La fin perverse d'un anniversaire de mon cousin
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La fin perverse d'un anniversaire de mon cousin
Un dimanche midi mon cousin fêtait son anniversaire. Nos deux maisons sont séparées d’une centaine mètres sur le même terrain. Il est très copain avec Chantal mon épouse. Je participe au repas mais je les quitte au café pour retourner chez moi alors que Chantal reste à la fête. Déjà le repas avait été bien arrosé. Dans la soirée, je vois revenir ma femme soutenue par un copain de mon cousin. Un mec qui m’était apparu crade au possible ! Elle est complètement saoule et le gars la porte carrément dans ses bras pour la soutenir. Mais le pire c’est que Chantal a son pantalon ouvert et un peu baissé. Sa culotte complètement visible est légèrement roulée sur le devant laissant voir quelques poils de son pubis ! Que s’est-il passé ? Le gars me la glisse entre les bras en me disant simplement qu’elle est malade et qu’ils ont préféré me la ramener !
En regardant de plus près je m’aperçois que sa culotte et son pantalon blanc sont tachés ! Elle se serait pissé dessus tant elle est bourrée ?
Je n’en reviens pas et je la couche. Le lendemain elle ne se souvient plus de rien. Le trou noir.
En fait, mon cousin me raconte le lendemain que son pote et lui ont décidé de la ramener en la voyant bien partie. Mais dans le jardin qui sépare nos maisons, elle aurait demandé avec insistance à pisser. Le terrain qui sépare nos deux maisons est plein d’arbres et de buissons. On peut facilement se cacher. En la soutenant, ils l’ont aidée à se soulager. En tout bien tout honneur, ils n’auraient pas profité de la situation ! Je le sens pourtant gêné.
Ce qu’il me raconte me trouble et m’excite : ma femme si bon chic bon genre s‘est laissée aller à pisser devant deux hommes dont un inconnu ! Rien que de me l’imaginer je suis pris d’une érection qui m’amène à me soulager.
Les jours qui suivent ces images m’obsèdent. J’ai envie d’entendre à nouveau cette histoire. Mon cousin n’est pas malin. En le cuisinant plus tard en feignant le trivial et complice mari, il finit par me raconter ce qui s’était réellement passé.
Chantal bien éméchée les a un peu allumés et ils l’ont bourrée un peu plus. En la raccompagnant tous les deux, car elle était incapable de marcher seule, elle a bien demandé à pisser. La situation avait l’air de l’amuser car elle ne cessait de rire en se tenant le ventre pour ne pas faire sur elle. Ils l’ont entraînée derrière une haie, ils lui ont ouvert et baissé le pantalon puis le slip. Elle riait de plus en plus en leur demandant de ne pas regarder ! Elle s’est accroupie et s’est soulagée un long moment.
- On s’était placés derrière elle pour ne pas l’effaroucher. Par contre, Marcel (son pote) ne s’est pas gêné pour lui mater le cul !
En me racontant cela mon cousin s’amusait beaucoup sans se rendre compte de la situation.
- Il est même passé devant pour la regarder faire. Chantal lui aurait alors dit toujours en riant :
- Pousse-toi sale cochon, cela ne se fait pas de regarder les dames faire pipi !
Et elle rit de plus belle en disant cela. Mon cousin et son pote ont vite pensé que si cela l’amusait, ils pouvaient en profiter.
Quand elle eut fini, voyant qu’elle avait du mal à se relever, mon cousin par derrière la prise sous les bras pour la soulever. Elle a bien tenté de se rhabiller mais elle n’arrivait plus à se baisser.
C’est son pote qui a pris la petite culotte pour la remonter. Chantal riait beaucoup et se laissait faire.
- Bande de cochons vicieux, n’en profitez pas !
Il a pris la ceinture du pantalon pour le remonter à moitié seulement, le laissant à mi-cuisse. D’un seul coup il a glissé sa main dans la culotte pour agripper les poils du pubis. Chantal s’est cambrée sous le choc et elle encore éclaté de rire. Cette fois les deux bonshommes avaient l’autorisation.
Mon cousin me raconte alors qu’il a laissé faire et ils se sont amusés avec elle et, paraît-il, avec son consentement. Pantalon à mi cuisse, il la maintenait debout, les bras bloqués dans le dos. Son pote avait remonté son pull, dégagé les seins du soutien gorge et l’avait pelotée sans gêne. Il lui suçait les seins tout en lui branlant la chatte. Chantal ne riait plus mais montrait des signes évidents de plaisir. Ils l’auraient fait jouir avant de me la rapporter. Mon cousin m’avoue que lui aussi en a profité car il sentait Chantal tout à fait d’accord pour cette partouze ! Il lui aurait roulé des pelles « du diable » comme il dit. Elle lui a même tripoté la bite avec ses mains bloquées dans son dos, contre son ventre. Dans son état, ils étaient sûrs que Chantal ne se souviendrait de rien. Il me précise même que son pote avait été à deux doigts de la baiser si lui ne s’y était pas opposé devant le risque de se faire prendre. Il s'est quand même branlé jusqu'à éjaculer sur son bide. Ils l'auraient vite nettoyée et rajustée avant de me la ramener.
