La grandeur d'un homme n'est pas dans son sexe (titre choisi par ::HDS::)
Récit érotique écrit par Petite bite [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2004 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La grandeur d'un homme n'est pas dans son sexe (titre choisi par ::HDS::)
J’ai 30 ans, mais je suis toujours célibataire. Bien que beau mec, on me l’a souvent fait remarquer, je n’ai toujours pas réussi à garder longtemps une petite amie. J’en ai souvent eu, mais le problème c’est une fois nu, je ne suis pas Superman, loin de là, ce serait même le contraire. La première réaction d’une femme me voyant nu est de partir d’un fou rire, étant donné qu’en érection mon allumette ne fait que 7 ou 8 centimètres, et 1 ou 2 sinon.
J’adore la réaction des femmes à ce moment là, qui est ensuite de se moquer de moi et de m’humilier, j’y ai pris goût. Mais la semaine dernière, j’ai eu envie d’être considéré comme un homme en allant voir des personnes habituées à voir de tout, c’est à dire des prostituées.
Je n’y avait jamais été mais je me suis dit qu’au moins pour une fois je n’aurais aucune remarque.
Je me rendais vers le côté opposé aux Halles de la rue Saint Denis, là où je savais trouver le plus de prostituées et le moins de touristes. Il est vrai que j’avais un peu honte de moi. Au bout de la rue, je trouvais une petite rue perpendiculaire où il y avait beaucoup de prostituées, toutes africaines. J’avançais l’air de rien, mais en essayant de choisir une superbe plante et je n’avais que l’embarras du choix. Je jetais mon dévolu sur une grande black aux cheveux tressés, au joli visage, aux lèvres charnues et avec d’énormes seins et un fessier qui réveilla le mort qu’il y avait dans mon slip. Après avoir réglé le problème tarifaire, nous montâmes l’escalier, elle devant et moi me régalant de la vision de ses fesses.
Une fois arrivée dans la chambre elle se déshabilla et me demanda de faire de même. Je suis belle, n’est-ce pas, je suis sûre que ta bite est déjà au garde à vous. Avant d’enlever mon slip, je lui demandait, s’il vous plait je ne suis pas très bien monté, mais faites comme si, dites moi que vous jouissez tout à l’heure. T’inquiètes pas chéri, c’est bizarre que tu me demande ça, d’habitude les hommes veulent croire à l’avance que ça ira, mais tu sais j’ai l’habitude.
Je retirais mon slip, et là en découvrant ma quéquette, toute droite, mais toute fine, elle partit d’un fou rire. Elle riait à gorge déployée tout en s’excusant mais ne pouvant s’arrêter. Elle riait tellement fort, qu’on entendit des pas dans l’escalier, plusieurs personnes montaient en courant. La porte s’ouvrit et trois prostituées entrèrent, armées de couteaux.
Ce n’est rien les filles, on ne m’agresse pas, j’ai juste été pris d’un fou rire. C’est la bite du client qui m’a mise dans cette état. Les filles me regardèrent et se mirent à rire aussi. Mais c’est un cure-dent, à peine un petit doigt, désolé petit blanc, on en a jamais vu de pareille, on s’excuse, on redescend. Et sur ce elles firent ce qu’elles avaient dit et je les entendit descendre et continuer à rire.
Bon à nous maintenant, c’est vrai que tu n’as pas une bite d’africain, mais tu vas me faire jouir. Elle prit un préservatif, qu’elle me mit avec la bouche, mais celui-ci baillait autour de mon macaroni. C’est une petite taille pourtant chéri, attend, on va régler ça. Elle prit du shatterton rouge et scotcha la capote à la base de ma queue. Comme ça tu ne perdra pas ton petit chapeau, et une fois vidé, on pourra l’enlever facilement. Elle se mit à genoux sur le lit me montrant sa croupe. Prends moi, j’en crève d’envie. Je me mis derrière elle et je la pénétrais. Du moins j’essayais, ses fesses rebondis ne permettait à ma zézette de ne pénetrer que de un ou deux centimètres. Elle criait de plaisir, mais dés que je reculais je sortais d’elle et je ne réussissais pas à me remettre dans son vagin. Et pourtant elle criait toujours de plaisir.
