La ferme aux surprises : chambre d’hôte 4 - histoire érotique

- Je ne vais pas te laisser comme ça, elle se redresse, monte sur le lit, fait monter Géraldine, l’allonge, lui lève une jambe, vient se glisser entre elles, vient poser son minou sur celui de Géraldine, la regarde, maintenant laisse toi aller, on va se donner du plaisir ensemble, alors elle commence à frotter son minou contre celui de Géraldine, les deux sont trempées, au bout de quelques minutes de ce traitement, Géraldine gémit, pousse des petits cris, Geneviève accélère de plus en plus, elle sent un deuxième orgasme arrivé, les deux partenaires se mettent à crier, se tordent l’une sur l’autre, l’orgasme les saisit, elles sont tendus et finalement Geneviève s’écroule sur le côté, toutes les deux jambes ouvertes, laissant apparaître le plaisir sur leur toison, les seins gonflés et tendus ……….
- Au bout d’un moment Geneviève se lève doucement, Géraldine s’est assoupi, elle a une respiration calme, elle la regarde avec attention, ce beau corps de gamine, elle va chercher son téléphone qui est dans sa robe et vient la filmer, sous toutes les coutures, fait des photos de son visage, de ses seins, de sa chatte, puis va ranger son téléphone et vient déposer un baiser sur les lèvres de Géraldine, qui gémit, ouvre les yeux, lui sourit- Geneviève, merci pour ce moment très agréable, j’ai bien aimé, j’ai eu beaucoup de plaisir avec vous, je ne pensais pas en avoir autant- Si tu le veux on pourra en avoir encore, tu es encore là pour encore une semaine au moins- Oui au moins, mais ça dépendra aussi du prix de la location- Ne t’inquiète pas, Maurice vous fera surement un tarif préférentiel, il t’aime bien, tu lui plais beaucoup- Ah bon, vraiment, il est pas mal aussi pour son âge, je dirais bel homme- Effectivement il est pas mal pour son âge, je suis sure que si tu le dragues, il saura t’apporter beaucoup de choses et beaucoup de plaisir, si tu es tentée, c’est un amant de qualité et il a ce qu’il faut- Ce qu’il faut ?
- Oui il est très bien équipé entre les jambes- Ah bon, vous avez vu- Oui- Tu as déjà trompé Julien- J’ai failli, mais lui m’a trompé et je n’ai pas aimé- Tu serais tenté de le tromper avec Maurice- Pourquoi pas, mais je ne sais pas- Drague le, tu verras il te fera découvrir des tas de choses, je peux être avec toi si tu as peur- Tous les trois ?
- Oui tous les trois- Il faut que j’aille aux toilettes, je voulais vous demander ça sert a quoi ce tuyau aux toilettes- Les musulmans n’utilisent pas de papier, mais utilise une douchette pour se rincer et pareil dans le bidet pour les toilettes, tu veux que je te montre, elle lui prend la main et se dirige aux toilettes, assis toi et soulage toi- Vous êtes là- Ne soit pas gêné, au contraire, recule toi sur le siège, tout en lui parlant elle se met à genou face à Géraldine, lui écarte ses grandes lèvres, vas-y, montre moi ton jet, il ne faut pas avoir honte, elle regarde, un petit jet apparaît, puis plus important, elle se soulage bien, puis termine, alors elle saisit la douchette, appuie sur la poignée, un petit jet d’eau est propulsé sur sa toison et ses lèvres, ce qui la fait sursauter, mais se laisse faire, une fois terminé, elle saisit une petite serviette et l’essuie tendrement, voilà comment on utilise la douchette et pareil pour le bidet, donne moi ta place et fait moi ce que je t’ai fait- Géraldine se lève, cède la place à Geneviève qui s’installe, Géraldine se met à genou, lui écarte ses grandes lèvres, la découvre, alors elle se soulage, Géraldine ne bouge pas, la regarde, une fois terminé, elle saisit la douchette, lui fait sa toilette, puis l’essuie doucement, Geneviève lui prend la tête et lui dépose un baiser sur ses lèvre- Tu apprends vite, intérieurement tu aimes le sexe mais tu n’oses pas l’exprimer, alors ose et fait toi plaisir, les femmes et les hommes aiment les initiatives, bon si on allait s’habillerelles se dirigent vers la chambres, Geneviève l’a prise par la taille, en arrivant elles découvrent SAM, assis, les regarde, alors SAM, tu montes la garde, il se lève en remuant la queue, et