La forêt des fantasmes - histoire érotique

Un soir, ils ont vécu leur première vraie crise de couple. Coralie a fait l'erreur de ne pas dévoiler à Benoit qu'elle aimait se sentir désirée car ce sentiment était nouveau et agréable depuis quelques années pour elle en tant que femme, malgré qu'il lui offre tout l'amour et le désir nécessaire à son bonheur, mais c'était son secret, de peur que ça ne soit pas bien accueilli par son Homme et ne voulant pas le perdre. Benoit l'avait découvert de son côté, en fouillant dans les messages privés de sa femme : elle s'était amusée sexuellement avec l'un de leurs amis, sans rien dire. Aucun sentiment, du pur désir. Mais le découvrir avait fait chez eux l'effet d'une bombe. Du côté de Coralie, la culpabilité d'avoir trahi l'homme de sa vie, et chez Benoit, un mélange entre jalousie, crainte de perdre sa femme, doutes sur sa confiance en elle et en lui et excitation... Oui, excitation. Car Benoit avait un secret...



Quelle agréable surprise pour Coralie ! Benoit lui confie l'un de ses fantasmes les plus secrets, inavoué jusqu'à ce jour...

« J'aimerai que tu me racontes ce qu'il s'est passé avec lui ? » demande Benoit
« Te raconter ? Ça va te faire du mal ! Tu m'en veux ? » lui dit Coralie
« Non, car en fait, une part de moi est excité. Tu connais le candaulisme ? »
«  Pas du tout, c'est quoi ? »
« Aimer voir ou savoir que sa femme soit désirée et se fasse prendre »
«  Oh ! Et … tu aimerais ça ? »
«  Je ne sais pas, mais c'est en tout cas ce que j'aime lire dans des récits et ce à quoi je pense pour m'exciter, l'idée me plait beaucoup »
« Pourquoi ne m'en as tu pas parlé avant ? »
« Parce que je pensais que c'était considéré comme malsain, pervers, fou... »
«  Je trouve ça plutôt excitant comme idée, pas de là à concrétiser, mais c'est agréable de l'imaginer. Et tu aimerais savoir ce que j'ai fait avec lui parce que ça t'exciterait ? »
«  Oui ! Savoir ce que tu as ressenti, ton plaisir, s'il a aimé te prendre et toi aussi ! Ça m'exciterait oui »
«  C'est étrange pour moi de te raconter une trahison à mes yeux, mais peut-être qu'on peut voir pour concrétiser ton fantasme un jour si nous sommes prêts ensemble ? »
« C'est vrai ? Tu ne me trouves pas bizarre ? Fou ? »
«  Bien sur que non mon Amour ! C'est une pratique sexuelle comme une autre ! Après tout, quelles règles y a t'il là dessus tant que nous sommes d'accord ? Merci de t'être confié à moi ! Tu me fais découvrir tellement de choses ! D'abord la soumission, le BDSM, le squirt, les fists, et maintenant ça ? J'ai beaucoup de chances en vrai, moi qui est un appétit sexuel important, comme toi, tu es incroyable ! »


Ils finiront leur soirée en faisant l'amour, en s'aimant, et démarreront la journée suivante en recommençant encore. L'excitation de cette découverte entre eux ayant attisée encore plus leur désir l'un pour l'autre.


Les semaines suivantes, ils se laissent aller à de nombreux nouveaux jeux sexuels, laissant libre court à leur imagination et leurs envies, et au fil des discussions concernant le candaulisme et leurs désirs à chacun.

Benoit surprend Coralie pour la Saint Valentin en achetant un œuf vibrant commandable à distance. Ainsi qu'une gaine élargissante pour son pénis.

Partant au travail un matin, à 70 km de la maison, la surprise pour Benoit de recevoir alors qu'il est à son bureau, seul, un code d'application pour télécommander le jouet fraichement acheté quelques jours avant. Coralie était à la maison, sur son lit, attendant avec impatience que son Homme titille son vagin et son clitoris à distance.
Elle lui envoie une petite vidéo, pour lui montrer ce qu'elle vivait de son côté, les jambes écartées, déjà humide d'excitation, la vulve devant l'objectif, avec seule la partie extérieure de l'objet vibrant visible entouré de ses lèvres.
Benoit eu immédiatement une érection, et ouvrit sa ceinture et sa braguette pour sortir son sexe dur et le prendre d'une main.
Il posa le sexe sur son écran de contrôle des vibrations dans l'application, et créa des vibrations à 70km de là avec son gland.
Coralie commençait à gémir. Imaginer son homme se branler au travail, pouvant se faire surprendre, était très excitant.
Elle eu envie de plus. Elle sorti la gaine élargissante de son emballage, et inséra l'objet vibrant détrempé de sa mouille à l'intérieur de la gaine. Elle s'inséra la gaine vibrante bien large dans son vagin, et entre ses allers retours et les vibrations que fournissait Benoit depuis son bureau, elle commença à sentir les frissons d'un début d'orgasme.
Voulant partager ça, elle posa son téléphone devant elle à nouveau, et se filma en train de se masturber vivement jusqu'à l'orgasme pour l'envoyer à Benoit.
Ce jour là, Benoit a passé sa journée à bander au boulot, sans sortir son jus, préférant le garder pour Coralie quand il rentrera le soir...

