La folle nuit de Lucy. Suite 2
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La folle nuit de Lucy. Suite 2
En lisant la suite proposée par PP06 de cette histoire de Chelmi34, je me suis demandé si Lucy devait être autant accablée.
Je ne suis pas enclin à reprendre les histoires pour en imaginer une autre fin. J’abandonne cela au talent de PP06, et je n’ai pas l’outrecuidance de me comparer à lui.
Pourtant...
Et d’abord, pourquoi Chelmi34 n’écrit-il pas une suite ? Son histoire se termine en queue de poisson, non ? Une incitation à s’inventer une fin en fonction de nos sensibilité et ressenti des personnages.
Je pense qu’on peut imaginer d’autres fins à cette aventure, simplement déjà en lisant bien le début et en s’appuyant sur le dernier paragraphe, qu’il convient d’interpréter.
Les potes sont à blâmer, sûr. C’est facile de retenir ses envies de baiser. Surtout la femme d’un pote.
Mais la jeune Lucy ? Elle succombe victime des effets de l’alcool. Le mal est fait. Elle a découvert une autre face de sa libido, et ne semble plus pourvoir renoncer à ces plaisirs charnels dépourvus de sentiments.
Question : Qu’elle est la part d’amour qui lui reste pour son époux ? Apparemment peu, en voyant avec quelle nonchalance elle quitte Marc anéanti, sans un mot, pour rejoindre ses amants d’un soir, qui avec ce message, affichent un cynisme qui mérite bien la leçon proposée par PP06.
Peut-être qu’en modifiant légèrement le dernier paragraphe, on peut envisager une autre fin. Par exemple…----------------------- « Lucy lui dit qu’il faut qu’ils parlent, qu’il s’est passé des choses. »C’est déjà un point positif. Le cœur lourd, le cerveau dans les brumes de l’alcool d’hier soir, elle prend petit à petit la mesure de ses actes. En observant son corps, il lui est facile de comprendre qu’elle s’est vautrée dans le stupre et la fornication. Ses orifices meurtris lui font mal. Des souvenirs de sexe finissent par resurgir. Elle est morte de honte d’abord pour elle même. De peur ensuite. Elle a trompé Marc, contre et malgré tous ses principes de fidélité. La panique de le perdre surgit. Et ses salops de potes qui ont abusé d’elle. Car elle ne se rappelle ne pas avoir été complice. Au début !
Marc, c’est l’homme de sa vie. Un amour fusionnel et sans équivoque les unit depuis deux ans. Ils ont le projet d’aménager cette nouvelle maison avec cette piscine. Un bébé est peut-être programmé.
Au final, elle ne peut pas se résoudre à tout perdre. Elle décide de lui parler et d’avouer son premier et seul abandon, réalisant tout de même qu’il est de taille.
Il m’aime comme je l’aime, il saura pardonner, elle en a la certitude. Même si elle a très peur, elle comprend aussi qu’elle ne peut pas lui cacher cette terrible vérité, si elle veut avoir une petite chance de sauvegarder leur couple. Elle sait déjà que c’est avec une absolue franchise, qui ne laissera aucune zone d’ombre de ce qui s’est passé, qu’elle pourra affronter son amour.
« Arrivé dans le salon, Marc fait face à son épouse. » Elle prend une profonde inspiration et sans attendre, elle se livre en le fixant droit dans les yeux.
« Lucy lui raconte tout, dans les moindres détails. La nuit torride passée avec se potes. Comme ils l’ont faite jouir. »Elle marque une pause, observe Marc, inquiète de ne percevoir aucun réaction !
Pourtant Marc est assommé par ce qu’il vient d’entendre. Il a une confiance absolue dans son épouse et sa franchise ne le surprend pas. Mais les mots qu’il entend lui font mal. Très mal.
« Tout ce qu’ils lui ont fait découvrir, mais aussi les faveurs qu’elle leurs à offertes. Toutes celles auxquelles il n’a jamais eu droit. »Marc s’effondre un peu plus.
Lucy veut jouer la transparence au nom de la loyauté qui unit le couple. Elle prend bien la mesure du poids de ces mots qu’elle égrène sous tension. De toutes façons, elle sait déjà que c’est à ce prix que Marc pourra comprendre et pardonner. Elle ne pourrait pas vivre en confiance, si elle cache le moindre détail de son forfait. Elle sait bien qu’elle a une part de responsabilité dans ce qui lui est arrivé. Se laisser aller à boire, par exemple. Elle a bien eu aussi quelques moments de lucidité qu’elle aurait pu exploiter pour se rebeller. Mais elle ne sait pas pourquoi, mais ce réflexe de défense n’a pas fonctionner. Enfin, elle ne veut pas accabler les potes de son mari, qui doit ressentir leur forfait comme la trahison de leur amitié.
