La ferme d'esclaves 4
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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La ferme d'esclaves 4
Le 1ér jour
Et voila ce premier jour de la semaine où je suis devenu le maître des lieux de cette ferme perdue dans la campagne avec un co-équipier black et une vingtaine de soumises à ma disposition pour une semaine (voir La ferme d'esclaves 3). Je vivais déjà comme un roi, les soumises avaient eu pour ordre de m’obéir à mes moindres désirs et c’est ainsi que dans ma chambre une esclave dénudée m’apporta et me servi le petit déjeuner pendant que deux autres esclaves nues et attachées par une chaîne au pied du lit et juste habillées d’un collier autour du cou et d’une laisse reliée à ce collier me suçais ma queue déjà bien raide de bon matin. Jordanne (mon nouvel ami black) entra dans ma chambre nu également avec une forte érection (je me demandais bien d’ailleurs s’il lui arrivais de ne pas bander !), me disant tout excité. « Pour ce premier jour, Jacky m’a donné pour consigne de t’emmener dans la grange, lieu que tu n’as pas encore découvert. Elle se situe à l’étage de l’ancienne écurie et viens voir ce que je t’ai préparé. Je délaissais donc mes 2 chiennes en les laissant attachées au lit, je les enculerai plus tard si l’envie m’en prend ! Une fois arrivé dans la grange, je vis un spectacle très excitant. En effet dans cette immense pièce, il y avait dix cages suspendues à un mètre du sol par de lourdes chaînes. Dans chacune de ces cages il y avait une soumise prisonnière, toutes étaient nues mais avec des bracelets métalliques aux poignets et chevilles. « Choisi celle que tu veux » me dit Jordanne. « On la sortira de sa cage pour l’attacher à ces chaînes suspendues, à hauteur de nos ceintures, aux poignets et chevilles, bras et jambes écartées » « Regarde, si celle-ci te tente me dit le black en rigolant, ne te gène pas, on l’a déjà tous enculé, c’est cette chienne de Zora (voir La ferme d'esclaves 1). Je voyais enfin son visage, elle avait la tête baissée comme toute bonne soumise. Je m’approchais de sa cage et je lui dit « pourquoi pas ! celle salope me fait vraiment bander, qu’en dit-tu chienne Zora ? » elle me répondit ce que Jacky lui avait appris : « Oui maître, enculez-moi, baisez-moi, je suis bonne qu’à être enculée, baissez-moi dans tous les trous, j’aime ça et je vous supplie de me baiser aussi le cul ! » Sur mon ordre, Jordanne la sortit donc de sa cage et l’attacha comme il l’avait dit. « Pendant que je vais t’enculer bras et jambes attachées et écartées à ma bonne hauteur, tu vas sucer mon ami, je ne vais pas le laisser comme ça et si tu hurles bien, il t’enculera aussi avec sa grosse, son énorme queue de noir ! Sa queue qui bande, tu vois chienne depuis déjà longtemps ! » Je passais la main sur le sexe de Zora pour m’apercevoir qu’elle mouillait déjà, je lui branlais le clitoris une bonne minute, elle commença à gémir de plaisir, quand j’enfilais sans la prévenir ma queue dans son cul. Le passage me paru dans les premières secondes assez étroit mais elle avait l’habitude de se faire défoncer son anus et c’est assez rapidement que ma queue s’enfonça à son maximum. J’avais les couilles qui tapaient contre ses cuisses et chaque assaut était de plus en plus violent. Jordanne, pendant se temps se fit sucer à merveille et j’évitais de jouir pour dire à mon ami « Jordanne, vient vite, on va inverser, je t’ai fait le passage, bourra-la bien, encule-la du plus profond que tu peux, met lui la sauce, moi, je vais baiser sa bouche ». On changea de position et je jouis assez rapidement dans sa bouche, elle avala tout mon sperme et je lui ordonnais de bien nettoyer mon sexe » J’étais impressionné de voir le black ne pas encore décharger, il sodomisait cette chienne depuis un bon moment, elle hurlait de douleur et de plaisirs quand tout à coup au bout de très très longues minutes, enfin , il se vida comme un porc en chaleur, il cria sa jouissance qui me parut une éternité, des râles de plaisirs, des coups de reins d’une force inouïe, de long jets de spermes sortaient de sa queue au plus profond du cul défoncé. Chienne Zora n’en finissait de crier et je compris qu’elle jouissait abondamment du cul !! Nous nous remettions à peine de nos ébats bestiaux, que la sonnette du portail d’entrée de la ferme retentit. Nous avions une visite imprévue qui ne manqua pas de rebondissements sexuels, mais ça sera pour mon prochain récit…
