La. Grande

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La. Grande Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La. Grande
Mon souvenir est qu’elle était grande. Une grande fille solide sportive, pas lourde mais presque quand même. En tous cas souple et musculeuse.
Je l’avais à peine connue.
Une soirée étudiante chez une copine, du punch des tapas des rocks, une boum, quoi. Discussions jusqu’en fin de nuit noyées des ambiguïtés de l’alcool et des cigarettes.
Elle portait, c’était l’été, une robe longue légère de cotonnade genre Laura Ashley et pas grand chose en dessous. En tous cas pas de soutif ni de brassière. J’avais exploré de mes mains caressantes en slow langoureux son grand dos.
Elle n’avait, il est vrai, pas besoin de grand chose vu la modestie de sa poitrine, poitrine de sportive aux petits renflés bien durs avec pointus saillants mais du genre minuscule, du genre de gamine prépubère.

Enfin, je me souvenais surtout de ce grand corps dans mes bras qui dansait le rock avec énergie et était bien plaisant à mener en rythme et en inerties, en force et en élans.

Nous n’avons pas fini la soirée ensemble car je bossais et il m’avait fallu la quitter pour aller direct matin à l’usine au boulot.

On s’était néanmoins retrouvés chez moi le soir même dans mon lit étroit de célibataire aussitôt après un souper rapide au resto populaire Petit Mickey qui était alors ma cantine habituelle.

Elle avait fait bonne impression à la grande table d’hôtes au milieu de mes copains, voisins collègues, table où j’avais ma place attitrée.
L’un d’entre eux avait même osé une boutade observant qu’elle était aussi grande que moi. Du genre, gentil néanmoins, au moins celle-là tu pourras la biser en la baisant…
Et il avait ajouté, alors que tous s’esclafaient, c’est pas comme l’autre petite que t’avais avant avec ses gros nibars et les yeux qui s’égaraient l’un sans l’autre.
Et il rigolait à la tablée, la fille toujours l’avait un œil braqué sur ta braguette et l’autre qui te souriait engageant.
On se doutait que tu pourrais pas la garder longtemps.
Cette bigleuse des deux yeux était aussi bigleuse de son cœur d’artichaut et cherchait ardemment les gars dans diverses directions, tous azimuts. Et avec bon succès vu les bonnets D+ qu’elle arborait par devant sans soutif aucun, elle non plus. On voyait que ce gars avait l’œil.

Bon, la grande fille dans mon petit lit m’a fait comprendre que je devais rapidement faire investissement en queen size et peut être même pire en king.
Elle m’a dit, vois je ne peux même pas te faire fellation.
Et moi, innocent, je m’interrogeais sur le sens exact de ce mot…Elle me dit, fellation, c’est espagnol ou catalan, comme dans provocacion approbacion duracion insinuation oscilacion sublimacion fornicacion ejaculacion fecundacion termizacion.
En français dans le texte, sucer jusqu’à temps que le bon jus gicle et puis avaler à fond.

Je me suis alors promis dés le lundi suivant d’aller à Roche Bobois chez mon copain Venture commander une piste adaptée à cette fille de grande taille qui pratiquait des trucs que je ne savais pas encore mais qui me semblaient intéressants à connaître, pour le moins. Bien qu’un peu exotiques. Un peu catalans, comme les glaces de Palavas, l’été au bord du canal.

Mais dans le petit lit avec un seul oreiller, mon lit de célibataire endurci, elle a su prendre posicion favorable à profonde pénétracion. Chez nous on dit cuillers. Et ce fut bon. Mais en langue espagnole je ne sais l’exacte significacion…
Toujours est-il que celle-là non plus je n’ai pas su la garder et qu’elle était partie avant que le grand lit n’ait été livré.


Plus tard, bien plus tard dans ma vie, je l’ai retrouvée.
Vue sa grande taille, sa très grande taille, elle n’avait pas trouvé preneur et restait dispo sur le marché. Et en sus elle n’était pas du tout péremptée. Vraiment pas.

Je l’ai aussitôt remise dans mon lit pour lui montrer que j’avais suivi ses prescripcions et qu’elle aurait chez moi dorénavant ses aises en totale extencion … dans mon king size bed.
Elle était contente et moi je bandais.

Elle aimait pour baiser poser ses chevilles sur les épaules du gars. Elle disait, moi j’aime quand le gland du mec me rape le col. Et puis aussi la gicle sur mon tréfond haut et chaud. Une fois deux fois plein de fois. Qui badigeonne à fond.
C’était toujours une fille sportive et endurante. Elle n’avait pas changé.

C’était la vraie Camargue, rien ici, non rien n’a changé, comme chantait Johnny dans le film d’où viens-tu Johnny?
A cheval. Blancs les chevaux qui galopent la prairie et les ridelles.

C’étaient mes jeunes années.

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Texte coquin : La. Grande
Histoire sexe : Une rose rouge
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