Quand il rentra, elle l'attendait. Ils passèrent leur soirée à faire l'amour. Après quelques baisers langoureux, ils se déshabillèrent. Coralie enfila la gaine sur le sexe de Benoit, et la largeur de ce pénis était démesurée. Il entra en elle, elle ne s'était jamais sentie aussi pleine par un sexe. Elle gémissait et frissonnait de partout. Sentant même son envie de squirter lorsque le monstre en elle tapait de toute sa puissance contre son point G en levrette. Elle enchaina orgasme sur orgasme. Benoit finit par enlever la gaine et simuler une double pénétration en insérant la gaine et son sexe en même temps dans la chatte béante de Coralie, détrempée. Après un nouvel orgasme, Coralie finit de donner du plaisir à Benoit en lui faisant une fellation royale, avec sa langue bien mouillée et ses doigts, elle finit par le faire jouir dans sa bouche. Elle n'avala pas tout de suite, elle alla l'embrasser avec sa langue pleine de sperme. Elle trouva ça très excitant.
Benoit n'ayant pas encore fini de s'amuser avec sa femme surexcitée, à la vue de son clitoris gonflé et de sa chatte dégoulinante, il la fît jouir à nouveau de nombreuses fois, en la faisant squirt et souiller le lit. Elle se cambrait, frissonnait, tremblait de plaisir sous ses doigts. Sa chatte bien écartée pouvait accueillir son poing entier, et elle aimait ça. C'est finalement après des heures entières de sexe effréné, qu'ils se sont calmés, à coup de caresses et de doux baisers. Leur amour n'était que plus fort, comme s'ils retombaient encore une fois amoureux l'un de l'autre.




Quelques semaines plus tard, toujours dans l'optique de se découvrir et de tenter de voir s'ils pouvaient vivre le fantasme de candaulisme de Benoit : Coralie s'inscrit en tant que couple en recherche d'homme sur un site de rencontres dédié aux candaulisme.

Lorsqu'elle l'annonce à Benoit, qui est au bureau, il est heureux et excité, mais aussi une petite part d'appréhension. Entre fantasmer, et vivre son fantasme, en incluant quelqu'un d'autre, pleins de questions se posent !


De retour du travail, Benoit rejoint Coralie à la maison.
Ensemble ils s'amusent à aller regarder les demandes de contacts d'hommes attirés par leur profil de couple en recherche de candaulisme.

Ils en parlent à nouveau et Coralie exprime le fait que s'ils devaient passer à l'acte un jour en réalisant ce fantasme, elle aimerait que ça soit dans une ambiance surprenante, où elle ne saurait pas qui la prend. Elle se sentirait plus à l'aise si Benoit, en dominant suprême, gérait la rencontre et ce qui se fait ou non selon ses règles à lui. Elle explique que si elle ne voit pas l'homme en face, ça pourrait éviter aussi le côté « jalousie ».
Benoit prend note de ce qu'elle dit et ils finissent leur soirée en faisant l'amour, cette fois ci, tendrement jusqu'à s'endormir l'un contre l'autre.

Les jours suivants, Benoit prend contact avec l'un des hommes de l'application. Sans prévenir Coralie. Ils échangent longuement sur les questions d’hygiène, les règles à respecter.

Benoit ne veut pas qu'un autre que lui ne jouisse en Coralie, sur son corps oui, à l'intérieur non. Il sait que Coralie ne veut pas que l'homme ne fasse comme si elle lui appartenait. Alors Benoit explique à son contact qu'il aura le droit de dire ce qu'il veut, même des phrases hards, tant qu'il ne dit pas « ma ».
L'homme est un quarantenaire au physique normal, banal. Benoit l'a choisi car son sexe a l'air plus large que le sien et il sait que Coralie aime être remplie.

Finalement ils parlent de la mise en scène de leur rendez-vous, car pour leur première fois, Benoit souhaite que l'instant soit « parfait ».

L'homme choisi est amusé par ce couple débutant mais déjà bien sûr de ce qu'il veut, et l'idée de la mise en scène lui plait. Benoit lui envoie quelques clichés de Coralie, pour que l'Homme la désire déjà bien avant le rendez-vous.

Le plan a l'air bien ficelé, il ne reste qu'à faire la surprise à Coralie.

Benoit est pressé et stressé à la fois, il n'est pas encore sûr que tout va fonctionner comme il le souhaite, il est pourtant très excité et le fait d'avoir discuté avec l'homme choisi le rassure sur la qualité de ce qu'il peut se passer. Il espère que Coralie acceptera et vivra bien cette surprise. Il sait très bien qu'à tout moment, n'importe lequel des 3 acteurs peut simplement dire stop, et que tout s'arrêtera.