En regardant de plus près je m’aperçois que sa culotte et son pantalon blanc sont tachés ! Elle se serait pissé dessus tant elle est bourrée ?
Je n’en reviens pas et je la couche. Le lendemain elle ne se souvient plus de rien. Le trou noir.
En fait, mon cousin me raconte le lendemain que son pote et lui ont décidé de la ramener en la voyant bien partie. Mais dans le jardin qui sépare nos maisons, elle aurait demandé avec insistance à pisser. Le terrain qui sépare nos deux maisons est plein d’arbres et de buissons. On peut facilement se cacher. En la soutenant, ils l’ont aidée à se soulager. En tout bien tout honneur, ils n’auraient pas profité de la situation ! Je le sens pourtant gêné.
Ce qu’il me raconte me trouble et m’excite : ma femme si bon chic bon genre s‘est laissée aller à pisser devant deux hommes dont un inconnu ! Rien que de me l’imaginer je suis pris d’une érection qui m’amène à me soulager.
Les jours qui suivent ces images m’obsèdent. J’ai envie d’entendre à nouveau cette histoire. Mon cousin n’est pas malin. En le cuisinant plus tard en feignant le trivial et complice mari, il finit par me raconter ce qui s’était réellement passé.
Chantal bien éméchée les a un peu allumés et ils l’ont bourrée un peu plus. En la raccompagnant tous les deux, car elle était incapable de marcher seule, elle a bien demandé à pisser. La situation avait l’air de l’amuser car elle ne cessait de rire en se tenant le ventre pour ne pas faire sur elle. Ils l’ont entraînée derrière une haie, ils lui ont ouvert et baissé le pantalon puis le slip. Elle riait de plus en plus en leur demandant de ne pas regarder ! Elle s’est accroupie et s’est soulagée un long moment.
- On s’était placés derrière elle pour ne pas l’effaroucher. Par contre, Marcel (son pote) ne s’est pas gêné pour lui mater le cul !
En me racontant cela mon cousin s’amusait beaucoup sans se rendre compte de la situation.
- Il est même passé devant pour la regarder faire. Chantal lui aurait alors dit toujours en riant :
- Pousse-toi sale cochon, cela ne se fait pas de regarder les dames faire pipi !
Et elle rit de plus belle en disant cela. Mon cousin et son pote ont vite pensé que si cela l’amusait, ils pouvaient en profiter.
Quand elle eut fini, voyant qu’elle avait du mal à se relever, mon cousin par derrière la prise sous les bras pour la soulever. Elle a bien tenté de se rhabiller mais elle n’arrivait plus à se baisser.
C’est son pote qui a pris la petite culotte pour la remonter. Chantal riait beaucoup et se laissait faire.
- Bande de cochons vicieux, n’en profitez pas !
Il a pris la ceinture du pantalon pour le remonter à moitié seulement, le laissant à mi-cuisse. D’un seul coup il a glissé sa main dans la culotte pour agripper les poils du pubis. Chantal s’est cambrée sous le choc et elle encore éclaté de rire. Cette fois les deux bonshommes avaient l’autorisation.
Mon cousin me raconte alors qu’il a laissé faire et ils se sont amusés avec elle et, paraît-il, avec son consentement. Pantalon à mi cuisse, il la maintenait debout, les bras bloqués dans le dos. Son pote avait remonté son pull, dégagé les seins du soutien gorge et l’avait pelotée sans gêne. Il lui suçait les seins tout en lui branlant la chatte. Chantal ne riait plus mais montrait des signes évidents de plaisir. Ils l’auraient fait jouir avant de me la rapporter. Mon cousin m’avoue que lui aussi en a profité car il sentait Chantal tout à fait d’accord pour cette partouze ! Il lui aurait roulé des pelles « du diable » comme il dit. Elle lui a même tripoté la bite avec ses mains bloquées dans son dos, contre son ventre. Dans son état, ils étaient sûrs que Chantal ne se souviendrait de rien. Il me précise même que son pote avait été à deux doigts de la baiser si lui ne s’y était pas opposé devant le risque de se faire prendre. Il s'est quand même branlé jusqu'à éjaculer sur son bide. Ils l'auraient vite nettoyée et rajustée avant de me la ramener.
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