La femme de mon papa - histoire érotique

Marc, divorcé, a pris en deuxième noce Josiane. Marc a un fils de son premier mariage, Morgan, le jeune homme de vingt ans prépare un master en économie. Morgan s'entend parfaitement avec sa belle-mère, au fil des années, ils sont devenus très fusionnels, voire complice dans certain cas.


Il est deux heures du matin, Morgan rentre d'un anniversaire trop arrosé. Lui qui ne boit jamais, a beaucoup de mal à trouver le trou de la serrure, c'est en titubant et en butant contre les chaises et la table qu'il parvient à se rendre au frigo pour boire une dernière bière.


Il fait tellement de bruit, que sa belle-mère se réveille. Elle repousse les draps et descend de sa chambre en nuisette. Encore à moitié endormit, elle descend les marches de l'escalier avec la souplesse d'un félin, son déhanchement naturel, fait écarquiller les yeux de son beau-fils. Malgré qu'il a les yeux vitreux, il voit que Josiane, ne porte pas de sous vêtements sous sa nuisette. Elle s'avance vers lui pour lui parler, lui, s'accroche à elle tant bien que mal et, la serre contre lui.

Josiane détourne la tête, car Morgan empeste l'alcool. Elle lui dit :

-Mais tu as bu Morgan, tu ne tiens plus debout, aller vas te coucher, tu réveilles tous le monde !

Il la regarde et lui dit en béguant :

-Je vais me coucher, si seulement tu m'embrasses !

Josiane se sent obligée, elle donne un baiser rapide sur la joue de son beau-fils qui réagit :

-C'est ça que tu appelles un baiser, eh bien ma salope, je vais te montrer ce que c'est qu'un vrai baiser !

Il pose ses lèvres sur les siennes, et avec sa langue lui force la bouche. Josiane tente de le repousser, mais le bougre la maintient fermement contre lui. Les langues se nouent, un flot de salive remplit la bouche de Josiane, qui n'a pas d'autre choix que d'avaler. Morgan délaisse les lèvres, il se déchaine, il regarde sa belle-mère, ses yeux lancent des flammes, il lui dit :

-je veux te baiser salope, je veux bourrer la chienne que tu es, je suis sûr que mon père t'a baiser toute la nuit et que ta chatte porte encore les traces de son sperme, avoue salope que tu t'es fait tringler toute la nuit !

Tout en vociférant il la saisit par les fesses et la tire fortement contre lui. Josiane reste un moment sans voix, lui si respectueux la traite comme une moins que rien, elle réagit :

-Mais tu deviens fou Morgan, je te demande de modérer tes paroles !

Il réplique en la toisant :

-Oui, je te traite de salope, de pute, car tu es un grosse salope. Je t'entends la nuit gémir sous les coups de bites de mon père, et tu réclames qu'il te défonce encore plus fort, tu aimes te faire défoncer sale pute avoue, sens ma bite qui gonfle contre ton ventre de salope, je vais te démonter si fort, que tu vas en redemander !

Josiane reste sans dire un mot, elle n'ose avouer qu'elle adore les mots crus dans certaines circonstances. Effectivement elle sent contre son ventre la verge qui enfle de plus en plus. Sa respiration s'accélère, Morgan passe ses mains sous la nuisette, et palpe les fesses bien rebondies de la belle-mère complétement désirabilisée. Ses doigts glissent dans le large sillon, un visiteur appuie sur son anus. Josiane se raidit, en poussant de nombreux soupirs, elle dit faiblement :

-Non, non Morgan soit raisonnable mon chéri, vas te coucher !

Mais le bougre très enivré, appuie plus fort, Josiane se cabre, le doigts s'enfonce dans son anus jusqu'à la dernière phalange, elle gémit :

-Morgan non, non, cesse je t'en prie, reprends-toi !

Sans dire un mot, il ramone doucement le conduit, sa bite devient opérationnelle, Josiane ne peut ignorer le manche qui frotte sur son ventre. Elle serre les dents, frissonne, elle n'a même pas ma force de se débattre. Morgan s'excite comme une bête en rut. En enfonçant son doigt le plus loin possible, et dit avec de l'écume sur les lèvres :

-Tu aimes te faire enculer, hein salope, mon père doit bien t'éclater le cul, le salaud, tu prends des pieds d'enfer avec lui, avoue pouffiasse. Eh bien maintenant tu vas t'éclater avec ma bite sale pute !

Il retire son doigt du fondement, et extirpe de son pantalon sa bite gonflée au maximum. Josiane regarde la verge en écarquillant les yeux, elle la trouve impressionnante. Morgan dans sa folie délirante, retrousse la nuisette de sa belle-mère. Il regarde la vulve et dit :

-J'avais raison, tu t'es fait défoncer toute la nuit salope, tes poils son recouvert de sperme séché, à l'avenir lorsque tu te feras défoncer, comme tu es maintenant ma chose, ne te laves plus. je veux sentir ta chatte de salope encore gorgée de sperme, et te la bouffer !


