La femme de chambre de l'hôtel
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La femme de chambre de l'hôtel
Pour une fois je suis seule en vacances. J’oublie mon mari, mes copines et amies. Depuis plus de 5 ans je me trouve enfin seule à me promener, manger, dormir, ne rien faire. J’oublie le principal je visite et me promène à mon gré. Je ne suis pas partie sur un coup de tête, j’avais besoin de m’isoler. En m’embrassant mon époux, m’a souhaité bon voyage.
J’ai pratiquement fait le tour de France, c’est beau et agréable. Je revie enfin. Cet après midi je sens la tentation de me masturber, il y a un moment que je ne l’ai pas fait, depuis mon départ. Je monte dans la chambre réservée, je me déshabille enfin. Mon corps respire, la nudité lui convient. Je range bien mes affaires dans l’armoire de la chambre et entre dans la salle de bain. J’ai laissé la porte entrouverte comme souvent dans les hôtels. J’entends une personne entrer. Je regarde par l’entrebâillement : une jeune femme de chambre qui vient perdre un peu de temps puisqu’elle allume le téléviseur, s’assoit dans un fauteuil pour regarder je ne sais trop quoi. Ce qui m’étonne c’est qu’elle se dévêt. Elle passe ses mains sur son corps, ses seins, ses hanches, entre ses cuisses pour finir par les mettre sur sa chatte.
Elle ne s’en doute pas mais elle m’excite beaucoup. J’étais mouillée, je le suis encore plus maintenant. Je n’y tiens plus je la regarde et me branle comme une lycéenne.
Maintenant elle sort un gode d’un tiroir de la table de nuit. J’ignorais que cet hôtel proposait aux clientes un tel service. Elle se lève, vient pour le rincer à la salle de bain. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je suis là aussi, aussi nue qu’elle, prête même à l’aider à jouir.
Elle est surprise quand elle me voit. Elle craint que je me plaigne sans doute ou que j’appelle ? Je ne sais pas, elle m’embrasse sur la bouche. C’est une première mise à part quand j’étais jeune pour jouer devant des copines à savoir comment nous pouvions nous embrasser.
Excitées l’une et l’autre nous ne restons pas dans la salle de bain.
- J’avais un moment de repos, je croyais que la chambre était inoccupée.
- Tu en profitais pour te masturber.
- Je ne connais aucun passe temps plus agréable !
- Nous deux ce n’est plus un passe temps ?
- Non c’est, si tu veux de la baise.
- Tu voulais te rincer le gode ?
- Oui, j’allais m’en servir.
- Si c’est moi qui te le met.
- J’accepte de suite, tu as l’air bonne baiseuse.
Elle est chou. Oui, c’est vrai-je suis bonne baiseuse, avec mon mari c’est sur : quand il me la met là où j’aime, c’est-à-dire à peu près dans tous les trous. J’aime aussi quand je me fais l’amour seule avec MON gode, je le lèche après usage pour recommencer car j’aime beaucoup mon gout.
Bonne ou pas bonne nous allons nous coucher. Je n’ai pas le temps d’arriver quand elle passe une main entre mes jambes, en passant entre mes fesses. Elle sait bien viser pour entrer ainsi rapidement deux doigts dans le vagin. Elle m’arrête, je la laisse faire quand elle me masturbe. C’est assez bizarre, je ne le vois pas, elle est bien derrière moi, sa main passant au-delà de mon cul. Le plaisir monte lentement puis accélère pour venir me faire frémir partout, surtout quand l’orgasme est là. Je tombe en avant le ventre sur le lit. Sa main a suivit mon mouvement, elle est toujours dans mon ventre. Elle continue à maltraiter le vagin puisqu’elle me fait encore partir.
Elle s’acharne sur moi, je sens le gode quand elle pose cet engin en verre sur l’anus. Elle le rentre très lentement, trop lentement à mon gout. Elle fait comme elle a envie.
Je suis totalement détendue, mon anus avale la queue artificielle. C’est très agréable. Je me soulève à peine pour me caresser le clitoris.
