La ferme aux surprises : chambre d’hôte 3
Récit érotique écrit par Ensemble [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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La ferme aux surprises : chambre d’hôte 3
- Maurice découvre ses petites fesses, il aimerait tant les ouvrir et lécher cette rondelle et cette chatte. Il change d’écran recherche Geneviève et Julien, les trouve en train de donner de l’eau aux chèvres, il entend Julien parler à Geneviève« Je suis désolé pour ce matin, je n’aurais pas dû vous dire ce que je vous ais dit »« vous savez les compliments font toujours plaisirs à une femme »« j’en suis ravi, mais vous savez vous êtes belle »« Merci Julien, mais vous savez il faut penser à Géraldine et je pourrais être votre mère »« Je sais, je peux vous poser une question ? »« oui bien sûr, »Julien s’avance vers elle, la regarde, il est à 50 cm d’elle« aimeriez vous que je vous touche, là ? »elle le regarde, lui sourit« vous pouvez toujours essayer, vous verrez »Julien surpris, tend sa main sur le visage de Géraldine, le caresse, puis lui touche les cheveux, redescend sur son visage, passe un doigt sur ses lèvres, elle ne bouge pas, le regarde, sa main descend sur l’échancrure de sa robe, puis effleure un sein, insiste, elle ne bouge toujours pas, alors sa main descend sur son ventre, puis arrive au niveau de ses cuisses, sa robe est ouverte, il se faufile sent sa peau, puis arrive à sa culotte, elle le laisse faire, alors sa main se faufile entre les cuisses de Geneviève, force un peu le passage, elle écarte un peu les jambes, en lui disant« Julien, vous êtes très pressé, trop pressé, en amour il faut du temps, des préliminaires, il vous faut apprendre la femme, son corps, ses sensations, ses envies et tout en parlante elle tend la main sur le devant du jean de Julien, il y a une grosse bosse là, vous avez envi »« oui »« alors faites ce que je vous dis » …….
vous devriez aller retrouver Géraldine, vous occuper d’elle, lui faire l’amour, lui donner du plaisir, au fait est-elle bisexuelle ?
- Je ne sais pas- Et vous- C'est-à-dire- Avez-vous fait des choses sexuelles avec un homme- Heu, non- Vous avez confiance en moi- Naturellement- Vous n’aimeriez pas que Géraldine sache que vous me draguez- Surement pas, elle me tuerait- Alors ça restera entre nous- Promis- Pas toujours évident, un peu coincée, Geneviève et Julien discute, naturellement, Maurice les regarde, les écoutes, puis change de caméra pour aller dans la chambre de Géraldine qui vient juste de ce lever, elle est assise sur le bord du lit, il aperçoit sa petite toisonGéraldine retire son SG, alors Maurice découvre deux petits seins, en forme de pomme, un régal, toujours assise sur le bord du lit, elle prend son téléphone, doit consulter ses messages, plongée dans son téléphone, elle ne voit pas arriver SAM qui vient se positionner face à elle, Maurice sourit, il sent venir la suite, il la sent très curieuse du comportement de SAM, Géraldine sursaute, le voit- Bonjour mon SAM, mon petit coquin, tout en lui grattant la tête, elle lui pose un baiser sur la tête, se laisse faire et relève la tête et lui donne des coups de langues sur ses lèvres, elle se retire- Dis donc tu aimes les lipettes, tu es un brave toutou, tu es le plus beau, tu as l’air de bien aimer, bon Julien ne me répond pas, je vais aller faire pipi et tu restes là, sagement, elle se lève, va aux toilettes, puis reviens dans la chambre, SAM est toujours là, la regarde, elle passe à côté de lui, se lève, la suit et brusquement plante sa truffe entre les jambes de Géraldine qui pousse un cri, se retourne en criant SAM, a ce moment là SAM met sa truffe entre ses cuisses, non pas ça, lui pousse la tête, recule heurte le bord du lit, bascule sur celui-ci, la tête de SAM toujours entre ses cuisses, elle le bouscule, finalement se retire, monte sur le lit, vient lui donner des coups de langue sur le visage, Maurice se régale, il remarque que ses seins pointent, elle pousse, alors il lui donne de grand coup de langue sur ses seins, elle cri, puis lèche son pubis, Géraldine se débat, SAM pas ça, non pas ça, il faut pas, finalement elle arrive à le faire descendre, se lève file vers la porte de la chambre, il la suit et finalement arrive à le mettre dehors, ferme la porte et va s’assoir sur le lit, reprend sa respiration, avec ses mains essuie ses seins, puis sa main se pose sur son pubis on suppose trempée par SAM, puis sa main passe entre ses cuisses, puis les serre, ferme les yeux, Maurice la regarde, on devine qu’elle se caresse, finalement se lève et se dirige à la salle de bain …..
