LA FILLE de mon GENDRE

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : LA FILLE de mon GENDRE Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA FILLE de mon GENDRE
Bravo, aux familles recomposées. Certaines se passent sans problème d’autres comme la mienne est un tissu d’imbroglios.
Tout c’est joué dans le même mois de juin, il y a 4 ans.
Nous habitions à Toulouse où j’avais implanté mon entreprise.
Mon gendre est parti avec une autre laissant ma fille avec un fils de 14 ans.
Par mes relations, je lui ai trouvé un travail auprès d’une société plus importante que la mienne.
J’ai fait un deal avec les acheteurs de mon entreprise. J’acceptais de vendre en contrepartie de son embauche avec une garantie de dix ans sans risque de licenciement.
À 55 ans, je me retrouve rentier.
Ce mois de juin est celui où je perds ma femme qui saute du dernier étage d’une entreprise.
La police est venue m’interroger et en a déduit qu’elle était dépressive alors que je n’avais rien remarqué.
Certes dans les jours qui ont précédé son geste, elle avait paru soucieuse mais sans m’inquiéter outre mesure.
Deux jours après son enterrement, je reçois une lettre me signalant que ma femme avait fait ce geste après avoir été harcelé par le chef du personnel de leur boîte qui voulait coucher avec elle sinon il la licencierait.
Cette lettre anonyme me donnait le code secret de la boîte E-mail de ma femme dans laquelle je trouverais toutes les preuves.
J’ai eu un doute sur lequel m’avait envoyé cette lettre ma femme ayant une copine qui n’avait pas de secret pour elle.
Elle était mariée et un jour j’avais surpris une conversation entre elles au téléphone.
Elles y parlaient des soucis que sa copine semblait avoir mais ces histoires de femmes les regardaient et je n’en avais pas fait cas.
Le portable avait été retrouvé dans sa poche et malgré la chute était intact.
La police me la rendue dans les jours suivants et j’ai eu la preuve que ce que disait la lettre était exact.
De nombreux, envoie de plus en plus présent étaient échangés entre eux.
Rapidement j’ai eu la certitude qu’elle n’a jamais cédée bien que le dernier texte de cet homme était assez énigmatique et avait peut-être été l’élément déclencheur de son geste.

J’ai rencontré le directeur de la boîte qui pour éviter le scandale préjudiciable pour son entreprise en plus de licencier cet homme, m’a fait une proposition financière qu’il m’a été difficile de refuser tellement, elle était gagnante pour moi.
Bref, retraité à 55 ans, veuf et blindé de tunes comme disent les jeunes d’aujourd’hui.

En janvier suivant, ma fille me faisait part de la rencontre qu’elle avait faite et qu’elle allait refaire sa vie avec un homme qu’elle avait rencontré dans le cadre de son travail.
Elle allait vivre avec lui à quelques kilomètres d’où elle habitait et à quelques mètres de chez moi.
Ce monsieur divorcé lui aussi a une fille du même âge que mon petit-fils.
Cette adolescente m’était très rébarbative et hostile, elle était dans sa période piercing et autres coiffures ayant des codes qu’eux pouvaient connaître.
Je n’aime pas que les gens qui m’entourent ne m’aiment pas alors j’ai tout fait pour qu’elle m’accepte et que nous enterrions la hache de guerre.

Tout allait pour le mieux, la construction de la piscine dans mon jardin pour faire plaisir à tous a été le début de la zizanie dans la famille.
Après la disparition de ma femme, j’ai eu une vie sexuelle cachée.