Je peux me retourner sur le dos quand sa main oublie mon vagin.
- J’ai envie de te sucer.
... Moi, dire une telle chose à une inconnue qui me masturbe !
- Oui, suces moi.
Elle vient poser sa chatte sur ma bouche. Je ne cherche pas longtemps son clitoris. Je le prends dans la bouche , je le lèche, je le lâche pour aller visiter son sexe avec la langue.
- Mets moi là au cul.
Il me semble m’entendre quand je demande ça à mon mari.
Je déplace un peu ma tête pour faire ce qu’elle demande. Pour la première fois de ma vie je lèche un cul, un cul de femme en plus. Il faudra que je me souvienne de le faire à mon mari, qui sait, il aimera sans doute, lui amateur de bizarreries du sexe.
Elle gémit tout le temps que ma langue passe sur son anus. Elle ouvre justement son anus et me voilà avec une bonne partie de ma langue dans son cul. Je m’attendais à une dégueulasserie. C’est au contraire assez bon. Je vais et viens jusqu’à ce que je sente les contractions de sa jouissance autour de ma langue.
Dès sa jouissance, elle se lève, se rhabille et sort en me disant
- Je serai là après 21 heures.
- D’accord.
Me voila l’attendant comme une amoureuse attend son petit ami. Je reste nue, pour ne porter que le peignoir de bain ouvert. Je demande le repas dans la chambre. C’est elle qui sert. Elle m’embrasse les seins.
- A tout à l’heure.
J’ai la confirmation de sa venue, par contre je ne sais pas combien de temps nous allons passer ensemble. Je m’étonne que je sois descendue vers le lesbianisme. Pourtant j’aime les hommes et leur bite. J’aime quand je me branle. Pourquoi cette nana ? En tout cas j’ai encore envie d’elle, elle me donne tant de plaisir. Les minutes ne passent pas vite et enfin, elle ouvre la porte, sans frapper. J’ai vite enlevé le peignoir et me présente nue devant elle en lui tendant les bras, vite qu’elle vienne contre moi, que je la mette nue en l’embrassant partout, sur son corps en général, bien sur, sur son sexe en particulier, j’ai envie de son odeur, de son gout, de sa présence et de sa langue sur mon sexe. Je ne vis que pour le sexe aujourd’hui.
C’est moi qui l’embrasse sur la bouche la première. Nos langues jouent rapidement ensemble. Nos seins se touchent sans arrêt. J’aime cette sensation, je me sens encore plus nue. Je prend ses fesses à pleines mains, je cherche sa raie. A mon tour de lui passer un doigt sur le cul. Je le trouve vite quand elle écarte bien les fesses. J’entre tout mon doigt, enfin ce que je peux ! Je le fais aller et venir et elle accompagne mes mouvements. Mon autre main va sur son sexe, par devant. Je trouve vite son petit bouton que je caresse lentement. Elle, elle se laisse faire, acceptant d’avance tout ce que je vais exécuter. Si dans l’après midi, elle dirigeait, c’est à mon tour de faire ce que je veux. Je la fais jouir deux fois. Je la renverse sur le lit, les jambes ouvertes vers moi. Je peux plonger ma tête entre les cuisses et lécher toute sa chatte. Qu’elle bonne odeur de femmes en chaleur, de cyprine un peu fanée de cet après midi : elle ne s’est pas lavée, elle a eu raison.
Elle a aimé ça tout à l’heure, sans qu’elle le demande ma langue part à l’assaut de son cul. A mon tour je monte sur le lit, l’enjambe pour lui donner ma fente entière à manger. Nous avons un plaisir très féminin, toutes les deux à faire un 69 entre filles. C’est bon et excitant à la fois, plus nous nous suçons plus nous avons envie de continuer.
A force de nous baiser ainsi, nous sommes éreintées. Surtout moi qui joue à Lesbos pour le premier jour. Quand elle part, très tôt le lendemain, je sais que nous ne nous reverrons plus.
