La fermière
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La fermière
Je suis propriétaire d'une ferme dans le midi et j'ai une situation assez bonne en ville
Je n'ai pas le temps de m'occuper de la mise en culture des terrains. J'ai donc mis en fermage ma propiété, située à 25 kilomètres de chez moi. Mais souvent je me rends sur place pour surveiller un peu ce qui se passe. Un jour le fermier part en laissant sa femme seule. Je m'inquiète de la situation nouvelle et vais voiir la femme qui était retée sur la ferme. Elle me dit qu'elle savait fort bien s'occuper seule des cultures. Je lui faisais confiance.
Mais tous les samedi, jour libre pour moi, je venais jeter un coup d'oeil. Toujours avenante, la fermière, Josie, me faisait faire le tour du propriétaire. Il n'y avait jamais rien de très spécial: elle voulait mon avis, rarement pour savoir quelles cultures elles devait faire.
Un samedi, j'arrivais à l'heure du déjeuner, sans m'en rentre compte. Josie préparait la cuisine et m'invitait à manger avec elle. Les ouvriers agricoles ne travaillant pas ce jour là je lui tiendrais compagnie.
Josie était une très bonne cuisinière aimant la bonne bouffe. J'avoue que je me régalais. Je le lui disait et toute heureuse elle en rougissait. Elle m'offrait un verre d'alcool et en prit aussi. Pendant la dégustation, nous avons bavardé. Je lui demandait comment elle se débrouillais depuis la fuite de son ex. Elle compris mal , peut être, le sens de ma question. Elle me regardait d'un air étonné et répondait: je me débrouille. Dans la journée je n'est pas le temps d'y penser, mais le soir, je suis obligée souvent de me faire plaisir toute seule. Je comprenait alors qu'elle parlait de sexe. Elle était en manque certainement;
Je lui demandais confirmation:
- Ainsi vous vous donnez du plaisir seule, la nuit?
- Bien sur comment faire?
- Mais comment faites vous?
- C'est simple je me branle tout simplement.
- Ca vous suffit?
- Bien sur que non, mais comment faire, je ne vais pas demander à un de mes ouvrier de me faire l'amour.
- A un ouvrier non, mais à moi?
La réponse tardait: il faut dire que Josie est une jolie femme avec un minois de poupée. Bien faite, taillée pour l'amour.
- He, bien pourquoi pas me répondait-elle.
UN peu étonné de la vitesse de ses déclarations, je lui demandais de venir vers moi, si elle voulait baiser.Elle se lavait et sans trop réfléchir elle venait s'assoir sur mes genoux, et se mettait à m(embrasser : nos langues de cherchaient. Elle sorti sa langue pour me lécher les lèvres. Je bandais, elle s'en apercevait . Elle mettait sa main sur ma bite et a travers le pantalon ,elle la caressait. Pour la part sans tarder, je posait une main sur ses genoux et lentement lui faisait écarter les cuisses pour lui caresser l'intérieur des jambes qui est toujours très doux chez une femme. Elle écartait les jambes pour que j'arrive à son con. Il lui tardait d'avoir une caresse pour jouir très vite: elle me demandait: mets ta main dans mon sexe, et rentres-y des doigts. Je ne l'écoutais pas et commencer par la branler. Elle a jouit vite: elle était en manque de présence d'hommes. Mais sa jouissance n'était pas complète: elle voulait absolument avoir ma bite dans le con. Pour la faire patienter, je lui touchais le cul en lui mettant deux doigts. Je comprenait qu'elle aimait beaucoup de choses Alors je lui demandais de se mettre nue et de s'assoir sur la chaise: je lui écartait encore les cuisses et y mettais ma t^te pour la sucer. Elle eu un râle de plaisir: ça fait longtemps que personne ne m'a prise le con avec la bouche: j'aime ça, ne t'arrête pas; suce moi encore. Je la faisait jouir deux fois de cette façon. elle aurait voulu encore. Mais je lui disait, maintenant j'ai envie de te baiser et sans doute de t'enculer après. Je me mettais nu, moi aussi:elle vit ma bite en érection et voulait la sucer. Mais je voulais baiser. Elle se mettait sur la table jambes ouvertes ( je pouvais admirer son con plein de mouille. Je me mettait sur elle et lentement je voulais la pénétrer. Lorsque j'étais à l'entrèe de son con, d'un coups de reins elle faisait entrer ma pine dans son vagin. Elle était vorace de jouissance et elle eu un orgasme merveilleux pour elle. Je n'avait pas jouis. Comme je lui avais dit que après l'avoir baiser je voulais l'enculer, elle m'offre son cul, ouvre ses fesses, met un peu de sa ciprine sur la cible et me disait: vas-y encule moi, j'aime aussi.
Je l'enculais donc avec grand plaisir d'autant plus qu'elle se branlais sans pudeur pendant qu'elle avait en elle ma bite. Nous avons jouit presque ensemble, elle avant moi.
Après un bon moment de repos je commençais à bander à nouveau. Elle empoignait ma pine et se mettait à me faire un fellation en me demandant d'abord de la laisser faire, parce qu'elle aimait le gout du sperme et la sensation que lui donnait dans la bouche le jet d'un homme. Je lui faisait plaisir en prenant le mien. Lorsque je jouissais dans sa bouche je la sentais frémir: elle se régalait.
Tout a une fin. Nous finissions de baiser, lorsqu'elle me demandait si je pouvait revenir pour baiser la semaine suivante. En attendant je me branlerait en pensant à ce que nous venons de vivre.
Je lui promettais de revenir et que j'aurais peu être un cadeau pour elle:un godemichet pour qu'elle jouisse mieux.