- Maurice change de caméra, retrouve Geneviève et Julien, ils sont face à face et discute …- Julien, vous avez votre téléphone- Oui- Je vais vous demander de filmer ce qui va se passer, je vais vous faire plaisir, retirez votre tee shirt- Pourquoi- Faites ce que je vous dit, il s’exécute, elle le regarde, lui sourit, passe derrière lui, ouvre le haut de sa robe, se dégage, son bute est nue, ses seins pointent, elle passe ses mains entre la taille de Julien, « commencez a filmer », elle défait sont pantalon, le baisse, sa main se pose sur son caleçon, caresse son sexe à travers, « bien excité Julien, on va le libérer, il sera plus à l’aise », alors elle baisse son caleçon, son sexe se libère, bien tendu, pas très gros, fin, elle se plaque à lui, Julien sent ses seins contre son dos, « vous aimez »- Oh oui beaucoup- Maintenant laissez vous faire, détendez vous, alors elle saisit son sexe, qui frétille, une main saisit ses bourses, l’autre son membre, elle le caresse lentement, il s’appui contre elle, il sent bien ses seins, qui durcissent, ses tétons, il est aux anges, alors la main de Geneviève, décalotte doucement ce jeune sexe, de plus en plus, elle regarde son œuvre, arrivée au maximum, revient en avant, puis revient en arrière, une masturbation lente et forte, Julien est heureux, se laisse faire en se disant qu’elle dextérité- Oh oui c’est bon, j’adore je sens que je vais jouir- Geneviève s’arrête, non pas encore, retenez vous, respirez bien, elle lui serre son sexe, il se détend, c’est bien, alors elle le décalotte au maximum, luis caresse les bourses, il gémit, puis recommence sa masturbation, il gémit de plus en plus, elle sent qu’il va se libérer, elle accélère, retenez vous, va de plus en plus vite, gémit de plus en plus il n’en peu plus, elle sent l’arrivée de son jus, il se cambre, pousse un cri et se libère, un jet puissant, Geneviève accélère son mouvement, il tremble, gémit, de beaux jets de sperme s’échappent, puissant, la jeunesse, puis se détend, finalement elle le lâche, repasse devant Julien, découvre ces seins, lui sourit, se rhabille- Vous avez aimé- Oui, beaucoup, on m’avait jamais fait plaisir comme ça, vous avez de beaux seins- Merci, faites moi parvenir la vidéo, ce sera un souvenir, elle voit son sexe se détendre, il ne bande plus- Oui tout de suite, voila- Son téléphone sonne, la voici, merci, maintenant faut rentrer, Géraldine doit se poser des questions et il faut que j’aille voir Maurice, je passe devant, elle se retire et file voir Maurice.
- Maurice est sur la terrasse, tranquille, il voit arriver Geneviève- Maurice, je crois que le petit Julien est prêt, il ne reste plus que Géraldine, je m’en occupe- Si tu veux, je crois que SAM l’a bien titillé, a toi de faire la suite, avec Julien tu as bien aimé- Oui, il a bien éjaculé, il est pressé, une queue moyenne, fine, Géraldine aura des surprises avec la votre, je vous montre la vidéo- Avec plaisir- Pas mal effectivement, il est où- Il a du retrouver Géraldine- Vient, on va voir, elle le suit, Julien est entrain de discuter avec SAM, il est devant la porte de la chambre, il entre Géraldine est à la salle de bain- Géraldine, pourquoi SAM est devant la porte- Je voulais être tranquille, je viens de prendre une douche, tu étais où- Avec Geneviève, avec les chèvres- Elle te plait Geneviève ?
- Attends tu plaisantes, tu es jalouse- Non mais quand même- Oui une belle femme, qui pourrait être ma mère et la tienne, au fait toi aussi tu la regardes, tu aimes les femmes ?
- C'est-à-dire- Tu es bisexuelle- Et toi- Ma puce, on fait la paix, j’ai envi de toi- Tu ne penses qu’à ça, tu m’aimes- Oui bien sûr, elle saute dans ses bras et l’attire sur le lit, ferme la porte et laisse SAM dehors, ce qu’il fait, Géraldine est couchée, nue et attends son chéri ….
Geneviève et Maurice assiste aux ébats des jeunes……Week-end tranquille, les jeunes sont en ballades, Geneviève chez elle en famille, Maurice tranquilleLundi vers 9h, Julien vient voir Maurice - Bonjour Mr Maurice- Bonjour Julien, déjà levé, Geneviève ne va pas tarder si vous avez besoin de quelque chose- Non, merci, hier nous avons eu un problème avec la voiture, vous ne connaîtriez pas un garagiste sur Die- C’est grave- Non je ne pense pas, je préfère la faire voir- Oui j’ai un ami garagiste qui s’occupe de ma voiture et de mon matériel, vous voulez que je lui téléphone ?
