LA GRANDE ALLÉE
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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LA GRANDE ALLÉE
Chaleur lourde, nuages menaçants, la sueur me coule au creux des reins. La campagne
est blonde de blés murs, tâchée du vert de taillis touffus. Voila bien une demi-heure
que je marche le long de la route qui, maintenant, borde la forêt, à l'abri des hautes
haies de la piste cyclable. La température plus fraîche à l'ombre des arbres et ce
lumineux temps d'orage me conviennent. Seule ombre au tableau, un slip synthétique qui
créée une désagréable sensation d'échauffement et une excessive sudation de mon bas
ventre et de mes fesses. Je pénètre un instant dans le taillis pour l'enlever et,
après avoir laissé le temps à ma peau de se refroidir et de sécher nue, je repars
uniquement vêtu de mon short en coton à même la peau et de ma courte chemisette
ouverte. Le doux frottement du tissu sur mes principales zones érogènes me provoque un
sentiment d'euphorie fort agréable. J'avance ainsi, heureux de vivre. Au bout de
quelques centaines de mètres, je m’arrête à nouveau pour enlever ma ceinture, seul
accessoire qui obère encore en partie cette sensation de liberté. Me voici affranchi
de presque toute contrainte, même si je rêve encore de « rando-nue ». Mon short n'est
plus retenu que par mes formes et la légère humidité de ma peau.
La haie s’interrompt pour laisser place à deux courts parkings ou trônent quelques
voitures récentes. A l'aplomb de ceux-ci, une large allée coupe la route et traverse
la forêt. Je suis intrigué par la présence de plusieurs véhicules qui y sont engagées
sur ma droite. Un jeune homme, qui se reboutonne, enjambe son scooter et s'en va. Un
quarantenaire, en chemise à carreaux, remonte l'allée d'un pas alerte. Il n'y a que
des hommes, dont certains en conversation devant les portières des voitures. J'ai
l'impression d'être au cœur d'un lieu de rendez-vous gay.
Au loin, un champ de blé fauché fait contraste avec la sombre voûte végétale. Je
traverse la route pour emprunter l'autre tronçon du chemin. La forêt y est dense et
j'ai plaisir à ressentir la fraîcheur des frondaisons. Je marche un court instant et
suis soudain arrêté par la sensation que l'on me suit. Je me retourne. Le
quadragénaire est là, à quelques dizaines de mètres. Intrigué, je l'attends. Il me
contemple longuement de loin mais n'ose approcher. J'écarte les pans de ma chemisette
pour mettre en valeur mon ventre et ma poitrine. Mais il ne me regarde déjà plus et a
fait demi tour. Regrets ! Il avait l'air plutôt bien fait et prêt pour l'aventure. Il
y a longtemps que je rêve d'une relation sexuelle masculine. Ce sera pour une autre
fois !
Pendant plus de deux heures, je marche rapidement dans la forêt, l'esprit en grand
désordre. Je rêve de continuer ma balade nu, mais, dans un premier temps, je n'ose. Je
ne cesse de me déboutonner. Mon sac à dos retient mon short dont la braguette est
largement ouverte et dévoile en partie mon sexe en continuité avec la chemise
entrebâillée. Je rêve d'être surpris ainsi et en ai peur à la fois . Je m'arrête,
hésite longuement, finis par me dénuder totalement et continue ainsi mon chemin. Je me
félicite d'avoir récemment tondu mes pilosités car cela me rend plus présentable. Je
me cache au moindre bruit sans jamais rencontrer personne. J'ai terriblement envie, et
aussi très peur, d'être vu ainsi insolemment dévêtu , seulement porteur d'un sac à dos
et de mes chaussures de randonnée. La forêt est accueillante et son ombre atténue la
sensation étouffante du temps orageux . Elle me donne aussi une impression d'isolement
et de sécurité. Je suis terriblement excité de m'exhiber ainsi. Par instants, mon sexe
s'érige...
