LA FETE DES VOISINS. (2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA FETE DES VOISINS. (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA FETE DES VOISINS. (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai accepté pour la première fois d’aller avec Aline, ma femme mais femme soumise lorsque nous sommes à l’extérieur de notre propriété ou chez nous en présence de tierce personne.
Dans cette soirée notre voisine Violette veuve mais plutôt joyeuse que triste a compris que ma femme est ma soumise et souhaite que je la domine.
À la fin du repas, nous subissons l’histoire de la fabrication du tiramisu par une voisine si elle vivait avec moi apprendrait à ses dépens qu’il est dangereux d’ennuyer ses voisins avec une recette débile.
Poli, je l’écoute et le café bu, nous remercions notre hôtesse et saluons tout le monde.

Arrivés à la maison, les rôles s’inversent, de dominant, je deviens dominé et j’aimerais m’écrier à tous que j’aime lorsque Aline passe sa guêpière, ses bottes et ses gants de cuir sans oublier la casquette à la gavroche et surtout la cravache, ma cravache qu’elle aime me frotter amoureusement sur les fesses que j’ai mises nues dès que nous entrons.

• Alors, tu as fait le beau pendant toute la soirée, pour te punir cette nuit tu dormiras dans ta niche.
• Va faire tes ablutions sinon c’est toi qui laveras demain.

Et sur cette phrase, elle quitte la pièce pour aller dans notre chambre.
Je vais dans la salle de bain d’amis, car lorsqu’elle me punit, il m’est interdit de franchir la porte de notre chambre et notre salle de bain qui nous est propre.
Bien lavé, ma vessie satisfaite, je rejoins le dessous de l’escalier où un petit cagibi est aménagé avec un panier avec tout de même un bon rembourrage et un collier que je m’attache au cou comme le bon toutou que je deviens en prenant soin de le bloquer avec le petit cadenas qu’elle seule à la clef.
Une chaîne très solide mais légère de plus de dix mètres lui est attachée me permettant dans ces périodes de punitions de me déplacer dans presque tout le rez-de-chaussée.
En moyenne une fois par moi ma femme me punit et j’ai pris l’habitude de dormir dans cette position assez inconfortable et au matin, elle vient m’ouvrir la porte que j’ai fait claquer derrière moi et qui peut s’ouvrir que de l’extérieur.

• Viens déjeuner vilain toutou.

J’aime lorsqu’elle me dit ces mots, car dans son langage malgré le petit coup de cravache qu’elle me met sur les fesses, je sais que je suis pardonné d’avoir été méchant.

• Je t’ai préparé ton assiette mange.

À ses pieds alors qu’elle boit un café bien chaud qui va me manquer toute la journée car me priver de café est certainement la punition la plus sévère qu’elle puisse m’infliger.

• Mange tes croquettes.

C’est à quatre pattes que j’attrape les croquettes au chocolat qu’elle y a placé.
Ayant bien mangé je viens vers sa main quémander une caresse.
Où est l’homme avec sa tenue blanche et sa paire de Ray-Ban, seul le bronzage subsiste ?
On est dimanche et je sais que si dans les minutes qui suivent une initiative de ma part me permets de rétablir la situation, je serais contraint toute la journée à rester prostré dans mon panier.
Subrepticement je m’avance vers ses pieds et commence à lécher le dessus de ses bottes.

• Voilà un bon toutou qui veut satisfaire sa maîtresse, je veux voir s’il arrive à me faire jouir. Continu.

En me disant cela, elle fait tourner son tabouret de bar et les jambes posées sur le repose-pied, elle écarte les cuisses.
La guêpière dégage sa chatte épilée qui baille de savoir que je vais la défoncer.
Comme l’habitude du dimanche matin où le temps pour nos jeux pervers est sans limites, je lui saisis une jambe et fait remonter tout le long de la botte évitant soigneusement de toucher la chaire à la lisière pour faire monter en, elle l’envie que je le fasse.
Il faut l’avoir déjà fait, mais le cuir souple sous ma langue, anodin lorsque j’ai commencé, il y a quelques années me fait bander simplement de l’avoir sous la langue.
C’est pour cela que je retarde le moment et comme un jour je lui en ai parlé, le coup de cravache qu’elle assène sur ma partie charnue me fait voir qu’il est temps de monter plus haut.
En bon joueur même si deux coups vont ponctuer ma désobéissance cette semaine pour la première fois, j’innove et je retourne vers le talon de sa botte que je suce comme si j’avais en bouche une bite très fine.

• Regarde-moi ce chien incapable de satisfaire sa maîtresse, il va t’en cuire.

Pour en cuire, il m’en a cuit, mes rondeurs rapidement sont toutes rouges.
Bien sûr, sans contrainte supplémentaire, je passe le genou rapidement pour attaquer son clitoris.
Le jeu bien engagé à déjà fait son effet et le vagin que ma langue pénètre est ruisselante de ses sécrétions que je me dépêche de laper.
On a beau être un homme soumis, il y a toujours un moment avec la femme que l’on aime le mal dominant revient immanquablement, c’est lorsque je me relève et dans l’état d’excitation où je suis, je pénètre sa chatte à bonne hauteur pour ma bite.
Rapidement le chant qu’elle émet fait voir que cette verge en elle a repris le pouvoir dans cette demeure jusqu’au moment où elle a son grand frisson et que j’éclate en elle.
La tension retombe, j’attends pour savoir si la saillie fait de moi son mari à égalité du pouvoir où me renvoie à mon état de toutou jusqu’à ce soir où une nouvelle chance me serait donnée.
Elle me défait le collier jusqu’au moment où la sonnette du portail se déclenche.
Je passe une robe de chambre sur ma verge encore à moitié bandée et je vais ouvrir.
C’est la voisine Violette.