- Ça ne vous dérange pas- Pas dut tout, Maurice entre chez lui, Julien attends dehors, il entend une voiture, c’est Geneviève, se gare, sort de la voiture, robe blanche, décolleté important, qui arrive aux genoux, ouverte mi cuisses, elle lui souri- Bonjour Julien, vous allez bien- Bonjour Madame, oui très bien, j’attends Maurice, on a un problème avec la voiture, il se retourne, personne, lui sourit, vous êtes belle- Merci, Géraldine va bien aussi- Oui très bien, Maurice arrive- Julien, pas de problème, il nous attend, je vous accompagne nous y allons avec les deux voitures, en cas de problème, Geneviève je vous laisse la maison, Géraldine et SAM, en lui souriant et je vous tiens au courant- Pas de problème MauriceMaurice se dirige vers sa voiture, Julien la sienne, il a du mal à démarrer, finalement ils partent tous les deux et Geneviève se retrouve seule, alors elle décide d’aller à l’appartement des jeunes, la porte est ouverte, Geneviève entre, appelle- Oui, ,je suis ,dans la chambre, Geneviève s’y dirige, la porte est ouverte, entre Géraldine vient de sortir de la douche, une serviette de bain noué au dessus de sa poitrine lui arrivant mi cuisses.
- Oh pardon, je ne pensais pas vous trouver dans cette tenue, vous êtes très belle- Merci, vous aussi- Merci bien, cela fait plaisir le matin, vous avez déjeuné- Pas encore- Vous voulez que je vous prépare quelque chose, un café, thé, les hommes sont partis à Die pour votre voiture- Oui, je sais Julien m’adit qu’il allait voir Mr Maurice, un thé, merci- Entendu, installez vous sur la banquette, je vous le porte.
elle s’installe, regarde Geneviève qui prépare le thé, elle ne la quitte pas des yeux, son décolleté, ses cuisses, naturellement Geneviève le remarque, le thé étant prêt lui porte sur la table basse et s’assoit à côté d’elle, à ce moment la SAM arrive, alors SAM on vient dire bonjour, il se dirige vers Geneviève et Géraldine, vient chercher sa caresse, puis va se coucher plus loin- Alors Géraldine, ces vacances- Très agréables, les deux femmes discutent longuement, Géraldine dévisage Geneviève, lui sourit- Vous souhaitez me dire quelque chose, elle rougit, s’approche d’elle, pose sa main sur ses cheveux, lui caresse la joue, se penche vers elle et dépose un baiser sur ses lèvres, vous êtes attirée par les femmes- Non, j’aime les hommes, mais, je ne sais pas- Geneviève revient vers elle, lui saisit la tête, dépose ses lèvres sur les siennes, sa langue cherche le passage, qui finalement s’ouvre, Géraldine se retire- Non je ne peux pas- Pourquoi- Je ne sais pas faire avec une femme et il y a Julien- Pas la peine de lui dire, ce sera entre nous, aimeriez vous- Je ne sais pas- Geneviève dépose à nouveau ses lèvres sur celles de Géraldine, qui cette fois laisse le passage, les langues se trouvent, un long baiser les unis, la main de Geneviève commence à lui caresser son épaule, son cou, le haut de sa poitrine, puis passe sa main sur ses seins à travers la serviette, puis se pose sur son genou, tout en continuant de s’embrasser, sa main se glisse entre ses jambes, Géraldine lui sait sa main la retire, Geneviève n’insiste pas et lui glisse à l’oreille- Il faut te laisser aller, détend toi, viens avec moi, l’attire dans la chambre, le lit et encore défait- Et si Julien arrive- Ne t’inquiète pas Maurice me tiendra au courant, assis toi, ce qu’elle fait, elle s’assoit à côté d’elle, la fait basculer délicatement en arrière, Geneviève l’embrasse tendrement, sa langue la fouille, elle commence à se détendre, sa main défait délicatement la serviette, l’ouvre et sa main passe sa main sur son ventre, ses petits seins qui sont devenus durs, ses tétons pointent, ses doigts s’en emparent, les roules, ce qui la fait gémir, sa main descend sur son ventre, puis arrive à son pubis, Géraldine pose sa main sur celle de Geneviève, veut l’arrêter, mais ne l’écoute pas, sa main glisse entre ses jambes serrées, se faufilent, sous ses doigts elle sent ce petite minou, le frotte délicatement, sa bouche quitte ses lèvres et vient s’emparer d’un sein, le lèche, puis saisit un téton, qu’elle suce, aspire, Géraldine commence à gémir, ses jambes se desserrent ce qui laisse le passage , puis retire sa main, vient se mettre face à Géraldine, elles se regardent, ouvre sa robe, la retire, se montre en SG et culotte, Géraldine la regarde avec attention, puis elle dégrafe son sg, deux seins moyens apparaissent, fermes et tendus, retire sa culotte qui fait apparaître une légère toison, qu’elle doit entretenir, elle est nue, vient se placer entre les jambes de Géraldine ce qui l’oblige à les ouvrir, elle vient l’embrasser, puis sur son coup, ses seins, son ventre, se met à genou, regarde cette petite toison, ses grandes lèvres fermées, ses pouces viennent lui caresser l’aine, descend de chaque côté de ses grandes lèvres, les ouvres délicatement, les petites lèvres sont là, elle regarde cette vulve, sa bouche s’approche de celle-ci, passe sa langue sur ses grandes lèvres, ce qui la fait sursauter, puis sur les petites lèvres, elle gémit de plus ne plus, elle la regarde, puis sa langue vient frotter le capuchon de son clitoris, alors après quelques instants sa bouche se pose sur cette chatte, sa langue la pénètre, elle