La folie du pleutre 8

- Par l'auteur HDS Arsenne -
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La folie du pleutre 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La folie du pleutre 8
Ma femme ne se doute naturellement pas qu’elle fait l’objet d’une machination diabolique qui la destine à être exhibée à son insu à un groupe de voyeurs sans scrupules ni remords. Elle ne se doute pas non plus que son mari soit à l’initiative de cette manipulation.
Ayant découvert le subterfuge de la glace sans tain, je pourrais dès à présent en arrêter le déroulement. Je suis sur le point de le faire quand j’entends Monsieur David proposer à ma belle l’essayage de sa robe.
Face à lui, elle déploie un large sourire se sentant libérée du poids des regards de cet homme qui l’effraie et la fascine en même temps. Il s’éloigne au fond de la boutique chercher les vêtements. J’en profite pour me manifester auprès de ma belle.
- Alors ? Me dit-elle. Il est charmant non ? J’avais si peur. Tu vois je me conduis bien non ?
Je reste bouche bée devant tant de naïveté. Je me demande même si elle ne se moque pas de moi. Je ne peux rien dire car le rustre est de retour les bras chargés de robes.
Tout de suite il lui présente celle pour laquelle nous sommes là. Celle qui n’était pas à sa taille. Elle la prendre en main et je vois ses yeux briller de désir.
- Quelle est belle, n’est-ce pas mon chéri ?
Elle prononce ces mots sans même me regarder. Monsieur David contemple et salive.
- Je pense qu’il est temps de l’essayer non ?
Une cabine d’essayage fermée par un simple rideau est contre le mur qui porte le miroir des voyeurs. Évidemment le même miroir tapisse le fond de la cabine !
Ma femme est comme une gamine qui vient de recevoir son cadeau. Elle est toute joyeuse et le manifeste auprès de monsieur David négligeant totalement son mari !
- Merci Monsieur, je souhaitais tant cette robe. Je file l’essayer.
Elle entre dans la cabine et ferme le rideau avec précaution. Je reconnais là sa timidité et sa candeur.
- Vous avez de la chance, vous avez une femme splendide. Dites-moi quel est son prénom ?
Je me rends compte à cet instant que je ne lui ai jamais dit.
- Marion.
- Il lui va très bien, je trouve.
Moi aussi je trouve, imbécile, connard. J’ai envie de lui rentrer dedans mais bien sûr le courage me manque et je n’en fais rien.
- Je te remercie- on peut se tutoyer, on se connaît bien maintenant - pour les photos. J’ai pris beaucoup de plaisir à regarder ta femme. Elle est très belle.
Je ne trouve rien à répondre. Le salaud ne manque pas d’aplomb. Un peu, il me demanderait de le payer !
Le rideau frémit. On devine que mon épouse est presque nue maintenant simplement en petite culotte, juchée sur ses petites chaussures. Le bonhomme est nerveux, je sens qu’il doit avoir envie de tirer sur le rideau. Il se contient un instant puis s’approchant, il lui demande : - Pas de problèmes ? Vous n’avez pas besoin d’aide ?
Ma femme apeurée par ce qu’elle vient d’entendre répond immédiatement.
- Non, non merci tout va bien. J’ai bientôt fini.
- D’accord, prenez votre temps. Je suis à votre disposition.
A peine quelques secondes s'écoulent et le rideau est tiré. Marion apparaît dans la lumière de la boutique. Elle est splendide. Monsieur David la fixe d'un regard plein de cupidité.
Stupeur ! Elle a remis son soutien gorge !
Elle a un sourire gêné. Car bien sûr elle sait que je ne voulais pas qu'elle le porte. C'est Monsieur David qui réagit le premier.
- Oh non ! Marion, vous ne pouvez par garder un sous-vêtement sous cette robe d'été. C'est un crime !
S'approchant rapidement d'elle, il la prend aux épaules la retourne et d'autorité je le vois passer ses mains sous la robe et dégrafer le soutien gorge.
- Laissez-moi faire ma jolie, je vais réparer cette erreur !
