LA FETE DES VOISINS. (1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA FETE DES VOISINS. (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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LA FETE DES VOISINS. (1)
Cinq ans que nous habitons le même quartier d’une résidence cossus et que dès la première année, nous avions reçu l’invitation à participer à la fête des voisins.
Chaque année, j’ai envoyé une lettre d’excuses à notre voisine organisatrice de cette fête la priant de nous excuser étant absent pour cette date.
Afin de bien leur faire comprendre que nous sommes désolés, Aline mon épouse avait ordre de leur porter une bouteille marquée à notre nom « Aline et Sylver » de mercurey 1er cru que je touchais tous les ans de la part d’une vigne dont mes amis et moi étions propriétaires suivant le somme versé à l’achat.
Il faut que j’avoue que, chaque fois nous avions une de nos soirées organisées entre nous et un groupe d’amis.
C’est deux ans après notre mariage que nous avons pratiqué le libertinage doublé de soumissions pour mon épouse pour la première fois.
Nous sommes sexuellement libertins, mais Aline ne va avec homme ou femme qu’avec mon accord.
À cet effet, lorsqu’elle se prépare, elle met, le collier de cuir serti de clous chromés marque de sa soumission qu’elle a au cou.
Je suis sûr que l’on pense que je suis un saligaud qui asservit sa femme pour mon seul plaisir au détriment du sien.
On se trompe car la première à avoir voulu être asservi dans ses plaisirs sexuels, c’est Aline qui ne concevait son plaisir qu’en passant par cette soumission.
Elle avait été à bonne école, car au détour d’une conversation sur mai 68 j’ai compris que ses parents avaient été très actifs dans le mouvement qui disait « Faite, l’amour surtout pas la guerre. » « Peace and love. »J’ai lutté contre ce que je considérais être une dépravation qui risquait à la longue par faire éclater notre couple, mais lorsque j’ai compris le cheminement de sa pensée et de ses envies, c’est tout naturellement que j’ai accepté d’être un mari dominateur.
Au fil des jours aboyés et être écouté est devenue naturelle et la voire attendre mes autorisations avant de se déchaîner une source de plaisirs intenses non pas pour moi, mais pour nous deux.
Le dédoublement de personnalité est flagrant, car à la maison c’est plutôt moi qu’elle domine et je suis comme son gentil toutou chaque fois qu’elle émet une envie nouvelle.
Le deuxième couple de notre bande, c’est sa copine Agnès qui un soir où nous les avions invités à trouver joli le collier de cuir vert qu’Aline portait ce jour-là.
Elle a voulu l’essayer et lorsqu’elle l’a eu passé se regardant dans une glace Aline à aboyer.

• Agnès, il est facile de passer un collier comme celui-là, mais maintenant que tu le portes, il faut prouver à Aurélien que tu es sa petite chienne docile.
Va à lui et prouve-lui ta soumission.

J’ai vu Agnès s’approcher de son mari et attendre un ordre.
J’ai pensé que le jeu s’arrêterait là, mais lorsqu’il lui a demandé de sortir sa queue et qu’elle le suce devant nous je dois dire que j’ai été le premier surpris.
J’ai vu Aline sortir de la pièce et revenir avec à la main son collier rouge.
Dans sa collection, je lui ai offert toute une gamme de couleurs qu’elle passe suivant celle de sa robe au début de soirée.
À genoux devant moi ce soir-là elle me l’a tendu attendant mes ordres.
Avions nous un peu abusé de mon mercurey car l’ordre que je lui ai donné aurait pu à jamais nous fâcher avec nos amis.

• Va à la place d’Agnès et si Aurélien lui donne l’ordre, elle peut venir me sucer la queue et recevoir son collier.
Avant sort moi là.