J’ai eu plusieurs maîtresses ayant tout un point commun, je sentais la vie avancée et il n’était pas question pour moi que ma queue perde son temps dans la chatte d’une dame venant se plaindre de ses rhumatismes, qui refusera de jouer à des jeux érotiques qui m’ont manqué pendant les plus de trente ans de mariage que j’ai connu.
Et si je dis cela c’est que la première femme que j’ai rencontrée dans une salle de spectacles à qui j’ai offert un verre. Lorsque j’ai vu qu’elle n’était pas opposée à venir jouer à la bête à deux dos chez moi, avec des gants, je lui ai fait comprendre que j’aimerais me faire sucer, j’ai vu que j’avais en face de moi la copie conforme de ma chère et tendre qui était choqué chaque fois que je lui présentais ma verge vers sa bouche.
J’ai préféré en rester là et j’ai très bien fait car ce même soir, j’ai croisé une femme mariée d’environ trente ans dont le mari avait tété la bouteille et qui m’a demandé si je pouvais l’aider à le ramener chez eux.
Si je l’avais voulu alors que je l’aie aidé à coucher son homme, j’aurais pu lui faire l’amour sur leur canapé lorsqu’elle m’a proposé un verre.
J’ai résisté mais comme ma voiture était resté sur le parking de la salle à 5 kilomètres de là, elle m’a proposé de me ramener.
En début de soirée lorsque je m’étais garé, ma voiture s’est trouvé à l’abri des regards assez loin de la salle. Quand nous sommes revenu, tous les invités étaient partis. La nuit était tombée et elle se trouvait isolée dans le noir complet.
Pour me remercier et ne supportant plus les affres de son mari, sans que je la sollicite, elle me place sa main sur mon pantalon qu’elle veut dégrafer.
Je ne la repousse pas mais je lui dis qu’elle ne mérite pas un petit coup rapide dans une voiture. Je l’invite à venir prendre le café le lendemain.
Elle me remercie d’être un homme plein de pudeur avec les dames.
Elle me quitte et j’ai tout de même un peu de regret de ne pas l’avoir laissé faire.

Le lendemain, elle est fidèle à son engagement. À son entrée dans mon vestibule, je lui enlève sa veste et je la prends par la main pour l’emmener vers ma salle de séjour ou je la fais asseoir dans un des fauteuils.
Je m’assieds sur l’accoudoir et alors qu’elle relève la tête, je baisse le mien et je lui prends les lèvres.
Son baiser était suave et profond. Tout était douceur dans cette femme.
Le baiser ayant assez duré, je me suis laissé glisser et elle n’a opposé aucune résistance lorsque placé entre ses jambes, j’ai commencé à déboutonner sa robe d’une seule pièce.
Chaque fois que j’ouvrais un bouton son corps m’apparaissait de plus en plus. Ses seins sans aucun soutien qui d’ailleurs n’en avait pas besoin ont été le premier point de son corps après ses lèvres que ma bouche a sucées.
Plus le temps s’allongeait et plus son corps se détendait et plus elle glissait lascivement devant moi.
Son nombril lui aussi était gracieux. Ma langue a eu plaisir à le tarauder lui entraînant de petits gémissements qui pouvaient être pris comme la première marque de son plaisir.
Lorsque j’ai découvert son sexe, son corps était presque allongé comme si elle m’offrait son abricot entièrement lisse en offrande.
Elle avait rasé sa chatte avant de venir chez moi sachant qu’elle se donnerait à moi.
Elle voulait par ce geste se présenter à moi avec un corps qu’aucun autre homme n’avait pu voir.
En se présentant toute lisse devant moi elle souhaitait retrouver la pureté qu’elle avait lorsqu’elle s’était offerte à celui qui est devenu son mari son intimité que personne n’avait eu le loisir de voir auparavant.
Rapidement il s’est montré violent et alcoolique de surcroît. Le seul avantage de la situation, c’était qu’il ne la touchait plus incapable de bander lorsqu’il rentrait le soir.
Depuis le début de notre relation seule ma bouche avait parcouru son corps de ses lèvres à ses seins, de ses seins vers son nombril et maintenant de son nombril à sa chatte, elle avait glissé sans qu’à aucun moment elle perde le contact.
C’était encore le cas avec sa fente à un détail près, mes mains l’ont aidé en écartant ses lèvres intimes.
Je dis ses lèvres intimes car contrairement à toutes les femmes qui avaient ponctué ma vie avant de grandes lèvres alors que sa fente était entourée de deux parties rondes et fendue comme une mangue.
Il a fallu que ma langue après avoir pénétré trouve le petit bouton que j’aime tant sucer et qui si ces dames sont clitoridiennes les emporte vers un premier plaisir.
Elle n’a pas dérogé à cette règle et sa jouissance est monté d’un cran par rapport à celle que ma pénétration de son nombril avec ma langue avait déclenchée.
J’ai remonté le chemin de son corps et lorsque j’ai fait retour sur ses lèvres, je l’aide à se redresser et je l’entraîne dans ma chambre.

