les couilles et déguste tout ce que je peux lui offrir. Elle continue à me sucer, elle fait disparaître tout mon sexe dans sa bouche, le sort, le branle, me lèche les bourses. Du bout de la langue elle cherche dans mon méat un reste de sperme. Elle me regarde ses yeux sont plein de bonheur. Elle se redresse et me dit en m’embrassant dans le coup :
- je rentre mon con de mari va m’attendre !
- revient quand tu veux !
- je reviendrai.
Elle se rhabille vite et disparaît dans la nuit.
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