La fin (Joachim, suite)
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La fin (Joachim, suite)
« T’est vraiment très mignon tu sais. »
Joachim est allongé entre mes cuisses, nos bassins collés.
Mon membre, tendu au maximum, fin et courbant légèrement vers la gauche, pourtant raide, est blotti sous le sien, épais, veineux, long et viril. Ses testicules, également lourds, écrasent quasiment les miens. J’ai les jambes écartées, plaqué sur le dos. Joachim se frotte à moi. Nos peaux font contraste, la mienne pâle contre la sienne sombre. De même pour nos corpulences – moi fin, lui sculpté, massif.
Mon collier est toujours fermement autour du cou. Joachim le prend entre ses doigts et me tire légèrement
vers le haut.
« Ca te va bien ça je trouve. »
Il me pénètre une nouvelle fois, s’enduisant d’abord d’une lampée de lubrifiant. Son pénis m’emplit. Ma
bouche s’ouvre, mes yeux s’écartent. Viril, fort, dominant, Joachim prend possession de moi. Je lui
appartiens totalement. Je ne me suis encore jamais senti aussi vulnérable. Alors qu’il entame les coups de
bassin je m’entends gémir, le supplier de continuer.
Il me baise longuement, chaque coup venant au fond de moi. Je suis écrasé contre le lit. Il ne s’arrête que pour me retourner. C’est alors que je remarque l’audience. Trois hommes sont entrés dans la chambre et nous observent, assis ou debout, se masturbant tous les trois. Joachim s’en rend également compte et me fait tourner vers eux pour leur donner une meilleure vue. Alors qu’il s’apprête de nouveau à me prendre, Georges entre. C’est la première fois que je le vois de la soirée. Il sourit en voyant la scène.
« Alors il te plait ? » Demande-il à Joachim.
« Oh oui ! »
« Eh bien si ça ne te gène pas, je reste vous observer. »
« Mais bien sûr ! »
Georges ne se masturbe pas mais se contente de nous regarder. Deux des autres hommes s’embrassent à présent. Tandis que Joachim prend de nouveau possession de mon cul, et entame les coups de hanches, un d’entre eux se met à genoux devant l’autre – assis – et le prend en bouche. Je me laisse aller aux allers et venus de
Joachim qui me prend à présent à un rythme régulier et soutenu. Sa main se saisit de la peau imberbe de mes
fesses. Georges me pousse au sport et je vais, depuis mon emménagement chez lui, parfois jusqu'à sept fois à
la salle en semaine. J’avais déjà les fesses bombées de base mais à présent elles sont bien plus fermes. Les
hommes que mon maître m’à laissés fréquenter, ou plutôt ceux à qui il me donne, le temps d’une fellation, une
heure ou une soirée, se plaisent tous à les malaxer, les pétrir. Joachim ne s’en prive pas.
Joachim m’écarte les fesses alors que je suis à présent à quatre pattes devant lui. Je sens son doigt puis sa langue se poser sur mon anus. Il me lèche, sa langue me titillant, me faisant soupirer.
Puis, une fois cette caresse terminée, nous enchaînons sur une levrette durant laquelle mon amant fait pleuvoir les fessées. Ma peau est presque à vif alors qu’il me fait ensuite chevaucher son sexe. Pendant ce temps l’audience s’agrandit. Georges se tient toujours là, entièrement vêtu à nous regarder, un sourire aux lèvres. L’homme qui avait entamé la fellation est à présent entouré d’un groupe. Il doit avoir environ mon âge.
La queue de Joachim, noire, luisante, veineuse et épaisse se tend à présent devant mon visage. Je l’accueille goulûment entre mes lèvres. Joachim se tend, puis se vide. La première giclée m’emplit le fond de bouche, tellement puissante que je recule sans le vouloir, sa queue quittant l’emprise de ma bouche. Les trois suivantes m’inondent le visage, le foutre éclaboussant et goûtant sur mon torse. Je reste béat, bouche ouverte, collant et dégoulinant de son sperme. Je suis à genoux devant lui, au sol. Une main posée sur ma tête, il me sourit.
Riant, Georges s’approche de nous.