Restent les souvenirs.
Je les partage avec mon mari : il en sera excité et me demandera certainement de recommencer devant lui, pour que nous baisions la même femme.
J’ai pratiquement fait le tour de France, c’est beau et agréable. Je revie enfin. Cet après midi je sens la tentation de me masturber, il y a un moment que je ne l’ai pas fait, depuis mon départ. Je monte dans la chambre réservée, je me déshabille enfin. Mon corps respire, la nudité lui convient. Je range bien mes affaires dans l’armoire de la chambre et entre dans la salle de bain. J’ai laissé la porte entrouverte comme souvent dans les hôtels. J’entends une personne entrer. Je regarde par l’entrebâillement : une jeune femme de chambre qui vient perdre un peu de temps puisqu’elle allume le téléviseur, s’assoit dans un fauteuil pour regarder je ne sais trop quoi. Ce qui m’étonne c’est qu’elle se dévêt. Elle passe ses mains sur son corps, ses seins, ses hanches, entre ses cuisses pour finir par les mettre sur sa chatte.
Elle ne s’en doute pas mais elle m’excite beaucoup. J’étais mouillée, je le suis encore plus maintenant. Je n’y tiens plus je la regarde et me branle comme une lycéenne.
Maintenant elle sort un gode d’un tiroir de la table de nuit. J’ignorais que cet hôtel proposait aux clientes un tel service. Elle se lève, vient pour le rincer à la salle de bain. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je suis là aussi, aussi nue qu’elle, prête même à l’aider à jouir.
Elle est surprise quand elle me voit. Elle craint que je me plaigne sans doute ou que j’appelle ? Je ne sais pas, elle m’embrasse sur la bouche. C’est une première mise à part quand j’étais jeune pour jouer devant des copines à savoir comment nous pouvions nous embrasser.
Excitées l’une et l’autre nous ne restons pas dans la salle de bain.
- J’avais un moment de repos, je croyais que la chambre était inoccupée.
- Tu en profitais pour te masturber.
- Je ne connais aucun passe temps plus agréable !
- Nous deux ce n’est plus un passe temps ?
- Non c’est, si tu veux de la baise.
- Tu voulais te rincer le gode ?
- Oui, j’allais m’en servir.
- Si c’est moi qui te le met.
- J’accepte de suite, tu as l’air bonne baiseuse.
Elle est chou. Oui, c’est vrai-je suis bonne baiseuse, avec mon mari c’est sur : quand il me la met là où j’aime, c’est-à-dire à peu près dans tous les trous. J’aime aussi quand je me fais l’amour seule avec MON gode, je le lèche après usage pour recommencer car j’aime beaucoup mon gout.
Bonne ou pas bonne nous allons nous coucher. Je n’ai pas le temps d’arriver quand elle passe une main entre mes jambes, en passant entre mes fesses. Elle sait bien viser pour entrer ainsi rapidement deux doigts dans le vagin. Elle m’arrête, je la laisse faire quand elle me masturbe. C’est assez bizarre, je ne le vois pas, elle est bien derrière moi, sa main passant au-delà de mon cul. Le plaisir monte lentement puis accélère pour venir me faire frémir partout, surtout quand l’orgasme est là. Je tombe en avant le ventre sur le lit. Sa main a suivit mon mouvement, elle est toujours dans mon ventre. Elle continue à maltraiter le vagin puisqu’elle me fait encore partir.
Elle s’acharne sur moi, je sens le gode quand elle pose cet engin en verre sur l’anus. Elle le rentre très lentement, trop lentement à mon gout. Elle fait comme elle a envie.
Je suis totalement détendue, mon anus avale la queue artificielle. C’est très agréable. Je me soulève à peine pour me caresser le clitoris.
Je peux me retourner sur le dos quand sa main oublie mon vagin.
- J’ai envie de te sucer.
... Moi, dire une telle chose à une inconnue qui me masturbe !
- Oui, suces moi.
