la fille du train

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : la fille du train Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2008 dans la catégorie Plus on est
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la fille du train
C'était il y a de nombreuses années, je prenais le "Capitole


" le train qui reliait Toulouse à Paris. Dans le compartiment de première classe il n'y avait qu'une jeune femme. Je regardais à la dérobée et remarquais aussitôt qu'elle était très jolie, Coté physique son corps semblait aussi très bien fait. La train part et je commence à lire une revue hebdomadaire la jeune femme en fait autant et bientôt sentant un regard sur moi, je lève la tête et c'est la jeune femme qui me regarde avec insistance. Je lui souris elle réponds et nous engageons la conversation: où allons nous en arrivant à Paris. Elle a oublié de réserver une chambre et ne sait trop où elle passera la nuit. Je lui fait remarquer que ce sera sans doute difficile de trouver un hôtel d'une classe suffisante pour accueillir sa beauté. Elle rougit du compliment. nous continuons à bavarder, ou plutôt je oui fait la cour. Ce qu'elle prend très bien, pour une femme il est toujours agréable d'être courtisée.
Nous allons ensemble au wagon restaurant. Puis nous rentrons dans notre compartiment. Le contrôleur est passé, plus personne ne viendra déranger notre tête à tête. Je continue flatter cette jolie fille qui commence à me donner des idées coquines. Mais la réalité prend le pas sur mes belles paroles. Elle me dit soudainement que je ne lui déplait pas du tout. Enfin elle me parle d'elle: elle est enseignante en faculté de science et ne va à Paris que pour rencontrer une personne haut placé au ministère, personne qu'elle n'aime pas parce qu'un jour il lui a proposé pour facilité son avancement de coucher avec lui. Une paire de gifles lui ont remis les idées en place.
Je la plains d'être tombée sur un tel personnage. Cette confession me démonte un peu, nous ne sommes liés par rien et elle me dit des choses trop intimes. Je le lui fait remarquer. Elle en a lourd sur le coeur et ne peut d'empêcher de pleurer.
Je m'approche d'elle pour la prendre dans mes bras et la consoler. Elle se laisse bercer et me tend ses lèvres que je couvre d'un léger baiser. Elle en ait satisfaite puis qu'elle se remet.
Je reste près d'elle et il me prend l'envie de lui faire l'amour. Je me lève fermer la porte du compartiment et reviens vers elle. Comprenant e que je veux, elle me dit qu'elle aussi voudrait bien flirter avec moi. Je l'embrasse à pleine bouche elle répond avec sa langue. Puis me glisse dans l'oreille: je ne suis pas vierge. Je prends ça pour une invite. Je glisse une main sous la veste de son tailleur et cherche un sein qu'elle ne me refuse pas. Elle retire son tailleur pour se trouver devant moi en combinaison noire. Je fais glisser une l'autre pour lui enlever doucement sons soutien gorge, noir lui aussi. Je dénude sa poitrine et vois une paire de seins splendide: en forme de poire, pointant bien haut, Des aréoles brunes et des tétons qui semblent n'attendre qu'un baiser. Je m'empare des seins que je caresse et suce l'un après l'autre. Elle penche la tête en arrière pour jouir de l'instant présent. Mais à son tour elle me cherche et passe une main dans ma chemise, qu'elle déboutonne et sort de mon pantalon. Elle caresse aussi ma poitrine: Je bande et elle le voit. Je mets ma main sur un genou pur glisser sur ses cuisses. Je remonte vers la ceinture de sa jupe: elle l'enlève et se met totalement nue. J'admire ce corps et à mon tour je suis nu devant elle, avec ma bite en érection Maintenant nous pouvons nous toucher partout sans obstacle. Je pelote sa poitrine et la mettant debout contre moi, je l'embrasse encore et lui prends les fesses dans mes mains, le flatte et mets un doigt dans la raie. Elle me dit aimer cette caresse et d'autre encore plus intimes. Je profite de l'occasion pour lui prendre encore un sein pour le sucer. Mais je sens qu'elle n'est pas complètement satisfaite. Je la fais coucher sur la banquette, commence à embrasser les lèvres, puis je descends vers le cou pour finir sur son pubis. Elle écarte les cuisse et je peu enfin lui poser mes lèvres sur son sexe. Elle le guide vers son clitoris. Je suce ce con qui a une odeur très sensuelle. Je bande de plus en plus. Elle veut me faire une fellation, mais je refuse pour l'instant cette privauté. Lorsqu'elle jouis entre mes lèvres je reçois un peu de son élixir dans ma bouche. Je m'en délecte. Elle me demande de lui faire l 'amour. La banquette est trop inconfortable pour baiser confortablement. Je reste assis et lui demande de venir sur moi. Elle me tourne le dos et se rentre elle-même ma bite dans le con. Elle assure les vas et viens pour arriver à l'orgasme. Puis après, elle vient se blottir dans mes bras pour que le la cajole. Je l'embrasse encore, lui caresse les seins. Mais elle tient à me faire une fellation, parce que elle aime sentir un sexe masculin dans sa bouche.