Nos femmes se sont croisées et à partir de ce moment pendant presque trois mois, nous nous retrouvions et les ordres ont évolué et nos femmes sont devenues nos maîtresses.
Un soir où se sont eu qui recevait pendant l’été, j’ai été surpris de voir un couple que je connaissais bien puisque tous les samedis matin, nous courrions dix kilomètres dans le parc de notre ville afin de garder nos ventres plats.
La soirée, auprès de leur piscine à commencer classe en maillot de bain qu’Agnès nous avait demandé d’amener malgré notre surprise car les dernières fois, nous avions facilement étalé nos intimités dans notre salon attendant la construction pour cet été de notre propre piscine.
J’ai senti que notre maîtresse de maison avait envie de faire tomber les barrières entre ce couple et nous, mais hésitait à passer à l’action aussi discrètement je lui donne l’ordre de rejoindre Aurélie pour qu’elle l’attire dans ses filets.
Aurélien regardant la manière de manœuvrer, appelle Agnès et je le vois lui parler à l’oreille.
Elle s’approche du transat où est allongé Victor et lui demande, elle aussi quelque chose à l’oreille.

• Aurélie, laisse-toi embrassé, je sais que tu souhaites avoir une relation avec des femmes et nos amies sont disposées à te donner du plaisir.

Les deux femmes sortes de la piscine rejoignent des serviettes que notre hôtesse a placées là pour qu’elle nous soit disponible. Aline s’en saisit d’une qu’elle promène sans quitter Aurélie des yeux sur tout son corps.
La belle a un maillot retenu par des petites ficelles qui tombent au sol dévoilant la chatte de cette jeune femme dès qu’Aline tire dessus.
Entièrement épilé, le mont de vénus nous apparaît dans toute sa splendeur avec une envie d’aller croquer dedans.
Le transat disponible qui les reçoit leur permet de se mettre tête-bêche dans un 69 de la plus belle des postures.
Ma femme a son habitude à de petits lapements qui englobent bien le clito jusqu’à la fente qu’elle pénètre d’une langue formant une pointe.
Notre nouvelle coquine s’empresse, mais comme elle est placée, je suis dans l’impossibilité de voir si c’est le clito ou le trou qui est son centre d’intérêt.
Sucé et se faire sucer pour la première fois devant des tiers personnes semble facile pour celle qui a exprimé l’envie de rapport lesbien.

C’est comme cela que le troisième couple est entré dans la bande des femmes aux colliers, car Agnès avait prévu la soumission d’Aurélie et avait apporté un collier blanc.
Ce collier blanc devait devenir la marque des nouveaux libertins le couple pendant un an étant nos invités et au bout de ce délai le couple pouvait recevoir et ce soir-là madame recevait de son mari un collier qu’il devait choisir en commun.
Presque toutes nos amies ont la collection de couleur comme Aline, mais lorsqu’elles sont nues la couleur importent peu avec la couleur de leur robe.
Des amis connaissent des amis qui connaissent des amis et au fil du temps nous avons un carnet d’adresses qui comporte plus de trente couples dont les femmes sont toutes soumises à leur mari.

Revenons à notre fête des voisins, le week-end où la voisine avait décidé de réunir tout le monde, nous devions aller près de Toulouse mais un orage dévastateur à ravager les maisons de plusieurs d’entre nous.
Nous avons été épargnés, mais le cœur des libertins était triste de ce qui affectait les autres aussi, nous avons décidé de reporter d’un mois notre soirée ou nous enflammons nos corps.