Après le décès de ma femme, j’avais tout changé lit armoire, drap et surtout coiffeuse.
J’espérais me retrouver dans la situation que j’étais en train de vivre avec cette jeune femme et je n’aurai pas conçu faire l’amour dans l’atmosphère de ces années qui ont eu des hauts et des bas mais qui globalement ont été heureuses.

Dès que je l’enlace, sa main part directement se poser sur mon sexe qui depuis des mois n’a pas été aussi tendu.
Je retrouve le goût sucré de ses lèvres et la bouche qu’elle ouvre largement nous permet de faire la fête de nos deux langues.
Ce baisé doux mais vorace à certains moments celle notre envie de franchir une dernière étape qu’elle passe allègrement lorsqu’elle défait mes vêtements et qu’elle se laisse aller en arrière sur le lit.
J’ai la vision une seconde de son mont de vénus et mon corps recouvre le sien et nos sexes naturellement se trouvent.
Une fois au fond d’elle, elle me cerne les reins de ses jambes comme pour m’empêcher de la quitter avant d’avoir apporté à son corps la jouissance voire l’orgasme qu’elle aspire à ressentir.
J’ai failli louper sa montée vers ce plaisir lorsque ma verge s’est déconnecté de mon cerveau et qu’elle a voulu emplir cette grotte de ma semence. Il a fallu que je lutte pied à pied pour retarder le moment et que les petits cris qu’elle pousse me fassent comprendre que je peux moi aussi jouir.
Nous avons renouvelé ces après-midi pendant plusieurs semaines au grand plaisir de nos deux corps.

Pendant ce temps mon opération séduction la première année avec la fille de mon gendre semblait lettre morte.
Pour ses seize ans, je lui avais offert un flacon de parfum qui n’avait pas semblé lui plaire car je n’ai jamais senti sur elle l’odeur que m’avait faite sentir la vendeuse.
L’année suivante lorsque nous avons fêté l’anniversaire de mon petit-fils le même jour, le cadeau que j’avais choisi ne pouvait pas ne pas lui plaire.
J’avais surpris une conversation où elle pestait auprès d’une amie car le vélo qu’elle avait récupéré était toujours cassé.
Pour leurs dix-sept ans, j’offrais à chacun un Piaggio. Même modèle, même cylindrée, seule la couleur était différente.
Ces cadeaux furent le premier point de discorde avec ma fille et mon gendre qui refusait sous couvert de sécurité de leur en acheter depuis presque un an.
La petite lorsqu’elle est venue m’embrasser pour me remercier ma prise par le cou. La façon qu’elle a eue en me regarder et de me dire merci papy son regard et son ton avait complètement changé.
J’ai moins apprécié le merci papy qui me rappelait mon âge.