Au détour du chemin, trois cèpes blonds attirent mon regard. Je me penche, les
ausculte et les cueille. Alors que je suis ainsi penché, un bruit violent de feuilles
sèches écrasées retentit à mon oreille. Je me relève, angoissé d'être surpris ainsi,
totalement nu, exposé à qui veut me voir. Je me retrouve étonnamment face à face avec
deux jeunes biches encore plus affolées que moi. Je le vois dans leur attitude autant
que dans leur regard, tant elles sont proches. L'une m'évite par la droite et
s'éloigne rapidement avec élégance. L'autre fait un écart de deux bonds à gauche et me
contemple à demi cachée derrière un taillis. J'apprécie cet instant magique. Un peu
d’inattention et elle disparaît sans bruit. Je repars le cœur battant et marche un
long moment sans plus penser à ma tenue indécente. Pas un humain à l'horizon. Pendant
plus d'une heure, je chemine en paix l'oreille attentive au moindre bruit.
Lorsque je perçois le raffut d'une route fréquentée, je me rhabille rapidement. J'ai
longuement tourné en rond et me retrouve, à ma grande surprise, à l'immédiate
proximité de l'allée si active ce matin. Il est plus de deux heures de l’après midi et
celle-ci est vide. Curieux, je m'y engage et marche quelques pas. Je suis à peine à
couvert qu'une grosse limousine sombre se présente derrière moi. Elle avance à ma
vitesse. Son conducteur doit me contempler. Je m’arrête et il fait de même. Mon cœur
bat la chamade et je repars. Il me suit toujours. Après quelques centaines de mètres,
je sors du couvert et me retrouve en plein soleil, au bord d'un champ fraîchement
moissonné. La voiture s'arrête en lisière. J'avance à petits pas jusqu'à un bosquet et
me retourne. Elle redémarre et s'approche à deux mètres de moi, puis se gare le long
du taillis. Je fais demi tour au moment ou son conducteur en descend.
C'est un septuagénaire svelte et très bien habillé et de taille moyenne.. Il est armé
d'une canne orthopédique sur laquelle il est en léger appui. Je m’arrête devant lui
pour le dévisager . Son regard me déshabille avec gourmandise. Je me sens encore plus
nu que dans mon expérience précédente. Du bout de sa canne, il écarte les pans de ma
chemise pour mieux me contempler, puis me fait signe de me déshabiller. J'hésite car
nous sommes visibles de loin à cet endroit, à quelques centaines de mètres d'un hameau
qui borde une rivière. L'angoisse monte, mais la canne s'impatiente et tapote mon
short en de petits gestes saccadés. Le visage de son propriétaire s'est fait hostile.
Je pose mon sac près de moi et retire doucement ma chemise. Ses traits se détendent à
nouveau et il ébauche un sourire pervers. Je détache la ceinture de mon short et
dégrafe, un à un, les boutons de ma braguette. J'aime son regard torve et son
attention soutenue à mes gestes. Je laisse le short glisser le long de mes jambes. Ses
yeux sont aimantés par mon bas ventre. Je me sens bien, ainsi exhibé. Je lis un
violent désir dans le regard noir de mon interlocuteur. J'ai un moment de panique
lorsque je vois au loin un petit utilitaire blanc arriver vers nous. Je saisis mon
short pour le remonter, mais la canne bloque mon effort en appuyant fortement sur lui.
Je reste ainsi, grotesque alors qu'un agriculteur mal rasé me contemple depuis son
véhicule, à quelques pas de nous. Après tout, J'aime assez l'idée qu'un voyeur me
regarde faire l'amour. Vive l'exhib ! Je dégage mes pieds du short et m'approche du
septuagénaire habillé de mes seules chaussures.
Il me repousse de sa canne et commence à caresser mon corps avec l'embout de celle ci.