se dirige vers elle, elle lui caresse la tête, sa truffe au niveau de sa toison, elle lui fait une bise sur la tête en lui disant va voir Géraldine elle va te faire un bisou, il se dirige vers elle- Alors mon SAM, tu veux un bisou, vient, elle lui prend la tête dépose un baiser, le lâche, alors sa truffe se pose sur son pubis, non SAM, il ne faut pas, non il ne faut pas- Ton odeur lui plait beaucoup, tu sais- Ça ne se fait pas- Je sais, mais la nature est ce qu’elle est, tu ressens quoi quand il met sa truffe sur ton minou- Des frissons- Si tu le souhaites, enfin quand tu le souhaiteras, il pourrait te sentir et te lécher, un plaisir intense, même tes seins, ce sera à toi de voir, je pourrais t’aider si tu veux, tu vois, il insiste- Non SAM, va te coucher, il se retire et disparait- Le téléphone sonne, c’est Maurice, « oui, alors, d’accord, je vous attends », ils arrivent, la voiture sera prête demain, on va s’habiller, pour la discrétion, si tu veux me contacter fait le par SMS ou quand Julien n’est pas avec toi, ce qui vient de se passer restera entre nous, si tu le souhaites- Il ne faut pas que Julien le sache- Promis, viens, elle l’embrasse, passe sa main entre ses cuisses, tu es toute chaude et humide, SAM t’a fait de l’effet, elle la libère, mets ses sous vêtements, enfile sa robe et file, laissant Géraldine seule, qui file à la salle de bain se faire une petite toilette suite à ce que lui a dit Geneviève.
Au bout d’une demi-heure Marcel et Julien arrivent, sortent de la voiture- Marcel, voila Géraldine je vous ramène votre chéri, en souriant- Merci, elle saute au coup de Julien, l’embrasse et se dirige vers leur appartement, Maurice et Geneviève vers la maison- Alors cette voiture- Rien de grave, il a commandé la pièce, on y retourne pour 10 heure et toi avec la petite- Je suppose que les caméras tournent dès qu’il y a du mouvement- Oui, naturellement- Bon, je crois que la petite est prête, elle découvre le sexe, Julien pas très à l’aise, je vais m’en occuper, tu sais que Christine vient dans la matinée pour les chèvres- Oui je sais, si je ne suis pas revenu, tu t’en occupes- Pas de problème, je vous ai préparé un petit repas froid, je vais prévenir les jeunes- Entendu, tu manges avec nous- Si tu veux- Oui, après on verra- Entendu- Geneviève disparait, file voir les jeunes, frappe, insiste, entre, personne, entre dans la chambre, Julien est sur Géraldine, les jambes écartées, oh désolée, j’ai frappé, pas de réponse, je m’excuse, Géraldine et Julien se recouvre rapidement avec le drap, quand vous voudrez le repas est prêt, je suis désolée, avec un petit sourire et se retire, file à la maison. A Maurice, J’ai dérangé Julien qui sautait Géraldine, je ne sais pas s’il aura le temps de terminer ce qu’il a commencé. Geneviève vaque à ses occupations, puis installe la table sur la terrasse, au bout de 10 minutes, Géraldine et Julien arrivent, Géraldine en jupe courte, son chemisier blanc noué à la taille, bien décolleté, Julien en short et t shirt noir- Geneviève, désolée de vous avoir dérangé en les regardant dans les yeux- Julien, ce n’est pas grave, Maurice arrive- Maurice, Géraldine est splendide, vous avez beaucoup de chance de l’avoir, il ne faut rien lui refuser et bien vous occuper d’elle, vous souhaitez un apéritif- Julien, volontiers, un whisky- Géraldine, moi aussi- Geneviève amène l’apéritif, tous les quatre discutent longuement, puis passent au repas, un peu de rosé, Geneviève est plus bavarde, Maurice la regarde, son décolleté , elle ne porte pas de sg, en devinant ses petits seins, elle le regarde, elle le drague pour voir ce que lui a dit Geneviève, comme Marcel est face à elle, pendant que Geneviève et Julien discutent, il la regarde dans les yeux, puis commence à discuter de ses études, pendant cette discussion le pied de Géraldine heurte celui de Maurice, oh excusez moi, ce n’est pas grave, malencontreusement il fait tomber sa serviette, alors il se baisse pour la et regarde sous la table, Géraldine a les jambes légèrement écartées, remarque sa petite culotte blanche, che, se relève, lui sourit.
