LA FLAMANDE 02 – Magda l'impudique
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA FLAMANDE 02 – Magda l'impudique
LA FLAMANDE 02 – Magda l'impudique
« Magda, lectrice assidue d'HDS, a voulu que sa propre histoire vécue, puisse être lue par des lecteurs de langue française. Ayant une culture étrangère à la nôtre, elle m'a demandé de transcrire la découverte tardive d'une sexualité exacerbée ».
La nuit a été courte. Surtout que cette cinquantenaire ne m’a pas laissé souffler une seule minute. Entre les cunnilingus qu’elle adore et les doigtages, qui la font grimper au plafond et hurler tout son saoul, j’ai l’impression qu’elle a réveillé et empêché de dormir, les rares clients de la maison d’hôte qui nous accueille.
C’est un peu cassé que je vérifie comme tous les matins, la jauge d’huile, les liquides de refroidissement et de freins, ainsi que la pression des pneus de mon Land. Magda fait son apparition, rayonnante, comme si de rien n’était. Un petit bécot rapide pour nous saluer, un petit déj, vite fait, bien fait ; puis, nous prenons la route pour le grand Sud.
Je prends tout de suite une route que je connais bien pour la pratiquer environ deux fois par an. Après la sortie de la banlieue d’Agadir, nous roulons parmi les arganiers et les oliviers qui sont très nombreux dans cette région. Magda s’est vêtue d’une tenue coloniale kaki, une chemise à poche de poitrine, dont trois boutons, restent ouverts, permettant de découvrir ses petits seins qui ballottent librement au rythme des tressautements du véhicule ; les mamelons sont gonflés par le frottement du tissu ou des fantasmes coquins dont la belle ne doit pas se priver. Un mini short, qui met ses fesses en valeur et des « pataugas » pour marcher dans le désert. J’avoue que je vais avoir du mal à attendre le soir pour ne pas laisser mes mains baladeuses se glisser sous son short, et mes lèvres entrouvrir sa chemise pour goûter aux tétons que j’ai déjà sucés longuement la nuit dernière.
La route goudronnée est en très bon état, comme presque toutes les routes au Maroc. Après avoir parcouru un peu plus de 80 km nous passons à Tiznit. La ville a été restaurée en 1882 par le sultan alaouite Hassan Ier qui l'a dotée d'une longue muraille encerclant toujours l'ancienne médina. La place El Mechouar constitue l'un des centres de la ville avec le palais du sultan, en face du bâtiment où était installé, sous le protectorat français, le représentant de l'armée française. Tiznit a acquis une grande réputation pour son orfèvrerie, dont la fibule est le symbole phare.
110 km plus loin nous arrivons à Guelmim anciennement Goulimine. Cette ville est considérée comme la porte du Sahara au Maroc. La ville était autrefois un centre caravanier sur la route de Tombouctou. Elle abrite notamment un marché hebdomadaire, connu sous le nom de Amhayrich, qui est le plus grand marché aux chameaux du Maroc. Nous en profitons pour nous restaurer sous une tente caïdale où l’on nous sert, un tajine de dromadaire aux dattes, arrosé d’eau de source et d’un excellent thé à la menthe. Puis nous reprenons la route pour Tan Tan qui est à moins de 130 km.
Magda se révèle une compagne de route bien agréable, acceptant d’aller camper au bord de la mer, au lieu d’aller dans des hôtels que l’on trouve à Tan Tan même. T.T. Plage à quelques kilomètres. Ils sont tous un peu plus minables les uns que les autres et limite pour la propreté des draps. Nous serons mieux dans la tente igloo que j’ai apportée, le nouveau matelas gonflable étant très confortable et ma literie est excessivement propre.
À Tan Tan, j’achète un fagot de bois que je brêle sur la galerie et 20 litres de glace pilée que je glisse dans un sac isotherme. J’ai une glacière allemande qui fonctionne sur la batterie de la voiture et sur le 220, mais un apport de glace pour les boissons de ce soir ne sera pas de trop. Pour le bois, inutile de rêver, à part les crottes de dromadaires, et encore les autochtones les ramassent, car c’est le seul combustible que l’on trouve à des milliers de kilomètres.
Après la nuit crapuleuse à laquelle nous nous sommes adonnés avec Magda, nous sommes passés au tutoiement sans difficulté. Bien que de nationalité Belge, cette charmante compagne parle avec un accent qui ressemble plus à de l’Allemand qu’au Néerlandais que je ne connais d’ailleurs pas. Ses expressions me font rire et nous passons la journée à plaisanter là-dessus.