« Dis donc, tu ne t’étais pas vidé depuis un petit moment ! »
« Eh non, » lui répond Joachim, haletant, « je m’étais réservé. »
« Je vois ça. Bon à présent, si ça ne te gène pas, et si tu ne souhaites pas enchaîner sur une deuxième séance, j’aimerais me servir de mon jouet. »
Je souris. Enfin ! Georges va de nouveau me faire l’amour.
Joachim sourit de nouveau, « Ha ! Non non je t’en pries, j’en ai terminé pour ce soir. »
Georges se tourne vers moi, « Allez, suis-moi. »
Sans hésiter je me lève et le suis vers le salon. Les hommes qui nous observaient ferment la marche. Je
croise le regard de l’autre jeune homme, toujours à genoux, lui aussi poisseux de foutre. Nous nous sourions.
Georges s’arrête au centre du salon. Il me dit de me placer à genoux. J’obéis sans attendre. Il se retourne
et lève les bras, se faisant remarquer des autres invités, toujours nombreux malgré l’heure tardive.
« Merci à tous d’être venus. Je tiens à vous remercier pour une soirée fantastique. Certains d’entre vous ont eu le plaisir de rencontrer mon jeune amant, devenu depuis quelque temps également mon jouet – James. »
Je souris, nerveux. Je ne sais plus à quoi m’attendre.
« Son histoire avec moi est plutôt intéressante, et je dois avouer en être fier. Il y a un an maintenant, nous nous sommes rencontrés sur un site puis sommes partis en vacances ensemble – le courant étant tout de suite passé. »
Il met l’accent sur le mot courant, donnant un petit clin d’œil. Les hommes, âgés entre 25 et 50 ans rient.
« James est bi. » Il me regarde à présent, « mais cela fait maintenant plus d’un an qu’il n’a pas couché avec une femme, mis à part un petit incident mais sans pénétration. Il a été dûment puni. Cela fait maintenant
plus de six mois qu’il vit avec moi et presque trois mois depuis qu’il a accepté d’être mon soumis, mon jouet pour ainsi dire. »
A présent Georges a repris son sérieux, « Le collier qu’il porte est une marque d’honneur. Et il en accepte pleinement les obligations et avantages. A présent je vous offre sa bouche messieurs. Je sais que vous êtes tous sains de corps et d’esprit et qu’il n’y a aucun risque à cela. »
Sans attendre les hommes s’avancent vers moi. Certains se libèrent de leurs restes d’habits mais la plupart sont nus. Leurs sexes pendent à demi raides ou se tendent, durs et gros. Georges sait les choisir.
Le premier homme se présente à moi, queue en main. Je l’accepte sans attendre. Tandis que je le suce, un cercle se forme autour de moi. Je me sers de mes mains pour satisfaire deux autres sexes alors que le premier s’apprête à jouir. Son foutre fait irruption sur mon visage. A ma grande surprise un des hommes que je branle finit en même temps, le sperme recouvrant ma main. Alors que le troisième dirige ma tête sur sa queue, je
sens un autre jet s’étaler sur mon dos, puis une nouvelle giclée sur mon front. Je suce tour à tour ces
mâles.
Certains se contentent de me laisser faire, d’autres me guident. Deux ou trois me baisent réellement la bouche. Seulement une poignée finit au fond de ma gorge et je fais du mieux pour tout avaler. Les autres continuent d’alimenter ma douche collante. Alors que le dernier homme éjacule entre mes doigts, sur mon visage, après avoir quitté l’étreinte chaude de ma bouche, je lève de nouveau mon regard vers Georges qui s’approche de moi. Il a, une nouvelle fois, tout filmé. Mon torse, ma nuque et mon visage, mes cheveux même, sont couverts du liquide séminal des invités.
Une heure plus tard et j’ai pris ma douche, je suis couché avec Georges. Il me fait l’amour longuement. J’ai un peu mal après le passage de Joachim mais l’excitation de le sentir de nouveau en moi prend le dessus. Nous nous endormons collés.
Le lendemain, Georges m’enlève le collier.