Josiane, n'en croit pas ses oreilles. Il se plaque contre elle, et s'agite contre son ventre, Josiane s'accroche à lui en soufflant, elle défaille. Il veut lui planter sa bite dans le ventre, mais le bougre est tellement excité, qu'il explose, sa hampe expulse plusieurs jets de sperme, qui atterrissent sur le ventre et la chatte de Josiane qui reste quasiment sans voix. Déstabilisée par le comportement anormal de son beau-fils, elle souffle comme un dragon.

Mécaniquement elle étend avec sa main, le sperme sur sa chatte et son ventre, elle respire mal, sa nuisette retombe, inconsciemment elle continue de se frotter son bas ventre, sa nuisette s'englue de semence épaisse. Morgan semble apaisé, il se dirige vers le salon en marmonnant, et se laisse tomber lourdement sur le canapé. Josiane s'approche et regarde encore un long moment la verge gluante qui souille le pantalon de son intrépide beau-fils.

Le bougre s'endort d'une masse, Josiane s'assoie en face de lui pour se remettre de ses émotions. C'est incroyable, la verge ne faiblit pas elle est toujours tendue, elle est même secouée par de nombreux soubresauts, les mouvements incontrôlés, font que la verge envoie quelques gouttelettes de sperme sur le sol. Josiane ravale sa salive, elle n'arrive pas à réaliser de ce qui c'est passé. Très excitée, elle retrousse sa nuisette et saisit habilement son clito, qui sans qu'elle le voulait vraiment, inconsciemment, le bougre a triplé de volume. Elle le triture, le martyrise férocement, ses grimaces prouvent qu'elle ne fait pas semblant.

Elle grogne, comme une bête elle ne cesse de regarder la bite de Morgan qui peu à peu décline. Une furieuse jouissance la fait cabrer, elle met un bon bout de temps pour reprendre ses esprits. Enfin elle se lève de son fauteuil et rejoint sa chambre sans avoir au paravent, presser plusieurs fois la verge de Morgan, pour en extraire le restant de jus qui se cache dans la hampe.

Elle s'enfonce sous les draps et se blottit contre son mari, en se remémorant la scène. Elle commence soupirer, elle s'excite en revoyant la verge tendue de son beau fils. Elle commence à tripoter la bite de son mari, la coquine est chaude comme de a braise. Marc s'éveil, il sait que sa femme à de fréquentes pulsions sexuelles, et qu'à chaque fois il est volontaires pour la satisfaire. Sa bite devient rapidement dure comme du bois. Soudain Josiane repousse les draps et enjambe son mari, elle saisit sa bite et s'empale dessus jusqu'au couilles.



La coquine s'agite comme une forcenée en cherchant sa jouissance. Son corps monte et descend sur le pal qui l'embroche. Elle grogne comme une bête, jamais son mari ne l'a vu aussi chaude. Elle geint fortement, mais la coquine, ne pense pas à Marc pendant sa chevauchée, c'est à son fils qu'elle pense. La coquine jouit plusieurs fois, Marc aussi d'aileurs, elle ne cesse de s'agiter que lorsque son corps demande grâce. Le matin, elle se lève avant son mari, elle passe dans le salon son beau-fils dort toujours sa verge est hors du pantalon souillé.


Josiane la regarde un long moment, puis jette une petite couverture sur lui pour cacher le sexe endormi. Elle prépare le petit déjeuner, Marc se lève à son tour, c'est son jour de pêche. Il voit son fils dans le salon, sa femme lui explique, qu'il est rentré tard, qu'il avait bu, et qu'il c'est endormi dans sur le canapé. Marc sourit et prend place à table. Il avale son déjeuner rapidement et part en emportant son déjeuner, rejoindre ses potes au bord de l'étang, pour une longue journée de pêche.

Josiane calculatrice, porte volontairement, la même nuisette sur le corps
Elle est toujours nue dessous. Ses yeux sont cernés, ses traits tirés, ses poils portent encore les traces des folies de la nuit. Morgan doucement s'éveil, il s'étire comme un félin. Il croise le regarde de sa belle-mère, il lui sourit et la salue. Elle vient s'assoir à côté de lui. Puis elle lui demande ironiquement :

-Alors mon chéri, ta nuit c'est bien passée ?

il répond :

-Oh oui très bien, mais je crois que j'ai abusé de l'alcool, j'ai mal à la tête !

Josiane souriante lui dit :

-Que mal à la tête, voyou ?