À environ une vingtaine de kilomètres de Tan Tan, je fais le plein de carburant, il est détaxé à partir de cet endroit, car nous entrons dans l’ancien Sahara Espagnol, qui avait pour nom le Rio de Oro. Le Maroc a récupéré son ancien territoire, même si l’Algérie lui met des bâtons dans les roues. Nous nous engageons sur la droite dans les dunes de sable car aucune piste ne mène à la petite crique où je veux emmener ma charmante Magda. Même en enclenchant le crapautage de mon Land Rover, il a de la peine à franchir quelques dunes où le fech fech est omniprésent. Enfin, au bout d’une petite heure, nous arrivons au faiîe d’une très grande dune d’où nous apercevons la mer, dans laquelle le soleil commence à descendre vers l’horizon. Le spectacle est splendide et nous le contemplons durant de longues minutes. Ne voulant pas monter notre campement trop tard, je bascule mon 4x4 vers la plage et je laisse glisser le lourd véhicule, dans une pente à 45° impressionnante. Magda pousse de petits cris de frayeur, mais je sais qu’il n’y a aucun danger, tant que je ne mets pas ma voiture en travers. Nous arrivons très vite sur notre petite plage privée et, aidé de Magda je monte rapidement notre campement.
Puis, nous quittons rapidement nos vêtements, et c’est complètement nus, que nous nous précipitons dans l’Océan pour nous débarrasser de la poussière et du sable accumulés dans la journée. Nous jouons comme des gosses à nous éclabousser et ce qui devait arriver arriva. Nos corps se rapprochant, j’enlace Magda et l’embrasse goulûment, mélangeant nos langues dans un baiser passionné. Naturellement, ma queue qui bande à mort vient se loger entre ses cuisses, n’ayant aucun mal à s’enfoncer dans un vagin bouillant, malgré l’eau froide qui aurait dû le refroidir. J’étends ma compagne sur le sable dur et mouillé et nous coïtons comme des endiablés.
À suivre…
« Magda, lectrice assidue d'HDS, a voulu que sa propre histoire vécue, puisse être lue par des lecteurs de langue française. Ayant une culture étrangère à la nôtre, elle m'a demandé de transcrire la découverte tardive d'une sexualité exacerbée ».
La nuit a été courte. Surtout que cette cinquantenaire ne m’a pas laissé souffler une seule minute. Entre les cunnilingus qu’elle adore et les doigtages, qui la font grimper au plafond et hurler tout son saoul, j’ai l’impression qu’elle a réveillé et empêché de dormir, les rares clients de la maison d’hôte qui nous accueille.
C’est un peu cassé que je vérifie comme tous les matins, la jauge d’huile, les liquides de refroidissement et de freins, ainsi que la pression des pneus de mon Land. Magda fait son apparition, rayonnante, comme si de rien n’était. Un petit bécot rapide pour nous saluer, un petit déj, vite fait, bien fait ; puis, nous prenons la route pour le grand Sud.
Je prends tout de suite une route que je connais bien pour la pratiquer environ deux fois par an. Après la sortie de la banlieue d’Agadir, nous roulons parmi les arganiers et les oliviers qui sont très nombreux dans cette région. Magda s’est vêtue d’une tenue coloniale kaki, une chemise à poche de poitrine, dont trois boutons, restent ouverts, permettant de découvrir ses petits seins qui ballottent librement au rythme des tressautements du véhicule ; les mamelons sont gonflés par le frottement du tissu ou des fantasmes coquins dont la belle ne doit pas se priver. Un mini short, qui met ses fesses en valeur et des « pataugas » pour marcher dans le désert. J’avoue que je vais avoir du mal à attendre le soir pour ne pas laisser mes mains baladeuses se glisser sous son short, et mes lèvres entrouvrir sa chemise pour goûter aux tétons que j’ai déjà sucés longuement la nuit dernière.
La route goudronnée est en très bon état, comme presque toutes les routes au Maroc. Après avoir parcouru un peu plus de 80 km nous passons à Tiznit. La ville a été restaurée en 1882 par le sultan alaouite Hassan Ier qui l'a dotée d'une longue muraille encerclant toujours l'ancienne médina. La place El Mechouar constitue l'un des centres de la ville avec le palais du sultan, en face du bâtiment où était installé, sous le protectorat français, le représentant de l'armée française. Tiznit a acquis une grande réputation pour son orfèvrerie, dont la fibule est le symbole phare.