Quand elle a terminé son récit, elle ne peut empêcher les sanglots de la submerger. Comme elle ne veut montrer à Marc qu’elle veut se faire plaindre, l’apitoyer ou l’abuser avec des larmes, elle quitte la pièce et va se réfugier dans leur chambre.
« Marc se prend le visage à deux mains, s’écroule sur le canapé. »C’est trop dur. Jamais il n’avait envisagé une telle épreuve. Tout son monde, toutes ses certitudes lui apparaissent maintenant comme ayant été des illusions. Une boite de Pandore, ouverte brutalement.
Il se met à pleurer, non pas sur son sort mais sur celui de son couple qu’il a idéalisé, mythifié même.
Lucy, sa douce épouse, dans la débauche. Avec laquelle il construisait un avenir qu’il espérait sans nuages. Ils étaient un couple aimé, estimé. On les adulait, les enviait. Leur bonheur resplendissait et éclaboussait de joie ceux qu’ils côtoyaient.
Et soudain, cet accident. Car pour lui, ce que Lucy venait de lui raconter, n’était rien d’autre qu’un accident de parcours le long de la longue vie qui les attendait.
Elle aurait pu disparaître dans un accident de la route, un acte terroriste. Non elle était bien vivante, blessée mais vivante. Mais, quel accident ! Ceux dont sort rarement indemne.
Pour sûr, ces mots terribles qu’elle vient de prononcer ne sont pas anodins. Il ne peut non plus en détacher les images qui les accompagnent.
Il ne cherche aucunement à les occulter ni minimiser leur impact sur leur vie. Il comprend vite qu’il faut les enfermer dans le passé pour aspirer à un futur plein d’espérance.
C’est à cet instant que Lucy réapparait, son portable à la main.
« Elle a reçu un message de Kevin et Lucas, pour un rendez-vous galant à l’hôtel. »Tremblante, sans un mot, elle montre le message à Marc.
Il entre dans une colère froide. Mais Lucy voit bien qu’il souffre maintenant de la trahison de ses potes.
Il prend à peine l’information du lieu de RDV et se précipite prendre sa voiture sans dire le moindre mot à Lucy.
Elle prend soudain peur, pour son mari. La violence n’est pas son truc et ils sont deux ! Elle prend son auto et rejoint l’hôtel, lieu du RDV. Elle arrive avant Marc, qui mal informé s’est perdu.
Dans la chambre, les deux séducteurs l’attendent avec un air satisfait, méprisant.
- J’ai tout avoué à Marc. Il est en route pour vous casser la figure. Ce que vous m’avez fait subir tombe sous le coup de la loi : viol en réunion et contrainte par consommation d’alcool pour réduire la capacité de résistance. Vous allez payer !
- Salope, tu étais bien chaudasse non ? On ne t’a pas forcée à boire.
C’est le moment que choisit Marc pour faire irruption dans la chambre d’hôtel.
La colère se lit dans ses yeux. Les deux félons sont prêts à en découdre. Lucy veut éviter l’affrontement. Elle s’interpose.
- Ces deux salops vont devoir s’expliquer. J’ai appelé la police pour menaces de coup est blessures.
Quand la police arrive, quelques secondes après, la tension est palpable dans la chambre.
- Hier soir, dit Lucy, ces deux hommes ont abusé de moi en me saoulant. Je souhaiterais porter plainte.
Les deux flics ont vite fait de prendre la mesure de la situation, surtout que les deux violeurs attendaient leur victime avec deux bouteilles de whisky et pratiquement nus.
Les policiers ont pris la déposition de la jeune femme et les deux hommes furent condamnés à une forte amende et à de la prison avec suris. L’histoire ne dit pas les conséquences désastreuses qui s’ensuivirent dans leurs couples respectifs.
De retour chez eux, l’heure des explications venue, c’est Marc qui prend le premier la parole.
- Je t’aime, mais même si tu n’es pas entièrement coupable, je ne pourrais jamais oublier les images que tu m’as décrites. Je suis blessé et la cicatrice va mettre du temps à se refermer. J’ai besoin de temps pour comprendre. Du temps pour pardonner.
- Je t’aime Marc. Jamais je n’aurais accepté en pleine conscience de te trahir. Offre moi les circonstances atténuantes et je ferai tout pour te faire oublier et nous retrouver comme avant.
« Sans un mot, Lucy enfile son manteau. » - Allons dîner au restaurant où nous nous sommes si souvent aimés.
FIN
Je ne suis pas enclin à reprendre les histoires pour en imaginer une autre fin. J’abandonne cela au talent de PP06, et je n’ai pas l’outrecuidance de me comparer à lui.
Pourtant...
Et d’abord, pourquoi Chelmi34 n’écrit-il pas une suite ? Son histoire se termine en queue de poisson, non ? Une incitation à s’inventer une fin en fonction de nos sensibilité et ressenti des personnages.
