La grande fête (inter)nationale de la partouze
Récit érotique écrit par Ginger [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2011 dans la catégorie Plus on est
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La grande fête (inter)nationale de la partouze
Aujourd'hui, c'est le grand jour ! Un événement international d'une ampleur jamais vue ! Notre immense Chef d'Etat (pas par la taille bien sûr) ne tient plus en place depuis un mois déjà car il a réussi à obtenir que ce soit notre pays qui l'organise. Cet événement a failli être repoussé de 6 mois, ce qui aurait évidemment été fâcheux, mais il s'est battu bec et ongles pour en maintenir le calendrier initial malgré tous les obstacles et les arguments avancés par la quasi unanimité de ses collègues.
Il leur a montré qu'il avait déjà mobilisé les 12 plus grandes villes du pays pour en faire une réussite mémorable ; tous les services de police et de gendarmerie y seraient consignés pour l'occasion. Les autres villes des régions concernées leur enverraient même la quasi totalité des leurs, fonctionnant pour l'occasion à effectifs ultra réduits.
Par ailleurs ces grandes villes seraient reliées en direct par internet, les grandes chaînes de télévision seraient bien entendu mobilisées. Les grandes mégalopoles étrangères bénéficieraient ainsi de l'infrastructure mise en place.
Les dépenses avaient déjà coûté aux contribuables français plus de 10 fois celles de l'organisation des festivités du centenaire du 14 juillet pour l'ensemble de l'hexagone, et ce n'était qu'un début.
Les successeurs des Renseignements Généraux prétendûment démentelés n'avaient pas chômés : tous les risques de manifestations destinées à s'opposer à la mondialisation avaient été repérés, les ordinateurs chaufferaient 24 h / 24 jusqu'au départ des délégations, les services d'écoutes téléphoniques aussi.
C'est ainsi qu'il les avait convaincus, presqu'au "callback" pour faire un jeu de mots.
Plus le temps approchait, plus les tics de notre illustre et génial dominateur se faisaient plus fréquents.
Tout est donc au carré ! Voilà comme il aime que les choses soient !
De petits malins s'étaient dits que si autant de services de police étaient ainsi mobilisés pour cette grande fiesta, c'était peut-être une occasion en or pour en organiser une autre sans aucun rapport, donc a priori non repérable par les rares préposés restant chargés de surveiller les routes ou de refuser les plaintes pour agressions.
Il ne fallait malgré tout pas la lancer trop tôt, on ne sait jamais ; un flic un peu zélé aurait pu avoir la puce à l'oreille, alerter sa hiérarchie ... et qui sait amener à contrer cette idée qui avait germé dans le cerveau de ces petits futés. N'exagérons pas tout de même ! D'ici que la hiérarchie soit alertée et qu'elle réagisse, tout serait fini, mais mieux valait être prudents.
L'idée consistait à se ballader tout simplement à poil (de préférence masqués pour éviter les représailles futures envers les organisateurs) dans les rues à quelques encablures des lieux en question. Pas suffisamment proches pour ne pas être inquiétés par les forces de police, mais pas trop éloignés non plus pour être repérés par les journalistes. Ensuite libre à chacun et à chacune d'en profiter pour se livrer ou pas à quelques jeux coquins en public.
Ainsi donc deux jours avant l'événement, les messages par tweeter se sont déchaînés, d'abord dans les villes concernées ; puis des rendez-vous ont été pris dans celles qui étaient désertées par les forces de l'ordre pour renforcer leurs collègues.
Enfin ils ont débordé nos frontières pour se déverser dans les grandes capitales étrangères. Lesquelles, étant moins préoccupées que nos dirigeants à maintenir l'ordre de la grande manifestation prévue, ont été en mesure d'annoncer à l'avance ce qui allait se produire.
Autant dire que parmi les journalistes et cameramen - notamment étrangers - présents sur notre territoire le moment venu, une part non négligeable avaient pour mission de couvrir, non pas la manifestation officielle, mais la grande fête officieuse.