Et voila ce premier jour de la semaine où je suis devenu le maître des lieux de cette ferme perdue dans la campagne avec un co-équipier black et une vingtaine de soumises à ma disposition pour une semaine (voir La ferme d'esclaves 3). Je vivais déjà comme un roi, les soumises avaient eu pour ordre de m’obéir à mes moindres désirs et c’est ainsi que dans ma chambre une esclave dénudée m’apporta et me servi le petit déjeuner pendant que deux autres esclaves nues et attachées par une chaîne au pied du lit et juste habillées d’un collier autour du cou et d’une laisse reliée à ce collier me suçais ma queue déjà bien raide de bon matin. Jordanne (mon nouvel ami black) entra dans ma chambre nu également avec une forte érection (je me demandais bien d’ailleurs s’il lui arrivais de ne pas bander !), me disant tout excité. « Pour ce premier jour, Jacky m’a donné pour consigne de t’emmener dans la grange, lieu que tu n’as pas encore découvert. Elle se situe à l’étage de l’ancienne écurie et viens voir ce que je t’ai préparé. Je délaissais donc mes 2 chiennes en les laissant attachées au lit, je les enculerai plus tard si l’envie m’en prend ! Une fois arrivé dans la grange, je vis un spectacle très excitant. En effet dans cette immense pièce, il y avait dix cages suspendues à un mètre du sol par de lourdes chaînes. Dans chacune de ces cages il y avait une soumise prisonnière, toutes étaient nues mais avec des bracelets métalliques aux poignets et chevilles. « Choisi celle que tu veux » me dit Jordanne. « On la sortira de sa cage pour l’attacher à ces chaînes suspendues, à hauteur de nos ceintures, aux poignets et chevilles, bras et jambes écartées » « Regarde, si celle-ci te tente me dit le black en rigolant, ne te gène pas, on l’a déjà tous enculé, c’est cette chienne de Zora (voir La ferme d'esclaves 1). Je voyais enfin son visage, elle avait la tête baissée comme toute bonne soumise. Je m’approchais de sa cage et je lui dit « pourquoi pas ! celle salope me fait vraiment bander, qu’en dit-tu chienne Zora ? » elle me répondit ce que Jacky lui avait appris : « Oui maître, enculez-moi, baisez-moi, je suis bonne qu’à être enculée, baissez-moi dans tous les trous, j’aime ça et je vous supplie de me baiser aussi le cul ! » Sur mon ordre, Jordanne la sortit donc de sa cage et l’attacha comme il l’avait dit. « Pendant que je vais t’enculer bras et jambes attachées et écartées à ma bonne hauteur, tu vas sucer mon ami, je ne vais pas le laisser comme ça et si tu hurles bien, il t’enculera aussi avec sa grosse, son énorme queue de noir ! Sa queue qui bande, tu vois chienne depuis déjà longtemps ! » Je passais la main sur le sexe de Zora pour m’apercevoir qu’elle mouillait déjà, je lui branlais le clitoris une bonne minute, elle commença à gémir de plaisir, quand j’enfilais sans la prévenir ma queue dans son cul. Le passage me paru dans les premières secondes assez étroit mais elle avait l’habitude de se faire défoncer son anus et c’est assez rapidement que ma queue s’enfonça à son maximum. J’avais les couilles qui tapaient contre ses cuisses et chaque assaut était de plus en plus violent. Jordanne, pendant se temps se fit sucer à merveille et j’évitais de jouir pour dire à mon ami « Jordanne, vient vite, on va inverser, je t’ai fait le passage, bourra-la bien, encule-la du plus profond que tu peux, met lui la sauce, moi, je vais baiser sa bouche ». On changea de position et je jouis assez rapidement dans sa bouche, elle avala tout mon sperme et je lui ordonnais de bien nettoyer mon sexe » J’étais impressionné de voir le black ne pas encore décharger, il sodomisait cette chienne depuis un bon moment, elle hurlait de douleur et de plaisirs quand tout à coup au bout de très très longues minutes, enfin , il se vida comme un porc en chaleur, il cria sa jouissance qui me parut une éternité, des râles de plaisirs, des coups de reins d’une force inouïe, de long jets de spermes sortaient de sa queue au plus profond du cul défoncé. Chienne Zora n’en finissait de crier et je compris qu’elle jouissait abondamment du cul !! Nous nous remettions à peine de nos ébats bestiaux, que la sonnette du portail d’entrée de la ferme retentit. Nous avions une visite imprévue qui ne manqua pas de rebondissements sexuels, mais ça sera pour mon prochain récit…
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