Quelques semaines plus tard, il fait beau, Benoit hésite encore une dernière fois, et passe le pas : il propose donc innocemment à Coralie d'aller passer le week-end en forêt avec le camion. C'est un projet qu'ils avaient déjà eu quelques semaines avant, mais qui ne s'était finalement pas réalisé à cause d'imprévus et de la fraicheur de la fin de l'hiver.

Coralie accepte avec un sourire coquin, elle savait bien qu'ils allaient surement passer un week-end à faire l'amour de toutes les façons possibles, en espérant presque se faire surprendre par des inconnus appréciant ce qu'ils voient, dans des lieux publics au milieu de la nature, ou dans le camion ouvert. C'est ce qu'ils avaient prévu la dernière fois.

Après avoir préparés le camion, ils partent donc. Comme des hippies en van sur la route ensoleillée, musique à fond, sourire et bonne ambiance.

Ils s'accordent une cigarette fumée au volant du camion, et profitent des paysages.

En s'approchant d'une forêt, dont Benoit avait calculé l'itinéraire, il demande à Coralie de garer le camion par là. Elle obéit.

Là, comme des adolescents, ils sortent, s'étirent après leur voyage assis, se font un doux baiser en s'enlaçant, et se posent un peu pour discuter de tout et de rien. Ils se laissent aller à des suppositions sur leurs futurs actes sexuels dans ce coin, regardent un peu partout pour voir s'il y a beaucoup de passage de promeneurs, si le camion ne gênera pas les gens vivants pas loin d'ici. Ils s'amusent d'imaginer qui pourrait les croiser.

Coralie défait un peu son gilet, dévoilant un peu mieux sa tenue qu'elle a choisi sexy discrète, pour le plus grand plaisir de Benoit. Elle a mis sa robe rouge en laine dévoilant ses épaules. En dessous, elle porte uniquement son soutien gorge noir et rouge, et son collant/bas, laissant sa vulve a l'air. Elle a bien pris soin de s'épiler en laissant cette petite bande de poils que Benoit apprécie. Et s'est parfumée agréablement avec son parfum préféré. Ses cheveux sont comme d'habitude, détachés et mis sur le côté. Elle a pris soin de se maquiller légèrement, elle sait que Benoit n'aime pas quand elle est trop maquillée, mais elle se sent plus jolie quand elle a un peu de couleur cuivrée sur les paupières et un peu de mascara. Le tout sur ses bottines, pour être à l'aise dans la forêt.

Cette tenue, Benoit la connait bien, et pourtant, il l'aime toujours autant. Il trouve sa femme magnifique et désirable, il a déjà envie d'elle.

Coralie est détendue mais ne prend pas d’initiative particulière, son côté soumise fait qu'elle aime se faire porter par les envies et désirs de Benoit.
Benoit lui, est un peu tendu, il cherche un moment seul pour pouvoir contacter l'homme choisi et le prévenir d'où ils sont pour qu'il vienne. Mais en a t'il encore envie ?
Benoit prévient qu'il va faire pipi, et s'éloigne un peu du camion, dans un angle où Coralie, qui roule une nouvelle cigarette, ne le voit pas, pour pouvoir contacter le 3eme acteur du week-end.

Une fois plus loin, il prend son téléphone, l'homme est connecté. Il hésite encore. Se rappelle les discussions avec lui, tout ce dont ils ont déjà parlé avec Coralie, inspire et expire un bout coup. Il envoie le message :

«  Nous sommes au point GPS que je t'envoie, je te partage ma position exacte. Si cela t'intéresse toujours, et que tu es disponible, rejoins nous. Le plan est en marche, Coralie ne sait rien. »

Il range son téléphone pour uriner contre un arbre. Une vibration se fait ressentir, Benoit ressort le téléphone après avoir fini : c'est la réponse de l'homme :

« Très bonne nouvelle ! Je serais là dans une heure ! On fait comme prévu ! Merci»


Il inspire et expire à nouveau, il sent son cœur battre plus fort. Il est excité et terriblement stressé. Il a aussi envie que la surprise réussisse. Alors tout va vite dans son cerveau. Il faut que tout se passe comme prévu.

Il retourne donc vers le camion et retrouve Coralie qui lui tend sa cigarette

«  Ça va mon Amour ? »
« Oui et toi? »
«  Oui, ça fait du bien d'avoir un moment à nous en dehors de la maison et de la vie de famille. Tu as prévu quoi ? On va se balader ? »
«  Rien de prévu à part nous, oui on va aller se balader un peu, on fume avant ? »
«  D'accord ! »

C'était la fin de l'après midi, la fraicheur du printemps en forêt n'était pas désagréable. Ils aperçoivent quelques promeneurs passés un peu plus loin, leurs regards se croisent en souriant, comme si c'était excitant de se faire peut-être surprendre plus tard.


Après leur cigarette, Benoit regarda à nouveau son téléphone, le message de l'homme était tombé il y a 15 minutes déjà. Il serait là dans 45 minutes. Benoit sent bien que Coralie commence à avoir envie de bouger, de faire quelque chose. A la fois impatient lui aussi et un peu inquiet, il propose donc d'aller se promener un peu en s'enfonçant dans la forêt.
Coralie se fait une joie de le suivre, ne se doutant pas une seconde qu'une tierce personne allait arriver.

