La ferme aux surprises : chambre d’hôte 6 - histoire érotique

- Geneviève, enfile sa culotte, son SG, puis sa robe, regarde Julien, merci, je pense que ce soir tu devrais t’occuper de Géraldine, tu devrais t’habiller et nous rejoindre, le laisse et sort du hangar …………..
- Julien, une fois rhabillé file rejoindre Géraldine, ma puce où es-tu ?
- A la salle de bain
- Il file la rejoindre, elle est sous la douche
- Tu es vraiment belle ma puce, je viens te rejoindre, se déshabille rapidement et vient se coller à elle, tu sens bon
- Merci, on dirait que tu as transpiré
- Oui j’ai aidé Geneviève pour les chèvres et j’ai eu chaud
- Dis donc, je te trouve bien coquin
- Avec toi toujours, tu n’aimes pas
- Si bien sûr en lui saisissant son sexe, tu as l’air fatigué
- Un peu, j’ai abusé des bonnes choses, tu peux l’aider si tu veux
- On va voir ça, elle le décalotte doucement, entièrement, le regarde, coupe l’eau de la douche, s’accroupi, puis commence à lui donner des coups de lague sur son gland
- J’adore quand tu me fais ça, oui
- Elle insiste puis le prend en bouche, commence à le sucer, lâche son sexe, ses mains se posent sur ses fesses, les masse, puis les écarte, un doigt se pose sur sa rondelle
- Oh oui que c’est bon
- Alors elle force sa rondelle et le pénètre entièrement avec son doigt, pousse un cri ce qui le fait entrer fortement dans la bouche de Géraldine, qui se recule et le regarde, tu as failli m’étouffer et le reprend en bouche et le suce avec force
- Il lui prend la tête entre ses mains, il sent son doigt bouger dans ses entrailles, gémit, gémit de plus en plus
- Elle sent qu’il va éjaculer, veut se retirer, il la maintient, pousse un cri et se vide dans sa bouche, le pousse fermement et crache son sperme
- Je suis désolé ma puce, c’est parti tout seul
- Tu sais que je n’aime pas dans la bouche
- Je suis désolé, la fait se relever, lui prend la main et l’emmène dans la chambre, la fait assoir sur le lit, lui saisit ses jambes, les soulève, les écarte, que tu es belle, se met à genoux et pose sa bouche sur sa fente, elle sursaute, il ne lui avait jamais fait
- -Elle sent sa langue ouvrir ses grandes lèvres et les petites, il est en elle, elle commence à mouiller, gémit doucement, elle lui saisit la tête et la plaque contre sa fente, oui, c’est bon, oui je t’en prie fait moi jouir, vas-y, il accélère de plus en plus, elle pousse un cri, se cambre, pour la première fois il la goute, surpris de ce qu’il fait, finalement elle se détend
- Il relève la tête, la regarde, sa respiration est rapide, ses petits seins sont tendus elle est en sueur, vient se mettre prêt d’elle, l’embrasse, puis gobe un sein, puis l’autre
- Doucement, c’est très sensible, se laisse faire, elle lui saisit son sexe, le masturbe fortement, elle veut le faire bander, elle le veut en elle, elle l’agite, il commence à reprendre de la vigueur, vas-y, prend moi, prend moi
- Il se lève, lui écarte les jambes, pose son gland sur sa fente et donne un grand coup de rein
- Elle pousse un cri
- Il commence à la fouiller, il a peur de perdre sa rigidité, accélère de plus en plus, ce qui la fait gémir, oh oui, vas-y et brusquement se bloque en elle, se vide, ne bouge plus, puis la regarde, lui sourit, dépose un baiser, tu as aimé
- Oui, c’était bon en sachant qu’elle était restée sur sa faim
- Il se retire, s’allonge près d’elle, la regarde, regarde ses jambes écartées et voit un peu de son sperme apparaître, elle se lève et file à la salle de bain
- La suit, elle est assise sur le bidet
- Tu peux sortir s’il te plait
- Surpris, il sort
- Quelques minutes plus tard, tu peux venir
- Va la rejoindre, elle est devant la glace, nue, elle se passe de la crème sur le corps
- Il file sous la douche
Puis Géraldine sort de la salle de bain, on dirait qu’elle fait la tête, Julien finit de se sécher et va la rejoindre, elle le regarde, finit de s’habiller, une robe crème, boutonnée sur le devant, mi-cuisses
- Tu es très belle ma puce, tu ne mets pas de SG
- Non, pas envie, je suis en vacances
- Ils risquent de s’en rendre compte
- Tu crois et puis tant pis, ils ne vont pas me sauter dessus en riant
- Je ne pense pas, mais Geneviève te plait et tu lui plais
- Oui, c’est une belle femme, tu ne trouves pas
- Si bien sûr, tu aimerais faire l’amour avec elle
- Pourquoi cette question
- Pour savoir, tu aimes les femmes
- Je ne sais pas, je suis hétéro, comme toi, non ?