Je me sens désappointé d'être ainsi traité. Puis je m'habitue à l'idée qu'il ne me
considère que comme un objet sexuel. A cet instant, c'est bien tout ce que je suis
dans ma tête. Il excite mes tétons, fait se dresser mon sexe. J'ai plaisir à le
satisfaire en m'exposant ainsi impudique. Il m'incite à écarter mes jambes en
tâtonnant l'intérieur de mes cuisses. Je finis par ressentir le caoutchouc de sa canne
comme s'il s'agissait du bout de son doigt et en suis très excité. Je rougis de mon
audace et jette un regard circulaire autour de moi. Le paysan est descendu de voiture
et, le pantalon sur les chevilles, se branle en me contemplant. Je suis étonné que mon
anatomie replète et sans grâce intéresse tant ces deux hommes. L'homme à la béquille
me fait signe de poser mes mains sur le capot de la voiture et je me retrouve ainsi
plié en deux, les fesses en l'air. La canne m'oblige à écarter les jambes jusqu'à
l'impossible. Voila une pose obscène qui semble réjouir l'agriculteur qui accélère le
mouvement tout en poussant des grognements rauques. Je reste ainsi, exhibé, grotesque.
Je m'entends dire : « Encule moi, s'il te plaît ! » d'une voix implorante. Le
septuagénaire s'approche de mon dos et me touche enfin de ses mains. Plaisir décuplé !
Il commence à me caresser les fesses avec enthousiasme. « C'est ma première fois »
ajouté-je, au milieu d'un hoquet de plaisir. Je sens son geste s'adoucir.
Il enlève sa main pendant de longs instants. Je reste figé, terriblement tendu par
l'attente de ce qui va suivre. Il la repose délicatement sur ma rondelle. Un doigt,
couvert d'un gel frais, franchit avec douceur mon sphincter et s’enfonce jusqu'à la
garde. Puis il commence un puissant mouvement de va et vient. Je me sens habité à
l'instar d'une marionnette. Je suis sa chose, son objet de désir, autant qu'un pantin
qu'il manipule à sa guise. Le plaisir monte en moi et ma queue ne cesse de durcir. Mes
bras fléchissent, mes reins se creusent et mon cul écartelé s'expose sans pudeur. Un
deuxième doigt a rejoint le premier. J'aime cette sensation d'être dilaté à l’extrême.
Retentit un bruissement d'herbe et je jette un œil de côté. L'agriculteur a ralenti
son geste. Ses yeux sont prêts à lui sortir des orbites. Je regarde avec anxiété vers
le bout du chemin ou il me semble que l'on s'agite. C'est vrai, mais personne ne
s'approche. J'ai terriblement envie de son sexe. En un instant il m'exauce. Les doigts
quittent mon cul et la queue de leur propriétaire me pénètre. Il me défonce avec
beaucoup de conviction en de grands gestes doux et profonds. Je chancelle et mes
jambes ont du mal à me porter. Le temps passe et je ne m'appartiens plus. La tête me
tourne. J'ai le feu à mes zones érogènes. J'entends grogner dans mon dos et le
mouvement s’accélère puis s'arrête brutalement dans un cri. Je sens son foutre chaud
se répandre dans mes intestins. Il reste ainsi immobile quelques secondes et se
retire. Je suis là, inerte, pantelant, mais toujours terriblement excité. Mon bassin
se tord en des gestes obscènes comme pour en réclamer plus...
Je n'ai pas à attendre bien longtemps. Des mains calleuses (l'agriculteur !) se posent
sur mes hanches nues et je tressaute de plaisir. Une longue queue fine caresse mon
entrejambe puis la raie de mes fesses. Elle s'engage doucement dans ma rondelle encore
béante et pénètre mon cul. Paradoxalement, ce nouvel amant plus rude est plus attentif
à mon désir. Pendant qu'il m'encule en de larges mouvements du bassin, il saisit mon
sexe qu'il branle avec douceur. Long moment de va et vient ou le plaisir monte ! Je
sens ses bourses qui frappent mon entrejambe en cadence. J'ai le cul et le bas ventre
en feu. Un filet de salive s'échappe de ma bouche grande ouverte et décrit une
arabesque sur le sol sablonneux. Au comble de l’excitation, je répands ma semence
dans l'herbe en hurlant, pendant que mon amant s'accroche désespérément à mon bassin.