« Je pense qu’hier soir était un beau bouquet final. Je pense aussi qu’il est temps de nous séparer. »
Joachim est allongé entre mes cuisses, nos bassins collés.
Mon membre, tendu au maximum, fin et courbant légèrement vers la gauche, pourtant raide, est blotti sous le sien, épais, veineux, long et viril. Ses testicules, également lourds, écrasent quasiment les miens. J’ai les jambes écartées, plaqué sur le dos. Joachim se frotte à moi. Nos peaux font contraste, la mienne pâle contre la sienne sombre. De même pour nos corpulences – moi fin, lui sculpté, massif.
Mon collier est toujours fermement autour du cou. Joachim le prend entre ses doigts et me tire légèrement
vers le haut.
« Ca te va bien ça je trouve. »
Il me pénètre une nouvelle fois, s’enduisant d’abord d’une lampée de lubrifiant. Son pénis m’emplit. Ma
bouche s’ouvre, mes yeux s’écartent. Viril, fort, dominant, Joachim prend possession de moi. Je lui
appartiens totalement. Je ne me suis encore jamais senti aussi vulnérable. Alors qu’il entame les coups de
bassin je m’entends gémir, le supplier de continuer.
Il me baise longuement, chaque coup venant au fond de moi. Je suis écrasé contre le lit. Il ne s’arrête que pour me retourner. C’est alors que je remarque l’audience. Trois hommes sont entrés dans la chambre et nous observent, assis ou debout, se masturbant tous les trois. Joachim s’en rend également compte et me fait tourner vers eux pour leur donner une meilleure vue. Alors qu’il s’apprête de nouveau à me prendre, Georges entre. C’est la première fois que je le vois de la soirée. Il sourit en voyant la scène.
« Alors il te plait ? » Demande-il à Joachim.
« Oh oui ! »
« Eh bien si ça ne te gène pas, je reste vous observer. »
« Mais bien sûr ! »
Georges ne se masturbe pas mais se contente de nous regarder. Deux des autres hommes s’embrassent à présent. Tandis que Joachim prend de nouveau possession de mon cul, et entame les coups de hanches, un d’entre eux se met à genoux devant l’autre – assis – et le prend en bouche. Je me laisse aller aux allers et venus de
Joachim qui me prend à présent à un rythme régulier et soutenu. Sa main se saisit de la peau imberbe de mes
fesses. Georges me pousse au sport et je vais, depuis mon emménagement chez lui, parfois jusqu'à sept fois à
la salle en semaine. J’avais déjà les fesses bombées de base mais à présent elles sont bien plus fermes. Les
hommes que mon maître m’à laissés fréquenter, ou plutôt ceux à qui il me donne, le temps d’une fellation, une
heure ou une soirée, se plaisent tous à les malaxer, les pétrir. Joachim ne s’en prive pas.
Joachim m’écarte les fesses alors que je suis à présent à quatre pattes devant lui. Je sens son doigt puis sa langue se poser sur mon anus. Il me lèche, sa langue me titillant, me faisant soupirer.
Puis, une fois cette caresse terminée, nous enchaînons sur une levrette durant laquelle mon amant fait pleuvoir les fessées. Ma peau est presque à vif alors qu’il me fait ensuite chevaucher son sexe. Pendant ce temps l’audience s’agrandit. Georges se tient toujours là, entièrement vêtu à nous regarder, un sourire aux lèvres. L’homme qui avait entamé la fellation est à présent entouré d’un groupe. Il doit avoir environ mon âge.
La queue de Joachim, noire, luisante, veineuse et épaisse se tend à présent devant mon visage. Je l’accueille goulûment entre mes lèvres. Joachim se tend, puis se vide. La première giclée m’emplit le fond de bouche, tellement puissante que je recule sans le vouloir, sa queue quittant l’emprise de ma bouche. Les trois suivantes m’inondent le visage, le foutre éclaboussant et goûtant sur mon torse. Je reste béat, bouche ouverte, collant et dégoulinant de son sperme. Je suis à genoux devant lui, au sol. Une main posée sur ma tête, il me sourit.
Riant, Georges s’approche de nous.