Son ton autoritaire est sans appel. Ma femme ne tente même pas de réagir. Certes elle a immédiatement rougit mais a laissé faire. L'homme passe une main sur le devant et la glisse sous la robe, englobant au passage un sein et tire le vêtement en avant pour le dégager. Il le jette sur une table à l'écart signifiant qu'il ne sera plus question de lui. Marion est écarlate, elle tente bien de sourire pour garder un semblant de contenance.
Maintenant Monsieur David ajuste la robe au corps de mon épouse ne négligeant pas de la toucher partout. Puis il la tourne vers le miroir et lui dit : - Alors, dites moi comment vous vous trouvez.
Elle n'ose pas répondre intimidée, complètement annihilée ! Passive. Elle laisse le salaud lui ajuster la robe au corps.
Face au miroir je devine que les complices ne manquent rien du spectacle. Moi complètement transparent, j'assiste au pelotage en bonne et due forme de ma belle.
La robe laisse les épaules nues et il les caresse carrément à même la peau.
Marion est figée, elle semble maintenant apprécier la caresse. Encouragé par sa passivité, l'homme s'enhardit. Ses mains glissent le long des bras nus, passent devant et attirent ma femme à lui. Placé ainsi, face au miroir, collée contre lui, elle doit certainement sentir son désir pour elle. J'ai bien vu qu'il bandait dès notre arrivée. C'est la situation qui est, en plus excitante en elle même : un mari qui manque de courage vient livrer sa femme aux envies d'un ou même plusieurs inconnus !
Plus aucun doute maintenant pour Marion, cet homme la caresse et elle a décidé de se laisser faire. Je me demande si à cet instant j'existe encore pour elle. Comment a-t-elle pu céder aussi facilement ? Certainement que cet homme possède ce que moi je n'ai pas.
L'homme remonte ses mains vers la poitrine entraînant le bas de la robe qui découvre les jambes nues. Je vois mon épouse fermer les yeux, un petit sourire aux lèvres. Je pense que toute timidité a disparu. Cet homme prend possession d'elle. Je bande dur !
Face au miroir-spectacle, les cuisses sont maintenant découvertes. Plus haut encore et c'est sa petite culotte qu'ils vont pouvoir admirer. Et elle reste de marbre. Immobile, offerte et soumise. Je ne reconnais plus ma femme, cette adolescente si timide.
Quand il arrive au niveau de la taille, je vois qu'il remonte le bas de la robe plus haut et vient l'accrocher à la ceinture de ma belle qui souscrit toujours, avec un sourire qui montre plus de plaisir que de souffrance. Ça y est, j'y suis !
Encore une fois je réalise qu'il est encore temps d'arrêter tout. Que je peux récupérer l'amour de ma vie. Mais je sais que je ne le veux pas. Que je ne veux plus.
Les cuisses, et le ventre dénudés, l'homme va s'attaquer à la poitrine. Je vois qu'il remonte ses mains sur les épaules pour dégager lentement les épaules. Les bretelles glissent lentement le long des bras. La robe descend. Les mains de l'homme relâchent le vêtement qui reste retenu par la pointe des seins encore recouverts. Il est évident que les tétons de mon épouse sont bien dressés pour bloquer la descente inexorable de la robe si convoitée.
Je sais que derrière le miroir, la tension doit être grande. Il leur a promis, il tient sa promesse, et je devine qu'ils reconnaissent la beauté de Marion déjà appréciée grâce aux images échangées.
Jusqu'où mon épouse va-t-elle s'abandonner ? L'emprise de cet homme est-elle suffisamment forte pour lui faire perdre la tête ?
Doucement il poursuit le déshabillage de sa proie. Entre le pouce et l'index, il se saisit du tissu de la robe juste au dessous des seins. Il tire délicatement vers le bas, les pointes vont céder… mais tout à coup, Marion à l'air de sortir d'un rêve. Elle se ressaisit et retient les mains qui la déshabillent, signifiant d'arrêter. La tension monte dans la boutique. Monsieur David marque le pas. Il craint que la belle ne lui échappe. Alors comme un pêcheur le ferait pour sa "touche" qu'il juge trop forte, il lâche du lest. Il fait une pause, mais ne lui laisse pas le loisir de se revêtir. Le temps est suspendu ! Je décide d'agir.