l’aspire, elle pousse de petit cri, Géraldine commence à goûter cette cyprine délicieuse, alors Géraldine saisit la tête de Geneviève, la plaque sur sa chatte, pousse des cris, se cambre, Geneviève l’aspire de plus en plus en lui maintenant ses fesses pour la bloquer, un cri strident, puis s’affaisse, sa respiration est rapide, puis commence à se détendre, alors Géraldine se retire, la regarde, se lève et vient se coucher près d’elle, l’embrasse, elles se regardent avec un petit sourire, en lui disant « tu es délicieuse, un bon petit goût, tu étais bien mouillée »- Tu as bien aimé cette découverte avec une femme, tu y pensais, mais tu n’osais pas franchir le pas- Oui j’en avais envie, en plus vous êtes belle, mais je ne pensais pas que vous accepteriez, je suis une gamine pour vous- Une gamine oui, mais bien appétissante, tu as des petits seins comme je les aime et un petit délicieux, il faudra que je m’occupe plus sérieusement de ton petit bouton, tu as déjà vu une femme de mon âge nue- Non, enfin, si ma mère- Et comment tu la trouves- Elle est belle- Elle t’a déjà vu nue à ton âge- Oui bien sûr- Tu veux me voir- Oui- Alors déshabille-moi, lentement, apprend à découvrir l’autre, ce qui lui fera plaisir- Géraldine regarda Geneviève, s’enhardit, commence à déboutonner le haut de la robe et descend jusqu’au dernier bouton, elle ouvre la robe, Geneviève apparaît en sg et culottes blanches, son visage s’approche de son coup, l’embrasse, elle retire la robe, elle la regarde, ses mains commence à se promener sur ses épaules, les bras, ses mains viennent se poser sur le haut de la poitrine, la caresse, sa main descend sur les bonnets, à travers le fin tissus elle sent les tétons qui ont durcis, alors elle fait glisser les bretelles du sg, Geneviève l’aide un peu, le sg tient tout seul, alors Géraldine, fait glisser les bonnets, deux beaux seins apparaissent, fermes et tendus, elle les regarde « ils sont beaux »- Merci qu’ils te plaisent- Alors sa bouche s’approche d’un sein, l’embrasse, ses lèvres saisissent un tétons, le suce, ce qui fait gémir Geneviève, puis passe à l’autre, ses mains passe dans son dos, dégrafe le sg qui tombe, ses mains saisissent ses seins, les caresse, les pétrit tout en les suçant, puis les laisse et pose ses lèvres sur celles de Geneviève qui la laisse entrer, leur langue se trouvent, s’enroulent, s’aspirent, un long baisser, pendant celui-ci une main descend sur son ventre, passe sur sa culotte, elle veut se faufiler entre ses cuisses, mais celles-ci sont fermées, alors Geneviève les écarte, sa main se pose sur son sexe, le caresse à travers le léger tissus, elle sent un peu d’humidité, alors elle faufile un doigt sur le côté, rencontre une toison légère, se faufile plus loin, sent les grandes lèvres, les caresse avec un doigt, elle arrête son baiser, regarde Geneviève, la fait basculer en arrière, couchée sur le lit, les jambes pendantes, Géraldine se lève, saisit la culotte sur les côté et la fait glisser, la retire et elle voit apparaître pour la première fois un sexe de femme, elle lui écarte les jambes, regarde ses grandes lèvres, passe un doigt dessus, elles sont humides, elles s’ouvrent doucement sous son passage avec sont doigt, alors elle le fait entrer doucement, Geneviève gémit- Oui c’est bien, c’est bon, tu es douce, n’ai pas peur, ouvre mon minou, ce qu’elle fait, un peu gauche, regarde le bien, maintenant fait ce que je t’ai fait, embrasse le, passe ta langue, suce moi, aspire mon bouton, fait moi jouir- Géraldine embrasse doucement ce minou ouvert, un peu surprise de sentir cette chair, passe sa langue sur ses lèvres, puis fait entrer sa langue dans ce vagin, elle trouve un goût bizarre, ça commence à l’exciter, elle sent son minou se mouiller de plus en plus, alors elle commence à aspirer ce minou, Geneviève gémit de plus en plus, ce qui active le plaisir de Géraldine, qui s’active de plus en puis, brusquement Geneviève se cambre, pousse des cris, Géraldine sent da sa bouche sa cyprine, on la dirait sucrée, l’aspire de plus belle, Geneviève se laisse tomber, ne bouge plus, alors Géraldine se relève et vient s’allonger à côté de Geneviève, qui a une respiration saccadée, profonde, son buste est plein de sueur, au bout d’un moment, elle tourne sa tête vers Géraldine, lui sourit- Merci ma chérie tu as été très bien pour une première fois, tu es merveilleuse, je suppose que ton minou est trempée- Oui- Je ne vais pas te laisser comme ça, elle se redresse, monte sur le lit, fait monter Géraldine, l’allonge, lui lève une jambe, vient se glisser entre elles, vient poser son minou sur celui de Géraldine, la regarde, maintenant laisse toi aller, on va se donner du plaisir ensemble, alors elle commence à frotter son minou contre celui de Géraldine, les deux sont trempées, au bout de quelques minutes de ce traitement, Géraldine gémit, pousse des petits cris, Geneviève accélère de plus en plus, elle sent un deuxième orgasme arrivé, les deux partenaires se mettent à crier, se tordent l’une sur l’autre, l’orgasme les saisit, elles sont tendus et finalement Geneviève s’écroule sur le côté, toutes les deux jambes ouvertes, laissant apparaître le plaisir sur leur toison, les seins gonflés et tendus ……….