Son phallus tressaute violemment en livrant son foutre. Nous restons ainsi, l'un dans
l'autre, vaincus et ivres de plaisir, les yeux fermés. Lorsqu'il se retire, le main
douce du septuagénaire nettoie à la lingette sur mon corps les stigmates des deux
assauts. Il l'introduit à l'entrée de mon cul et parachève ma toilette intime en me
tirant, à nouveau, un cri de plaisir.
Lorsque j'ouvre les yeux, je me rends compte que plusieurs voitures sont venues nous
rejoindre. Les conducteurs sont majoritairement restés à leur volant pour profiter de
la scène. Deux ou trois se sont avancés à pied. Je recule, un peu effrayé. Mon mentor
en amour anal m'intercepte puis me précise « Ils ont tous apprécié ton tempérament de
bonne petite pute endurante et bien salope. A chaque fois que tu reviendras ici, tu
trouveras au moins l'un d'entre nous pour te défoncer la rondelle. Il te suffira pour
cela de te montrer disponible en dévoilant, selon la saison, le plus possible de peau.
Si tu acceptes d'être montée par n'importe lequel d'entre nous, tu te présenteras
complètement nue dés le bord de la route. Chacun comprendra que tu es prête aux
derniers outrages. Mais avant de partir, mets toi à genoux et montre nous que tu sais
joliment sucer une bite, comme une bonne grosse pédale que tu es devenue. » Le rouge
me monte violemment aux joues et je ne sais que faire devant l'insulte. D'autant plus
que ces mots m'excitent et que toute mon attitude le prouve. Toujours totalement nu,
je sens l'exigence des nombreux regards vrillés sur mon anatomie et crains des
réactions violentes ou humiliantes. Je me résous à m'agenouiller devant lui et pose ma
bouche sur son sexe trapu encore érigé. Il prend ma tète entre ses deux mains et
enfonce son vit dans l'orifice offert. Il m'oblige à une longue fellation qui excite
visiblement mes sens. Je m'échine à rendre le contact le plus doux possible. Des flots
de salive coulent de ma bouche. Mon amant accélère le mouvement et psalmodie de petits
cris aigus. Après un spasme, il débande lentement sans éjaculer. Lorsqu'il sort de
moi, je m'effondre devant lui, les mains posées au sol.
Dès que mes idées redeviennent claires, je me rends compte que suis entouré d'un
brouhaha de voix diverses. Je me décide à quitter les lieux de peur d'être agressé par
nombre de présents. Les nouveaux arrivants ont déplacé mes affaires à l'orée du bois.
Ils sont maintenant tous descendus de voiture et je suis étonné par la diversité des
âges et des statures. Lorsque je me lève pour aller me rhabiller, mon corps nu doit
passer au milieu d'eux. Une forêt de mains se pose sur moi et m'accompagne jusque là.
Douces ou rudes, elles s'intéressent aux zones les plus sensibles et ralentissent ma
progression. Je vous avoue que l'expérience me met en transes. Susciter le désir d'un
troupeau de cette taille est un privilège. Le danger que cela représente suscite une
angoisse inoubliable. Peur et volupté ! Je m'habille difficilement, toujours entravé
par leurs caresses habiles, et m'éloigne sous les bravos et autres commentaires
graveleux. Alors que je m'éloigne, je les vois en partie dénudés, qui se caressent par
deux ou par trois. La lourde voiture de mon initiateur quitte la scène et me suit un
moment au ralenti. Il klaxonne, me salue de la main d'un geste obscène et s'éloigne
sur la route. Je marche lentement. J'ai l'impression d'avoir encore le cul dilaté par
les assauts passés et tout mon épiderme est en feu. Je reviendrai vivre de ces moments
intenses qui valent bien l'amour hétérosexuel. La grande allée est vraiment le lieu de
mes nouveaux désirs.