Je pense qu’on peut imaginer d’autres fins à cette aventure, simplement déjà en lisant bien le début et en s’appuyant sur le dernier paragraphe, qu’il convient d’interpréter.
Les potes sont à blâmer, sûr. C’est facile de retenir ses envies de baiser. Surtout la femme d’un pote.
Mais la jeune Lucy ? Elle succombe victime des effets de l’alcool. Le mal est fait. Elle a découvert une autre face de sa libido, et ne semble plus pourvoir renoncer à ces plaisirs charnels dépourvus de sentiments.
Question : Qu’elle est la part d’amour qui lui reste pour son époux ? Apparemment peu, en voyant avec quelle nonchalance elle quitte Marc anéanti, sans un mot, pour rejoindre ses amants d’un soir, qui avec ce message, affichent un cynisme qui mérite bien la leçon proposée par PP06.
Peut-être qu’en modifiant légèrement le dernier paragraphe, on peut envisager une autre fin. Par exemple…----------------------- « Lucy lui dit qu’il faut qu’ils parlent, qu’il s’est passé des choses. »C’est déjà un point positif. Le cœur lourd, le cerveau dans les brumes de l’alcool d’hier soir, elle prend petit à petit la mesure de ses actes. En observant son corps, il lui est facile de comprendre qu’elle s’est vautrée dans le stupre et la fornication. Ses orifices meurtris lui font mal. Des souvenirs de sexe finissent par resurgir. Elle est morte de honte d’abord pour elle même. De peur ensuite. Elle a trompé Marc, contre et malgré tous ses principes de fidélité. La panique de le perdre surgit. Et ses salops de potes qui ont abusé d’elle. Car elle ne se rappelle ne pas avoir été complice. Au début !
Marc, c’est l’homme de sa vie. Un amour fusionnel et sans équivoque les unit depuis deux ans. Ils ont le projet d’aménager cette nouvelle maison avec cette piscine. Un bébé est peut-être programmé.
Au final, elle ne peut pas se résoudre à tout perdre. Elle décide de lui parler et d’avouer son premier et seul abandon, réalisant tout de même qu’il est de taille.
Il m’aime comme je l’aime, il saura pardonner, elle en a la certitude. Même si elle a très peur, elle comprend aussi qu’elle ne peut pas lui cacher cette terrible vérité, si elle veut avoir une petite chance de sauvegarder leur couple. Elle sait déjà que c’est avec une absolue franchise, qui ne laissera aucune zone d’ombre de ce qui s’est passé, qu’elle pourra affronter son amour.
« Arrivé dans le salon, Marc fait face à son épouse. » Elle prend une profonde inspiration et sans attendre, elle se livre en le fixant droit dans les yeux.
« Lucy lui raconte tout, dans les moindres détails. La nuit torride passée avec se potes. Comme ils l’ont faite jouir. »Elle marque une pause, observe Marc, inquiète de ne percevoir aucun réaction !
Pourtant Marc est assommé par ce qu’il vient d’entendre. Il a une confiance absolue dans son épouse et sa franchise ne le surprend pas. Mais les mots qu’il entend lui font mal. Très mal.
« Tout ce qu’ils lui ont fait découvrir, mais aussi les faveurs qu’elle leurs à offertes. Toutes celles auxquelles il n’a jamais eu droit. »Marc s’effondre un peu plus.
Lucy veut jouer la transparence au nom de la loyauté qui unit le couple. Elle prend bien la mesure du poids de ces mots qu’elle égrène sous tension. De toutes façons, elle sait déjà que c’est à ce prix que Marc pourra comprendre et pardonner. Elle ne pourrait pas vivre en confiance, si elle cache le moindre détail de son forfait. Elle sait bien qu’elle a une part de responsabilité dans ce qui lui est arrivé. Se laisser aller à boire, par exemple. Elle a bien eu aussi quelques moments de lucidité qu’elle aurait pu exploiter pour se rebeller. Mais elle ne sait pas pourquoi, mais ce réflexe de défense n’a pas fonctionner. Enfin, elle ne veut pas accabler les potes de son mari, qui doit ressentir leur forfait comme la trahison de leur amitié.
Quand elle a terminé son récit, elle ne peut empêcher les sanglots de la submerger. Comme elle ne veut montrer à Marc qu’elle veut se faire plaindre, l’apitoyer ou l’abuser avec des larmes, elle quitte la pièce et va se réfugier dans leur chambre.
« Marc se prend le visage à deux mains, s’écroule sur le canapé. »C’est trop dur. Jamais il n’avait envisagé une telle épreuve. Tout son monde, toutes ses certitudes lui apparaissent maintenant comme ayant été des illusions. Une boite de Pandore, ouverte brutalement.