« Dis donc, tu ne t’étais pas vidé depuis un petit moment ! »
« Eh non, » lui répond Joachim, haletant, « je m’étais réservé. »
« Je vois ça. Bon à présent, si ça ne te gène pas, et si tu ne souhaites pas enchaîner sur une deuxième séance, j’aimerais me servir de mon jouet. »
Je souris. Enfin ! Georges va de nouveau me faire l’amour.
Joachim sourit de nouveau, « Ha ! Non non je t’en pries, j’en ai terminé pour ce soir. »
Georges se tourne vers moi, « Allez, suis-moi. »
Sans hésiter je me lève et le suis vers le salon. Les hommes qui nous observaient ferment la marche. Je
croise le regard de l’autre jeune homme, toujours à genoux, lui aussi poisseux de foutre. Nous nous sourions.
Georges s’arrête au centre du salon. Il me dit de me placer à genoux. J’obéis sans attendre. Il se retourne
et lève les bras, se faisant remarquer des autres invités, toujours nombreux malgré l’heure tardive.
« Merci à tous d’être venus. Je tiens à vous remercier pour une soirée fantastique. Certains d’entre vous ont eu le plaisir de rencontrer mon jeune amant, devenu depuis quelque temps également mon jouet – James. »
Je souris, nerveux. Je ne sais plus à quoi m’attendre.
« Son histoire avec moi est plutôt intéressante, et je dois avouer en être fier. Il y a un an maintenant, nous nous sommes rencontrés sur un site puis sommes partis en vacances ensemble – le courant étant tout de suite passé. »
Il met l’accent sur le mot courant, donnant un petit clin d’œil. Les hommes, âgés entre 25 et 50 ans rient.
« James est bi. » Il me regarde à présent, « mais cela fait maintenant plus d’un an qu’il n’a pas couché avec une femme, mis à part un petit incident mais sans pénétration. Il a été dûment puni. Cela fait maintenant
plus de six mois qu’il vit avec moi et presque trois mois depuis qu’il a accepté d’être mon soumis, mon jouet pour ainsi dire. »
A présent Georges a repris son sérieux, « Le collier qu’il porte est une marque d’honneur. Et il en accepte pleinement les obligations et avantages. A présent je vous offre sa bouche messieurs. Je sais que vous êtes tous sains de corps et d’esprit et qu’il n’y a aucun risque à cela. »
Sans attendre les hommes s’avancent vers moi. Certains se libèrent de leurs restes d’habits mais la plupart sont nus. Leurs sexes pendent à demi raides ou se tendent, durs et gros. Georges sait les choisir.
Le premier homme se présente à moi, queue en main. Je l’accepte sans attendre. Tandis que je le suce, un cercle se forme autour de moi. Je me sers de mes mains pour satisfaire deux autres sexes alors que le premier s’apprête à jouir. Son foutre fait irruption sur mon visage. A ma grande surprise un des hommes que je branle finit en même temps, le sperme recouvrant ma main. Alors que le troisième dirige ma tête sur sa queue, je
sens un autre jet s’étaler sur mon dos, puis une nouvelle giclée sur mon front. Je suce tour à tour ces
mâles.
Certains se contentent de me laisser faire, d’autres me guident. Deux ou trois me baisent réellement la bouche. Seulement une poignée finit au fond de ma gorge et je fais du mieux pour tout avaler. Les autres continuent d’alimenter ma douche collante. Alors que le dernier homme éjacule entre mes doigts, sur mon visage, après avoir quitté l’étreinte chaude de ma bouche, je lève de nouveau mon regard vers Georges qui s’approche de moi. Il a, une nouvelle fois, tout filmé. Mon torse, ma nuque et mon visage, mes cheveux même, sont couverts du liquide séminal des invités.
Une heure plus tard et j’ai pris ma douche, je suis couché avec Georges. Il me fait l’amour longuement. J’ai un peu mal après le passage de Joachim mais l’excitation de le sentir de nouveau en moi prend le dessus. Nous nous endormons collés.
Le lendemain, Georges m’enlève le collier.
« Je pense qu’hier soir était un beau bouquet final. Je pense aussi qu’il est temps de nous séparer. »
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