Tenue blanche avec pantalon chemisette mocassin blanc pour Sylver et minijupe blanche avec blouse blanche ouverte sur ses seins sans soutien agrémenté de petites ballerines blanches pour Aline.
Ajouter à cela les Ray-Ban pour moi et grosse monture et verres ronds de lunettes pour elle.
Les UV pratiqués tout l’hiver fait de nous de vraie caricature de mode.
Dès que nous arrivons tout le monde, nous fons fêtes étant les seuls nouveaux qui vont participer à la soirée.
Dans son jardin Violette la voisine organisatrice a fait monter une tente en cas de mauvais temps.
J’ai oublié de dire, Aline à mise un collier violine qui ressort sur son ensemble blanc.
Un verre de sangria nous est servi, mon épouse croise mon regard attendant mon autorisation pour prendre le verre qui lui est tendu.
Nos verres en main, nous discutons avec monsieur le maire invité à l’apéro accompagné du corespondant local du journal chargé de faire un article sur l’initiative de notre hôtesse.
Pour la première fois depuis le début de cette fête des voisins tous sont là et nous avons le droit d’être au côté du magistrat local au centre de la photo de groupe.
Les invités apéro partis, nous sommes placés au milieu de la table Aline en face de moi et à ses côtés Violette.
J’ai la chance que Violette soit veuve quoiqu’elle soit ostensiblement du même âge que nous et que la chaise à ma droite soit vide alors qu’à ma gauche une jeune femme que je croise régulièrement lorsque nous partons à notre travail respectif regarde toujours droit devant elle, évitant ainsi de me saluer.
Dommage car elle est très baisable, mais dans cette soirée l’échangisme est fortement à éviter.
Baiser sa voisine et les embêtements sont rapidement là, car la promiscuité entraîne neuf fois sur dix des cocufiages qui explosent les couples.
C’est un buffet froid avec des plats amenés par chaque famille qui constitue le repas.
Au moment de nous asseoir Aline a attendu que je m’assoie pour le faire aussi.
Ce qui est drôle dans cette situation, c’est que j’ai oublié en venant de lui donner sa liberté pour la soirée, car pour cette fête personne et surtout pas un homme ne doit la baiser alors pourquoi lui imposer la soumission.
La situation qu’elle crée d’elle-même m’existe et je me garde bien de rectifier la situation.
À part les salades que je consomme pour ma ligne rien de ce que mes voisines ont préparé trouvent grace à mes yeux.
Il va sans dire que d’un geste du menton ma soumise se lève pour nourrir son maître.
Ces petits mouvements insignifiants pour un chacun interrogent notre hôtesse.

• Sylver, je peux te poser une question.
• Oui, bien sûr.
• Aline est-elle ton esclave ?
• Non, pourquoi.

J’hésite à approfondir notre mode de vie avec notre voisine.
Il est vrai que si notre voisine et voisin assis près d’Aline au début semblaient vouloir engager la conversation le peu d’entrain que nous avons mis à leur répondre, ils se sont tournés vers l’autre couple placé à leurs côtés.

• J’ai compris, lorsque Victor était vivant souvent, je lui ai émis l’envie que je sois son esclave sexuelle mais vieille école, il a toujours refusé de franchir le pas.
Il a bien accepté de me sodomiser en levrette, mais c’est tout ce que j’ai obtenu.
Et vous, avez-vous franchi le pas ?
• Oui, Aline est soumise et libertine et nous gérons un groupe d’amis qui participe à des soirées coquines.
• J’aimerais entrer dans votre groupe pour participer.
• À ce jour seuls des couples font partie du groupe, aucune candidate féminine seule ne s’est présentée.
Passe à la maison demain, je prendrais conseil auprès d’un ou deux hommes du groupe et s’ils sont favorables, nous aviserons.
Sonne bien et attend à cause du chien.
• Vous avez un chien, jamais il aboie.
• Chez moi femme et chien sont dressés et il sait ce qu’il attend s’il aboie.
• Parce que Aline, aboie.
• Non, c’est moi et c’est elle qui exécute.
• À quoi sert votre chien ?
• À garder, il y a deux ans, un voleur s’est introduit alors que nous étions absents, lorsqu’il l’a vu cet homme à essayer de bouger et les crocs qu’il lui a montré la dissuader de bouger et ils sont restés comme cela jusqu’à ce que nous revenions et que l’homme soit arrêté.
• Ce devait être au moment où Victor était hospitalisé avant que son cœur ne s’arrête définitivement et fasse de moi une veuve.
Personne ne m’en a parlé.

En jouant le macho, je sais que je mens, car comme je l’ai déjà, dis, elle a deux toutous à la maison.
Le repas arrive au dessert et alors qu’Aline veut se lever pour m’apporter du dessert, je la retiens et j’envoie Violette me servir du tiramisu.

• Bien, tu viens de passer ta première épreuve de soumission.
Plus tard on pourra se rappeler que le tiramisu aura été le départ de notre relation.

Tout le temps de cette première étape, nous avons fait très attention que nos voisins soient hors de la conversation.

• Monsieur Sylver, vous avez pris de mon tiramisu qu’en pensez-vous.

C’est ma voisine qui m’interpelle alors que ma cuillère est encore sur la table.

• Vous savez comment c’est fait, je prends du mascarpone et du chocolat…
Une demi-heure sur son tiramisu qui n’est ni plus ni moins que du tiramisu.

• Tu vois Violette, pourquoi une femme doit être soumise, jamais Aline ne me gonflerait avec la recette du tiramisu…

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