La folie du pleutre (3)
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La folie du pleutre (3)
La folie du pleutre 3
Il me faut plus de dix minutes pour reprendre mes esprits. Mon pantalon est tout souillé. Ma veste fermée n'arrive pas à cacher la tache.
Je finis ma journée cloitré dans mon bureau évitant de me déplacer. Je peux rentrer en train grâce à mon imperméable.
Je suis le premier arrivé à la maison. Je file sous la douche et cache mon pantalon. Je le donnerai demain à nettoyer à un teinturier loin de la maison.
Mon épouse rentre une heure plus tard.
- Ma chérie, j'ai tout arrangé !
- Tu veux parler de la robe ?
- Oui !
- Oh, merci mon amour. J'y ai pensé toute la journée. Je n'y croyais pas. Ils ont ma taille ?
- Peut-être. Ils doivent en recevoir samedi matin.
- Ah bon ? Donc ce n'est pas sûr ?
- Mais si ! Ne t'inquiète pas. Le patron, Monsieur David, m'a promis de tout essayer.
- C'est vrai ? Monsieur David ? Tu le connais ?
- Oui c'est un monsieur très gentil et serviable. Il m'a même dit qu'il aurait aimé te voir avant de passer commande. Mais je lui ai dit que nous travaillons et que nous je pourrai pas y aller avant samedi.
Elle semble déçue, elle devra attendre pour satisfaire son caprice. Après un court instant elle m'annonce.
- Oui c'est dommage.
Encore un court silence et elle ajoute :
- Mais si je t'accompagnais, il pourra se faire meilleure une idée.
Cette réponse me chagrine un peu. Je pensais ma femme plus réservée et qu’elle aurait tout de suite rejeté cette idée.
- Je lui ai proposé de lui envoyer sur son Smartphone, une photo de toi dans la robe trop grande pour qu'il commande la bonne taille. Tu en penses quoi, ma chérie ?
- Oh, non !
Sa réponse spontanée me ravit, même si en même temps elle déçoit mon projet. Je la retrouve toujours refermée sur elle-même, craintive. Mais je déchante très vite quand je l'entends ajouter :
- Elle ne me va pas du tout et j'ai l'air d'un sac de patates. Qu’est-ce qu’il va penser de moi !
- Oui, tu as raison.
Je fais semblant de passer à autre chose, une nouvelle fois surpris par sa réaction. C'est elle qui revient sur le sujet.
- Et si tu lui envoyais une photo dans ma petite robe à fleurs. Celle que tu m'as offerte cet été ?
- Tu crois ? C'est vrai qu'elle te va très bien et elle te met vraiment en valeur. Tu ne crois pas que tu vas lui donner des idées ?
En disant cela, je veux en avoir le cœur net, la sonder, elle si timide et si peu encline à se montrer.
- Oh, toi, tu penses toujours à mal. Comment est-il ce David ? Il te semble un pervers ?
- Tu sais ma chérie, il faut toujours se méfier !
- Ecoute, moi je trouve qu'il est très gentil de vouloir me faire plaisir. Même si je ne connais pas, j'ai envie de lui faire confiance. Et puis j'ai vraiment envie de cette robe.
- Bon ! Fait comme u veux, si ça te fait plaisir…
Sans attendre, je la vois foncer à l'étage dans notre chambre. J'entends le grincement caractéristique de la porte de notre armoire où sont rangées ses robes. Je jubile. Une nouvelle érection me prend. Je ne fais rien pour la dissimuler. Cela va lui plaire de m'exciter.
A peine deux minutes après, elle redescend avec sa robe.
- Comment me trouves-tu ?
- Superbe, vraiment.
C'est vrai qu'elle est belle dans cette robe. Elle lui arrive à mi cuisses et découvre ses jolies jambes qu'elle a nues. Elle a passé des petits escarpins mi talons qui rehaussent sa taille et la finesse de ses jambes aux chevilles fines. Elle a laissé ses longs cheveux bouclés à la couleur des blés se développer et s'épanouir sur ses épaules que la robe laisse nues. Qu'elle est belle. Que je l'aime.
- Alors tu me prends en photo ?
Cette phrase me ramène à la réalité.
- Tu le veux vraiment ?
A cet instant, j'ai envie de tout abandonner. Je tiens trop à elle et la jeter dans la gueule d'un loup pour assouvir un fantasme, c'est comme la trahir. Pourtant l'envie de la montrer à ce porc est trop forte. Je me résigne à la laisser prendre elle même la décision.