Le temps étant par ailleurs favorable, on peut voir en direct sur toutes les chaînes de télévisions du monde (même chinoises et iraniennes)les grandes villes françaises se remplir de personnes entièrement nues, phénomène eclipsant totalement la manifestation officielle. Du coup des gens ordinairement prudes se prennent d'un coup de folie, pensant l'occasion rêvée d'en faire autant. Les villes de taille moyenne suivent l'exemple. Les journalistes eux-mêmes ne peuvent même plus travailler dans leur accoutrement jugé incongru ; d'ailleurs ils ou elles ont tellement peur de se les voir déchirés par la foule en liesse qu'ils ont pris les devants.
les services de maintien de l'ordre ne peuvent pas réagir car ils sont tenus par leur mission, qui consiste avant tout à assurer la sécurité des Chefs d'Etat étrangers présents et la bonne tenue de la manifestation officielle, dont il est impossible de reconnaître officiellementl'échec.
Certains Chefs d'Etat ou diplomates ont vent de l'affaire, se regardent même mutuellement en se demandant s'ils ne vont pas céder exceptionnellement à la tentation. Mais même d'anciennes manequins restent dignes "de ce côté de la barrière" ; il ne faut pas mélanger professionnalisme et fête ...
Les animaux n'en reviennent pas de voir ces bestioles à deux pattes se mettre à copuler dans les rues, voire jouer à des jeux inconnus.
A l'étranger dans certaines capitales, l'exemple est suivi.
Des personnes interrogées en direct répondent qu'il existe bien une fête de la musique, pourquoi pas une fête de la partouze ? !!!
Il leur a montré qu'il avait déjà mobilisé les 12 plus grandes villes du pays pour en faire une réussite mémorable ; tous les services de police et de gendarmerie y seraient consignés pour l'occasion. Les autres villes des régions concernées leur enverraient même la quasi totalité des leurs, fonctionnant pour l'occasion à effectifs ultra réduits.
Par ailleurs ces grandes villes seraient reliées en direct par internet, les grandes chaînes de télévision seraient bien entendu mobilisées. Les grandes mégalopoles étrangères bénéficieraient ainsi de l'infrastructure mise en place.
Les dépenses avaient déjà coûté aux contribuables français plus de 10 fois celles de l'organisation des festivités du centenaire du 14 juillet pour l'ensemble de l'hexagone, et ce n'était qu'un début.
Les successeurs des Renseignements Généraux prétendûment démentelés n'avaient pas chômés : tous les risques de manifestations destinées à s'opposer à la mondialisation avaient été repérés, les ordinateurs chaufferaient 24 h / 24 jusqu'au départ des délégations, les services d'écoutes téléphoniques aussi.
C'est ainsi qu'il les avait convaincus, presqu'au "callback" pour faire un jeu de mots.
Plus le temps approchait, plus les tics de notre illustre et génial dominateur se faisaient plus fréquents.
Tout est donc au carré ! Voilà comme il aime que les choses soient !
De petits malins s'étaient dits que si autant de services de police étaient ainsi mobilisés pour cette grande fiesta, c'était peut-être une occasion en or pour en organiser une autre sans aucun rapport, donc a priori non repérable par les rares préposés restant chargés de surveiller les routes ou de refuser les plaintes pour agressions.
Il ne fallait malgré tout pas la lancer trop tôt, on ne sait jamais ; un flic un peu zélé aurait pu avoir la puce à l'oreille, alerter sa hiérarchie ... et qui sait amener à contrer cette idée qui avait germé dans le cerveau de ces petits futés. N'exagérons pas tout de même ! D'ici que la hiérarchie soit alertée et qu'elle réagisse, tout serait fini, mais mieux valait être prudents.
L'idée consistait à se ballader tout simplement à poil (de préférence masqués pour éviter les représailles futures envers les organisateurs) dans les rues à quelques encablures des lieux en question. Pas suffisamment proches pour ne pas être inquiétés par les forces de police, mais pas trop éloignés non plus pour être repérés par les journalistes. Ensuite libre à chacun et à chacune d'en profiter pour se livrer ou pas à quelques jeux coquins en public.