• Suis-moi en te taisant !

Elle s’exécute et arrivé dans la cuisine, je récupère, mon collier le fixe à son cou, referme le cadenas et la tire pour l’enfermer dans le placard.
Le fait quel soir passé près d’Aline sans lui dire un mot et abaissant les yeux me font voir l’envie qu’elle a de se faire dominer.
Violette est depuis presque deux heures dans le cagibi lorsque la sonnette du portail retenti une nouvelle fois.
Si la première fois, je me doutais que Violette venait à la recherche de sa domination, nous nous interrogeons les visites dans l’année surtout un dimanche étant fort rare.
C’est la voisine spécialiste du tiramisu.

• Bonjour j’ai vu que vous aimiez mon tiramisu, il en reste, je vous en amène.
• Merci beaucoup, venez, nous allons vous payer l’apéritif.
• Je refuse de vous déranger.
• Venez, vous verrez que vous êtes le bienvenu.

Elle me suit, et arrivé près de l’escalier, j’ouvre la porte du cagibi.

• Violette, peux-tu sortir, une invitée nous rend visite.

Je récupère le tiramisu qui manque de tomber au sol lorsqu’il notre visiteuse voit sortir notre voisine son collier avec la chaîne au cou.

• Aline ouvre le cadenas du cou de notre belle voisine.

Elle s’exécute et avant qu’elle ait le temps de se poser des questions, je le place autour du cou de notre voisine spécialiste du tiramisu.
Violette comprend ce que je veux faire et éberluer la voisine est poussée dans le placard et la porte refermée.

• Laissez-moi sortir, mon mari va venir vous tuer, il faut que j’aille faire manger mes enfants.

C’est Violette qui prend la parole.

• Menteuse avec cela Maryse, tes enfants sont chez t’est parents, car ton mari refuse de s’en occuper après votre remariage.

C’est en la laissant pleurer que nous la laissons au placard et allons dehors pour prendre tout de même l’apéritif.
Je viens de temps en temps voir si notre prisonnière est calmée en faisant assez de bruit pour qu’elle sache que je suis là.
La dernière fois où j’y vais, elle est plus posée.

• Dites-moi ce que vous me reprochez, je vous jure que je vais faire ce qu’il faut pour changer.

Il est quinze heures lorsque la sonnerie nous réveille de notre torpeur car tous les trois sommes allongés sur nos transats à bronzer.

• Vous avez vu ma femme.
• Oui, elle est passée nous donner du tiramisu, nous l’avons mangée à midi, je vais vous chercher le plat, il est au lave-vaisselle.
• Non, je vais continuer à la chercher.

Il part et nous rigolons bien entre nous-mêmes si ce pauvre homme si sa femme m’a gonflé avec son dessert.
C’est le lendemain après midi que nous la sortons de son cagibi même si deux fois la tenant par sa chaîne, nous l’avons sortie pour aller aux toilettes.

• J’espère que tu as compris la leçon, plus jamais en collectivité, tu nous emmerderas avec ton tiramisu.

C’est en pleurs qu’elle quitte la maison.
Il y a une heure qu’elle est partie, on sonne. C’est la journée des emmerdeurs.

• Police, cette dame est venue se plaindre que vous l’avez séquestrée pendant deux jours sous votre escalier dans un cagibi avec un panier pour chiens pour dormir.
• Vous êtes sûr qu’elle est sobre, la bouteille lui sert peut-être de livre de chevet. Entrez.

Je les fais entrer suivi des deux voisins.

• C’est là.

Le policier ouvre le placard et un paquet d’affaire de sport lui tombe sur les pieds et principalement des dizaines de balles de tennis.

• Il les a mises là pour vous impressionner, sortez tout, vous trouverez la panière à toutou.

L’agent de police est bonne poire et sort tout, bien sûr, aucune panière ne s’y trouve.

• Regardez la barre ou la chaîne était attachée.

Sur cette barre deux cintres avec deux chemisettes de tennis.

• Qu’est-ce qu’elle raconte, nous avons bien le droit de pouvoir suspendre des affaires dans notre cagibi ?
• D’ailleurs, lorsque j’étais à l’intérieur, il m’était impossible d’ouvrir la porte, il l’avait bloqué avec un cadenas.
• Vous allez croire que je me répète, on a affaire à une Mito, à aucun moment cette porte a eu de cadenas, regardez, aucun trou n’est visible sur la porte et le mur.
Entrez et poussez la porte.

Il entre en se baissant je ferme, il pousse et la porte s’ouvre.

• Vous voyez, j’avais raison, c’est une Mito, déjà hier à la fête des voisins, elle nous a emmerdée, excusez, elle nous a embêtée avec son tiramisu.
• Monsieur l’agent, chercher dans leur frigo ou dans le lave-vaisselle, vous allez trouver mon plat ou j’avais mis le tiramisu que j’avais préparé en grande quantité.
Faites le tour des voisins, ils vous diront que je suis la reine du tiramisu.
• La reine des emmerdeuses, je me répète.

Celui qui dirigeait l’enquête et semble, le chef prend le chemin de la sortie.

• Charles dit leur que j’ai raison, ils ont tout caché pour me faire passer pour une folle.
• Madame, taisez-vous, se foutre de la tête, des forces de l’ordre cela peut vous, coûter très cher.
• Chérie !

Charles veut récupérer sa femme qui repart vers la porte de la maison.
Je la rattrape la prend par le bras sen faisant attention d’éviter de serrer.

• Tu peux te dépêcher de sortir, tu nous as assez emmerdés, tu vas voir, il va t’en cuire…

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