Après quelques mois passés ensemble à faire l’amour avec un grand respect ma maîtresse ma prévenue qu’elle partait travailler à Paris et ainsi quittait définitivement son mari.
Je l’ai conduit à l’aéroport et au moment où elle a franchi le portique de sécurité, je savais qu’une nouvelle page de ma vie se tournait.
Autant lorsque je l’avais rencontré à la soirée, refusant une femme de mon âge et de ma condition, ce qui m’avait permis de la découvrir autant lorsque je me suis arrêté pour prendre une mousse au bar de l’aéroport l’idée de trouver une remplaçante à celle qui venait juste de me quitter a été fortuit.
Lorsqu’elle m’a tapé sur l’épaule pour me demander ce que je faisais là, cette grande blonde que j’avais connue en barboteuse qui venait tous les jours jouer avec ma fille m’a fait sursauter.
Elle arrivait d’un vol de Paris à Toulouse comme hôtesse de l’air et allait prendre son taxi pour retourner chez elle. Je lui ai proposé de la reconduire ma voiture n’étant pas loin.
Dans la voiture, j’ai bien remarqué l’état d’excitation de la jeune femme, ses mouvements saccadés et ses paroles discordantes m’ont intrigué un moment.
Arrivée sur le parking de son immeuble, elle me propose de monter chez elle prendre un verre.
Nous avons à peine franchi la porte qu’elle me plaque au mur, me prend la bouche dans un baiser vorace et me met la main sur le sexe.
Je n’ai pas le temps de réaliser alors qu’elle arrache littéralement son chemisier faisant sauter deux boutons, elle s’agenouille et avant que je ne comprenne ce qui m’arrive, je me retrouve au fond de sa bouche.
Je n’ai jamais été aspiré si goulûment. Elle me prend même entre ses dents et elle sert à m’en faire crier.
Je suis aux mains d’une vraie tornade. Moi qui le matin avais une liaison amoureuse avec une dame calme, prenant son pied sans excès, le soir même, je suis en train de débuter une liaison avec une jeune femme volcanique, avaleuse de mon sexe qui apprécie à la manière dont il se tend.
Lorsqu’elle juge que je suis à point, elle se redresse arrache la jupe de sa compagnie arienne très connue et me fait directement admirer sa chatte entièrement épilée.
Mademoiselle est hôtesse et se balade entre les ranger de sièges la vulve à la portée du premier mâle qui aurait envie de lui passer une main, je viens de quitter une sainte et je retrouve une salope. J’adore le contraste entre mon ancienne maîtresse et ma nouvelle maîtresse surtout qu’alors que nous sommes toujours dans le vestibule, elle se pend à mon cou et qu’elle saute comme un cabri pour m’enserrer les reins.
Il ne me reste plus qu’à empoigner ma verge pour la plonger dans sa grotte en ébullition et pouvoir dire ma nouvelle maîtresse.
Dès que je suis en dans la place, elle jouit et ses cris doivent s’entendre dans le couloir. Son appartement est face à l’ascenseur et si des voisins l’attendent, ils ne peuvent ignorer que l’hôtesse de l’air ne rêve plus d’avoir les fesses en l’air.
Ces fesses ne sont pas en l’air mais dans mes mains et j’arrive avec la pointe d’un doigt à lui titiller sa petite rondelle que je sens s’ouvrir et se fermer.
Son corps semble ouvert à tous les plaisirs et je vais dans les jours suivants chaque fois qu’elle atterrit à Toulouse, je peux contrôler que ce que je supputais était exact.
Sodomie, fellation et tout types de pénétration, est aux menus chaque fois qu’elle me rejoint. Je m’aperçois rapidement que son excitation et sa boulimie de sexe son lié à son métier.
C’est pousser d’adrénaline qu’elle ressent lorsque les vibrations de l’avion arrivent jusqu’à son intimité doivent déclencher des besoins sexuels hors du commun.

Un jour je dois monter à Paris pour l’enterrement d’un de mes copains de régiment.
Mon hôtesse se propose de me prendre un billet aller-retour. Elle a une pose entre les deux vols et me propose de venir avec moi à la cérémonie.
Me balader au bras de cette jeune et jolie fille n’est pas pour me déplaire. Je ne me savais pas cabot mais pourquoi pas, il faut un début à tout.
Un début, il y en a un lorsque dès que le pilote nous autorise à détacher nos ceintures ma compagne me fait signe de la suivre et qu’elle m’entraîne dans les toilettes de l’équipage et qu’elle s’empale sur ma verge avec deux fois plus de fougue que chez elle. Je suis obligé de la bâillonner avec ma main pour éviter que le commandant de bord ne déclenche un atterrissage d’urgence pour cause d’alarmes non détectées.