Benoit ferme le camion, en prenant soin d'attraper 2 ou 3 petits choses discrètement dont il aurait besoin plus tard, sans que Coralie ne le voit, il les glisse dans sa poche.

Pour rendre les minutes moins longues, ils avancent lentement, Benoit essayant de faire la conversation sur d'autres sujets que le sexe. S'arrêtant quelques minutes ici et là pour écouter, observer la nature, ou pour s'offrir un baiser. Plus les minutes passent, plus les baisers deviennent sensuels.

Benoit commence à sentir l'excitation de Coralie, et voit que les yeux de sa femme cherchent à droite à gauche un coin possible pour être à la fois cachés et visibles et à minima confortables.

« Regarde Benoit ! Il est pas beau ce gros arbre ? Le sol est bien plat tout autour et cette petite souche est sympa non ? » lui dit-elle
« Oh oui, ça peut être sympathique par là dis dont, viens on va voir ça de plus prêt »


Benoit sert un peu plus fort la main de Coralie et l'emmène vers l'arbre en question. Une fois prêt du tronc, il tire la main de Coralie pour la mettre sur son épaule, il met ses mains sur les hanches de sa femme, et l'embrasse avec amour. Coralie ressent un frisson de plaisir émanant de ce baiser.

Puis ils jettent tous les deux un coup d’œil autour d'eux, afin de s'assurer d'être seuls. Et quand leurs yeux se croisent à nouveau, la coquinerie brille dans leur regard.

Benoit plaque Coralie contre l'arbre, et commence à l'embrasser en posant une main sur son sein, de l'autre main il caresse son épaule dénudée.

Coralie se laisse complètement faire et libère ses émotions, elle veut vivre cet instant qu'elle attendait depuis des semaines à 100%.


Benoit commence à avoir une érection, serré dans son jean. Il se colle à Coralie pour qu'elle le ressente. Immédiatement, les mains de sa femme viennent toucher à travers le tissu épais le membre dur et coincé à l'intérieur. Un dernier coup d'oeil autour d'eux et Benoit libère un sein de Coralie par dessus sa robe. Le souffle de Coralie s'accélère, elle sourit et profite. Benoit vient lécher son téton et de sa main droite, il glisse une main sous la robe. Ses doigts se mettent à caresser l'extérieur de la vulve de Coralie, déjà humide et excitée à l'air libre.

Benoit sent alors son portable vibrer dans sa poche, il ne peut pas regarder, mais il se dit que c'est son contact qui doit être arrivé. Ou alors qu'il a annulé ? Il doute soudain et se demande s'il ne devrait pas vraiment regarder le message. Finalement, il décide de ne pas regarder tout de suite. Si l'Homme est là, tout se passera comme prévu pour Benoit, s'il n'est pas là, alors ils feront tout de même l'amour comme Coralie le prévoit.


Benoit va donc fouiller dans sa poche, Coralie se demande ce qu'il cherche. Benoit en sort un masque de nuit noire, celui dont il se sert pour lui bander les yeux. Coralie rit.

« Tu vas me bander les yeux ? »
« ça te dérange mon Amour ? »
«  Non Maitre ! Mais il faudra que tu surveilles les environs seul »

lui dit elle, prête à tout pour faire plaisir à son homme et prendre du plaisir.

Benoit lui bande donc les yeux, en la laissant gérer ses cheveux pour qu'elle soit à l'aise. La mise en place de la scène refait battre le cœur de Benoit un peu plus vite, le stress revient, il en débande presque. Il regarde partout à la recherche de son contact. Il en profite même pour sortir son téléphone et vérifier ses messages.

«  Je suis au camion, je vous rejoins dans la forêt, j'attends ton signal pour m'approcher »

Benoit range son téléphone. Coralie sent l'excitation montée dans son corps, dans le noir du bandeau, elle ne sait pas ce qu'il se passe. Son corps se dandine légèrement, comme si l'excitation la tordait déjà du futur plaisir qu'elle va recevoir.

Benoit l'embrasse pour la rassurer, et se rassure à son tour en allant vérifier avec ses doigts que la vulve de sa femme soit toujours humide. Coralie est déjà trempée.

Benoit regarde derrière lui, en direction du camion qu'il ne voit pas de si loin. Il aperçoit une silhouette masculine s'approchant discrètement entre les arbres et les fougères.
Son cœur va t'il tenir, tout bat très fort.

Benoit avait déjà vu le visage de l'homme pendant leurs échanges. Il veut arriver à voir s'il s'agit bien de lui. Il s'évertue à continuer de caresser sa femme contre cet arbre en essayant de capter le regard de la personne approchant. Son cœur bat la chamade.

Benoit voit enfin l'homme. Il lui fait un signe de tête, Benoit lui rend ce signe et lui sourit. L'homme respecte la distance dont ils avaient parlé. Et cette attitude détend Benoit.