vous devriez aller retrouver Géraldine, vous occuper d’elle, lui faire l’amour, lui donner du plaisir, au fait est-elle bisexuelle ?
- Je ne sais pas- Et vous- C'est-à-dire- Avez-vous fait des choses sexuelles avec un homme- Heu, non- Vous avez confiance en moi- Naturellement- Vous n’aimeriez pas que Géraldine sache que vous me draguez- Surement pas, elle me tuerait- Alors ça restera entre nous- Promis- Pas toujours évident, un peu coincée, Geneviève et Julien discute, naturellement, Maurice les regarde, les écoutes, puis change de caméra pour aller dans la chambre de Géraldine qui vient juste de ce lever, elle est assise sur le bord du lit, il aperçoit sa petite toisonGéraldine retire son SG, alors Maurice découvre deux petits seins, en forme de pomme, un régal, toujours assise sur le bord du lit, elle prend son téléphone, doit consulter ses messages, plongée dans son téléphone, elle ne voit pas arriver SAM qui vient se positionner face à elle, Maurice sourit, il sent venir la suite, il la sent très curieuse du comportement de SAM, Géraldine sursaute, le voit- Bonjour mon SAM, mon petit coquin, tout en lui grattant la tête, elle lui pose un baiser sur la tête, se laisse faire et relève la tête et lui donne des coups de langues sur ses lèvres, elle se retire- Dis donc tu aimes les lipettes, tu es un brave toutou, tu es le plus beau, tu as l’air de bien aimer, bon Julien ne me répond pas, je vais aller faire pipi et tu restes là, sagement, elle se lève, va aux toilettes, puis reviens dans la chambre, SAM est toujours là, la regarde, elle passe à côté de lui, se lève, la suit et brusquement plante sa truffe entre les jambes de Géraldine qui pousse un cri, se retourne en criant SAM, a ce moment là SAM met sa truffe entre ses cuisses, non pas ça, lui pousse la tête, recule heurte le bord du lit, bascule sur celui-ci, la tête de SAM toujours entre ses cuisses, elle le bouscule, finalement se retire, monte sur le lit, vient lui donner des coups de langue sur le visage, Maurice se régale, il remarque que ses seins pointent, elle pousse, alors il lui donne de grand coup de langue sur ses seins, elle cri, puis lèche son pubis, Géraldine se débat, SAM pas ça, non pas ça, il faut pas, finalement elle arrive à le faire descendre, se lève file vers la porte de la chambre, il la suit et finalement arrive à le mettre dehors, ferme la porte et va s’assoir sur le lit, reprend sa respiration, avec ses mains essuie ses seins, puis sa main se pose sur son pubis on suppose trempée par SAM, puis sa main passe entre ses cuisses, puis les serre, ferme les yeux, Maurice la regarde, on devine qu’elle se caresse, finalement se lève et se dirige à la salle de bain …..