L’enterrement s’est bien passé car très sobre mais la visite d’un mausolée dont la porte était ouverte avant que le corps de mon ami n’arrive m’a confirmé que le décollage et l’altitude sont la cause de ses débordements.
Rebelote au retour, lorsque je suis sortie des toilettes, ses deux copines étaient hilares, ainsi que les premiers rangs de l’avion car contrairement à l’allée, je n’ai pas eu le temps de la museler.
Je suis revenu chez moi après un dernier coup dans sa chambre et pendant trois jours, je ne me suis levé que pour manger et faire quelques besoins naturels.
Plus j’avançais dans notre relation et plus cette nymphomane risquait de me raccourir la vie de plusieurs années.
Lors d’un de ses retours, j’ai prétexté une visite à un cardiologue qui m’a restreint l’acte sexuel avec un risque de crise cardiaque.
Dès le lendemain, elle a dû se trouver un autre exécutoire car à partir de ce jour, je ne l’ai pas revu sauf accessoirement en ville.
Notre relation a durant assez longtemps pour que ma fille soit au courant et me traite d’obsédé étant donné l’âge de sa copine. Elle a même eu la délicatesse de m’accuser de vouloir baiser des filles de son âge car je n’avais pas coupé le cordon entre elle et moi. Bref, je l’ai foutu dehors n’ayant aucun instinct incestueux.

La fille de mon gendre là sue, à partir de ce jour, elle a commencé à venir me voir régulièrement.
À quelques semaines de ses dix-huit ans alors que nous profitions des bords de la piscine pour la première fois de l’année sans pour autant pouvoir nous baigner, elle m’a fait une première provocation en se mettant nue.
Notre transat était légèrement face à face. Tout en me regardant d’un regard concupiscent ses jambes se sont ouverte me faisant voir l’intérieur de son intimité.
La question qu’elle m’a posée m’a laissé sans voix. Elle voulait que je lui dise lorsque le jour de ses dix-huit ans, elle me donnerait sa virginité, je préférais sa chatte avec sa touffe ou complètement épilée.
Je l’ai traité de folle et qu’il n’était pas question qu’à mon âge, je m’occupe de la faire entrer dans le monde des femmes.
J’avais quelques jours pour trouver une parade.
Ma première idée, c’était de lui interdire l’accès à ma maison. Je trouvais la punition un peu restrictive pour moi car j’avais pris l’habitude à sa présence et cette séparation quelque part ne me convenait pas.
Le jour de son anniversaire, j’avais trouvé deux parades, la première, j’ai invité mon petit-fils évitant ainsi de mon retrouvé seul avec elle et en plus d’un gros gâteau au chocolat que je savais être ce qu’ils préféraient je leur ai donné une enveloppe avec à chacun le financement de leur permis de conduire.
Tous les deux sont venu remercier papy en me donnant de gros baisés sur ma joue sauf la petite qui m’a donné un baiser à la commissure de mes lèvres en me glissant à l’oreille que je n’étais pas quitte pour autant et que son projet tenait toujours.
L’ouverture est arrivé pour elle quelques jours plus tard. J’étais seule chez moi et je prenais le soleil nu près de la piscine.
Il faisait tellement bon que je me suis endormi.
Depuis que j’avais réussi à rompre avec mon hôtesse de l’air, ma bite s’était reposée et pour un rien je bandais.
Le rêve que j’ai commencé à faire était très réaliste. La bouche de l’inconnu qui me suçait était très efficace car j’avais la plus belle trique que je n’ai jamais présentée à une femme.
Le seul problème, c’est que je voyais bien que la bouche qui me suçait mais aucun corps visible.
Au moment où la bouche a été remplacé par un fourreau bien lubrifié une ombre a commencé à m’apparaître et au moment où j’ai repris ma lucidité, il était trop tard la petite, c’était emmancher sur ma bite et commençait à coulisser dessus.
Mon premier réflexe a été de la virer mais un éclair de lucidité que si je faisais cela, elle risquait d’être traumatisée pour le restant de sa vie de femme.
Femme que, sans le souhaiter, je venais de faire d’elle car au fure et à mesure qu’elle se projetait de plus en plus vite sur ma tige, je voyais les traces de sang de la perforation de son hymen me couler sur les cuisses.
J’étais obligé de reconnaître que depuis mon veuvage la pente était risquée.
J’avais refusé une dame de cinquante ans pour une femme mariée de plus de trente ans. Qui elle-même a été remplacé par une légèrement plus jeunes pour finir par cette jeune fille de dix-huit ans.
Il faut être un faux cul si je ne reconnaissais pas la fierté d’avoir été choisi par cette jeune femme qui a vu en moi l’homme capable de lui faire franchir cette étape bien souvent massacrée par ces jeunes cons qui croient tout savoir car ils ont regardé quelques films pornos sur Canal+.
Pendant ce temps, n’ayant pas eu le courage de la repousser, ses actions montaient en flèche. Je sentais que j’étais prêt à prendre mon plaisir mais que j’avais encore assez de réserves pour que dès sa première fois, elle atteigne l’orgasme.
Lorsqu’elle m’a dit qu’elle jouissait avec avant un petit moment de lucidité pour me dire de ne pas m’en faire car elle prenait la pilule, les jets qui ont inondé son utérus n’avaient pas de cesse que les cris de ses orgasmes successifs que son corps ressentait.

