La femme ne sent son pouvoir qu'autant qu'elle en abuse
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La femme ne sent son pouvoir qu'autant qu'elle en abuse
« La femme ne sent son pouvoir qu'autant qu'elle en abuse. »
(Nicolas de la Bretonne)
Une citation qui est la base, le sujet de mon récit.
Appliqué à nos pratiques libertines, c’est dans cette direction que nous avons dérivé.
Sabine a trouvé un équilibre dans nos Jeux, comme elle aime à les designer. C’est vrai qu’elle est à chaque rencontre, le centre de toutes les attentions et cela l’enflamme. Toujours flattée et complimentée pour ses toilettes séduisantes, sa lingerie précieuse, aphrodisiaque, et plus tard, alors que ses guipures jonchent le sol, c’est sa peau douce et glabre que l’on loue au champagne.
Les mâles qui lui font l’amour s’exaltent sur ses charmes et ses appas. Ils sont récompensés (de la bouteille de vin doré ou de la brassée de roses rouge que les plus audacieux apportent) par les attentions corrompues qu’une femme affranchie et garce leur accorde.
Indiscutablement, ma chérie est toujours adulée à ces occasions et généralement comblée sexuellement par ses amants d’un soir. Je défends pourtant l’idée que nous pouvons encore monter ensemble un échelon sur l’échelle de la félicité.
Il faudra, pour l’atteindre, que ma bien-aimée consente à reconnaitre le pouvoir de séduction, la fascination, l’ascendance qu’elle opère sur ces galants d’un soir et sur moi aussi, forcément.
Sans rien abandonner de sa délicatesse ou de sa succulence, elle va subrepticement inverser la dominance masculine conventionnelle, pour une allégeance que nous lui accorderons presque naturellement.
Je crois pouvoir dire sans risquer de me tromper que chaque homme, aussi masculin qu’il soit, possède au cœur de sa personnalité, des aptitudes serviles. De la même façon, la majorité des femmes ont une puissance disponible sous-estimée.
C’est elle qui est aux commandes et nous ses auxiliaires timorés. Au début, nous accepterons cette posture par curiosité et par jeu. Puis nous endosserons complaisamment, sans pouvoir nous y soustraire, la condition de sujet obéissant et maniable.
Dès lors que Sabine accède à cette faculté innée, elle conduit naturellement ses compagnons d’un soir et moi-même à l’apogée de ses attentes effervescentes.
Sabine Maîtresse Amante s’est converti sans tapage en Sabine Maîtresse Conquérante. Le plus fabuleux, c’est que nous les hommes, nous y prenons un plaisir certain, un attrait comme si nous avions une prédisposition à être enjôlés, amadoués, matés.
J’encourage déjà ma compagne chérie à exprimer ses caprices, ses exigences, ses appétits dans son cercle courtisan.
Le temps est venu où ma femme est Reine et Souveraine.
Un statut qu’elle occupe avec aplomb et panache. La poitrine altière, le regard conquérant. Elle libère sa vraie nature. La chrysalide est enfin papillon, magistral, accompli, solaire. Et je suis son avocat, son chauffeur, tantôt majordome, tantôt souffre-douleur. Toujours disposé à servir ses pulsions, à exalter ses fantaisies.
Je savais que ma dame avait ce tempérament, ce talent à contrôler les attentions masculines dont elle fait l’objet. Je suis aux anges quand elle affirme son pouvoir sur les hommes en général et sur moi en particulier. Parce que les hommes, tous les hommes s’inclinent et s’attachent à combler une femme sûre de son appétit sexuel.
Cette affirmation, cette assurance qu’elle affiche la conduit naturellement sur un versant dominant, je l’accueille avec bienveillance. Elle, et elle seule, possède le pouvoir de stimuler et de contrôler mon désir exclusif. J’accueille sans réserve cette hégémonie nouvelle. Je sais les risques, les frissons, les interdits transgressés, les égarements. Je le redis, Sans Réserve !
Je l’aime ainsi, dirigeante, impertinente, assumée. Ma muse dépravée ne peut plus ignorer l’excitation que m’apporte ses ardeurs sensuelles.
Cette femme, mon égérie dépravée s’applique à me faire part de toutes les opportunités de rencontres où elle est convoitée et satisfaite par ses prétendants, amants fidèles ou collusions fortuites. Elle cultive mon appétence un tantinet masochiste à être dépossédé, à démontrer qu’elle ne m’appartient plus. Je fais mon miel des éloges masculines qu’elle détaille dans ses messages lors de ses parenthèses adultérines.
Un plaisir fulgurant et obsédant qui nous uni toujours. Désormais un audacieux équilibre s’est établi entre nous. Je suis fier d’être son serviteur lascif et docile.
Si c’est un jeu, alors je suis son jouet favori.
(Nicolas de la Bretonne)
Une citation qui est la base, le sujet de mon récit.
Appliqué à nos pratiques libertines, c’est dans cette direction que nous avons dérivé.
Sabine a trouvé un équilibre dans nos Jeux, comme elle aime à les designer. C’est vrai qu’elle est à chaque rencontre, le centre de toutes les attentions et cela l’enflamme. Toujours flattée et complimentée pour ses toilettes séduisantes, sa lingerie précieuse, aphrodisiaque, et plus tard, alors que ses guipures jonchent le sol, c’est sa peau douce et glabre que l’on loue au champagne.
Les mâles qui lui font l’amour s’exaltent sur ses charmes et ses appas. Ils sont récompensés (de la bouteille de vin doré ou de la brassée de roses rouge que les plus audacieux apportent) par les attentions corrompues qu’une femme affranchie et garce leur accorde.