Dans la tête de Benoit à ce moment là, le tourbillon d'émotions et de stress se transforme soudain en excitation folle. Une seule chose frappe son esprit : il va vivre son fantasme de candaulisme ! Il va le vivre pleinement ! Depuis toutes ces années où il se croyait fou. Où il gardait cette perversité pour lui. Il a su trouvé la femme dont il rêve et qui l'accepte avec ce fantasme, et qui accepte même de le réaliser.

Cette sensation le détend complètement. Il bande à nouveau dans son jean trop serré.




Benoit reprend donc son activité préférée, caresser sa femme. Il se sent beaucoup plus détendu.
Il lui prend donc un sein dans une main, caresse son clito et ses lèvres de l'autre, et l'embrasse en même temps.

L'homme profite de ce qu'il voit, à une dizaine de mètres. Il voit que Coralie a les yeux bandés, comme prévu. Il regarde à son tour autour de lui si personne ne voit toute cette scène, et quand il s'aperçoit qu'ils sont bien seuls, il sent alors que son sexe commence à se durcir dans son pantalon.

Coralie émet de petits gémissements dans son souffle accéléré. Benoit fait glisser un doigt à l'entrée de son vagin et se rend compte qu'elle dégouline de mouille. Il l'insère alors gentiment. Faisant quelques allers retours délicats pour bien sentir la mouille de sa femme lui couler le long du doigt.

Pendant quelques secondes, Benoit oublie même que l'homme les regarde. Il sent le corps de Coralie se cambrer, ses jambes frémirent. Il sait que Coralie peut faire un malaise vagal lors de ses orgasmes alors il ne veut pas aller trop vite.

Il se rappelle que l'homme les regarde. Il se retourne vers lui, et lui fait signe de se rapprocher discrètement en lui faisant signe de faire silence, doigt sur la bouche.

L'homme qui commençait à toucher son sexe par dessus son pantalon lui sourit, et se rapproche sans bruit.

Benoit en profite pour insérer un deuxième doigt, et Coralie se redresse contre l'arbre, comme soulevée par la sensation. Il lui demande :

« Ça va Amour ? »
« Oh oui, continue, c'est bon, mais retiens moi si je jouis »
« D'accord, ne t'inquiète pas. Je te demande de ne jamais enlever ton bandeau »

Coralie ne répond pas. Mais elle comprend qu'il se passe quelque chose pour que Benoit ait besoin de préciser. Elle pense au fait que quelqu'un d'autre est là. Et qu'elle ne le voit pas. Cela l'excite encore plus. Elle lui dit :

« Si tu ne veux pas je jouisse, arrête toi ! »

Benoit accélère alors la cadence de ses doigts, et se met à exercer la pression nécessaire au niveau du Point G de Coralie.

L'homme est maintenant un mètre derrière Benoit. Il observe la scène et apprécie ce qu'il voit. Il a très envie de participer, mais il attend le signal de Benoit pour ça. Il en profite pour ouvrir sa braguette, et il sort son pénis qui était bien dur.

Coralie se met à gémir un peu plus fort et ses jambes commencent à trembler, avec ses mains elle semble chercher des points d'appui car elle sait que l'orgasme est proche et qu'elle risque de s'évanouir quelques secondes. Benoit rapprocha son corps d'elle pour lui servir d'appui. Coralie se laissa donc aller aux allers retours effrénés de Benoit, et senti son clitoris se gonfler d'eau.
Un jet puissant fît trembler tout le corps de Coralie, le frisson chaud lui passa des pieds à la tête et elle sentie son vagin se contracter fortement. Elle laissa la sensation la faire partir et elle s'évanouit, bien supportée par Benoit qui en a l'habitude.

L'homme, lui, voyait ça pour la première fois. Entre l'envie de venir la retenir de tomber et l'excitation de voir cette femme s'évanouir de plaisir, il avança d'un pas et se retrouva tout prêt de Benoit et Coralie. Benoit le regarda en souriant et profita des quelques secondes où Coralie était inerte pour lui dire

« Bonjour, je te présente ma femme »

Avec un sourire satisfait de pouvoir montrer sa femme jouir, squirt et tomber dans les pommes.

Coralie revient une dizaine de secondes après. Son corps entier se contracte et les spasmes musculaires dans tout le corps la font cambrer au maximum et gémir.

L'homme est très excité, il sait qu'il va pouvoir essayer à son tour. Il regarde Benoit en espérant qu'il lui fasse signe.

Benoit relâche le maintien sur le corps de Coralie qui est revenue, et se retourne vers l'homme. Il lui fait un signe de la main en direction de Coralie, comme un serveur présenterait un bon plat à un client.

L'homme le remercia par un oui de la tête et s'approcha de Coralie, il se mit directement à genoux par terre, son pénis sortant de sa braguette pointait vers le ciel. Il attrapa les hanches de Coralie en remontant sa robe pour laisser visible son clitoris saillant. Il approcha sa bouche et sa langue se mit à lécher cette chatte encore juteuse du squirt précédent.