Ainsi donc deux jours avant l'événement, les messages par tweeter se sont déchaînés, d'abord dans les villes concernées ; puis des rendez-vous ont été pris dans celles qui étaient désertées par les forces de l'ordre pour renforcer leurs collègues.
Enfin ils ont débordé nos frontières pour se déverser dans les grandes capitales étrangères. Lesquelles, étant moins préoccupées que nos dirigeants à maintenir l'ordre de la grande manifestation prévue, ont été en mesure d'annoncer à l'avance ce qui allait se produire.
Autant dire que parmi les journalistes et cameramen - notamment étrangers - présents sur notre territoire le moment venu, une part non négligeable avaient pour mission de couvrir, non pas la manifestation officielle, mais la grande fête officieuse.
Le temps étant par ailleurs favorable, on peut voir en direct sur toutes les chaînes de télévisions du monde (même chinoises et iraniennes)les grandes villes françaises se remplir de personnes entièrement nues, phénomène eclipsant totalement la manifestation officielle. Du coup des gens ordinairement prudes se prennent d'un coup de folie, pensant l'occasion rêvée d'en faire autant. Les villes de taille moyenne suivent l'exemple. Les journalistes eux-mêmes ne peuvent même plus travailler dans leur accoutrement jugé incongru ; d'ailleurs ils ou elles ont tellement peur de se les voir déchirés par la foule en liesse qu'ils ont pris les devants.
les services de maintien de l'ordre ne peuvent pas réagir car ils sont tenus par leur mission, qui consiste avant tout à assurer la sécurité des Chefs d'Etat étrangers présents et la bonne tenue de la manifestation officielle, dont il est impossible de reconnaître officiellementl'échec.
Certains Chefs d'Etat ou diplomates ont vent de l'affaire, se regardent même mutuellement en se demandant s'ils ne vont pas céder exceptionnellement à la tentation. Mais même d'anciennes manequins restent dignes "de ce côté de la barrière" ; il ne faut pas mélanger professionnalisme et fête ...
Les animaux n'en reviennent pas de voir ces bestioles à deux pattes se mettre à copuler dans les rues, voire jouer à des jeux inconnus.
A l'étranger dans certaines capitales, l'exemple est suivi.
Des personnes interrogées en direct répondent qu'il existe bien une fête de la musique, pourquoi pas une fête de la partouze ? !!!
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci de ces commentaires argumentés.
La référence à la vie de tous les jours donne du corps à un récit ; une juste mesure
doit cependant être trouvée lorsqu'il s'agit de coller à l'actualité, ne serait-ce que
pour ne pas prendre le risque de provoquer des ennuis au site Web.
Quant à l'humour, autant que possible, j'aime l'introduire dans mes récits, en en
variant les types, au moins d'une histoire à l'autre, d'abord pour éviter la
monotonie, ensuite parce qu'il en faut pour tous les goûts. Il est vrai que l'humour
bien gras, je préfèrerai le placer dans la bouche de personnages "typés" que le
"balancer" tel quel.
La référence à la vie de tous les jours donne du corps à un récit ; une juste mesure
doit cependant être trouvée lorsqu'il s'agit de coller à l'actualité, ne serait-ce que
pour ne pas prendre le risque de provoquer des ennuis au site Web.
Quant à l'humour, autant que possible, j'aime l'introduire dans mes récits, en en
variant les types, au moins d'une histoire à l'autre, d'abord pour éviter la
monotonie, ensuite parce qu'il en faut pour tous les goûts. Il est vrai que l'humour
bien gras, je préfèrerai le placer dans la bouche de personnages "typés" que le
"balancer" tel quel.
Toute ressemblance avec des personnages existants est fortuite
Bravo pour j'humour qui manque un peu.
Je vois déjà le chef dans cette affaire.
Bravo pour j'humour qui manque un peu.
Je vois déjà le chef dans cette affaire.
très drole et très proche de l'actualité du G20 : j'adore !!!