est blonde de blés murs, tâchée du vert de taillis touffus. Voila bien une demi-heure
que je marche le long de la route qui, maintenant, borde la forêt, à l'abri des hautes
haies de la piste cyclable. La température plus fraîche à l'ombre des arbres et ce
lumineux temps d'orage me conviennent. Seule ombre au tableau, un slip synthétique qui
créée une désagréable sensation d'échauffement et une excessive sudation de mon bas
ventre et de mes fesses. Je pénètre un instant dans le taillis pour l'enlever et,
après avoir laissé le temps à ma peau de se refroidir et de sécher nue, je repars
uniquement vêtu de mon short en coton à même la peau et de ma courte chemisette
ouverte. Le doux frottement du tissu sur mes principales zones érogènes me provoque un
sentiment d'euphorie fort agréable. J'avance ainsi, heureux de vivre. Au bout de
quelques centaines de mètres, je m’arrête à nouveau pour enlever ma ceinture, seul
accessoire qui obère encore en partie cette sensation de liberté. Me voici affranchi
de presque toute contrainte, même si je rêve encore de « rando-nue ». Mon short n'est
plus retenu que par mes formes et la légère humidité de ma peau.
La haie s’interrompt pour laisser place à deux courts parkings ou trônent quelques
voitures récentes. A l'aplomb de ceux-ci, une large allée coupe la route et traverse
la forêt. Je suis intrigué par la présence de plusieurs véhicules qui y sont engagées
sur ma droite. Un jeune homme, qui se reboutonne, enjambe son scooter et s'en va. Un
quarantenaire, en chemise à carreaux, remonte l'allée d'un pas alerte. Il n'y a que
des hommes, dont certains en conversation devant les portières des voitures. J'ai
l'impression d'être au cœur d'un lieu de rendez-vous gay.
Au loin, un champ de blé fauché fait contraste avec la sombre voûte végétale. Je
traverse la route pour emprunter l'autre tronçon du chemin. La forêt y est dense et
j'ai plaisir à ressentir la fraîcheur des frondaisons. Je marche un court instant et
suis soudain arrêté par la sensation que l'on me suit. Je me retourne. Le
quadragénaire est là, à quelques dizaines de mètres. Intrigué, je l'attends. Il me
contemple longuement de loin mais n'ose approcher. J'écarte les pans de ma chemisette
pour mettre en valeur mon ventre et ma poitrine. Mais il ne me regarde déjà plus et a
fait demi tour. Regrets ! Il avait l'air plutôt bien fait et prêt pour l'aventure. Il
y a longtemps que je rêve d'une relation sexuelle masculine. Ce sera pour une autre
fois !
Pendant plus de deux heures, je marche rapidement dans la forêt, l'esprit en grand
désordre. Je rêve de continuer ma balade nu, mais, dans un premier temps, je n'ose. Je
ne cesse de me déboutonner. Mon sac à dos retient mon short dont la braguette est
largement ouverte et dévoile en partie mon sexe en continuité avec la chemise
entrebâillée. Je rêve d'être surpris ainsi et en ai peur à la fois . Je m'arrête,
hésite longuement, finis par me dénuder totalement et continue ainsi mon chemin. Je me
félicite d'avoir récemment tondu mes pilosités car cela me rend plus présentable. Je
me cache au moindre bruit sans jamais rencontrer personne. J'ai terriblement envie, et
aussi très peur, d'être vu ainsi insolemment dévêtu , seulement porteur d'un sac à dos
et de mes chaussures de randonnée. La forêt est accueillante et son ombre atténue la
sensation étouffante du temps orageux . Elle me donne aussi une impression d'isolement
et de sécurité. Je suis terriblement excité de m'exhiber ainsi. Par instants, mon sexe
s'érige...