- Maurice change de caméra, retrouve Geneviève et Julien, ils sont face à face et discute …- Julien, vous avez votre téléphone- Oui- Je vais vous demander de filmer ce qui va se passer, je vais vous faire plaisir, retirez votre tee shirt- Pourquoi- Faites ce que je vous dit, il s’exécute, elle le regarde, lui sourit, passe derrière lui, ouvre le haut de sa robe, se dégage, son bute est nue, ses seins pointent, elle passe ses mains entre la taille de Julien, « commencez a filmer », elle défait sont pantalon, le baisse, sa main se pose sur son caleçon, caresse son sexe à travers, « bien excité Julien, on va le libérer, il sera plus à l’aise », alors elle baisse son caleçon, son sexe se libère, bien tendu, pas très gros, fin, elle se plaque à lui, Julien sent ses seins contre son dos, « vous aimez »- Oh oui beaucoup- Maintenant laissez vous faire, détendez vous, alors elle saisit son sexe, qui frétille, une main saisit ses bourses, l’autre son membre, elle le caresse lentement, il s’appui contre elle, il sent bien ses seins, qui durcissent, ses tétons, il est aux anges, alors la main de Geneviève, décalotte doucement ce jeune sexe, de plus en plus, elle regarde son œuvre, arrivée au maximum, revient en avant, puis revient en arrière, une masturbation lente et forte, Julien est heureux, se laisse faire en se disant qu’elle dextérité- Oh oui c’est bon, j’adore je sens que je vais jouir- Geneviève s’arrête, non pas encore, retenez vous, respirez bien, elle lui serre son sexe, il se détend, c’est bien, alors elle le décalotte au maximum, luis caresse les bourses, il gémit, puis recommence sa masturbation, il gémit de plus en plus, elle sent qu’il va se libérer, elle accélère, retenez vous, va de plus en plus vite, gémit de plus en plus il n’en peu plus, elle sent l’arrivée de son jus, il se cambre, pousse un cri et se libère, un jet puissant, Geneviève accélère son mouvement, il tremble, gémit, de beaux jets de sperme s’échappent, puissant, la jeunesse, puis se détend, finalement elle le lâche, repasse devant Julien, découvre ces seins, lui sourit, se rhabille- Vous avez aimé- Oui, beaucoup, on m’avait jamais fait plaisir comme ça, vous avez de beaux seins- Merci, faites moi parvenir la vidéo, ce sera un souvenir, elle voit son sexe se détendre, il ne bande plus- Oui tout de suite, voila- Son téléphone sonne, la voici, merci, maintenant faut rentrer, Géraldine doit se poser des questions et il faut que j’aille voir Maurice, je passe devant, elle se retire et file voir Maurice.
- Maurice est sur la terrasse, tranquille, il voit arriver Geneviève- Maurice, je crois que le petit Julien est prêt, il ne reste plus que Géraldine, je m’en occupe- Si tu veux, je crois que SAM l’a bien titillé, a toi de faire la suite, avec Julien tu as bien aimé- Oui, il a bien éjaculé, il est pressé, une queue moyenne, fine, Géraldine aura des surprises avec la votre, je vous montre la vidéo- Avec plaisir- Pas mal effectivement, il est où- Il a du retrouver Géraldine- Vient, on va voir, elle le suit, Julien est entrain de discuter avec SAM, il est devant la porte de la chambre, il entre Géraldine est à la salle de bain- Géraldine, pourquoi SAM est devant la porte- Je voulais être tranquille, je viens de prendre une douche, tu étais où- Avec Geneviève, avec les chèvres- Elle te plait Geneviève ?
- Attends tu plaisantes, tu es jalouse- Non mais quand même- Oui une belle femme, qui pourrait être ma mère et la tienne, au fait toi aussi tu la regardes, tu aimes les femmes ?
- C'est-à-dire- Tu es bisexuelle- Et toi- Ma puce, on fait la paix, j’ai envi de toi- Tu ne penses qu’à ça, tu m’aimes- Oui bien sûr, elle saute dans ses bras et l’attire sur le lit, ferme la porte et laisse SAM dehors, ce qu’il fait, Géraldine est couchée, nue et attends son chéri ….
Geneviève et Maurice assiste aux ébats des jeunes……Week-end tranquille, les jeunes sont en ballades, Geneviève chez elle en famille, Maurice tranquilleLundi vers 9h, Julien vient voir Maurice - Bonjour Mr Maurice- Bonjour Julien, déjà levé, Geneviève ne va pas tarder si vous avez besoin de quelque chose- Non, merci, hier nous avons eu un problème avec la voiture, vous ne connaîtriez pas un garagiste sur Die- C’est grave- Non je ne pense pas, je préfère la faire voir- Oui j’ai un ami garagiste qui s’occupe de ma voiture et de mon matériel, vous voulez que je lui téléphone ?
- Ça ne vous dérange pas- Pas dut tout, Maurice entre chez lui, Julien attends dehors, il entend une voiture, c’est Geneviève, se gare, sort de la voiture, robe blanche, décolleté important, qui arrive aux genoux, ouverte mi cuisses, elle lui souri- Bonjour Julien, vous allez bien- Bonjour Madame, oui très bien, j’attends Maurice, on a un problème avec la voiture, il se retourne, personne, lui sourit, vous êtes belle- Merci, Géraldine va bien aussi- Oui très bien, Maurice arrive- Julien, pas de problème, il nous attend, je vous accompagne nous y allons avec les deux voitures, en cas de problème, Geneviève je vous laisse la maison, Géraldine et SAM, en lui souriant et je vous tiens au courant- Pas de problème MauriceMaurice se dirige vers sa voiture, Julien la sienne, il a du mal à démarrer, finalement ils partent tous les deux et Geneviève se retrouve seule, alors elle décide d’aller à l’appartement des jeunes, la porte est ouverte, Geneviève entre, appelle- Oui, ,je suis ,dans la chambre, Geneviève s’y dirige, la porte est ouverte, entre Géraldine vient de sortir de la douche, une serviette de bain noué au dessus de sa poitrine lui arrivant mi cuisses.