- Oui, bien sûr, mais tu sais que j’ai des fantasmes
- Non, je ne savais pas, tu peux me dire
- Oui te voir faire l’amour avec une femme et faire l’amour avec 2 femmes
- Rien que çà
- Oui
- Tu ne m’avais jamais dit, tu es un petit coquin, tu sais
- Oui, je sais tu aimerais
- Qui sait, je ne sais pas
- Tu as des idées, je le sens
- Oui, tu pourrais essayer avec Geneviève
- Et toi ?
- Je regarderais
- Donc voyeur
- Oui
- Je ne vais sauter sur elle, si elle n’aime pas les femmes, et moi je ne sais pas non plus, bon, on y va, ils doivent nous attendre
Ils filent rejoindre Maurice et Geneviève
- Arrivés chez Maurice ils trouvent Geneviève en train de dresser la table, sous la tonnelle
- Bonsoir, vous allez bien
- Oui très bien
- Aussi, on va grignoter dehors, il fait tellement bon, Julien, Maurice voudrait vous voir, il est à la cave, l’entrée est sur le côté, première porte à gauche, il s’y dirige, laissant les deux femmes entre elles
- Geneviève s’approchant de Stéphanie, sa main se pose sur son décolleté, le tire un peu et voit ses 2 petits seins libres, puis sa main glisse sous sa jupe, et se glisse entre ses cuisses, la regarde, tu es toute nue, Julien s’en est rendu compte
- Pour mes seins oui, pas plus
- Et alors
- Il m’a fait remarquer que vous pourriez vous en rendre compte
- Il a raison, il est partant pour tous les trois
- C’est son fantasme, mais je ne sais pas comment l’y amener
- Ne t’inquiète pas je vais m’en occuper, quel effet d’être nue sous ta jupe
- Fait drôle, je fais attention qu’elle ne se soulève pas en souriant
Arrive Julien et Maurice, 2 bouteilles à la main
- Géraldine les regarde, Julien attention, tu vas encore avoir un coup de pompe
- Promis ma puce, on est en vacances et Maurice nous fait goûter de bonnes choses
- Maurice regardant Géraldine, vous êtes charmante, Julien vous avez une belle petite amie, faut lui faire plaisir, elle lui sourit, bon on va grignoter, demain grosse matinée et journée
Christine vient à 6h30 pour vacciner les chèvres avec Geneviève, Julien et moi partons à 8h au garage en espérant que l’on sera rentré, Géraldine va pouvoir se reposer en souriant
- Geneviève regardant tout le monde, je vais vous laisser, je vous souhaite une bonne soirée, Maurice, ne lancez pas la machine je verrai demain
- Pas de problème, rentre bien et à demain, tu seras là quand Christine va arriver
- Oui, pas de soucis à demain, se retire
- Bon, les tourtereaux, on grignote
la soirée se passe bien, Julien pas très sérieux, abuse un peu trop du vin, a un moment donné, Maurice se baisse et jette un œil sur les cuisses de Géraldine et remarque qu’elle n’a pas de culotte, elle n’a pas vu le manège, vers 10h Géraldine intervient
- Je vous donne un coup de main à débarrasser et après on rentre en souriant à Maurice
- Pas de problème, ils se lèvent, débarrassent, puis se séparent
- Bonne nuit les tourtereaux
- Bonne nuit Maurice et filent vers leur appartement
- Maurice va dans sa chambre et les regarde arriver chez eux, Géraldine n’est pas contente,
Julien va dans la salle de bain, cède la place à Géraldine, se déshabille et se laisse tomber sur le lit, se couche sur le dos et s’endort, elle arrive en nuisette, se couche et éteint, alors Maurice va se coucher
- Vers minuit, le téléphone de Maurice l’informe d’un SMS, le regarde il vient de Géraldine
- Maurice c’est Géraldine
- Oui tu as un problème
- Non, je voudrais vous voir
- Ah, bon, quand
- Maintenant, sauf si je vous dérange
- Non, pas du tout, dans 5 minutes sur la terrasse
- D’accord, j’arrive. Maurice, nu, se lève, enfile une robe de chambre et s’installe sur une chaise et l’attend, au bout de quelques minutes elle arrive, en nuisette
- Désolée de vous déranger
- Mais non mais non, tu as un problème