110 km plus loin nous arrivons à Guelmim anciennement Goulimine. Cette ville est considérée comme la porte du Sahara au Maroc. La ville était autrefois un centre caravanier sur la route de Tombouctou. Elle abrite notamment un marché hebdomadaire, connu sous le nom de Amhayrich, qui est le plus grand marché aux chameaux du Maroc. Nous en profitons pour nous restaurer sous une tente caïdale où l’on nous sert, un tajine de dromadaire aux dattes, arrosé d’eau de source et d’un excellent thé à la menthe. Puis nous reprenons la route pour Tan Tan qui est à moins de 130 km.
Magda se révèle une compagne de route bien agréable, acceptant d’aller camper au bord de la mer, au lieu d’aller dans des hôtels que l’on trouve à Tan Tan même. T.T. Plage à quelques kilomètres. Ils sont tous un peu plus minables les uns que les autres et limite pour la propreté des draps. Nous serons mieux dans la tente igloo que j’ai apportée, le nouveau matelas gonflable étant très confortable et ma literie est excessivement propre.
À Tan Tan, j’achète un fagot de bois que je brêle sur la galerie et 20 litres de glace pilée que je glisse dans un sac isotherme. J’ai une glacière allemande qui fonctionne sur la batterie de la voiture et sur le 220, mais un apport de glace pour les boissons de ce soir ne sera pas de trop. Pour le bois, inutile de rêver, à part les crottes de dromadaires, et encore les autochtones les ramassent, car c’est le seul combustible que l’on trouve à des milliers de kilomètres.
Après la nuit crapuleuse à laquelle nous nous sommes adonnés avec Magda, nous sommes passés au tutoiement sans difficulté. Bien que de nationalité Belge, cette charmante compagne parle avec un accent qui ressemble plus à de l’Allemand qu’au Néerlandais que je ne connais d’ailleurs pas. Ses expressions me font rire et nous passons la journée à plaisanter là-dessus.
À environ une vingtaine de kilomètres de Tan Tan, je fais le plein de carburant, il est détaxé à partir de cet endroit, car nous entrons dans l’ancien Sahara Espagnol, qui avait pour nom le Rio de Oro. Le Maroc a récupéré son ancien territoire, même si l’Algérie lui met des bâtons dans les roues. Nous nous engageons sur la droite dans les dunes de sable car aucune piste ne mène à la petite crique où je veux emmener ma charmante Magda. Même en enclenchant le crapautage de mon Land Rover, il a de la peine à franchir quelques dunes où le fech fech est omniprésent. Enfin, au bout d’une petite heure, nous arrivons au faiîe d’une très grande dune d’où nous apercevons la mer, dans laquelle le soleil commence à descendre vers l’horizon. Le spectacle est splendide et nous le contemplons durant de longues minutes. Ne voulant pas monter notre campement trop tard, je bascule mon 4x4 vers la plage et je laisse glisser le lourd véhicule, dans une pente à 45° impressionnante. Magda pousse de petits cris de frayeur, mais je sais qu’il n’y a aucun danger, tant que je ne mets pas ma voiture en travers. Nous arrivons très vite sur notre petite plage privée et, aidé de Magda je monte rapidement notre campement.
Puis, nous quittons rapidement nos vêtements, et c’est complètement nus, que nous nous précipitons dans l’Océan pour nous débarrasser de la poussière et du sable accumulés dans la journée. Nous jouons comme des gosses à nous éclabousser et ce qui devait arriver arriva. Nos corps se rapprochant, j’enlace Magda et l’embrasse goulûment, mélangeant nos langues dans un baiser passionné. Naturellement, ma queue qui bande à mort vient se loger entre ses cuisses, n’ayant aucun mal à s’enfoncer dans un vagin bouillant, malgré l’eau froide qui aurait dû le refroidir. J’étends ma compagne sur le sable dur et mouillé et nous coïtons comme des endiablés.
À suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bien pour les explications de route.... on a du mal à croire cela au maroc,.. cela laisse espérer des changements et bonne suite
Enfin la suite que je suis heureuse de lire, que je suis humidifiée par mon vieulou
Gris bisous Maria
Gris bisous Maria
Toujours aussi bon, vieux loup ! Ton fils de cœur ; Didier
tjr un régal d'écriture
félicitation
B.
félicitation
B.