Elle vient poser sa chatte sur ma bouche. Je ne cherche pas longtemps son clitoris. Je le prends dans la bouche , je le lèche, je le lâche pour aller visiter son sexe avec la langue.
- Mets moi là au cul.
Il me semble m’entendre quand je demande ça à mon mari.
Je déplace un peu ma tête pour faire ce qu’elle demande. Pour la première fois de ma vie je lèche un cul, un cul de femme en plus. Il faudra que je me souvienne de le faire à mon mari, qui sait, il aimera sans doute, lui amateur de bizarreries du sexe.
Elle gémit tout le temps que ma langue passe sur son anus. Elle ouvre justement son anus et me voilà avec une bonne partie de ma langue dans son cul. Je m’attendais à une dégueulasserie. C’est au contraire assez bon. Je vais et viens jusqu’à ce que je sente les contractions de sa jouissance autour de ma langue.
Dès sa jouissance, elle se lève, se rhabille et sort en me disant
- Je serai là après 21 heures.
- D’accord.
Me voila l’attendant comme une amoureuse attend son petit ami. Je reste nue, pour ne porter que le peignoir de bain ouvert. Je demande le repas dans la chambre. C’est elle qui sert. Elle m’embrasse les seins.
- A tout à l’heure.
J’ai la confirmation de sa venue, par contre je ne sais pas combien de temps nous allons passer ensemble. Je m’étonne que je sois descendue vers le lesbianisme. Pourtant j’aime les hommes et leur bite. J’aime quand je me branle. Pourquoi cette nana ? En tout cas j’ai encore envie d’elle, elle me donne tant de plaisir. Les minutes ne passent pas vite et enfin, elle ouvre la porte, sans frapper. J’ai vite enlevé le peignoir et me présente nue devant elle en lui tendant les bras, vite qu’elle vienne contre moi, que je la mette nue en l’embrassant partout, sur son corps en général, bien sur, sur son sexe en particulier, j’ai envie de son odeur, de son gout, de sa présence et de sa langue sur mon sexe. Je ne vis que pour le sexe aujourd’hui.
C’est moi qui l’embrasse sur la bouche la première. Nos langues jouent rapidement ensemble. Nos seins se touchent sans arrêt. J’aime cette sensation, je me sens encore plus nue. Je prend ses fesses à pleines mains, je cherche sa raie. A mon tour de lui passer un doigt sur le cul. Je le trouve vite quand elle écarte bien les fesses. J’entre tout mon doigt, enfin ce que je peux ! Je le fais aller et venir et elle accompagne mes mouvements. Mon autre main va sur son sexe, par devant. Je trouve vite son petit bouton que je caresse lentement. Elle, elle se laisse faire, acceptant d’avance tout ce que je vais exécuter. Si dans l’après midi, elle dirigeait, c’est à mon tour de faire ce que je veux. Je la fais jouir deux fois. Je la renverse sur le lit, les jambes ouvertes vers moi. Je peux plonger ma tête entre les cuisses et lécher toute sa chatte. Qu’elle bonne odeur de femmes en chaleur, de cyprine un peu fanée de cet après midi : elle ne s’est pas lavée, elle a eu raison.
Elle a aimé ça tout à l’heure, sans qu’elle le demande ma langue part à l’assaut de son cul. A mon tour je monte sur le lit, l’enjambe pour lui donner ma fente entière à manger. Nous avons un plaisir très féminin, toutes les deux à faire un 69 entre filles. C’est bon et excitant à la fois, plus nous nous suçons plus nous avons envie de continuer.
A force de nous baiser ainsi, nous sommes éreintées. Surtout moi qui joue à Lesbos pour le premier jour. Quand elle part, très tôt le lendemain, je sais que nous ne nous reverrons plus.
Restent les souvenirs.
Je les partage avec mon mari : il en sera excité et me demandera certainement de recommencer devant lui, pour que nous baisions la même femme.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très réaliste .. et bien écrit ....
Sympa, Huguette, très bien racontée ton aventure.... j'aime bien