- Oh pardon, je ne pensais pas vous trouver dans cette tenue, vous êtes très belle- Merci, vous aussi- Merci bien, cela fait plaisir le matin, vous avez déjeuné- Pas encore- Vous voulez que je vous prépare quelque chose, un café, thé, les hommes sont partis à Die pour votre voiture- Oui, je sais Julien m’adit qu’il allait voir Mr Maurice, un thé, merci- Entendu, installez vous sur la banquette, je vous le porte.
elle s’installe, regarde Geneviève qui prépare le thé, elle ne la quitte pas des yeux, son décolleté, ses cuisses, naturellement Geneviève le remarque, le thé étant prêt lui porte sur la table basse et s’assoit à côté d’elle, à ce moment la SAM arrive, alors SAM on vient dire bonjour, il se dirige vers Geneviève et Géraldine, vient chercher sa caresse, puis va se coucher plus loin- Alors Géraldine, ces vacances- Très agréables, les deux femmes discutent longuement, Géraldine dévisage Geneviève, lui sourit- Vous souhaitez me dire quelque chose, elle rougit, s’approche d’elle, pose sa main sur ses cheveux, lui caresse la joue, se penche vers elle et dépose un baiser sur ses lèvres, vous êtes attirée par les femmes- Non, j’aime les hommes, mais, je ne sais pas- Geneviève revient vers elle, lui saisit la tête, dépose ses lèvres sur les siennes, sa langue cherche le passage, qui finalement s’ouvre, Géraldine se retire- Non je ne peux pas- Pourquoi- Je ne sais pas faire avec une femme et il y a Julien- Pas la peine de lui dire, ce sera entre nous, aimeriez vous- Je ne sais pas- Geneviève dépose à nouveau ses lèvres sur celles de Géraldine, qui cette fois laisse le passage, les langues se trouvent, un long baiser les unis, la main de Geneviève commence à lui caresser son épaule, son cou, le haut de sa poitrine, puis passe sa main sur ses seins à travers la serviette, puis se pose sur son genou, tout en continuant de s’embrasser, sa main se glisse entre ses jambes, Géraldine lui sait sa main la retire, Geneviève n’insiste pas et lui glisse à l’oreille- Il faut te laisser aller, détend toi, viens avec moi, l’attire dans la chambre, le lit et encore défait- Et si Julien arrive- Ne t’inquiète pas Maurice me tiendra au courant, assis toi, ce qu’elle fait, elle s’assoit à côté d’elle, la fait basculer délicatement en arrière, Geneviève l’embrasse tendrement, sa langue la fouille, elle commence à se détendre, sa main défait délicatement la serviette, l’ouvre et sa main passe sa main sur son ventre, ses petits seins qui sont devenus durs, ses tétons pointent, ses doigts s’en emparent, les roules, ce qui la fait gémir, sa main descend sur son ventre, puis arrive à son pubis, Géraldine pose sa main sur celle de Geneviève, veut l’arrêter, mais ne l’écoute pas, sa main glisse entre ses jambes serrées, se faufilent, sous ses doigts elle sent ce petite minou, le frotte délicatement, sa bouche quitte ses lèvres et vient s’emparer d’un sein, le lèche, puis saisit un téton, qu’elle suce, aspire, Géraldine commence à gémir, ses jambes se desserrent ce qui laisse le passage , puis retire sa main, vient se mettre face à Géraldine, elles se regardent, ouvre sa robe, la retire, se montre en SG et culotte, Géraldine la regarde avec attention, puis elle dégrafe son sg, deux seins moyens apparaissent, fermes et tendus, retire sa culotte qui fait apparaître une légère toison, qu’elle doit entretenir, elle est nue, vient se placer entre les jambes de Géraldine ce qui l’oblige à les ouvrir, elle vient l’embrasser, puis sur son coup, ses seins, son ventre, se met à genou, regarde cette petite toison, ses grandes lèvres fermées, ses pouces viennent lui caresser l’aine, descend de chaque côté de ses grandes lèvres, les ouvres délicatement, les petites lèvres sont là, elle regarde cette vulve, sa bouche s’approche de celle-ci, passe sa langue sur ses grandes lèvres, ce qui la fait sursauter, puis sur les petites lèvres, elle gémit de plus ne plus, elle la regarde, puis sa langue vient frotter le capuchon de son clitoris, alors après quelques instants sa bouche se pose sur cette chatte, sa langue la pénètre, elle l’aspire, elle pousse de petit cri, Géraldine commence à goûter cette cyprine délicieuse, alors Géraldine saisit la tête de Geneviève, la plaque sur sa chatte, pousse des cris, se cambre, Geneviève l’aspire de plus en plus en lui maintenant ses fesses pour la bloquer, un cri strident, puis s’affaisse, sa respiration est rapide, puis commence à se détendre, alors Géraldine se retire, la regarde, se lève et vient se coucher près d’elle, l’embrasse, elles se regardent avec un petit sourire, en lui disant « tu es délicieuse, un bon petit goût, tu étais bien mouillée »- Tu as bien aimé cette découverte