Le repas dure près de 2 h, Julien a pas mal abusé de l’alcool, il a les yeux qui se ferment, il est un saoul- Julien, je suis désolé, je me sens fatigué, je vais vous laisser, je vais me reposer- Maurice, pas de problème- Géraldine, je t’accompagne, merci pour ce repas, c’était très sympa. Géraldine accompagne Julien à leur appartement- Geneviève, il a abusé de l’alcool, il m’a bien dragué, je crois qu’il est prêt à franchir le pas- Maurice, Géraldine m’a dragué, un peu coincé, ce qui est normal, vu son âge, je pense que nous pourrions l’éduquer tous les deux si tu es partante- Geneviève, ce sera avec plaisir, petit coquin, et qui sait on pourra faire une partie à quatre- Maurice, pourquoi pas, il faudra que tu la fasses goûter à SAM- Je l’ai prévu, demain Christine est là, on s’en occupera quand vous serez parti chercher la voiture et surtout ne pas vous presser- Maurice, pas de problème, puis tous les débarrasse la table, mettent la vaisselle dans la machine, Geneviève reçoit un SMS- Geneviève, c’est Géraldine, Julien s’es écroulé sur le lit, il dort, elle veut me voir- Maurice, une invitation, dis lui de te rejoindre dans le hangar, je vous rejoins après, qu’en penses tu- Très bonne idée, file à la salle de bain, Geneviève, répond à Géraldine, dans 5 minutes dans le hangar. Geneviève sort de la salle de bain, à tout à l’heure Maurice- Maurice, pas de problème- Geneviève sort de la maison en même temps que Géraldine qui se dirige vers le hangar, entre, Geneviève la suit, ferme la porte- Géraldine, tu as des problèmes- Non, Julien s’est effondré sur le lit, il est saoul et j’avais envie de te voir- Ça me fait plaisir, tu es toute belle, tu me donnes des idées- Des idées ?
- Oui, te manger- J’ai envie aussi, j’ai bien aimé avec toi- Moi aussi, viens, elle lui prend la main, se dirige vers le fond du hangar, en passant près d’un établi, prend une grande couverture, au bas de ballots de paille, elle déplie la couverture sur la paille, la regarde, on sera bien ici- On ne risque pas de nous voir- Julien dort, Maurice est occupé et si il vient ce n’est pas grave, tu auras le plaisir de le voir, viens dans mes bras, Géraldine vient se blottir contre elle, se détend, elle sent les seins de Geneviève, elle relève la tête, la regarde, Geneviève a compris, dépose ses lèvres sur les siennes qui s’ouvrent et laisse Geneviève entrer, leur langue s’enroulent, elles se sucent, Géraldine gémit, les mains de Geneviève lui saisisse les fesses, le pétrisse, elle est bien, se laisse aller longuement dans les bras de Geneviève, a ce moment là elle sursaute- Géraldine, j’ai entendu la porte- Tu crois, je n’ai pas entendu, qui est làpas de réponse, puis apparait Maurice- Maurice, Géraldine tu es superbe, merci pour tes sourires à table et ton appel du pied, tu as de belles jambes et je suppose que plus haut ça doit être très joli, no- Mr Maurice- Non, Maurice, oui tu voulais dire- Je ne sais plu, Geneviève passe derrière elle, pose ses mains sur ses épaules, l’embrasse dans le cou, elle ferme les yeux, elle commence à comprendre de ce qui va se passer, elle ouvre les yeux, Maurice lui sourit, n’ai pas peur, laisse toi faire, laisse toi aller, tu vas voir tu vas