La fille du garage

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : La fille du garage Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La fille du garage
Je pourrai raconter tout ça à mes petites filles quand elles en auront l’âge, elles pourraient exercer le même métier !
Hier, j’ai eu une panne en face d’un garage. La guigne d’un coté, la chance de l’autre. J’entre dans cet antre de mécanique pour qu’on s’occupe de moi. Une jeune et jolie femme m’accueille : très sexy dans sa salopette. Pas très propre des mains. Je demande à voir le chef d’atelier :
- C’est moi.
- Vous, une femme, chef d’atelier ?
- Tout arrive, monsieur,, même les filles là où on ne les attends. Qui y a-t-il à votre service ?
- Je n’en sais strictement rien, je suis en panne, juste là à votre porte.
- Je vais y jeter une œil.
Elle part, ouvre le capot et farfouille un peu dans le moteur. Voilà maintenant des femmes dans la mécanique. Je dois rêver, pourtant je ne crois pas être macho.
Quand elle revient elle me dit que ma voiture est trop neuve.
- Avec ces nouveaux modèles il faut se servir de l’ordinateur pour détecter une panne. Les constructeurs nous ennuient, tout le plaisir de la belle mécanique est parti. Elle appelle à l’aide : sortent deux autres femmes de son âge entre 25 et 30 ans, toutes bien mignonnes, et sexy dans leur salopette. Même la secrétaire, comptable, enfin celle qui est dans un bureau, bien habillée et comme les autres belle et sexy.
Je me demande à quoi sert ce déploiement de nanas.
Je ne suis qu’un imbécile, il faut bien entrer la voiture et il y a une bonne pente pour la pousser. Une fois en place, une des filles, Stéphanie est chargée d’ausculter ma voiture. Je reste autour, je veux voir de mes yeux une femme dans la mécanique. Elle commence par poser une protection sur le siège, ouvre le pose gants et y branche un gros fil.
Elle tripote l’ordinateur posé sur un trépied. Stéphanie appuie sur des boutons………… Je n’y comprends rien. Elle détecte la panne. Je ne veux même pas savoir laquelle. J’erre dans l’atelier, m’intéressant aux activité de ces dames. Je peux « chopper » la chef d’atelier qui bricole dans un moteur.
- Je ne pensais jamais trouver une atelier de mécanique uniquement composé de femmes.
- Maintenant nous pouvons le faire, d’abord parce que nous sommes toutes associées après une bonne formation, et ensuite nous nous entendons fort bien, mieux que ce que vous pouvez croire.
Stéphanie vient vers nous pour me dire que la panne est réparée. Je l’aurais embrassée si nous avions été seuls. Je dois passer au bureau pour régler le facture. Je m’attends à être assommé. Je m’en tire pour 55 €. Je règle quand Stéphanie s’excuse, l’heure de la sortie est déjà dépassée, il faut qu’elle aille déjeuner, je suis satisfait, je l’invite. Elle se change pour revenir avec une jupe et un t-shirt qui me la fait classer dans les plus belles filles que je connaisse.
Elle accepte. Comme je ne connais pas du tout le coin elle m’emmène dans un bouiboui où les mécaniciennes déjeunent. Je ne veux pas d ’elle dans cet endroit, d’autant plus que j’ai vu à proximité un restaurant dont je connais la réputation.
Après quelques réticences nous sommes enfin installées. Nous bavardons surtout de son job. Elle fait ce qu’elle voulait depuis toujours. Elle en est heureuse. Puis à mon tour de lui dire que je suis fier d’être avec une aussi jolie fille. Une fille que j’aimerai bien embrasser et………… je ne dit plus rien, elle a compris. Elle rosit devant l’invite, n’en dit pas non.
- Je peux facilement me libérer, si vous insistez.
- J’insiste.
- Tant mieux, vous me faisiez envie.
C’est bien la première fois qu’une fille me fait du rentre dedans.
Nous sortons du restaurant pour aller où ? Au garage.
Elle ne va pas me faire aller où elle travaille quand je pense à elle déjà nue dans mes bras. Elle en ressort aussitôt, elle a averti ses associées qu’elle ne pourrait pas rester cet après midi.
- Elles ont toutes compris avec qui et où j’allais.
- Ainsi elle savent que nous allons……. où d’ailleurs ?
- A deux pas, chez moi.
- Ca ne vous portera pas tort ?
- Quoi, sortir avec un client content, ça fait parti du travail.
- Je suis un travail ?