Sans me demander quoique se soit, elle pose sa tête sur mon bas ventre Sa langue se promène sur ma tige encore molle, elle me prend les couille dans les mains, passe une main entre mes jambes et trouve mon cul dans lequel elle insinue un doigt: L'ensemble me fait bander. Satisfaite, elle pose sa bouche sur le dessus de ma pine et avec ses lèvres descendent sur mon gland qu'elle mordille avant de le prendre dans la bouche et le suce avec sa langue. Puis elle englouti la plus grande partie de ma bite et transforme sa bouche en véritable con. Je l'avertis que je vais jouir. Elle arrête sa fellation juste pour me dire que je peut lâcher dans sa bouche le sperme. Je ne tiens plus et jouis dans cette bouche qui avale tout mon jus.
Le train doit arriver dans 1 heure, juste le temps de baiser encore une fois. Toujours nue elle me demande si je veux faire un 69 : sa voix est suppliante comme si c'était une chose que je ne pratiquais pas. Sur la moquette de l'espace entre les sièges: c'est là qu'elle veux que l'on prenne notre plaisir une dernière fois. Je me couche sur le dos, ma bite toujours en érection Lentement elle vient s'installer sur moi: d'abord elle pose ses bras e chaque coté de mes jambes, puis,très lentement elle m'enjambe avant elle me donner le temps d'admirer son con qu'elle dévoile sans pudeur aucune. Puis je lève la tête pour prendre son con entre mes lèvres pour lui aspirer le clitoris. A ce moment là seulement elle se penche pour décalotter mon gland avec ses lèvre et me sucer un e nouvelle fois avec expérience.
Le train entre en gare: il est minuit et elle ne sait toujours pas où elle va passer la nuit. Ce qui vient de se passer entre nous fait que je l'invite à dormir dans ma chambre réservée. Elle accepte mais à la condition que nous refassions l'amour. L'expérience vécue mérite d'être prolonger: c'est rare de trouver une jeune femme aussi exigeante pour le sexe.
Dans la chambre, elle se met toute nue, dès l'arrivée, or j'avais commandé à la réception en arrivant un petit encas. elle se prélasse sur les fauteuils assise elle pose ses jambes sur les accoudoirs, son sexe très en évidence, lorsque l'on frappe à la porte je lui dit de se mettre dans une autre position. Elle réponds oui, et j'ouvre la porte et la serveuse s'arrête surprise: En effet mon invitée n'a pas changée de position: elle expose bien son entrejambe: son sexe est tout mouillé. Je pense que la raison de son exhibitionnisme vient peut-être d'un en vie de se masturber. Je lui pose la question dès le départ précipité de la serveuse. Mai non elle était restée qinsi pour attirer l'attention de la serveuse qui peut-être aurait bien voulu lui consacrer un instant. Elle avoue être autant attirée par les filles que par les garçons. C'est la première fois que je rencontre une fille de cet acabit. A l'époque les lesbiennes étaient très rares, le bisexuelles encore plus. Je lui demandais comment faire. Elle avait la réponse: il suffisait de chercher dan certains lieux à Paris pour trouver chaussure à son pied. Elle voulait que l'on ressorte pour que ensemble nous trouvions une fille qui nous plaise. Ne devant aller à un rendez vous que le lendemain vers 14 heures, comme elle d'ailleurs, nous avions le temps de partir faire notre choix.
Partis vers Pigalle le taxi que nous avions pris nous donnait les renseignements: Il existait bien une boite ou des femmes en manque venaient chercher leur bonheur . Une fois dans la salle nous avons découvert un dancing un peu spécial: des femmes de tous âges se cherchaient pour flirter un peu. Certaines assises s'embrassaient et même se touchaient soir les seins, soit les mains bien mises entre les cuisses. Ma compagne après m'avoir montrer une jolie fille de sa taille à peu près me demandait si elle me plairait. C'était le cas. Elle allait l'inviter à danser et se mit à lui faire des avances poussées. Finalement elle revint avec elle à notre table. La conversation fût assez courte: La fille choisit disait que je lui plaisait pour baiser en trio. J'en bandais: la jeune femme était très sexy et je me voyais bien la baiser avec l'autre;
De retour à l'hôtel, les filles furent nues avant moi. Elles prenaient de l'avance
: elles se branlaient aussitôt. Je m'interposais et demandais à la nouvelle élue de se donner à moi. elles eurent un accord entr'elles: je serais sur le dos avec un con sur la bouche et ma bite dans le con ou le cul d'une autre. En effet ma première amante me chevauchait en avalant mon sexe par son con. L'autre venait sur moi, s'assis sur ma bouche et m'offrait son clitoris déguster, car ce fût une véritable dégustation: son con avait un gout plus qu'agréable. Les deux filles en face l'une de l'autre se caressaient les seins et elle que je suçais branlait le clitoris de l'autre. Nous nous donnions du plaisir sans cesse, surtout les deux filles qui se branlaient se suçaient et faisant des 69 me demandaient de mettre ma pine dans le cul de celle du dessus. Je proposais de se sucer tous les trois ensemble. Ce fût dur mais nous sommes arrivés à avoir moi, ma bite sucée et sucer un con. Je n'ai plus jamais vecu une expérience si agréable. Puis les années SIDA sont arivées.....

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