vivre un agréable moment, tout en lui parlant, il s’avance vers elle, s’arrête, lui sourit, passe ses mains sur son visage, son nez, ses lèvres sèches, puis ses mains descendent sur son chemisier, effleure sa poitrine, il sent ses tétons tendus, descend, commence à défaire le nœud de son chemisier, déboutonne les boutons restant, ouvre le chemisier, découvre deux petits seins tendus, Géraldine le regarde- Tu as de très joli seins, bien fermes et tendus, alors Geneviève lui retire son chemisier, alors Maurice lui caresse les bras, puis son cou, puis descend vers sa poitrine, effleure ses tétons, ce qui fait réagir Géraldine, elle ferme un peu les yeux, se colle à Geneviève, surprise elle sent les seins de celle-ci qui a du se déshabiller rapidement, alors il lui saisit délicatement ses tétons, les roule entre ses doigts, les pince un peu ce qui la fait gémir, puis ses mains puissantes, saisissent ses seins, les pétrissent, alors sa bouche s’approche de ses tétons, donne des coups de langues, puis les saisissent entre ses lèvres, les suce, les aspire, les mordille, Géraldine commence à gémir, puis il l’embrasse sur son buste, son nombril, ses mains passe dans son dos, , dégrafe sa jupe, la fait descendre, Géraldine l’aide à la retirer, elle est face à lui, en culotte blanche, on devine sa toison, Maurice la regarde, elle le regarde un peu inquiète, alors Maurice se met à genoux face à elle, ses mains saisissent l’élastique de la culotte et la fait descendre, découvrant sa toison légère, claire, la culotte arrive à ses pieds, elle les lèves ce qui permet à Maurice de lui retirer, regarde sa toison en lui disant, tu es splendide, une belle petite chatte, il dépose un baiser sur celle-ci, sa langue se glisse entre ses cuisses, elle gémit, alors il lui fait ouvrir les jambes et sa langue part à la découvertes de cette petite chatte qui va lui appartenir, sa langue passe su ses grandes lèvres, il sent qu’elles sont humides, sa langue cherche le passage, les mains de Maurice saisissent ses fesses, les écarte, un doigt vient effleurer sa rondelle, elle sursaute veut se dégager, alors Maurice plaque ses lèvres sur celles de Géraldine, sa langue la pénètre, son doigt caresse sa rondelle, elle pousse des petits cris, Geneviève lui a saisit sa poitrine, la malaxe, lui pince les tétons, elle vibre, gémit de plus en plus- Géraldine tremble de tout son corps, oh oui, c’est bon, oui encore, j’aime, oui oh Maurice, votre langue en moi, oui encore, Maurice sent sa rosette réagir, qui se détend, alors son doigt force un peu le passage, sursaute, le retire, puis revient à nouveau, elle se détend, son doigt entre doucement, elle est très serrée, il la suce vigoureusement, elle est prise par devant et derrière, elle commence à jouir, pousse des cris, gesticule, mais Maurice ne lui laisse aucun répits, il goute cette cyprine sucrée, brusquement elle pousse un cri, se cambre et se détend, elle vient d’avoir un puissant orgasme, alors Geneviève et Maurice l’allonge sur la couverture elle est en sueur, elle respire rapidement, les jambes un peu ouvertes, puis elle reprend ses esprit, regarde Maurice et Geneviève qui a sa robe ouverte, elle voit ses seins, elle a compris.