- Absolument. D’ailleurs voici quel travail.
Elle se tourne vers moi, me regarde bien dans les yeux pour en suite regarder ma bouche. Je sais maintenant quel est son travail. Je l’aide en posant mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’ouvre pour recevoir ma langue. Nos langues se battent dans les bouches. Heureusement qu’elle habite à moins de 20 mètres, je commence à bander; elle fait tout ce qu’il faut pour ça.
Ouf, nous sommes enfin chez elle. Nous reprenons le baiser très serrés. Je sens sa poitrine qui me semble libre sous son t-shirt. Elle sait fort bien frotter son ventre contre ma queue. Je cesse le baiser pour faire remonter et enlever son vêtement. Elle me laisse faire, surtout quand je prends dans la bouche son téton que je suce et lèche à la fois. Elle gémit, ne se laisse pas faire sans réagir, elle ouvre ma chemise, me l’enlève et prend dans sa bouche un de mes tétons. Elle a été obligé de laisser ma bite loin de son ventre. Elle défait ma braguette, entre une main et arrive à sortir ma bite. Je ne craints qu’une seule chose, qu’elle me branle et me fasse jouir rapidement.
Les filles actuelles savent bien plus de détails qu’avant. Elles savent aussi prendre des initiatives hardies. Elle oublie mon téton pour venir me prendre dans sa bouche. A choisir je préfère qu’elle me prenne cet organe. Je ne savais pas qu’elle était ma reine de la pipe. Une reine qui sait bien doser et les léchages et les caresses de ses lèvres. Elle me prend jusqu’à sa glotte quand elle veut. Elle veut souvent. Je ne sais quel effet fait une fellation dans la bouche d’une fille, en tout cas, elle a l’air de se régaler : je suis devenu un sucre d’orge qu’elle déguste. Elle tient maintenant la base de ma bite avec une main, sa bouche se fixant vers le haut. Je vois ses lèvres entourer ma pine, aller et venir sur mon gland. Elle accélère sans arrêt. J’ai beau lui demander d’arrêter, elle n’en fait qu’à sa tête. Je ne pensais jamais qu’elle soit si douée. Je comprend pourquoi elle a si vite accepté mon invitation. Je sens monter un plaisir inouï, un plaisir rare. Je n’ai même pas envie de l’avertir que la sauce arrive. J’éjacule directement dans sa bouche, c’est-ce qu’elle voulait. Elle retire sa bouche que quand ma dernière goutte est sortir du méat. Je bande toujours un peu. Elle prend ma pine dans la main et me branlotte. Pendant tout le temps où elle me tétait j’avais ma main sur ses cheveux que je caressais.
Maintenant elle essaie de ma faire bander fortement. Elle n’y arrive pas.
Nous sommes nus : qu’elle belle fille et quelle belle paire de miches. Que de belles cuisses et quel beau ventre plat. Son pubis est ornée de poils taillés en cœur. La pointe vers le bas. Couchés, je l’ai juste à mes cotés, je peux à nouveau sucer ses tétons. Une main descend vers son val d’enfer. Je sais d’avance qu’il doit y faire très chaud. Et je n’ai qu’une envie maintenant c’est de la masturber. Je passe ses poils et enfin pour elle je suis dans son antre. Je cherche à peine à deux doigts son petit bouton que je frôle lentement. J’ai maintenant ma bouche sur la sienne, une main sur un sein et enfin une partie de son trésor sous mes doigts. Il ne me reste que ma queue que je lui donnerai tout à l’heure. Je ne sais pas où, mais je la lui mettrai sans scrupule. Ma main va de plus en plus vite, elle gémit plus fort. Je sens son souffle rauque quand elle respire, je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir. J’arrête volontairement pour faire durer son plaisir. Elle ouvre les yeux interrogateurs. Je reprends la masturbation, elle referme ses yeux pour rêver à je ne sais quel accouplement. Si elle pense au notre, il ne tardera pas. Et soudain, comme une bombe elle éclate en un long orgasme. Je ne pensais pas qu’elle jouisse ainsi, sa tête vas dans tous les sens, ses jambes se resserrent et s’écartent, ses reins font un mouvement comme si elle baisait. Je ne sais pas combien de temps sa jouissance a pu durer, plusieurs minutes c’est certain.
Quand elle se relève de son extase, maintenant elle me veut là où les filles aiment : dans l’origine du monde. Je vais sur elle, l’écrasant un peu, comme elle le demande, je ne veux pas de son aide pour me guider, comme si je ne savait pas où se trouve son nid de douceur.