avec une femme, tu y pensais, mais tu n’osais pas franchir le pas- Oui j’en avais envie, en plus vous êtes belle, mais je ne pensais pas que vous accepteriez, je suis une gamine pour vous- Une gamine oui, mais bien appétissante, tu as des petits seins comme je les aime et un petit délicieux, il faudra que je m’occupe plus sérieusement de ton petit bouton, tu as déjà vu une femme de mon âge nue- Non, enfin, si ma mère- Et comment tu la trouves- Elle est belle- Elle t’a déjà vu nue à ton âge- Oui bien sûr- Tu veux me voir- Oui- Alors déshabille-moi, lentement, apprend à découvrir l’autre, ce qui lui fera plaisir- Géraldine regarda Geneviève, s’enhardit, commence à déboutonner le haut de la robe et descend jusqu’au dernier bouton, elle ouvre la robe, Geneviève apparaît en sg et culottes blanches, son visage s’approche de son coup, l’embrasse, elle retire la robe, elle la regarde, ses mains commence à se promener sur ses épaules, les bras, ses mains viennent se poser sur le haut de la poitrine, la caresse, sa main descend sur les bonnets, à travers le fin tissus elle sent les tétons qui ont durcis, alors elle fait glisser les bretelles du sg, Geneviève l’aide un peu, le sg tient tout seul, alors Géraldine, fait glisser les bonnets, deux beaux seins apparaissent, fermes et tendus, elle les regarde « ils sont beaux »- Merci qu’ils te plaisent- Alors sa bouche s’approche d’un sein, l’embrasse, ses lèvres saisissent un tétons, le suce, ce qui fait gémir Geneviève, puis passe à l’autre, ses mains passe dans son dos, dégrafe le sg qui tombe, ses mains saisissent ses seins, les caresse, les pétrit tout en les suçant, puis les laisse et pose ses lèvres sur celles de Geneviève qui la laisse entrer, leur langue se trouvent, s’enroulent, s’aspirent, un long baisser, pendant celui-ci une main descend sur son ventre, passe sur sa culotte, elle veut se faufiler entre ses cuisses, mais celles-ci sont fermées, alors Geneviève les écarte, sa main se pose sur son sexe, le caresse à travers le léger tissus, elle sent un peu d’humidité, alors elle faufile un doigt sur le côté, rencontre une toison légère, se faufile plus loin, sent les grandes lèvres, les caresse avec un doigt, elle arrête son baiser, regarde Geneviève, la fait basculer en arrière, couchée sur le lit, les jambes pendantes, Géraldine se lève, saisit la culotte sur les côté et la fait glisser, la retire et elle voit apparaître pour la première fois un sexe de femme, elle lui écarte les jambes, regarde ses grandes lèvres, passe un doigt dessus, elles sont humides, elles s’ouvrent doucement sous son passage avec sont doigt, alors elle le fait entrer doucement, Geneviève gémit- Oui c’est bien, c’est bon, tu es douce, n’ai pas peur, ouvre mon minou, ce qu’elle fait, un peu gauche, regarde le bien, maintenant fait ce que je t’ai fait, embrasse le, passe ta langue, suce moi, aspire mon bouton, fait moi jouir- Géraldine embrasse doucement ce minou ouvert, un peu surprise de sentir cette chair, passe sa langue sur ses lèvres, puis fait entrer sa langue dans ce vagin, elle trouve un goût bizarre, ça commence à l’exciter, elle sent son minou se mouiller de plus en plus, alors elle commence à aspirer ce minou, Geneviève gémit de plus en plus, ce qui active le plaisir de Géraldine, qui s’active de plus en puis, brusquement Geneviève se cambre, pousse des cris, Géraldine sent da sa bouche sa cyprine, on la dirait sucrée, l’aspire de plus belle, Geneviève se laisse tomber, ne bouge plus, alors Géraldine se relève et vient s’allonger à côté de Geneviève, qui a une respiration saccadée, profonde, son buste est plein de sueur, au bout d’un moment, elle tourne sa tête vers Géraldine, lui sourit- Merci ma chérie tu as été très bien pour une première fois, tu es merveilleuse, je suppose que ton minou est trempée- Oui- Je ne vais pas te laisser comme ça, elle se redresse, monte sur le lit, fait monter Géraldine, l’allonge, lui lève une jambe, vient se glisser entre elles, vient poser son minou sur celui de Géraldine, la regarde, maintenant laisse toi aller, on va se donner du plaisir ensemble, alors elle commence à frotter son minou contre celui de Géraldine, les deux sont trempées, au bout de quelques minutes de ce traitement, Géraldine gémit, pousse des petits cris, Geneviève accélère de plus en plus, elle sent un deuxième orgasme arrivé, les deux partenaires se mettent à crier, se tordent l’une sur l’autre, l’orgasme les saisit, elles sont tendus et finalement Geneviève s’écroule sur le côté, toutes les deux jambes ouvertes, laissant apparaître le plaisir sur leur toison, les seins gonflés et tendus ……….
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