Coralie sentie que la sensation était différente. L'odeur du parfum de cet homme lui remonta dans les narines. Les mains de l'homme exerçaient une pression différente de celle que Benoit applique d'habitude. Elle avait compris. Pendant quelques secondes, l'homme la lécha, englouti son clitoris et la lécha encore, mais l'excitation de Coralie mis quelques instants à redémarrer en considérant l'information qu'un autre homme la prenait.

Benoit ressenti ça et il lui dit dans le creux de l'oreille :


«  Tout va bien, laisse toi faire »

Coralie répondit :

« Oui , Maitre »

Ce qui excita encore plus l'homme qui aspira son clitoris sous les yeux de Benoit qui recula d'un mètre pour observer la situation.

Coralie commença donc à se laisser aller à nouveau. Elle commença à se dandiner sous les coups de langues et les aspirations de son assaillant, grâce à sa confiance totale en Benoit.

L'homme continua quelques minutes ce régime jus de chatte, qui excita particulièrement Benoit. Son sexe était aussi dur que du béton, et complètement compressé dans son jean serré. La sensation était presque douloureuse, mais finalement pas désagréable. Il caressait son sexe visible par dessus son jean. Il regarda encore une fois autour d'eux, s'assurant qu'ils n'étaient que tous les 3 prêt de cet arbre.

L'homme resta à genoux par terre, et écarta avec ses doigts les grosses lèvres de Coralie. Il avait vu Benoit la faire squirt avec deux doigts. Il s'inséra doucement dans cette chatte humide à souhait, sans aucune difficulté. Coralie gémit. Le fait de ne voir ni son amant, ni son cocu voyeur, l'excitait au plus haut point. Elle essaye d'oublier cette petite voix qui restait en fond à lui dire « est-ce que Benoit le vit bien là ? Ai-je le droit de jouir si je le ressens ? ».

L'homme commença par faire quelques entrées sorties avec ses doigts, en profitant des bruits d'eau que cela faisait, et de son autre main, il se mit à se branler.

En voyant ça, Benoit eu envie d'en faire autant. Il déserra sa ceinture, ouvrit le bouton, descendit sa braguette, et fit jaillir son sexe. Il le pris d'une main ferme et lui assénait les mêmes allers retours que l'homme affligeait à Coralie.


Coralie gémissait de plus en plus fort, se souvenant qu'elle était dans la nature, elle essayait mais difficilement d'étouffer ses cris, les rendant encore plus érotiques.

L'homme ajouta son pouce sur le clitoris de Coralie, et continua ses mouvements. La chaleur de ses doigts dans la fraicheur de la forêt était des plus agréables. Elle sentait qu'elle allait jouir, mais l'homme ne la maintenait pas alors elle lui dit

« Je vais venir »

Comme pour prévenir de sa chute. L'homme regarda Benoit. Benoit comprit qu'il devait venir soutenir Coralie pendant qu'il continuait ce qu'il faisait.

Coralie sentit Benoit prêt d'elle, elle lui arracha un baiser avant de se laisser jouir dans un gémissement qui la cambra. D'une main puissante sur son haut ventre, Benoit la maintenu contre l'arbre. Coralie revint très vite. Essoufflée et tremblante. L'homme n'en revenait pas, pour lui c'était une première de faire tomber dans les pommes une femme de jouissance.

Benoit ne pu s'empêcher, collé à l'oreille de sa femme de lui demander :

« Ça va ? »
« Oui. Quelle surprise Maitre... »

Lui souffla t'elle, encore à bout de souffle.

Benoit embrassa sa femme, comme pour la remercier de ce qu'elle lui offrait. Coralie sentit le sexe de Benoit contre elle, et le prit d'une main pour le branler. L'homme en voulait autant et se releva, pris la main libre de Coralie et la posa sur sur sexe.

Coralie l'attrapa fermement, et branla donc les deux queues au même rythme. Elle compris au toucher que Benoit avait choisi un homme large. Benoit se sentait un peu petit à côté de lui, mais il se souvenait très bien que Coralie aimait sa queue comme jamais.

Les deux hommes bandaient bien dur, et l'invité commença a malaxer le sein toujours à l'air libre de Coralie. De l'autre main, il se mit à l'aise comme Benoit en finissant d'ouvrir sa ceinture et son bouton pour libérer vraiment son sexe.

Coralie qui ne voyait toujours rien derrière son bandeau, cherchait les lèvres de Benoit. Benoit lui mis plutôt 2 doigts dans la bouche, comme pour la préparer à sucer la queue de l'homme qu'elle branlait à sa droite.


Benoit entendit un bruit dans la forêt, son sexe se ramollit immédiatement et il recula pour bien regarder partout que personne n'arrive.

Pendant ce temps, l'homme sorti une capote de sa poche, déchira le papier et l'enfila rapidement, il commença a rapprocher son sexe bien dressé de la chatte de Coralie, toujours debout contre l'arbre. Il frotta son sexe dans l'entrejambe humide qui s'offrait à lui. La chaleur de cette queue contre son clito, glissant le long de ses lèvres fit gémir Coralie.