- Geneviève, comment vas-tu ma chérie- Très bien, j’ai beaucoup aimé, on ne m’a jamais fait ça, j’ai joui pour la première fois, vraiment joui- Ce n’est qu’un début, tu vas avoir encore du plaisir, nous sommes tranquille, Julien en a pour un bon moment à dormir- Maurice, tu as une belle petite chatte délicieuse, un peu étroite, mais délicieuse, on va s’occuper de toi, tu vas voir, Geneviève retire sa robe, fait glisser sa culotte, Géraldine la regarde en souriant, il les regarde, vous êtes magnifique, alors il se met pied nu, retire sa chemise, un bel homme, mince, pas de ventre, enfin très peu, défait son pantalon, le retire, il est en caleçon, Géraldine n’en perd pas une, il le baisse, le retire, un sexe de bonne taille, à moitié tendu, Géraldine n’en revient pas, Geneviève n’avait pas menti, mais comment est-il au maximum, au moins 22 cm, elle est inquiète, Maurice la regarde, lui sourit, il te fait peur- Oui- Jamais vu comme ça- Non, Julien à côté est tout petit- Tu verras, la grosseur ne fait pas tout, il faut savoir s’en servir et penser à sa partenaire en priorité, les préliminaires pour une femme sont très important et vous avez un petit bouton qu’il faut bien préparer- Un bouton- Oui ma chérie, ton clitoris, tu ne te caresse pas- Si ça m’arrive- Tu ne l’a jamais vu et senti- Non- Alors on va parfaire ton éducation, tu vas voir, il lui tend la main, l’aide à se relever, elle est face à lui, prend le dans ta main, elle hésite puis se lance, sa main fait à peine le tour de son sexe, commence à me masturber, doucement, n’ai pas peur, il est solide, il en a vu d’autres, oui très bien, décalotte, moi bien, Geneviève la regarde faire, sourit, oui c’est bien recommence tire bien en arrière, oui encore - Je vais vous faire mal- Mais non ma chérie tire bien, regarde, il commence à bien gonfler, masturbe moi bien, oui c’es bien, oui j’aime ta main, continu, c’est bien, Geneviève passe derrière Maurice, lui écarte les fesses, caresse sa rondelle, son doigt le pénètre, vous êtes sublime toutes les deux, je vous adore, le sexe de Maurice grossit de plus en plus, devient tendu, dur, Géraldine à le voir commence à paniquer, Maurice se dégage du doigt de Geneviève, prend Géraldine par la taille, la tourne, Geneviève vient se mettre face à elle, Maurice passe derrière elle, elle se pose des questions, il se met à genoux, saisit ses fesses, les écarte et découvre cette belle petite rondelle, Géraldine sursaute, non pas ça- Maurice, n’ai pas peur, je vais te la manger, laisse toi faire- Non pas ça, non svp- Maurice, tu es magnifique, il écarte fortement ses fesses, Geneviève pose ses lèvres sur celles de Géraldine, sa langue la fouille, Maurice commence à passer sa langue sur la rosette, alors Géraldine se colle à Geneviève et se laisse aller, Maurice la titille, sa langue force un peu, pas facile, la mouille encore plus, puis recommence, elle s’ouvre un peu, force un peu plus, Géraldine ne bouge plus, se laisse faire, gémis, sa rosette est trempée par la salive de Maurice, alors il positionne son index face à sa rosette et commence à pousser, elle s’ouvre un peu se retire, puis recommence, elle gémit, mais ne peu pas crier la bouche de Geneviève la bâillonne, Geneviève entend Maurice, oui ma chérie, alors elle quitte la bouche de Géraldine, Géraldine pousse un cri, oh non, non, oh oui, Maurice, finalement entre son index entièrement et ne bouge plus- Géraldine, oh oui je le sens en moi, alors Maurice commence à promener son doigt à l’intérieur de ses entrailles, la découvre, puis se retire, allonge Géraldine- Geneviève prépare là bien, elle est à toi- Alors Geneviève ouvre les jambes de Géraldine, pose ses pouces sur ses grandes lèvres, les écarte, regarde avec plaisir cette belle chatte ouverte, regarde le capuchon de son bouton et vient poser sa bouche sur sa vulve, et commence un travail profond de celle-ci …….