La femme de mon amant - histoire érotique

Ce soir mon amant a décidé de venir me chercher en voiture. Il arrive à 21h30, le soleil couchant. Je l’attendais devant mon immeuble. Je referme la portière derrière moi et me retourne vers lui. Déjà je peux voir qu’il est excité, comme à chaque fois qu’on se voit. Je lui souris.

« Suce moi pendant que je conduis, j’en ai toujours rêvé. »

Mon sourire s’élargit et je lui fais oui de la tête. Je me penche, lui défais son pantalon dissimulant à peine son érection et lui libère le membre bien raide. Alors que la voiture se met en marche je le prends en bouche. Le trajet dure un quart d’heure. Durant tout ce temps son membre quitte seulement quelques fois l’emprise de mes lèvres. Mes vas et viens varient. De temps en temps je fais courir ma langue le long de ce beau sexe.

Nous arrivons et mon amant range rapidement son engin, oubliant même de remonter la braguette. On entre dans un beau pavillon des années 1920. La porte se referme et je sens ses mains se poser sur mon fessier que je cambre légèrement. Je porte un jogging qu’il ne tarde à baisser. Dessous, comme à mon habitude lors de ces rencontres, je porte un string en dentelle noir.

Une fessée, puis deux ; puis une troisième plus forte. J’enlève mon t-shirt puis me laisse guider vers le salon. Et là à ma grande surprise je découvre que nous ne sommes pas seuls. Une femme est assise sur un canapé, blonde, la quarantaine, bien conservée. Elle sourit mais ne dit rien. Je sens mon amant se coller à moi.

« Voici ma femme, elle sait tout et elle veut nous regarder faire. » Puis il s’assoit à côté d’elle et déboutonne à nouveau son jean. Il en sort son membre toujours raide.

« Allez petite, fais ce pour quoi tu es venu. »

Hésitant, je m’approche. Les yeux de la femme ne me quittent pas un instant. Lentement je m’agenouille entre les cuisses de l’homme. Sans doute frustré de ma lenteur, il se saisit de ma tête et l’avance fermement, ma joue venant se coller à son gland toujours lubrifié de ma salive. Le contact me donne confiance et je le prends en main tandis que ma main gauche s’introduit dans son caleçon et lui caresse le scrotum. La deuxième pipe est plus langoureuse. Je le savoure entre mes lèvres, contre mon palet, au contact de ma langue. Tout du long je sens le regard de la femme sur moi. De temps en temps mon amant lui caresse les seins. Au bout de quelques minutes elle enlève son haut d’ailleurs. Je jette un coup d’œil vers le haut. Aucun doute elle n’a rien perdu de sa jeunesse. Puis les mains de l’homme me guident de nouveau sur sa verge. Ma langue joue sur son gland enflé, mes mains accompagnant mes caresses. Je le branle, le suce, le lèche, le titille. La femme se met à mes côtés et d’un coup je sens sa main sur mon sexe, raide sous la dentelle du string.

« Bien dur toi aussi on dirait, même si ce n’est pas exactement le même gabarit. »

Je continue de sucer, la main de son mari me maintenant à présent la tête fermement en place. La femme se met à serrer. Sa poigne devient tellement forte autour de mon scrotum qu’une larme coule le long de ma joue. Mais l’emprise m’excite et me pousse à accélérer la fellation.

« Tu aimes ça on dirait. »

Elle insinue ses doigts sous la dentelle et se saisit de mon sexe. Alors que j’ai encore celui de son mari en bouche elle me branle fermement.

Cinq minutes plus tard et nous sommes tous les trois dans la chambre. Mon amant et sa femme sont nus, moi toujours en string. Je suis partagé entre le désire pour la femme et ma soumission devant l’homme. Nous sommes devant le lit, debout. Mon amant est collé à moi, son sexe au creux de mes reins. Sa femme se tortille devant moi. J’ai tellement envi d’elle. D’un coup l’homme me cambre cependant et je prends appuis contre le lit. Je sens quelque chose de froid contre mon trou. Je ne l’ai même pas vu prendre le lubrifiant. Il va me baiser devant elle. L’idée m’excite. Il m’écarte le string et je sens son gland se caler contre moi. Je lève de nouveau le regard vers la femme nue sur le lit. Il me pénètre, son gland entrant d’un coup. Je gémis. Elle sourit. Il grogne. Ses premiers coups de reins sont lents et fermes. Puis il s’accélère. Je suis butiné contre le lit, son bassin tapant contre mes fesses. Il me pousse en avant, en levrette, ses mains fermement sur mes hanches. Les coups de reins reprennent, plus forts. Elle s’approche de moi.