Au détour du chemin, trois cèpes blonds attirent mon regard. Je me penche, les
ausculte et les cueille. Alors que je suis ainsi penché, un bruit violent de feuilles
sèches écrasées retentit à mon oreille. Je me relève, angoissé d'être surpris ainsi,
totalement nu, exposé à qui veut me voir. Je me retrouve étonnamment face à face avec
deux jeunes biches encore plus affolées que moi. Je le vois dans leur attitude autant
que dans leur regard, tant elles sont proches. L'une m'évite par la droite et
s'éloigne rapidement avec élégance. L'autre fait un écart de deux bonds à gauche et me
contemple à demi cachée derrière un taillis. J'apprécie cet instant magique. Un peu
d’inattention et elle disparaît sans bruit. Je repars le cœur battant et marche un
long moment sans plus penser à ma tenue indécente. Pas un humain à l'horizon. Pendant
plus d'une heure, je chemine en paix l'oreille attentive au moindre bruit.
Lorsque je perçois le raffut d'une route fréquentée, je me rhabille rapidement. J'ai
longuement tourné en rond et me retrouve, à ma grande surprise, à l'immédiate
proximité de l'allée si active ce matin. Il est plus de deux heures de l’après midi et
celle-ci est vide. Curieux, je m'y engage et marche quelques pas. Je suis à peine à
couvert qu'une grosse limousine sombre se présente derrière moi. Elle avance à ma
vitesse. Son conducteur doit me contempler. Je m’arrête et il fait de même. Mon cœur
bat la chamade et je repars. Il me suit toujours. Après quelques centaines de mètres,
je sors du couvert et me retrouve en plein soleil, au bord d'un champ fraîchement
moissonné. La voiture s'arrête en lisière. J'avance à petits pas jusqu'à un bosquet et
me retourne. Elle redémarre et s'approche à deux mètres de moi, puis se gare le long
du taillis. Je fais demi tour au moment ou son conducteur en descend.
C'est un septuagénaire svelte et très bien habillé et de taille moyenne.. Il est armé
d'une canne orthopédique sur laquelle il est en léger appui. Je m’arrête devant lui
pour le dévisager . Son regard me déshabille avec gourmandise. Je me sens encore plus
nu que dans mon expérience précédente. Du bout de sa canne, il écarte les pans de ma
chemise pour mieux me contempler, puis me fait signe de me déshabiller. J'hésite car
nous sommes visibles de loin à cet endroit, à quelques centaines de mètres d'un hameau
qui borde une rivière. L'angoisse monte, mais la canne s'impatiente et tapote mon
short en de petits gestes saccadés. Le visage de son propriétaire s'est fait hostile.
Je pose mon sac près de moi et retire doucement ma chemise. Ses traits se détendent à
nouveau et il ébauche un sourire pervers. Je détache la ceinture de mon short et
dégrafe, un à un, les boutons de ma braguette. J'aime son regard torve et son
attention soutenue à mes gestes. Je laisse le short glisser le long de mes jambes. Ses
yeux sont aimantés par mon bas ventre. Je me sens bien, ainsi exhibé. Je lis un
violent désir dans le regard noir de mon interlocuteur. J'ai un moment de panique
lorsque je vois au loin un petit utilitaire blanc arriver vers nous. Je saisis mon
short pour le remonter, mais la canne bloque mon effort en appuyant fortement sur lui.
Je reste ainsi, grotesque alors qu'un agriculteur mal rasé me contemple depuis son
véhicule, à quelques pas de nous. Après tout, J'aime assez l'idée qu'un voyeur me
regarde faire l'amour. Vive l'exhib ! Je dégage mes pieds du short et m'approche du
septuagénaire habillé de mes seules chaussures.
Il me repousse de sa canne et commence à caresser mon corps avec l'embout de celle ci.