Après avoir scanner de ses yeux et ne voyant personne, Benoit repris son voyeurisme. Coralie semblait le chercher de ses mains, mais en vain, et ça lui plaisait beaucoup. Il l'entendait gémir des frottements qu'elle recevait. Benoit repris sa queue dans sa main, et lui redonna vigueur en la masturbant à nouveau.

L'homme retourna Coralie et d'un mouvement de la main sur sa nuque, elle se pencha en avant. Les mains contre le tronc, elle tendait son cul et sa chatte. L'homme regarda Benoit, comme pour avoir validation de ce qu'il allait faire, Benoit fit un signe de tête positif, l'air sévère.

L'homme approcha sa queue de la chatte de Coralie, fit d'abord quelques caresses sur l'entrée de ce trou qui n'attendait que ça en tenant sa queue. Puis le sexe bien large commença à entrer gentiment dans la vagin contracté de Coralie.
Coralie se sentait bien remplie et gémit un peu plus fort en se cambrant.
L'homme pris directement un rythme d'à-coups d'abord lent, puis plus rapide, butant bien ses couilles contre le clito de Coralie, allant au plus profond possible.
Coralie se mit à gémir si fort, qu'elle criait.

Benoit, de son côté vivait la scène à 100%. Il était noyé entre une excitation infinie, un plaisir fou de voir sa femme se faire prendre et prendre du plaisir, et quelques doutes qui le submergeaient encore. Était-il jaloux ? Aimait-il ça ? Il se rappela toutes leurs conversations et leurs ébats sexuels effrénés, et finalement, il repris sa branlette de plus belle, en laissant filer toutes les questions qu'il se posait, pour vivre son fantasme. Il voulait la voir jouir, il aimait ça plus que tout.

Coralie était plus longue à venir que d'habitude, dans son cerveau, savoir qu'un autre homme la prenait n'était pas non plus sans laisser de pensées intrusives troubler l'instant. Mais cette queue était très chaleureuse et elle se rappela que l'homme n'était finalement qu'un sextoy vivant. Alors elle laissa elle aussi filer les questions qui l'empêchait de jouir, et se laissa aller à son plaisir.

L'homme lui, n'était pas à sa première expérience de candaulisme. Il adorait ça, et ce couple débutant qui lui offrait ça en pleine nature était pour lui la promesse d'un délicieux moment. Il avait envie de la défoncer. Il pris les hanches de Coralie dans ses mains et devient plus violent dans ses coups de bite. Le bruit de leurs ébats résonnaient dans la nature devenue calme.

Coralie gémit de plus en plus fort, l'une de ses mains se détacha de l'arbre qu'elle tenait et alla sur la cuisse de l'homme comme pour lui demander de ralentir, elle sentait que l'orgasme était proche.
L'homme compris et calma ses allers retours, la laissant tout de même trembler et frémir sur ses jambes.

Benoit se rapprocha et dis à Coralie :

«  Mets toi à genoux par terre »

L'homme se retira et aida Coralie qui ne voyait toujours rien à trouver ses appuis sur ce sol plein de feuilles sèches. Dés qu'elle fut à genoux, il s'inséra, cette fois rapidement, la chatte de Coralie semblait engloutir toute la largeur de la queue et s'élargir avec. Il repris rapidement son rythme effréné, ne souhaitant que la faire jouir.

Benoit continuait de se branler, en se déplaçant légèrement autour d'eux pour trouver l'angle de vue qu'il voulait. Un coup il voulait voir le visage de sa femme, puis il essayait de voir sa chatte se faire défoncer.

Coralie gémissait de nouveau très fort, son souffle était rapide. Elle se cambra en criant et se laissa submerger par l'orgasme qui montait en elle depuis quelques minutes. Elle tombe à nouveau dans les pommes quelques secondes. L'homme se retira, et continua de se branler. Les 2 hommes regardait le corps à genoux, ancré dans la forêt, chatte à l'air, béante, immobile.
Coralie revient à elle quelques secondes plus tard dans un gémissement des plus excitants. Son corps tremblait de la tête aux pieds. Elle ne sentait plus l'homme, ni Benoit, elle se sentit seule quelques instants.

Le soleil commençait à tomber, Benoit pensait retourner au camion pour continuer, mais il avait une autre envie d'abord. Il s'approcha de Coralie, se mit à genoux devant son visage et lui dit :

«  Suce-moi sale chienne »
« Oui Maitre ! »

Et elle obéit, trouvant rapidement la queue de Benoit, elle sortit sa langue pour humidifier son gland, puis engloutit au plus profond sa bite favorite.

L'homme reprit sa place derrière Coralie, et retourna fourrer sa grosse queue dans cette chatte qui en redemandait.

La scène était magnifique, Benoit voyait le cul bien rond et le dos cambré de Coralie se faisant prendre, il ne regardait pas l'homme, il ne regardait que cette partie de sa femme, et se concentrait sur les sensations de la fellation que lui faisait Coralie, au rythme des coups de bite qu'elle se prenait. Ces gémissements étaient étouffés par le sexe dans sa bouche.