- Marion, reprends-toi ! S'il te plait. Tu n'as pas honte ?
Avant même qu'elle puisse répondre, si tant est qu'elle le désire, Monsieur David dépose doucement un baiser dans son cou. Je la vois frissonner alors qu'un petit gémissement fuse d'entre ses lèvres à peine jointes.
Visiblement ils m'ignorent.
Alors je suis pris d'une envie de vomir quand je vois les mains de Marion lâcher celles de cet individu qui devient véritablement son amant en cet instant. Elle vient de lui donner de ce fait l'autorisation de continuer, de poursuivre.
Alors, tout en maintenant sa bouche collée à la peau de son cou, l'homme tire sur le tissu et la poitrine superbe, apparaît blanche, immaculée. La robe poursuit sa descente découvrant le blanc de la peau du ventre. Ses seins se dressent fiers, alors qu'elle bombe le torse pour les offrir à cet homme qu'elle ne connaît que depuis quelques minutes.
Je ne la reconnais plus. Si prude si timide.
L'homme la prend aux épaules et la retourne face à lui. Les yeux fermés je la vois lui tendre ses lèvres qui réclament les siennes. Monsieur David ne se fait pas prier. Pour saisir cette bouche qui l'attire et dont le rouge carmin des lèvres est un appel au baiser, il lui suffit de courber légèrement la tête vers celle de Marion. D'où je suis je ne manque rien du spectacle. De jointes, les lèvres de ma chérie, doucement s'entrouvrent, sa langue se promène sur les lèvres de son amant. Je lui connais bien cette façon d'embrasser. Elle est le prémices d'une relation d'amour, plein de tendresse et de sentiment. Je me meurs de jalousie alors que l'excitation dans mon caleçon est à son comble. Je me rappelle d'un seul coup, le pantalon de lin que je porte. Si je jouis dedans ce sera la honte. Devant Monsieur David, ma femme et les salauds derrière le miroir sans tain. Assis et dissimulé derrière un étale de vêtements, je décide de sortir ma bite et de me branler en cachette, comme un adolescent qui se planque dans les toilettes pour s'offrir sa première éjaculation.
Mais je suis effondré devant le spectacle de mon amour qui s'abandonne de sa propre initiative à ce voyou à qui je voulais montrer ma puissance.
La serrant fort alors que leurs langues se mélangent maintenant dans un baiser fougueux, l'homme lui a saisi les deux globes de son derrière qu'il malaxe sans douceur. Je le vois qui glisse une main, puis deux, sous la petite culotte et caresse les fesses blanches à même la peau. Puis toujours doucement; il baisse le fin vêtement pour offrir le cul à la vue de ses complices. Marion se laisse aller. Elle a posé sa tête au creux de l'épaule de son vainqueur. Elle s'abandonne. La petite culotte glisse le long de ses cuisses. Arrivée aux chevilles, elle lève un pied puis l'autre pour s'en dégager. Elle accepte tout simplement d'être pratiquement nue dans les bras de Monsieur David, sans savoir que derrière la glace sans tain, des vicieux s'en donnent à cœur joie d'admirer ses trésors qui n'appartenaient qu'à moi, quelques minutes auparavant.
L'homme passe une main par devant et la glisse entre ses jambes. Je devine qu'il prend possession de son sexe. D'où je suis j'entends un léger clapotis. Elle mouille et les doigts qui jouent dans sa vulve lui procurent du plaisir. Car je sais moi qu'elle mouille beaucoup ma belle. L'homme qui la doigte le sent bien qui frotte se frotte contre elle dans un mouvement plein d'obscénité.
Abandonnant la chatte, il dénoue la ceinture et la robe tombe naturellement aux pieds de ma princesse. Elle est nue, entièrement, uniquement chaussée de ses chaussures. Il la fait se retourner vers la glace. Le salaud il l'offre en bouquet final à ses complices. Pour accentuer l'exhibition, il lui prend la tête qu'il tire en arrière vers lui, lui prend à nouveau la bouche. Dans cette position, le ventre et les seins tendus devant elle, Marion est totalement offerte au miroir. C'est à ce moment que j'éjacule tout le foutre accumulé depuis ce matin(à suivre)

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