Je me sens désappointé d'être ainsi traité. Puis je m'habitue à l'idée qu'il ne me
considère que comme un objet sexuel. A cet instant, c'est bien tout ce que je suis
dans ma tête. Il excite mes tétons, fait se dresser mon sexe. J'ai plaisir à le
satisfaire en m'exposant ainsi impudique. Il m'incite à écarter mes jambes en
tâtonnant l'intérieur de mes cuisses. Je finis par ressentir le caoutchouc de sa canne
comme s'il s'agissait du bout de son doigt et en suis très excité. Je rougis de mon
audace et jette un regard circulaire autour de moi. Le paysan est descendu de voiture
et, le pantalon sur les chevilles, se branle en me contemplant. Je suis étonné que mon
anatomie replète et sans grâce intéresse tant ces deux hommes. L'homme à la béquille
me fait signe de poser mes mains sur le capot de la voiture et je me retrouve ainsi
plié en deux, les fesses en l'air. La canne m'oblige à écarter les jambes jusqu'à
l'impossible. Voila une pose obscène qui semble réjouir l'agriculteur qui accélère le
mouvement tout en poussant des grognements rauques. Je reste ainsi, exhibé, grotesque.
Je m'entends dire : « Encule moi, s'il te plaît ! » d'une voix implorante. Le
septuagénaire s'approche de mon dos et me touche enfin de ses mains. Plaisir décuplé !
Il commence à me caresser les fesses avec enthousiasme. « C'est ma première fois »
ajouté-je, au milieu d'un hoquet de plaisir. Je sens son geste s'adoucir.
Il enlève sa main pendant de longs instants. Je reste figé, terriblement tendu par
l'attente de ce qui va suivre. Il la repose délicatement sur ma rondelle. Un doigt,
couvert d'un gel frais, franchit avec douceur mon sphincter et s’enfonce jusqu'à la
garde. Puis il commence un puissant mouvement de va et vient. Je me sens habité à
l'instar d'une marionnette. Je suis sa chose, son objet de désir, autant qu'un pantin
qu'il manipule à sa guise. Le plaisir monte en moi et ma queue ne cesse de durcir. Mes
bras fléchissent, mes reins se creusent et mon cul écartelé s'expose sans pudeur. Un
deuxième doigt a rejoint le premier. J'aime cette sensation d'être dilaté à l’extrême.
Retentit un bruissement d'herbe et je jette un œil de côté. L'agriculteur a ralenti
son geste. Ses yeux sont prêts à lui sortir des orbites. Je regarde avec anxiété vers
le bout du chemin ou il me semble que l'on s'agite. C'est vrai, mais personne ne
s'approche. J'ai terriblement envie de son sexe. En un instant il m'exauce. Les doigts
quittent mon cul et la queue de leur propriétaire me pénètre. Il me défonce avec
beaucoup de conviction en de grands gestes doux et profonds. Je chancelle et mes
jambes ont du mal à me porter. Le temps passe et je ne m'appartiens plus. La tête me
tourne. J'ai le feu à mes zones érogènes. J'entends grogner dans mon dos et le
mouvement s’accélère puis s'arrête brutalement dans un cri. Je sens son foutre chaud
se répandre dans mes intestins. Il reste ainsi immobile quelques secondes et se
retire. Je suis là, inerte, pantelant, mais toujours terriblement excité. Mon bassin
se tord en des gestes obscènes comme pour en réclamer plus...
Je n'ai pas à attendre bien longtemps. Des mains calleuses (l'agriculteur !) se posent
sur mes hanches nues et je tressaute de plaisir. Une longue queue fine caresse mon
entrejambe puis la raie de mes fesses. Elle s'engage doucement dans ma rondelle encore
béante et pénètre mon cul. Paradoxalement, ce nouvel amant plus rude est plus attentif
à mon désir. Pendant qu'il m'encule en de larges mouvements du bassin, il saisit mon
sexe qu'il branle avec douceur. Long moment de va et vient ou le plaisir monte ! Je
sens ses bourses qui frappent mon entrejambe en cadence. J'ai le cul et le bas ventre
en feu. Un filet de salive s'échappe de ma bouche grande ouverte et décrit une
arabesque sur le sol sablonneux. Au comble de l’excitation, je répands ma semence
dans l'herbe en hurlant, pendant que mon amant s'accroche désespérément à mon bassin.