Il se met à pleurer, non pas sur son sort mais sur celui de son couple qu’il a idéalisé, mythifié même.
Lucy, sa douce épouse, dans la débauche. Avec laquelle il construisait un avenir qu’il espérait sans nuages. Ils étaient un couple aimé, estimé. On les adulait, les enviait. Leur bonheur resplendissait et éclaboussait de joie ceux qu’ils côtoyaient.
Et soudain, cet accident. Car pour lui, ce que Lucy venait de lui raconter, n’était rien d’autre qu’un accident de parcours le long de la longue vie qui les attendait.
Elle aurait pu disparaître dans un accident de la route, un acte terroriste. Non elle était bien vivante, blessée mais vivante. Mais, quel accident ! Ceux dont sort rarement indemne.
Pour sûr, ces mots terribles qu’elle vient de prononcer ne sont pas anodins. Il ne peut non plus en détacher les images qui les accompagnent.
Il ne cherche aucunement à les occulter ni minimiser leur impact sur leur vie. Il comprend vite qu’il faut les enfermer dans le passé pour aspirer à un futur plein d’espérance.
C’est à cet instant que Lucy réapparait, son portable à la main.
« Elle a reçu un message de Kevin et Lucas, pour un rendez-vous galant à l’hôtel. »Tremblante, sans un mot, elle montre le message à Marc.
Il entre dans une colère froide. Mais Lucy voit bien qu’il souffre maintenant de la trahison de ses potes.
Il prend à peine l’information du lieu de RDV et se précipite prendre sa voiture sans dire le moindre mot à Lucy.
Elle prend soudain peur, pour son mari. La violence n’est pas son truc et ils sont deux ! Elle prend son auto et rejoint l’hôtel, lieu du RDV. Elle arrive avant Marc, qui mal informé s’est perdu.
Dans la chambre, les deux séducteurs l’attendent avec un air satisfait, méprisant.
- J’ai tout avoué à Marc. Il est en route pour vous casser la figure. Ce que vous m’avez fait subir tombe sous le coup de la loi : viol en réunion et contrainte par consommation d’alcool pour réduire la capacité de résistance. Vous allez payer !
- Salope, tu étais bien chaudasse non ? On ne t’a pas forcée à boire.
C’est le moment que choisit Marc pour faire irruption dans la chambre d’hôtel.
La colère se lit dans ses yeux. Les deux félons sont prêts à en découdre. Lucy veut éviter l’affrontement. Elle s’interpose.
- Ces deux salops vont devoir s’expliquer. J’ai appelé la police pour menaces de coup est blessures.
Quand la police arrive, quelques secondes après, la tension est palpable dans la chambre.
- Hier soir, dit Lucy, ces deux hommes ont abusé de moi en me saoulant. Je souhaiterais porter plainte.
Les deux flics ont vite fait de prendre la mesure de la situation, surtout que les deux violeurs attendaient leur victime avec deux bouteilles de whisky et pratiquement nus.
Les policiers ont pris la déposition de la jeune femme et les deux hommes furent condamnés à une forte amende et à de la prison avec suris. L’histoire ne dit pas les conséquences désastreuses qui s’ensuivirent dans leurs couples respectifs.
De retour chez eux, l’heure des explications venue, c’est Marc qui prend le premier la parole.
- Je t’aime, mais même si tu n’es pas entièrement coupable, je ne pourrais jamais oublier les images que tu m’as décrites. Je suis blessé et la cicatrice va mettre du temps à se refermer. J’ai besoin de temps pour comprendre. Du temps pour pardonner.
- Je t’aime Marc. Jamais je n’aurais accepté en pleine conscience de te trahir. Offre moi les circonstances atténuantes et je ferai tout pour te faire oublier et nous retrouver comme avant.
« Sans un mot, Lucy enfile son manteau. » - Allons dîner au restaurant où nous nous sommes si souvent aimés.
FIN
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@Sophie69
Merci. Voilà bien longtemps que je n’ai plus écrit.
Mais certains commentaires comme celui ci me font le regretter
Merci. Voilà bien longtemps que je n’ai plus écrit.
Mais certains commentaires comme celui ci me font le regretter
Je viens de découvrir 3 de tes histoires dont une de Chantal et cela me remet en mémoire quelques bons moments de ma jeunesse.
Je vais surement toutes les lire.
Je vais surement toutes les lire.
Trop rapide récit… je suispas convaincue par ses remords …. Et que dire de la réaction du mari qui passe l’éponge
La fin est cohérente avec l’amour fusionnel decrit en debut de récit- tres bien !
Sûrement le seul texte que j ai apprécié d’arsenne ou l’histoire se tient avec un dénouement sympa et des explications qui se tiennent! Une jolie pépite…
Et bien alcool quand tu me tiens c'est mon sosie qui apparaît j'ai adoré