- Oui mon amour. J'ai trop envie de cette robe. Et je suis assez grande pour me défendre si ce type est un gros vicieux voyeur.
Pourquoi dit-elle cela ? Sinon d'avoir pensé qu'il était ce vicieux voyeur ! Les bras m'en tombent.
- Et puis, je sais que tu es un vilain cochon qui aime que les hommes me regardent. Alors cette fois, c'est pour moi que tu vas me montrer. Et à mon avantage.
A entendre cette déclaration je me mets à bander encore plus fort. Ma bite me fait mal à l'étroit dans mon jogging d'intérieur.
- D'ailleurs je vois bien l'effet que ça te fait, me dit-elle en pointant du doigts la bosse en regard de mon sexe.
Je suis piégé et en même temps je savoure ce moment de complicité qui s'est établi entre nous deux. J'allais pouvoir satisfaire mon fantasme avec son accord. Ou du moins en partie !
- D'accord mon amour, puisque tu le souhaites autant que moi, prenons ces photos. Et puis ce Monsieur David n'est pas cet horrible bonhomme vicieux, cochon, violeur de femme fidèles.
Je vais prendre mon Smartphone tandis qu'elle s'entraîne à prendre des poses des plus avantageuses et même quelques unes un peu sexy.
- Tu sais ma chérie, ces bretelles de soutien gorge sont du plus mauvais effet sous cette robe d'été…
- Tu penses ? Je n’oserai jamais.
- Écoute enlève-le, tu choisiras les photos à lui envoyer.
Je la sens hésitante, prête à renoncer. Elle fait la moue et fait semblant de ne pas avoir entendu ma requête. J'enfonce le clou :
- Fait-le pour nous ma chérie. Nous garderons ces images que pour nous deux !
- Vraiment ? D’accord alors.
Alors qu’elle se retourne par pudeur (devant son mari !), je la vois dégager la robe de ses épaules et passer les mains dans son dos pour dégrafer le sous vêtement et libérer ses seins. Je me place légèrement de côté et rapidement j’arrive à prendre une image de sa poitrine sans qu’elle s’en rende compte.
Elle a remis en place sa robe quand elle se retourne vers moi. Elle est superbe de sensualité et me semble excitée aussi car ses yeux brillent. Sa poitrine est mise en valeur par un décolleté profond qui laisse voir le profond sillon qui sépare ses deux mamelles. Le fin tissu de coton épouse intimement la pointe de ses tétons dont on voit bien qu’ils sont dressés et tendus. Glissant une main dans son décolleté elle ajuste ses deux globes au tissu de la robe pour mieux en dessiner les contours.
La salope ! Je la découvre soudain.
Je le répète, ma femme est timide, introvertie, peu naturellement exhibitionniste. Prude à l'obsession. Au contraire même, elle aurait trop tendance à se cacher, à rester dans l’ombre.
Elle me sourit alors, sûre de son effet.
- Alors ? Ce n’est pas trop inconvenant ?
- Inconvenant ? J’ai envie de te faire l’amour, là, tellement tu es belle et classe.
Alors que je pose l’appareil pour la prendre dans mes bras, elle me repousse gentiment et me dit :
- Attend, pas de suite mon cochon ! D’abord les photos…
Là encore les bras m’en tombent ! Elle devance toutes mes initiatives !
Alors, obéissant et la bite dressée, je la photographie. Petit à petit l’excitation nous envahit et les poses deviennent de plus en plus osées.
- Tu me laisseras choisir les photos, tu as promis.
Bien sûr que je lui rappelle ma promesse. Mais je sais déjà que je ne la tiendrais pas ! Et d’ailleurs le souhaite-t-elle de son côté. Pour m'en conforter, elle est à genoux devant moi, les mains posées devant, elle bien penchée en avant, et me laisse mater la pointe de ses seins, très légèrement écartés du fin tissu de la robe.
Cette photo, je suis sûr qu'elle plaira à Mr David
(à suivre)
Il me faut plus de dix minutes pour reprendre mes esprits. Mon pantalon est tout souillé. Ma veste fermée n'arrive pas à cacher la tache.
Je finis ma journée cloitré dans mon bureau évitant de me déplacer. Je peux rentrer en train grâce à mon imperméable.
Je suis le premier arrivé à la maison. Je file sous la douche et cache mon pantalon. Je le donnerai demain à nettoyer à un teinturier loin de la maison.
Mon épouse rentre une heure plus tard.
- Ma chérie, j'ai tout arrangé !