Excusez moi, je n ‘arrive pas à rentrer dans votre sexe.
C’est pas grave, allonge toi sur le dos chéri, je vais te chevaucher, mon étalon. Mais là, même chose, elle ne se rendait pas compte que je sortais tout le temps mais là, vu la taille de son vagin (dont je ne sentais pas les bords), je retournais dedans, même de travers, ma quéquette nageait dedans. Bon écoute, excuse moi, je te sens moins qu’un tampax chéri, je vais être gentille, je vais te faire demi-tarif, étant donné ta taille, je t’aime bien, tu es chou. Je vais te finir à la main. Elle retira mon préservatif et de deux doigts me branlais et malaxais de son autre main mes noisettes. Elle fit de petits mouvements de va et vient rapide et rapidement je jouis en poussant un petit cri aigu. Comme un petit puceau rigola-t-elle, puis elle m’embrassa et fouilla à l’intérieur de ma bouche avec sa langue épaisse, une pelle mémorable. Je ne le fait jamais chéri mais tu es chou, j’ai pitié de toi.
Comme prévu, elle me rendit la moitié de la somme pendant que je me rhabillai. Tu pourras revenir, mon petit puceau, je t’aime bien et je te ferais toujours un petit tarif à ta taille. Je ressortis en lui disant au revoir, Madame. Une fois en bas des escaliers, j’ai revu les autres filles, qui en me voyant pouffait de rire et me montrait à leurs copines. Je remontai la rue vers le boulevard Sébastopol, du côté le plus long, donc et toutes les filles rigolaient sur mon passages, me demandant si c’était vrai que j’avais une bite minuscule, j’adorais ça. Plusieurs me prirent à part au milieu de la rue et me mirent la main au paquet en me disant ne t’inquiète pas, chéri, c’est juste pour vérifier, et elles rigolaient en me massant.
J’adore la réaction des femmes à ce moment là, qui est ensuite de se moquer de moi et de m’humilier, j’y ai pris goût. Mais la semaine dernière, j’ai eu envie d’être considéré comme un homme en allant voir des personnes habituées à voir de tout, c’est à dire des prostituées.
Je n’y avait jamais été mais je me suis dit qu’au moins pour une fois je n’aurais aucune remarque.
Je me rendais vers le côté opposé aux Halles de la rue Saint Denis, là où je savais trouver le plus de prostituées et le moins de touristes. Il est vrai que j’avais un peu honte de moi. Au bout de la rue, je trouvais une petite rue perpendiculaire où il y avait beaucoup de prostituées, toutes africaines. J’avançais l’air de rien, mais en essayant de choisir une superbe plante et je n’avais que l’embarras du choix. Je jetais mon dévolu sur une grande black aux cheveux tressés, au joli visage, aux lèvres charnues et avec d’énormes seins et un fessier qui réveilla le mort qu’il y avait dans mon slip. Après avoir réglé le problème tarifaire, nous montâmes l’escalier, elle devant et moi me régalant de la vision de ses fesses.
Une fois arrivée dans la chambre elle se déshabilla et me demanda de faire de même. Je suis belle, n’est-ce pas, je suis sûre que ta bite est déjà au garde à vous. Avant d’enlever mon slip, je lui demandait, s’il vous plait je ne suis pas très bien monté, mais faites comme si, dites moi que vous jouissez tout à l’heure. T’inquiètes pas chéri, c’est bizarre que tu me demande ça, d’habitude les hommes veulent croire à l’avance que ça ira, mais tu sais j’ai l’habitude.
Je retirais mon slip, et là en découvrant ma quéquette, toute droite, mais toute fine, elle partit d’un fou rire. Elle riait à gorge déployée tout en s’excusant mais ne pouvant s’arrêter. Elle riait tellement fort, qu’on entendit des pas dans l’escalier, plusieurs personnes montaient en courant. La porte s’ouvrit et trois prostituées entrèrent, armées de couteaux.
