La gourgandine ( 4 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La gourgandine ( 4 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La gourgandine ( 4 )
4----- Un samedi après midi, ma copine vient me voir. Elle me raconte ce qui vient de lui arriver.
- J’ai viré le mec qui vient me sauter sans autre but que de tirer son coup. La dernière fois qu’il est venu chez moi, ça c’est mal passé. En entrant il m’attrape un bras, me retourne, me déséquilibre, je me retrouve à genoux. Il me pousse en avant, m’appuie sur le dos, me fout à plat ventre sur le sol, juste derrière la porte. Il relève ma jupe, écarte ma culotte, se place entre mes jambes, m’ouvre les fesses, place sa bite sur ma rosette, je crie
- Non non, pas ça !
Il m’encule direct à sec, s’acharne dans mes entrailles pendant une dizaine de minutes. Il met sa main sur ma bouche pour étouffer mes cris, je frappe le sol, tente de me dégager, rien y fait, je subits ses assauts, il m’écrase sous son poids. Il s’est enfoncé jusqu’aux couilles, se bloque, râle, donne plusieurs secousses, décharge dans mes boyaux. Il reste affalé sur moi, sa queue quitte lentement mon cul, le voilà dehors. Il se relève, va dans la salle de bain, j’entends l’eau couler, il doit se laver la queue. Je reste là, sur le sol, jambes écartées, jupe remontée sur le dos, cul à l’air, je n’ai pas la force de me mettre debout, j’ai le trou du cul en fleur, pleure. Il revient dans l’entrée en remontant son jean, me dit :
- Salope, ça fait longtemps que j’ai envie de t’enculer !
- Fous le camp d’ici, j’veux plus te revoir !
Je commence à me relever péniblement, je suis à genoux, il me repousse avec le pied, me fait basculer sur le côté, je me retrouve sur le sol, jambes recroquevillées. Il est debout derrière moi, me dit,
- T’as le cul dégueulasse !
- Salaud, barre toi !
J’essaie à nouveau de me relever, il me regarde, n’insiste pas, ouvre la porte, sort, la claque derrière lui. J’ai du mal à réagir, me relève avec beaucoup de difficultés, vais dans la salle de bain en titubant, prends une douche, j’en ai besoin. J’ai la rondelle irritée, ça me fait mal. Je ne peux pas porter plainte pour viol, ce mec vient me baiser régulièrement 2 à 3 fois par semaine, je ne connais pas son patronyme et ne sais même pas où il habite.
Ce n’est pas la première fois qu’il se comporte de la sorte. Jusque là il ne m’a jamais enculé. La fois d’avant, comme il bande toujours quand il arrive, il sort sa queue dès qu’il a franchi la porte. Il baisse mon jean, me plaque nez contre la porte, m’écarte la culotte et me l’ enfile debout par derrière. C’est la première fois qu’il me la rentre sans capote. Je n’ai pas le temps de mouiller qu’il a déjà terminé sa petite affaire et est reparti, me laissant pleine de son foutre, ça me coule le long des cuisses. Je prends la pilule, mais cette baise sans capote me rend anxieuse, je ne sais pas dans quoi il fourre sa queue les jours où il ne vient pas me sauter. D’habitude, quand il vient, le fait de sentir sa queue au bord de mon trou me fait mouiller. Mais ces derniers temps je n’y parviens plus, il me baise à sec, je me rends compte que sa pine ne m’attire plus, que l’individu me dégoutte, j’aimerais connaître autre chose ! Un mec qui ne me prend pas simplement pour un vide-couilles comme le fait cet enfoiré. En m’enculant à sec il a dépassé les bornes !
Sa voix n’a pas les mêmes intonations que d’habitude, elle est pleine de sanglots. Je lui dis :
- J’espère que t’as compris. J’ai pas apprécié ses façons quand il nous a baisé toutes les deux.
- Je vais demander à ton père de m’installer une chaîne de sûreté.
- J’sais pas s’il va vouloir !
En partant, elle passe dire dit bonjour à mon père qui est au comptoir, lui demande une bière. Il y a quelques clients dans la salle et pendant quelle sirote sa bière, lui demande discrètement :
- J’ai un service à vous demander.
- Vas-y, je t’écoute !
- Pouvez vous installer une chaîne de sécurité sur ma porte ?
- Qu’est ce qui t’arrive, t’as des ennuis ?
- Oui, un mec m’importune !
- Bon, mercredi c’est mon jour de fermeture, ça te va ?
- Vous êtes un amour !
- T’emballes pas, j’accepte mais tu ne me fais pas le même coup que lorsque j’ai débouché ton évier. Je serais chez toi vers 3h, ok !
- Merci, j’avais peur de vous demander
- T’as acheté s’qu’y m’faut au moins ?
- Oui, le kit est complet, y a qu’à poser !.
Je finis ma bière, il ne veut pas que je paie ma consommation. Le mercredi, comme promis, il se rend chez moi. J’ai pris mon après midi. Je suis en jupe et corsage léger transparent, joli soutif rose avec dentelle autour des balconnets, mini culotte assortie. Il frappe à la porte, je n’ouvre pas, demande.
- C’est qui ?
- Le serrurier !
- Entrez ! Mettez-vous à l’aise !
Il dépose sa mallette, je prends sa veste, la met au porte- manteau derrière la porte.
- Venez, asseyez-vous !
Je lui offre une bière, en prends une pour moi. En buvant sa bière, il doit repenser au débouchage de l’évier d’il y a presque 3 ans car il me dit :
- Aujourd’hui tu déconnes pas ! J’pose la chaîne et je m’en vais aussitôt qu’c’est fini !
- J’vous plais pas ?
- Si, bien sûr. Aller, au boulot faut pas que j’m’attarde !
Il se lève, je lui donne le kit, il prend sa mallette, la met à côté de la porte, prend ses outils, se met au boulot. Il doit percer la porte, il y a 2 boulons à mettre et 4 vis. Heureusement qu’il a pris une perceuse sans fil. Je le regarde travailler, ouvre la porte de la salle de bains. Il tourne la tête
- Tu vas pas ressortir à poil ?
- Mais non, j’ai juste envie d’aller aux toilettes !
Je ferme la porte, pisse, me fais une toilette intime, revient dans la pièce. Il me regarde, paraît soulagé de voir que je n’ai rien changé à ma tenue. En moins d’un quart d’heure, la chaîne est installée. Ca paraît solide, mais ça doit pas résister à un bon coup de pied, on voit ça au cinéma ! Pourtant j’ai acheté le modèle ‘’haute sécurité’’. Mais enfin, ça me rassure. Il me dit :
- Voilà, c’est terminé, ça te va ?
- Oui, bien sur, je suis plus tranquille.
Il revient s’asseoir.
- Ouf ! Cinq minutes de pose !
- Vous reprendrez bien une bière ?
- C’est pas de refus ! Il fait chaud !
Je lui en sers une, en prends une autre pour moi, m’installe face à lui de l’autre côté de la table. Sa présence me trouble, il se passe quelque chose en moi, ça me chatouille en bas du ventre, je sens que j’ai envie de lui. Je crois que je vais faire une grosse connerie, mais c’est plus fort que moi.

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