Elle s’est allongé sur moi et de nouveau le soleil plus les petits mouvements qu’elle faisait avec son bas-ventre qui avait gardé ma verge au centre de son intimité m’a rapidement fait rebander.
Là encore il aurait fallu la repousser mais lorsque j’ai essayé, elle m’a simplement dit qu’il ne servait à rien de le faire car elle arriverait toujours comme tout à l’heure à m’avoir et que si elle avait voulu avoir son sexe en elle, c’était par amour pour moi.
Dans les jours qui ont suivi j’ai eu une femme complète à la maison.
Au lit, elle voulait tout connaître des jeux amoureux.
Dès le premier soir, je l’ai sodomisé à sa demande sans aucun remords lorsque son corps a joui Le matin, elle m’a apporté le petit déjeuner au lit, ce qu’aucune femme ne m’avait fait.
Je faisais le ménage moi-même et elle a tenu à le faire pendant que je me reposais ce qui était impossible car elle le faisait nue et chaque fois elle finissait à quatre pattes sur le canapé ma bite venant la prendre en levrette suivant mon envie ou son envie.
Huit jours plus tard j’ai vu ma fille déboulée au moment où nous faisions le ménage.
Elle m’a traité de porc, la petite de pute salope et truie elle aussi.
Elle n’aurait pas dû me traiter de porc et ma petite de truie car je lui ai demandé de quitter ma porcherie.
J’ai su deux jours plus tard qu’elle s’était séparé de son mec car elle en avait remis une couche en lui disant qu’il avait été le géniteur d’une belle salope.
Il lui a répondu qu’elle était la fille d’un maquereau. Tout a été dit et elle a chargé sa voiture avec ses affaires laissant mon petit-fils à la rue car le père de ma petite l’a viré sur-le-champ.
Il n’a vu qu’un endroit où se réfugier.
Nous avons vécu tous les trois jusqu’à leurs dix-neuf ans où je n’avais aucune idée pour leur cadeau.
Nous avions bien pris l’habitude d’être souvent nus dans la maison même l’hiver.
Les petits m’avaient demandé de leur payer une voiture pour aller à la fac mais comme chacun n’allait pas au même endroit et aux mêmes heures, je leur ai acheté une C1 Citroën blanche pour lui rouge pour elle.
C’est ma petite qui m’a demandé son cadeau.
Lorsqu’elle s’est expliqué, j’ai failli tomber sur mes fesses.
Une fois de plus sa demande était saugrenue et j’ai eu beau l’en dissuader, elle m’a certifié qu’elle réaliserait son fantasme mais ce serait moi qui aurais mal car elle serait obligée de me tromper ce qu’elle n’avait aucune envie de faire.
Alors que je cherchais désespérément à faire évoluer notre relation et que la situation paraisse plus raisonnable.
Je lui ai, donné mon accord si elle acceptait et réalisait préalablement une idée qui avait germé en moi.
Elle n’avait pas pensé à mon idée et la trouvée intéressante.
Elle a réussi en deux mois à avoir l’accord de la troisième partie de notre projet.