Ce n’est rien les filles, on ne m’agresse pas, j’ai juste été pris d’un fou rire. C’est la bite du client qui m’a mise dans cette état. Les filles me regardèrent et se mirent à rire aussi. Mais c’est un cure-dent, à peine un petit doigt, désolé petit blanc, on en a jamais vu de pareille, on s’excuse, on redescend. Et sur ce elles firent ce qu’elles avaient dit et je les entendit descendre et continuer à rire.
Bon à nous maintenant, c’est vrai que tu n’as pas une bite d’africain, mais tu vas me faire jouir. Elle prit un préservatif, qu’elle me mit avec la bouche, mais celui-ci baillait autour de mon macaroni. C’est une petite taille pourtant chéri, attend, on va régler ça. Elle prit du shatterton rouge et scotcha la capote à la base de ma queue. Comme ça tu ne perdra pas ton petit chapeau, et une fois vidé, on pourra l’enlever facilement. Elle se mit à genoux sur le lit me montrant sa croupe. Prends moi, j’en crève d’envie. Je me mis derrière elle et je la pénétrais. Du moins j’essayais, ses fesses rebondis ne permettait à ma zézette de ne pénetrer que de un ou deux centimètres. Elle criait de plaisir, mais dés que je reculais je sortais d’elle et je ne réussissais pas à me remettre dans son vagin. Et pourtant elle criait toujours de plaisir.
Excusez moi, je n ‘arrive pas à rentrer dans votre sexe.
C’est pas grave, allonge toi sur le dos chéri, je vais te chevaucher, mon étalon. Mais là, même chose, elle ne se rendait pas compte que je sortais tout le temps mais là, vu la taille de son vagin (dont je ne sentais pas les bords), je retournais dedans, même de travers, ma quéquette nageait dedans. Bon écoute, excuse moi, je te sens moins qu’un tampax chéri, je vais être gentille, je vais te faire demi-tarif, étant donné ta taille, je t’aime bien, tu es chou. Je vais te finir à la main. Elle retira mon préservatif et de deux doigts me branlais et malaxais de son autre main mes noisettes. Elle fit de petits mouvements de va et vient rapide et rapidement je jouis en poussant un petit cri aigu. Comme un petit puceau rigola-t-elle, puis elle m’embrassa et fouilla à l’intérieur de ma bouche avec sa langue épaisse, une pelle mémorable. Je ne le fait jamais chéri mais tu es chou, j’ai pitié de toi.
Comme prévu, elle me rendit la moitié de la somme pendant que je me rhabillai. Tu pourras revenir, mon petit puceau, je t’aime bien et je te ferais toujours un petit tarif à ta taille. Je ressortis en lui disant au revoir, Madame. Une fois en bas des escaliers, j’ai revu les autres filles, qui en me voyant pouffait de rire et me montrait à leurs copines. Je remontai la rue vers le boulevard Sébastopol, du côté le plus long, donc et toutes les filles rigolaient sur mon passages, me demandant si c’était vrai que j’avais une bite minuscule, j’adorais ça. Plusieurs me prirent à part au milieu de la rue et me mirent la main au paquet en me disant ne t’inquiète pas, chéri, c’est juste pour vérifier, et elles rigolaient en me massant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'ennui avec un sexe minuscule, c'est que 1 il déclenche le rire et 2 les hommes traitent le possesseur de la petite bite de pédé. Un individu avec un bras ou une jambe atrophié ne déclenche pas le rire alors pourquoi une bite atrophiée le ferait ? Toutes les filles n'ont pas ri je suppose. Pensez à celles ci et pas aux autres.
C'est bien raconté, les situations plausibles et bien décrites, je ne ferais pas l'injure au narrateur de savoir si son récit est autobiographique.
C'est bien raconté, les situations plausibles et bien décrites, je ne ferais pas l'injure au narrateur de savoir si son récit est autobiographique.
demi-tarif pour une demie queue... c'est bien le seul avantage à en avair une petite ! mdr