Son phallus tressaute violemment en livrant son foutre. Nous restons ainsi, l'un dans
l'autre, vaincus et ivres de plaisir, les yeux fermés. Lorsqu'il se retire, le main
douce du septuagénaire nettoie à la lingette sur mon corps les stigmates des deux
assauts. Il l'introduit à l'entrée de mon cul et parachève ma toilette intime en me
tirant, à nouveau, un cri de plaisir.
Lorsque j'ouvre les yeux, je me rends compte que plusieurs voitures sont venues nous
rejoindre. Les conducteurs sont majoritairement restés à leur volant pour profiter de
la scène. Deux ou trois se sont avancés à pied. Je recule, un peu effrayé. Mon mentor
en amour anal m'intercepte puis me précise « Ils ont tous apprécié ton tempérament de
bonne petite pute endurante et bien salope. A chaque fois que tu reviendras ici, tu
trouveras au moins l'un d'entre nous pour te défoncer la rondelle. Il te suffira pour
cela de te montrer disponible en dévoilant, selon la saison, le plus possible de peau.
Si tu acceptes d'être montée par n'importe lequel d'entre nous, tu te présenteras
complètement nue dés le bord de la route. Chacun comprendra que tu es prête aux
derniers outrages. Mais avant de partir, mets toi à genoux et montre nous que tu sais
joliment sucer une bite, comme une bonne grosse pédale que tu es devenue. » Le rouge
me monte violemment aux joues et je ne sais que faire devant l'insulte. D'autant plus
que ces mots m'excitent et que toute mon attitude le prouve. Toujours totalement nu,
je sens l'exigence des nombreux regards vrillés sur mon anatomie et crains des
réactions violentes ou humiliantes. Je me résous à m'agenouiller devant lui et pose ma
bouche sur son sexe trapu encore érigé. Il prend ma tète entre ses deux mains et
enfonce son vit dans l'orifice offert. Il m'oblige à une longue fellation qui excite
visiblement mes sens. Je m'échine à rendre le contact le plus doux possible. Des flots
de salive coulent de ma bouche. Mon amant accélère le mouvement et psalmodie de petits
cris aigus. Après un spasme, il débande lentement sans éjaculer. Lorsqu'il sort de
moi, je m'effondre devant lui, les mains posées au sol.
Dès que mes idées redeviennent claires, je me rends compte que suis entouré d'un
brouhaha de voix diverses. Je me décide à quitter les lieux de peur d'être agressé par
nombre de présents. Les nouveaux arrivants ont déplacé mes affaires à l'orée du bois.
Ils sont maintenant tous descendus de voiture et je suis étonné par la diversité des
âges et des statures. Lorsque je me lève pour aller me rhabiller, mon corps nu doit
passer au milieu d'eux. Une forêt de mains se pose sur moi et m'accompagne jusque là.
Douces ou rudes, elles s'intéressent aux zones les plus sensibles et ralentissent ma
progression. Je vous avoue que l'expérience me met en transes. Susciter le désir d'un
troupeau de cette taille est un privilège. Le danger que cela représente suscite une
angoisse inoubliable. Peur et volupté ! Je m'habille difficilement, toujours entravé
par leurs caresses habiles, et m'éloigne sous les bravos et autres commentaires
graveleux. Alors que je m'éloigne, je les vois en partie dénudés, qui se caressent par
deux ou par trois. La lourde voiture de mon initiateur quitte la scène et me suit un
moment au ralenti. Il klaxonne, me salue de la main d'un geste obscène et s'éloigne
sur la route. Je marche lentement. J'ai l'impression d'avoir encore le cul dilaté par
les assauts passés et tout mon épiderme est en feu. Je reviendrai vivre de ces moments
intenses qui valent bien l'amour hétérosexuel. La grande allée est vraiment le lieu de
mes nouveaux désirs.
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