- Tu veux parler de la robe ?
- Oui !
- Oh, merci mon amour. J'y ai pensé toute la journée. Je n'y croyais pas. Ils ont ma taille ?
- Peut-être. Ils doivent en recevoir samedi matin.
- Ah bon ? Donc ce n'est pas sûr ?
- Mais si ! Ne t'inquiète pas. Le patron, Monsieur David, m'a promis de tout essayer.
- C'est vrai ? Monsieur David ? Tu le connais ?
- Oui c'est un monsieur très gentil et serviable. Il m'a même dit qu'il aurait aimé te voir avant de passer commande. Mais je lui ai dit que nous travaillons et que nous je pourrai pas y aller avant samedi.
Elle semble déçue, elle devra attendre pour satisfaire son caprice. Après un court instant elle m'annonce.
- Oui c'est dommage.
Encore un court silence et elle ajoute :
- Mais si je t'accompagnais, il pourra se faire meilleure une idée.
Cette réponse me chagrine un peu. Je pensais ma femme plus réservée et qu’elle aurait tout de suite rejeté cette idée.
- Je lui ai proposé de lui envoyer sur son Smartphone, une photo de toi dans la robe trop grande pour qu'il commande la bonne taille. Tu en penses quoi, ma chérie ?
- Oh, non !
Sa réponse spontanée me ravit, même si en même temps elle déçoit mon projet. Je la retrouve toujours refermée sur elle-même, craintive. Mais je déchante très vite quand je l'entends ajouter :
- Elle ne me va pas du tout et j'ai l'air d'un sac de patates. Qu’est-ce qu’il va penser de moi !
- Oui, tu as raison.
Je fais semblant de passer à autre chose, une nouvelle fois surpris par sa réaction. C'est elle qui revient sur le sujet.
- Et si tu lui envoyais une photo dans ma petite robe à fleurs. Celle que tu m'as offerte cet été ?
- Tu crois ? C'est vrai qu'elle te va très bien et elle te met vraiment en valeur. Tu ne crois pas que tu vas lui donner des idées ?
En disant cela, je veux en avoir le cœur net, la sonder, elle si timide et si peu encline à se montrer.
- Oh, toi, tu penses toujours à mal. Comment est-il ce David ? Il te semble un pervers ?
- Tu sais ma chérie, il faut toujours se méfier !
- Ecoute, moi je trouve qu'il est très gentil de vouloir me faire plaisir. Même si je ne connais pas, j'ai envie de lui faire confiance. Et puis j'ai vraiment envie de cette robe.
- Bon ! Fait comme u veux, si ça te fait plaisir…
Sans attendre, je la vois foncer à l'étage dans notre chambre. J'entends le grincement caractéristique de la porte de notre armoire où sont rangées ses robes. Je jubile. Une nouvelle érection me prend. Je ne fais rien pour la dissimuler. Cela va lui plaire de m'exciter.
A peine deux minutes après, elle redescend avec sa robe.
- Comment me trouves-tu ?
- Superbe, vraiment.
C'est vrai qu'elle est belle dans cette robe. Elle lui arrive à mi cuisses et découvre ses jolies jambes qu'elle a nues. Elle a passé des petits escarpins mi talons qui rehaussent sa taille et la finesse de ses jambes aux chevilles fines. Elle a laissé ses longs cheveux bouclés à la couleur des blés se développer et s'épanouir sur ses épaules que la robe laisse nues. Qu'elle est belle. Que je l'aime.
- Alors tu me prends en photo ?
Cette phrase me ramène à la réalité.
- Tu le veux vraiment ?
A cet instant, j'ai envie de tout abandonner. Je tiens trop à elle et la jeter dans la gueule d'un loup pour assouvir un fantasme, c'est comme la trahir. Pourtant l'envie de la montrer à ce porc est trop forte. Je me résigne à la laisser prendre elle même la décision.
- Oui mon amour. J'ai trop envie de cette robe. Et je suis assez grande pour me défendre si ce type est un gros vicieux voyeur.
Pourquoi dit-elle cela ? Sinon d'avoir pensé qu'il était ce vicieux voyeur ! Les bras m'en tombent.
- Et puis, je sais que tu es un vilain cochon qui aime que les hommes me regardent. Alors cette fois, c'est pour moi que tu vas me montrer. Et à mon avantage.
A entendre cette déclaration je me mets à bander encore plus fort. Ma bite me fait mal à l'étroit dans mon jogging d'intérieur.