Indiscutablement, ma chérie est toujours adulée à ces occasions et généralement comblée sexuellement par ses amants d’un soir. Je défends pourtant l’idée que nous pouvons encore monter ensemble un échelon sur l’échelle de la félicité.
Il faudra, pour l’atteindre, que ma bien-aimée consente à reconnaitre le pouvoir de séduction, la fascination, l’ascendance qu’elle opère sur ces galants d’un soir et sur moi aussi, forcément.
Sans rien abandonner de sa délicatesse ou de sa succulence, elle va subrepticement inverser la dominance masculine conventionnelle, pour une allégeance que nous lui accorderons presque naturellement.
Je crois pouvoir dire sans risquer de me tromper que chaque homme, aussi masculin qu’il soit, possède au cœur de sa personnalité, des aptitudes serviles. De la même façon, la majorité des femmes ont une puissance disponible sous-estimée.
C’est elle qui est aux commandes et nous ses auxiliaires timorés. Au début, nous accepterons cette posture par curiosité et par jeu. Puis nous endosserons complaisamment, sans pouvoir nous y soustraire, la condition de sujet obéissant et maniable.
Dès lors que Sabine accède à cette faculté innée, elle conduit naturellement ses compagnons d’un soir et moi-même à l’apogée de ses attentes effervescentes.
Sabine Maîtresse Amante s’est converti sans tapage en Sabine Maîtresse Conquérante. Le plus fabuleux, c’est que nous les hommes, nous y prenons un plaisir certain, un attrait comme si nous avions une prédisposition à être enjôlés, amadoués, matés.
J’encourage déjà ma compagne chérie à exprimer ses caprices, ses exigences, ses appétits dans son cercle courtisan.
Le temps est venu où ma femme est Reine et Souveraine.
Un statut qu’elle occupe avec aplomb et panache. La poitrine altière, le regard conquérant. Elle libère sa vraie nature. La chrysalide est enfin papillon, magistral, accompli, solaire. Et je suis son avocat, son chauffeur, tantôt majordome, tantôt souffre-douleur. Toujours disposé à servir ses pulsions, à exalter ses fantaisies.
Je savais que ma dame avait ce tempérament, ce talent à contrôler les attentions masculines dont elle fait l’objet. Je suis aux anges quand elle affirme son pouvoir sur les hommes en général et sur moi en particulier. Parce que les hommes, tous les hommes s’inclinent et s’attachent à combler une femme sûre de son appétit sexuel.
Cette affirmation, cette assurance qu’elle affiche la conduit naturellement sur un versant dominant, je l’accueille avec bienveillance. Elle, et elle seule, possède le pouvoir de stimuler et de contrôler mon désir exclusif. J’accueille sans réserve cette hégémonie nouvelle. Je sais les risques, les frissons, les interdits transgressés, les égarements. Je le redis, Sans Réserve !
Je l’aime ainsi, dirigeante, impertinente, assumée. Ma muse dépravée ne peut plus ignorer l’excitation que m’apporte ses ardeurs sensuelles.
Cette femme, mon égérie dépravée s’applique à me faire part de toutes les opportunités de rencontres où elle est convoitée et satisfaite par ses prétendants, amants fidèles ou collusions fortuites. Elle cultive mon appétence un tantinet masochiste à être dépossédé, à démontrer qu’elle ne m’appartient plus. Je fais mon miel des éloges masculines qu’elle détaille dans ses messages lors de ses parenthèses adultérines.
Un plaisir fulgurant et obsédant qui nous uni toujours. Désormais un audacieux équilibre s’est établi entre nous. Je suis fier d’être son serviteur lascif et docile.
Si c’est un jeu, alors je suis son jouet favori.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire de couille molle de lopette pauvre auteur être marié à une pute vous n avez pas peur d être arrêté pour proxénétisme ça vous pends au nez sans compter les risques d attraper des maladies veneriennes car la pute baise sans protection taille des pipes avec des mecs pas net vous êtes vraiment deux inconscients.
Merci pour vos éloges.
Je réponds à la lectrice qui me demande si je suis Ajax, et je lui réponds OUI.
Je n’ai pas réussi à reprendre mon profil initial, alors j’en ai créé un deuxième : AJAX2
Je réponds à la lectrice qui me demande si je suis Ajax, et je lui réponds OUI.
Je n’ai pas réussi à reprendre mon profil initial, alors j’en ai créé un deuxième : AJAX2
Il est des textes éclairants et justes ,celuiçi en est la pafaite illustration dans l'acceptation de la Supérioté de ces Femmes .MERCI de votre clairvoyance .
Vous etes aussi Ajax tout court ?
Magnifique !!!
Enfin une écriture somptueuse, poétique, qui met en valeur la femme au lieu de la déshonorer en des termes bas et humiliants...
Je n'ai jamais franchi le pas du candaulisme, malheureusement ? Mais je suis sensible à ses récits, peut-être un jour, mais mon épouse n'en n'a jamais émis l'idée ou l'envie.
Une suite est des plus attendues, bravo !
Enfin une écriture somptueuse, poétique, qui met en valeur la femme au lieu de la déshonorer en des termes bas et humiliants...
Je n'ai jamais franchi le pas du candaulisme, malheureusement ? Mais je suis sensible à ses récits, peut-être un jour, mais mon épouse n'en n'a jamais émis l'idée ou l'envie.
Une suite est des plus attendues, bravo !