- Vite mets moi là.
- Patientes un peu, ça vient.
- Vite, j’ai envie de ta bite dans mon ventre, dans mon con, vite baises moi.
Puisqu’elle est pressée je vais la servir, je pose mon gland juste à l’entrée de sa chattoune et d’un coup sec j’entre à fond. Elle en est surprise, elle aurait voulu que je sois encore plus doux. Je ressort ma queue pour la remettre comme elle voulait. J’entre très lentement dans son étui humide. Humide certes, mais combien agréable. Elle passe ses talons sur mes fesses. Nous voici liés par ma bite. Elle participe à mes vas et vient en gémissant toujours. Je sens avec plaisir son sexe entourant le mien. J’arrive à passer une main sous elle, je ne vise qu’un seul petit trou. Je peux y entrer un doigt ce qui pour le moment la satisfait.
- Oui, oui, encore, mets moi là bien au fond, baises moi comme une pute.
- Tais toi et jouis.
J’ai maintenant sa langue dans ma bouche. Elle suit les mêmes mouvements que notre baise un moment pout finalement me lécher les lèvres. C’est à ce moment là que je sens ses crispations de son sexe quand elle jouit. La vache!!!! Elle me fait jouir en même temps qu’elle. Mes contractions sont plus longues que les siennes. Je ne sais pourquoi, il me semble qu’elle baise bien mieux vers la fin qu’au début. Je reste en elle, même si ma queue diminue de volume. Je ne sais pourquoi je me sens bien dans sa gaine. Je ne vais quand même pas m’attacher à une mécano. Je sens l’ouverture de son vagin se refermer volontairement sur moi. Elle en veut encore. Elle arrive à me faire bander encore. C’est une as du libertinage. Je sors d’elle facilement tellement elle est mouillée. Elle tient à me nettoyer la queue, sa langue sert de moyen de mise au propre. Elle récupère et sa cyprine et mon sperme, quand elle finit, elle avale le tout et me tire la langue.
Pour la punir je la mets sur le ventre pour lui donner une fessée. Elle commence à hurler comme si je l’avais touchée. Quand elle reçoit une petite tape sur la fesse, elle crie plus fort. A croire que je la martyrise. Je passe un bras sous son ventre pour la tirer vers le haut, elle m’aide pour se mettre en levrette. Elle n’attendait que ça.
- Encules moi.
- Tu aimes te faire mettre par derrière !
- Dommage qu’une autre fille du garage ne soit pas là, elle me sucerai le con en même temps.
- Vous baisez souvent au travail ?
- Jamais pendant le travail, après souvent, nous faisons des partouzes.
- Et si un client vous voit ?
- Impossible nous sommes toutes nues, derrière dans la coin spécial baise.
- J’aimerai bien y assister.
- Impossible nous ne baisons qu’entre filles, sinon nous partons comme je l’ai fait avec toi.
- Dommage. Si tu veux je peux te branler le clitoris.
- Oui, encules moi et branles moi.
Elle prend de sa cyprine, en met plein son petit trou. Je peux entrer facilement, elle me dit se faire mettre souvent pas là. Quand je suis à fond dans son cul que mes poils viennent caresser ses fesses, je passe ma main sous elle. Je trouve son bouton, je le frôle comme elle aime, avant d’aller plus vite. Elle gémit toujours en se faisant mettre devant ou derrière. Elle jouit encore, pourtant j’étais sur le point de partir avec elle. Je reste jusqu’à mon orgasme dans ce cul accueillant jusqu’à ce que ma semence parte dans son ventre.
Elle se met sur le dos, me demande de lui sucer les tétons, ce que je fais avec un plaisir non dissimulé, ses seins splendides attirent n’importe qu’elle bouche, surtout la mienne. Elle repousse ma bouche vers le bas, elle me guide vers son gros trou. J’avoue que lécher mon sperme ne me plais pas tellement. Quand j’entre ma langue je sens vaguement le sperme et surtout son gout de femelle satisfaite.
Nous restons passer la nuit ensemble. Je pensais dormir jusqu’au petit matin. Pas question, elle a un besoin urgent de sexe : un 69, le problème est réglé. Normalement nous devrions nous voir la nuit prochaine, normalement………………

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe histoire, cela donne envi. laisse nous l'adresse de ce garage !

Histoire Erotique
elle est belles cette histoire merci



Texte coquin : La fille du garage
Histoire sexe : Une rose rouge
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