Le jour de leurs dix-neuf ans, il est dix heures qu’en on entre à la mairie de Toulouse et que monsieur le maire nous reçoit.
Au moment des consentements, le marié a dit oui ainsi que la mariée habillée avec une magnifique robe blanche.
Les registres signés, en sortant de la salle des mariages, nous avons pris le chemin du restaurant ou nous avons réservé et nous avons apprécié le bon repas que j’avais commandé.
De retour à la maison, j’ai déshabillé la mariée et j’ai invité son mari à lui faire l’amour.
Mon petit-fils s’est allongé, elle est venue s’enfourcher sur sa bite que je voyais pour la première fois tendue.
Il lui a donné un premier plaisir qui m’a fait énormément plaisir et c’est le moment où elle a voulu que je lui donne son cadeau d’anniversaire.
Je suis venu sur le lit et je l’ai pénétré par sa rosette qui m’attendait avec envie.
Pour la première fois, et loin d’être la dernière, ma petite fille réalisait son fantasme d’être pénétrée par deux verges en même temps.
Je dois dire que pour moi c’était aussi la première fois et au moment où j’ai commencé à coulisser en elle et que son mari en a fait de même, sentir nos verges familiales coulissées dans le vagin et l’anus de notre petite femme, j’ai été le plus heureux des papys.

Lorsque nos trois corps ont joui à l’unisson, je n’aurais pas échangé ma place pour tout l’or du monde.
Après quelques minutes de repos, les deux petits sont venus m’offrir un cadeau.
La petite boîte que j’ai reçue contenait deux paires de chaussons pour bébés. L’un bleu l’autre rose en même temps, elle me faisait voir l’écographie montant les deux bébés dans son ventre.
Mon petit-fils a certifié que, lorsqu’il a fait l’amour avec sa femme avant que nous ne la prenions tous les deux, c’était la première fois qu’il lui faisait l’amour.
Il n’avait pas essayé de faire l’amour à la petite même si elle lui plaisait et qu’il était lui aussi tombé amoureux. Lorsqu’elle lui a fait connaître son envie et ma suggestion, il a tout de suite dit oui lui promettant de lui être fidèle jusqu’à la fin de sa vie sans pour autant demandé l’exclusivité de son corps.

Il savait qu’elle était enceinte de jumeau jumelle qui n’était de moi.
De mon côté, j’ai fait le nécessaire auprès de mon notaire pour que la totalité de mes biens leur revienne, il a négocié avec ma fille qui a accepté une somme lui revenant après le décès de sa mère.

Nous attendons sereinement les naissances fermement décidées que nous aurions un troisième enfant et que pour ce faire lorsque sa femme après les naissances sera à nouveau féconde que seul mon petit-fils aura le droit de la pénétrer par la chatte alors que moi elle ferait le nécessaire pour que je ne sois pas frustré pendant la période.
Nous sommes un couple à trois très sereins et qui voit la vie en rose et bleu.
La loi le permettant c’est moi qui vais reconnaître les deux premiers petits et le suivant par mon petit-fils.

Nous avons ainsi réussi à recomposer notre famille sans aucun déchirement.

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