- Julien n’est pas sérieux, je suis désolée
- Il ne faut pas, il veut s’éclater, tu es très mignonne
- Merci
- J’ai vu que tu n’avais pas de culotte, une belle fente
- Vous êtes un coquin
- Oui, je sais, je sens que tu as des envies
- Un moment de silence, oui
- On a le temps, il dort, vient t’assoir sur mes genoux, face à moi
- Se lève, il la regarde par transparence, elle enjambe et vient s’assoir ses jambes écartées
- Tu aimes le sexe on dirait, tu découvres, c’est bien, là en ce moment, comme tu es assise, ta fente est prête à beaucoup de chose
- Oui, je sais, elle est pour vous
- Je te remercie, la regarde, sa main glisse sous sa nuisette, arrive à son minou, l’effleure, elle ferme les yeux, la retire, remonte vers sa poitrine, la saisit, la malaxe, excite les mamelons qui se mettent à pointer, tu es vraiment sensible de tes bouts
- Oui, beaucoup, j’adore, elle lui ouvre sa robe chambre, et regarde son sexe qui commence à pointer
- Il te plait
- Oui beaucoup
- Je te le donne
- Elle saisit, son sexe, commence à le masturber doucement
- Il ne faut pas avoir peur, il est solide
- Alors, le regarde, lui sourit, sa main a saisi son sexe fermement et tire fermement pour le décalotter, il sourit
- Oui ma chérie, très bien, j’adore, tu aimes la force
- La force
- Oui, lui saisit les fesses, la relève et la couche sur la table, lui remonte sa nuisette au-dessus de sa poitrine, tu as vraiment une belle petite poitrine et un abricot délicieux, je ne parle pas de ta rosette, lui lève les jambes, sa bouche file entre ses fesse, sa langue arrive sur sa rosette, elle ne peut plus bouger, alors elle se laisse faire en gémissant, sa langue la fouille avec douceur, passe de sa rosette à sa vulve, elle mouille de plus en plus, elle a ses mains sur sa tête le suit dans sa progression, il aspire sa cyprine, délicieuse, ses lèves sont trempée, se relèves et pose ses lèvent sur les siennes en lui disant « goûte toi bien, ton plaisir, ton jus, tout à l’heure tu goûteras plus, redescend vers sa vulve et l’aspire fortement, son bouton qui est gonflé, il bande au maximum, alors il mouille ses doigts, avec sa salive et présente son gland contre sa rosette
- Maurice, non, non pas par la, il est trop gros
- Ne t’inquiète pas ma chérie, laisse toi aller, je te prépare pour plus tard, tu verras, force un peu elle s’ouvre légèrement
- Non Maurice
- Alors se retire, lui écarte les jambes, présente son gland sur ses grandes lèvres, le frotte, le mouille bien, entre un peu, prête à une entrée lente ou rapide
- C’est bon rapide
- Alors serre les dents ma chérie et donne un grand coup de rein et la pénètre jusqu’à la garde, ne bouge plus, lâche ses jambes, se penche sur elle, ça va
- Ce fut très fort
- Quand tu veux, je vais te faire jouir, te remplir
- Maurice, je suis dilatée, je vous sens au fond de moi, c’est bon, oui donnez-moi tout
- Alors Maurice se retire doucement et revient brutalement, recommence ce manège pendant des minutes, elle est trempée, elle lui plante ses ongles dans les bras, gémit longuement au rythme de celui-ci, il ne veut pas la brusquer, la laisser vivre ses orgasmes qui se succèdent, elle est en sueur, il la sent au bord de la rupture, alors il accélère le rythme, de plus en plus vite, pousse des cris, se cambre, Maurice se bloque en elle et se vide, elle sent ce sperme qui heurte son intérieur, son clitoris lui fait mal, elle se remplit et s’écroulent ensemble ….
au bout de quelques minutes, se retire, la lâche, ses jambes pendent de la table et ne bouge plus.
après quelques instants, elle se redresse, regarde Maurice
- Merci, ce fut sublime, s’assoit, Maurice voit un filet de son sperme sortant de sa vulve, je vais rentrer, je vais faire ma toilette, lui dépose un baiser sur ses lèvres et file en courant ……….