- D'ailleurs je vois bien l'effet que ça te fait, me dit-elle en pointant du doigts la bosse en regard de mon sexe.
Je suis piégé et en même temps je savoure ce moment de complicité qui s'est établi entre nous deux. J'allais pouvoir satisfaire mon fantasme avec son accord. Ou du moins en partie !
- D'accord mon amour, puisque tu le souhaites autant que moi, prenons ces photos. Et puis ce Monsieur David n'est pas cet horrible bonhomme vicieux, cochon, violeur de femme fidèles.
Je vais prendre mon Smartphone tandis qu'elle s'entraîne à prendre des poses des plus avantageuses et même quelques unes un peu sexy.
- Tu sais ma chérie, ces bretelles de soutien gorge sont du plus mauvais effet sous cette robe d'été…
- Tu penses ? Je n’oserai jamais.
- Écoute enlève-le, tu choisiras les photos à lui envoyer.
Je la sens hésitante, prête à renoncer. Elle fait la moue et fait semblant de ne pas avoir entendu ma requête. J'enfonce le clou :
- Fait-le pour nous ma chérie. Nous garderons ces images que pour nous deux !
- Vraiment ? D’accord alors.
Alors qu’elle se retourne par pudeur (devant son mari !), je la vois dégager la robe de ses épaules et passer les mains dans son dos pour dégrafer le sous vêtement et libérer ses seins. Je me place légèrement de côté et rapidement j’arrive à prendre une image de sa poitrine sans qu’elle s’en rende compte.
Elle a remis en place sa robe quand elle se retourne vers moi. Elle est superbe de sensualité et me semble excitée aussi car ses yeux brillent. Sa poitrine est mise en valeur par un décolleté profond qui laisse voir le profond sillon qui sépare ses deux mamelles. Le fin tissu de coton épouse intimement la pointe de ses tétons dont on voit bien qu’ils sont dressés et tendus. Glissant une main dans son décolleté elle ajuste ses deux globes au tissu de la robe pour mieux en dessiner les contours.
La salope ! Je la découvre soudain.
Je le répète, ma femme est timide, introvertie, peu naturellement exhibitionniste. Prude à l'obsession. Au contraire même, elle aurait trop tendance à se cacher, à rester dans l’ombre.
Elle me sourit alors, sûre de son effet.
- Alors ? Ce n’est pas trop inconvenant ?
- Inconvenant ? J’ai envie de te faire l’amour, là, tellement tu es belle et classe.
Alors que je pose l’appareil pour la prendre dans mes bras, elle me repousse gentiment et me dit :
- Attend, pas de suite mon cochon ! D’abord les photos…
Là encore les bras m’en tombent ! Elle devance toutes mes initiatives !
Alors, obéissant et la bite dressée, je la photographie. Petit à petit l’excitation nous envahit et les poses deviennent de plus en plus osées.
- Tu me laisseras choisir les photos, tu as promis.
Bien sûr que je lui rappelle ma promesse. Mais je sais déjà que je ne la tiendrais pas ! Et d’ailleurs le souhaite-t-elle de son côté. Pour m'en conforter, elle est à genoux devant moi, les mains posées devant, elle bien penchée en avant, et me laisse mater la pointe de ses seins, très légèrement écartés du fin tissu de la robe.
Cette photo, je suis sûr qu'elle plaira à Mr David
(à suivre)
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle écriture, on a hâte de connaître la suite. j'ai moi-même poussé ma femme au candaulisme par voie détournée.
J'irais bien à l'essayage... juste pour savoir comment Monsieur David fidélise ses clientes.
J'aime beaucoup
C'est la première fois qu'un récit me fait autant d'effet. L'histoire est passionnante, progressive et bien amenée. Je me projète bien dans cette histoire. J'imagine que c'est moi et ma femme. Il me tarde avec impatience de lire la suite... Merci pour tout.
cette histoire m'excite énormément et je lis vos aventures avec délice ......
bien sur j'attends la suite avec impatience, j'ai eu une aventure similaire avec ma femme mais dans une boutique de lingerie féminine, j'avais pour ma part tout organisé et je n'ai pas été déçu.
Superbe d'érotisme. Texte bien écrit (sans fautes... ce qui est rare...).
j'attends avec impatience les essayages (des robes, des sous-vêtements... et de la dame...). vous déclenchez tous mes fantasmes...
j'attends avec impatience les essayages (des robes, des sous-vêtements... et de la dame...). vous déclenchez tous mes fantasmes...