« Tu as envi de me baiser hein ? »

Je fais oui de la tête. Elle rit.

« Tu n’en as pas le droit. Mais moi oui. »

Elle se lève du lit et disparaît de mon champ de vision. Mon amant continu un instant de me prendre puis s’arrête. Il se retire. D’un coup il me retourne. Ils sont tous les deux devant moi, au bord du lit. Mon regard descends. Mon dieu elle porte un gode ceinture.

« Allez, écarte les cuisses. » Sa voix est emplie d’excitation.

Elle se place entre mes jambes que j’écarte sans résistance. Mon amant s’agenouille prêt de ma tête. Il commence à se branler. Puis je ne me concentre que sur cet objet froid qui s’insinue sans attendre en moi. Elle me pénètre profondément, le gode enduit lui aussi de lubrifiant. Il est gros mais mon amant m’a suffisamment préparé. Elle se saisit de mon sexe, et, tandis qu’elle commence à son tour les coups de reins, me branle lentement.

« Les femmes savent faire deux choses à la fois. »

Je suis aux anges. Je ferme les yeux et sens une barre chaude se poser contre mes lèvres. J’ouvre la bouche pour accueillir le sexe de mon amant. Nous continuons ainsi de longs instants, moi les jambes écartées, fermement maintenues en l’air par la femme de mon amant, me laissant baiser en un rythme exquis de vas et viens, tout en suçant langoureusement le phallus qui m’est offert.

Nous alternons de position. Je chevauche mon amant tandis que sa femme nous observe, se caressant, le regard excité. Elle me pénètre à nouveau tandis que mon amant la prend simultanément, en levrette. Je gémis encore et encore. Puis je suis de nouveau à genoux, cette fois devant mes deux hôtes. Je prends la queue raide de l’homme en bouche, je sens qu’elle est prête à éjecter son foutre. Je ne suis pas déçu. Mon visage est inondé de sa semence épaisse alors que je donne quelques coups rapides de ma main droite, mes doigts autour du gland. Après que les dernières goûtes se soient écrasées contre ma peau à présent collante, je me tourne vers sa femme qui se positionne au-dessus de moi. Elle a enlevé le gode. Je la lèche longuement, son parfum épicé m’emplissant les narines. Elle accompagne ma langue en me guidant de ses mains, et d’un vacillement des hanches. Elle jouit, sa respiration rapide, ses yeux fermés. Nous restons immobiles quelques instants. Mon visage est couvert d’un fin mélange de sperme et de cyprine.

La femme s’allonge sur le lit, sur le ventre. Elle tourne la tête vers moi.

« Allez petit, tu as mérité le droit d’un instant de virilité. Vient me prendre. »

Excité, confus presque, je me lève et m’avance vers le lit. Je me place derrière ses fesses que j’écarte de mes mains. Mon dieu mais elle est bien faite. Je positionne mon sexe de nouveau raide entre ses cuisses. Je sens sa chaleur m’envelopper et je glisse en elle. Je commence les coups de reins, lents puis rapides. Alors que je m’apprête à jouir je sens les mains de mon amant de nouveau sur mes hanches. Il veut me baiser en même temps ! Je le laisse faire, obligé d’arrêter ma propre satisfaction le temps qu’il se positionne. Sa queue entre de nouveau en moi. Nous entamons un mouvement régulier, en parfaite harmonie, lui en moi, moi en sa femme. Le plaisir est immense, montant du bas de mon ventre. Je ne tarde à jouir, laissant mon sperme se projeter en la femme. Je reste en elle tandis que l’amant se satisfait. Il grogne, ses coups rapides et fermes. Son deuxième orgasme vient en quatre grands a coups.

Je quitte la maison épuisé. C’est la femme qui me raccompagne en voiture. A ma grande surprise elle monte chez moi une fois arrivé. Elle me guide sur le lit. Nous nous déshabillons et faisons une dernière fois l’amour – en missionnaire cette fois.

« Pas si mauvais pour un soumis, » me dit-elle en me quittant.