L'homme gardait un rythme soutenu mais régulier, Coralie essayait de se concentrer pour ne pas jouir à nouveau trop vite, et donner du plaisir à Benoit aussi. Benoit avait envie de lui parler pour conserver son excitation

«  Alors t'aime ça te faire prendre par une grosse queue hein ? »
« …. mmm... oui j'aime ça » arriva t'elle à dire étouffée.

L'homme trouva ça très excitant, il caressait d'un de ses doigts l'anus de Coralie, sans s'y insérer et la regardait sucer son amoureux pendant qu'il la baisait. Il sentait qu'il allait jouir à son tour. Il n'avait pas envie de s'arrêter, il accéléra donc encore, frappant le fond du vagin de Coralie de manière violente. Et au moment où il sentait sa jouissance venir, il sorti de la chatte de Coralie, enleva rapidement la capote et éjacula dans un grognement grave quelques belles rasades de sperme sur les fesses de Coralie.

Benoit attrapa la tête de Coralie pour s'enfoncer au plus profond de sa gorge en voyant l'homme jouir sur ses fesses. Puis se retira de sa bouche. Il se releva et attrapa le bras de Coralie pour qu'elle se relève.

L'homme commença à ranger son sexe, beaucoup moins impressionnant au repos, et refermer son pantalon. Benoit fit de même et le remercia avec un sourire et un clin d’œil.

L'homme, toujours en silence, caressa une dernière fois le cul de Coralie, robe relevée, jambes encore tremblantes, avec son sperme qui dégoulinait de partout, il se pencha pour poser un baiser sur l'une de ses fesses, et se retourna pour partir.

Benoit débandait gentiment dans son pantalon à nouveau fermé, l'excitation retombait légèrement. Il était heureux, l'homme avait parfaitement respecté les règles qu'il avait imposé pour leur première fois. Il était satisfait d'avoir réaliser son fantasme sans que ça n'aille trop loin ni qu'aucun d'eux ne demande de s'arrêter, le tout en pleine nature. Il s'imaginait presque déjà la prochaine fois.
Il échangea quelques baisers avec Coralie, et une fois l'homme étant à distance, il enleva le bandeau des yeux de Coralie.

La lumière du jour, même tamisée par le soleil couchant et les arbres de la forêt aveugla Coralie, elle chercha rapidement le regard de Benoit, comme pour s'assurer qu'il aille bien. Il lui souriait. Il passait sa main dans ses cheveux, comme fier, comme un merci. Coralie lui rendit son sourire et avait même envie de rire en pensant à cette surprise bien organisée que lui avait préparer Benoit. Ils n'arrivaient pas à parler, elle remonta ses bas qui n'étaient plus tout à fait en place, descendit sa robe, recouvrant ses fesses pleines de sperme et sa chatte dégoulinante, et rangea ses seins qui étaient complètement sortis de son soutien gorge et de sa robe avec tout ces ébats. Elle passa enfin la main dans ses cheveux, pour se recoiffer un peu et elle finit par dire

«  Toi.... comment tu te sens mon Amour? »
«  Et bien.... très bien ! Mais, et toi ? Cela t'a plu ? »
«  En vrai ? Oui, j'ai eu quelques moments de craintes, de questionnement, mais c'était en vrai une très agréable surprise, et j'espère que de ton point de vue à toi aussi tu as aimé et que ça ressemblait à ce que tu imaginais »
«  J'ai aussi eu quelques moments de flou, mais j'ai vraiment beaucoup aimé te voir te faire prendre et te voir jouir là... mmmmm... t'es bonne putain. Merci d'avoir accepté le jeu, je t'aime tellement »
« Oh que je t'aime aussi mon Maitre »

Et ils s'embrassèrent dans la forêt. Ils se proposèrent en même temps une clope, et en la fumant, ils retournèrent vers le camion, gentiment, calmement. Des sourires bêtes sur leurs visages, des images pleins la tête pour Benoit, des sensations plein le corps pour Coralie. Ils échangèrent sur leurs sensations, la beauté de ce qu'il avait vu, le plaisir qu'elle avait ressenti. Aussi sur leurs doutes et les moments de mou. Arrivés au camion, ils se servent une petite bière fraichement sortie du frigo et après une bonne heure de retour à la vie normale, ils ont refait l'amour pendant une bonne partie de la nuit. Benoit s'amusa à la faire squirt intensément, lui caler les jambes partout où c'était possible dans le camion, et la prendre dans tous les sens,en lui murmurant des phrases cochonnes liées à ce qu'ils avaient vécu l'après midi même. Coralie finit la soirée en suçant Benoit qui n'avait toujours pas éjaculer de la journée. Il lui offrit de magnifiques rasades de son jus, dans un râle de jouissance exquis et mérité.

Ils prirent ensuite le temps de manger un bout, de fumer une nouvelle clope, nus enroulés dans une couette.

Ils venaient de réaliser pour la première fois le fantasme de Benoit. Benoit n'en revenait toujours pas, Coralie non plus. Benoit pris même le temps d'envoyer un message à leur sextoy vivant pour le remercier. Il reçu les mêmes remerciements en échange. Tout allait bien, ils s'aimaient. Le sommeil les envahit, épuisés mais heureux.


Fin.