La gourgandine ( 12 ) - histoire érotique

<p>12---- Ma copine s’agenouille devant lui, aspire son gland, passe sa langue sur le méat, essuie la goutte qui perle, absorbe la queue, le suce. Pendant ce temps, d’une main il me caresse le minou, rentre ses doigts dans mon trou, appuie sur mon clito, je remue le bas ventre. De l’autre il lui prend la tête, fait des va et vient dans sa bouche, un soubresaut, un râle, il lui envoie une dernière giclée. Carole déglutie, avale, s’essuie la bouche avec le dos de la main et me dit :
- Tu devrais la mettre en sourdine quand tu jouis, que vont penser mes voisins s’ils sont là !
- Excuse-moi, c’était trop fort, j’ai pas pu !
- Tu sais on entend tout ce qu’y s’passe à côté !
Fred nous écoute, sa queue est retombée, rétrécie, pendouille sur les couilles. Je me lève, lui dis :
- Je vous laisse à vos amours !
- Tu parles, il s’est vidé dans toi, je suis restée sur ma faim.
- Tu viens d’avaler ce qui lui restait dans les couilles !
Elle tend la main, la prend, la redresse, la caresse, elle ne réagit pas. Elle me dit :
- Regarde comment tu me la laisses, elle est toute molle !
- C’est toi qui m’as fait entrer !
- J’avais envie qu’il te baise ! Pas prévu qu’il décharge dans toi !
Il prend la parole, dit à Carole :
- Ta copine est une sacrée bonne baiseuse !
- Elle a joui, pas moi, et maintenant t’es vide ! T’aurais pu tout garder pour moi !
- T’inquiètes, j’vais recharger, y m’reste du temps avant de rentrer chez moi, j’vais t’la r’mettre
Je crois que c’est foutu pour elle, il ne fallait pas qu’elle m’invite à entrer quand j’ai frappé à la porte ! Quand je l’ai vu en string, j’aurais dû me douter que ce n’était pas normal, que je n’avais rien à faire chez elle ! Ca n’a pas fait ‘tilt ‘
C’est fini pour aujourd’hui, je me suis rhabillée, à ma tête on peut voir que je viens de me faire sauter.
- Tu m’files une bière, j’crève de soif !
Je suis arrivée à 3h1/2, il est maintenant 5h, ce que le temps passe vite, faire l’amour c’est vachement prenant, il faut que je rentre. Eux sont toujours à poil, je leur dis au revoir. Je récupère mon sac, elle me reconduit à la porte, je l’embrasse, avant de sortir je lui dis :
- Il en a une petite rudement vigoureuse, je suis sure que tout à l’heure il va te la remettre !
- C’est possible, faut qu’y recharge, je vais m’en occuper !
- Salut, on se téléphone !
Je rentre chez moi, passe la soirée avec mes parents. Le soir, dans mon lit, je repense à l’après midi, j’appelle ma copine. Je lui demande :
- Après que je sois partie, qu’est ce que vous avez fait ?
- On est toujours resté à poil, pris une bière, fait un Scrabble, j’ai gagné !
- C’est tout ? Il est rentré chez lui ou t’a encore sauté?
- Après avoir joué au Scrabble pendant ¼ d’h, on s’est assis au bord du lit, bécotés, j’ai tout fait pour qu’il me la remette. J’ai eu du mal à le faire bander, la queue restait désespérément molle, tu l’as épuisé l’après midi.
- Dis donc, c’est toi qui m’l’a collé entre les cuisses, j’demandais rien !
- Je sais, mais c’est dans toi qu’il s’est vidé.
- Je n’y peux rien !
- Il faut dire qu’il a bandé pendant près d’une heure sans discontinuer, passant de l’une à l’autre. J’ai dû le sucer, le branler, l’astiquer rapide, ça se redressait doucement. Il m’a laissé faire, s’occupait de ma poitrine, moi de sa bite, ça m’excitait, fallait qu’j’y arrive, j’la voulais. Grâce à ce traitement, elle a repris des forces, et quand elle a été assez dure pour me pénétrer, je lui ai enfilé une capote, me suis mise sur le dos, ouvert mes cuisses en grand, écarté mes lèvres, exposé le fond de ma fente, me suis doigtée.
- J’tiens plus, viens m’la rentrer !
Devant un tel spectacle, il m’a sauté dessus, a commencé par me bouffer la chatte, jouer avec mon clito, l’aspirer, tirer sur mes nymphes, rentrer ses doigts, m’a fait dégouliner, une vraie fontaine, j’ai rarement mouillé autant. Puis il me l’a enfilé direct, on a baisé pendant plus d’ ½ h, je ne te dis que ça. On a sorti le grand jeu, toutes les positions y sont passées, missionnaire, grand galop, brouette, levrette, bascule, chevauchée à l’envers, tu te rends compte de tout ce qu’on a fait. Pendant nos ébats, j’ai joui une première fois ! Epuisée, je suis resté sur le ventre, lui sur moi. Puis je me suis retournée, pris sa quequette, j’ai viré la capote devenue trop grande, je l’ai sucé pour le remettre en forme. Dès qu’il a été de nouveau assez raide, je me suis déchaînée jusqu’à ce que je sente ses jets de foutre m’envahir. Il n’avait plus grand chose dans les couilles, mais en sentant son jus se rependre en moi j’ai joui pour la seconde fois, il a dû mettre sa main devant ma bouche pour étouffer mes cris.
- T’avais pris la pilule au moins ?
- Non, pas de risque, je viens d’avoir mes règles !
J’ai eu un orgasme très fort, j’ai eu du mal à refaire surface. On est resté longtemps l’un dans l’autre, soudés, anéantis ! Ensuite on est passé sous la douche, et là, crois-moi, je l’ai astiqué un peu, il me l’a remise debout, par derrière, juste suffisamment raide pour me rentrer le gland, le reste n’a pas tenu. C’est un bon baiseur, il a la santé, il y va, j’ai eu du mal à suivre, il m’a épuisée, anéantie !
- Oui, il baise pas mal. Je me doutais bien qu’il était capable d’encore te l’enfiler ! Bon, tu le revois quand ?
- Je ne sais pas. Tu sais, je ne suis pas amoureuse de lui, ça ne me fait rien de le voir te baiser, à condition de participer ! Je ne suis intéressée que par sa queue, le reste je m’en fous ! Tu peux venir quand il me saute, ça me permet de souffler pendant qu’il s’occupe de ton cul !
- T’as pas revu l’autre ?
- Si, il est revenu, grâce à la chaîne il n’a pas pu entrer. Il s’est excusé de m’avoir enculée, un pari avec un copain, il écoutait derrière la porte, a tout entendu m’a-t-il dit. Il a joué les charmeurs, supplié, m’a promis de me faire l’amour comme la première fois si je le laisse entrer. J’ai tenu bon, je l’ai envoyé se faire foutre ! Ce salaud m’avait fait trop mal au cul ! Si t’as rien prévu, passe me chercher dimanche, j’ai envie qu’on se fasse un cinoche !
- Tu as demandé à Fred de nous accompagner ?
- Il m’a répondu : je préfère le lundi, y a personne, on est plus tranquille !
- Donc on ira sans lui. Ok, bonne nuit, reposes-toi bien.
- Je te rappelle pour te dire !.

À suivre

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