Morgan ne semble pas comprendre, il fronce les sourcils et demande :

-Pourquoi, j'ai fait quelques chose de mal ?

La belle-mère en le regardant dans les yeux, fait tomber la couverture. Morgan sursaute et plaque ses mains sur sa verge endormie. Il ne comprend pas, il ne se souvient de rien. Josiane lui raconte tout dans le moindre détail. Elle lui montre même sa nuisette tâchée de sperme séché. Morgan rougit comme une pivoine et réplique :

-Je n'ai pas pu faire une chose pareille, je t'aime trop pour ça, c'est l'alcool, je n'était plus moi, et te dire toute ses obscénités, mon dieu comme j'ai honte. Comment me faire pardonner ?

Josiane le regarde et sans dire un mot, se place face à lui et doucement remonte sa nuisette, en découvrant son bas-ventre. Elle écarte les jambes et lui saisit la tête, qu'elle approche de sa vulve odorante, et lui dit d'un ton autoritaire :


-Tu me sembles moins hardi que cette nuit mon salaud, tu veux un verre d'alcool pour te donner du courage, vas-y bouffe moi la chatte fais se que tu as promis de faire à ta pute !

Morgan hume l'odeur de l'amour que la chatte de sa belle-mère rejette. Il ne se contrôle plus. Il la saisit brutalement par les fesses, la tire fortement contre son visage, et commence à lui dévorer la chatte. Josiane se cambre pour mieux offrir à la bouche vorace sa chatte, qui sent encore le sperme. La langue habile s'enfonce dans la cavité vaginale, et la fouille profondément. La belle-mère geint de plaisir et en appuyant sur la tête de son jeune amant dit :

-Oui, oui comme ça mon chéri, continue!

Morgan lui aspire le clito, sa belle-mère de cabre en poussant un long râle, elle n'en peut plus, elle ne peut retenir ses gémissements qui sont très, très Bruyants. Soudain, une Brulure intense lui traverse le ventre, sa jouissance est terrible, elle est si forte qu'elle vacille et manque de tomber sur le sol. Morgan a juste le temps de la rattraper, et de la basculer sur le canapé. Josiane halète fortement son corps est secoué de frissons incontrôlables. Morgan profite de se moment de répit pour retirer ses vêtements.

Sa verge est dure comme du béton, les yeux de sa belle-mère bien que vitreux, se figent sur le manche de chair fortement veiné. Il s'avance vers sa proie et d'une voix ferme lui dit :

Maintenant salope, tu vas faire tout ce que je désir, tu seras ma chienne soumise !

Josiane excitée comme jamais, répond en ne quittant pas du regard l'engin gonflé à l'extrême :

-Oui mon chéri, je ferai tous ce que tu veux, fais de moi ta chienne. Toute la nuit je n'ai pensé qu'a toi, j'ai même jouis pour toi !

Morgan lui retrousse la nuisette, et lui donne un bonne tape sur la cuisse en disant :

Dorénavant, tu jouiras que lorsque je te l'autoriserai salope, c'est compris !

la belle-mère aime être traitée durement et grossièrement, cela la rend hystérique :

-Oh oui, oui mon chéri ordonne moi de jouir, j'obéirai !

Elle se frotte la cuisse en grimaçant, tellement le coup a été violent. Morgan la regarde et lui dit :

-Suce-moi grognasse, et surtout avale !

Josiane décalotte le gland, elle observe un moment le large chapeau qui recouvre la hampe épaisse, et avant de le gober, donne quelques coups de langue bien ajustées sur le cèpe. Les aspirations sont puissantes, Morgan serre les dents, il se tend comme un arc et dit entre deux grognements :

-Oui, oui encore, putain tu es douée Josiane, vas-y, vas-y !


Le beau-fils grince des dents, se cabre comme un cheval fougueux, et explose de jouissance, une puissante giclée de sperme remplit la bouche de la suceuse qui repousse l'éjaculateur, un filet de sperme s'écoule la commissure de ses lèvres, elle déglutit en faisant une moue et finit par tout avaler. Elle ouvre la bouche toute grande, pour montrer à son jeune amant qu'elle à tout avaler. Elle est prête à tout accepter de lui. Morgan est ravi la cochonne lui obéit sans rechigner. Il lui arrache la nuisette et la prend à bras le corps pour l'allonger sur la petite table basse du salon.

Il lui pince les mamelons pour stimuler sa belle-mère, avant de lui malaxer les seins. Il pétrit fortement les lobes, enfoncent ses doigts dans les chairs, pour enfin gober un à tour de rôle les mamelons. Il les suce, les étire au maximum avec ses dents. Et pour terminer, il les roule entre ses doigts, les écrase, pour les rendre épais. Josiane gémit de plaisir, elle pâme de bonheur, se cambre comme pour demander une pénétration.