Je n'ai pas le temps de m'occuper de la mise en culture des terrains. J'ai donc mis en fermage ma propiété, située à 25 kilomètres de chez moi. Mais souvent je me rends sur place pour surveiller un peu ce qui se passe. Un jour le fermier part en laissant sa femme seule. Je m'inquiète de la situation nouvelle et vais voiir la femme qui était retée sur la ferme. Elle me dit qu'elle savait fort bien s'occuper seule des cultures. Je lui faisais confiance.
Mais tous les samedi, jour libre pour moi, je venais jeter un coup d'oeil. Toujours avenante, la fermière, Josie, me faisait faire le tour du propriétaire. Il n'y avait jamais rien de très spécial: elle voulait mon avis, rarement pour savoir quelles cultures elles devait faire.
Un samedi, j'arrivais à l'heure du déjeuner, sans m'en rentre compte. Josie préparait la cuisine et m'invitait à manger avec elle. Les ouvriers agricoles ne travaillant pas ce jour là je lui tiendrais compagnie.
Josie était une très bonne cuisinière aimant la bonne bouffe. J'avoue que je me régalais. Je le lui disait et toute heureuse elle en rougissait. Elle m'offrait un verre d'alcool et en prit aussi. Pendant la dégustation, nous avons bavardé. Je lui demandait comment elle se débrouillais depuis la fuite de son ex. Elle compris mal , peut être, le sens de ma question. Elle me regardait d'un air étonné et répondait: je me débrouille. Dans la journée je n'est pas le temps d'y penser, mais le soir, je suis obligée souvent de me faire plaisir toute seule. Je comprenait alors qu'elle parlait de sexe. Elle était en manque certainement;
Je lui demandais confirmation:
- Ainsi vous vous donnez du plaisir seule, la nuit?
- Bien sur comment faire?
- Mais comment faites vous?
- C'est simple je me branle tout simplement.
- Ca vous suffit?
- Bien sur que non, mais comment faire, je ne vais pas demander à un de mes ouvrier de me faire l'amour.
- A un ouvrier non, mais à moi?
La réponse tardait: il faut dire que Josie est une jolie femme avec un minois de poupée. Bien faite, taillée pour l'amour.
- He, bien pourquoi pas me répondait-elle.
UN peu étonné de la vitesse de ses déclarations, je lui demandais de venir vers moi, si elle voulait baiser.Elle se lavait et sans trop réfléchir elle venait s'assoir sur mes genoux, et se mettait à m(embrasser : nos langues de cherchaient. Elle sorti sa langue pour me lécher les lèvres. Je bandais, elle s'en apercevait . Elle mettait sa main sur ma bite et a travers le pantalon ,elle la caressait. Pour la part sans tarder, je posait une main sur ses genoux et lentement lui faisait écarter les cuisses pour lui caresser l'intérieur des jambes qui est toujours très doux chez une femme. Elle écartait les jambes pour que j'arrive à son con. Il lui tardait d'avoir une caresse pour jouir très vite: elle me demandait: mets ta main dans mon sexe, et rentres-y des doigts. Je ne l'écoutais pas et commencer par la branler. Elle a jouit vite: elle était en manque de présence d'hommes. Mais sa jouissance n'était pas complète: elle voulait absolument avoir ma bite dans le con. Pour la faire patienter, je lui touchais le cul en lui mettant deux doigts. Je comprenait qu'elle aimait beaucoup de choses Alors je lui demandais de se mettre nue et de s'assoir sur la chaise: je lui écartait encore les cuisses et y mettais ma t^te pour la sucer. Elle eu un râle de plaisir: ça fait longtemps que personne ne m'a prise le con avec la bouche: j'aime ça, ne t'arrête pas; suce moi encore. Je la faisait jouir deux fois de cette façon. elle aurait voulu encore. Mais je lui disait, maintenant j'ai envie de te baiser et sans doute de t'enculer après. Je me mettais nu, moi aussi:elle vit ma bite en érection et voulait la sucer. Mais je voulais baiser. Elle se mettait sur la table jambes ouvertes ( je pouvais admirer son con plein de mouille. Je me mettait sur elle et lentement je voulais la pénétrer. Lorsque j'étais à l'entrèe de son con, d'un coups de reins elle faisait entrer ma pine dans son vagin. Elle était vorace de jouissance et elle eu un orgasme merveilleux pour elle. Je n'avait pas jouis. Comme je lui avais dit que après l'avoir baiser je voulais l'enculer, elle m'offre son cul, ouvre ses fesses, met un peu de sa ciprine sur la cible et me disait: vas-y encule moi, j'aime aussi.
Je l'enculais donc avec grand plaisir d'autant plus qu'elle se branlais sans pudeur pendant qu'elle avait en elle ma bite. Nous avons jouit presque ensemble, elle avant moi.
Après un bon moment de repos je commençais à bander à nouveau. Elle empoignait ma pine et se mettait à me faire un fellation en me demandant d'abord de la laisser faire, parce qu'elle aimait le gout du sperme et la sensation que lui donnait dans la bouche le jet d'un homme. Je lui faisait plaisir en prenant le mien. Lorsque je jouissais dans sa bouche je la sentais frémir: elle se régalait.
Tout a une fin. Nous finissions de baiser, lorsqu'elle me demandait si je pouvait revenir pour baiser la semaine suivante. En attendant je me branlerait en pensant à ce que nous venons de vivre.
Je lui promettais de revenir et que j'aurais peu être un cadeau pour elle:un godemichet pour qu'elle jouisse mieux.
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