La Grenouille - histoire érotique

Une magnifique jeune femme blonde, voluptueuse et sensuelle, rentre dans une animalerie à la recherche d'un animal de compagnie, un chaton par exemple. Son mari travaille beaucoup, elle est souvent seule, un peu délaissée, et elle aimerait donner son affection à une petite boule de poils.

Tandis qu'elle visite le magasin, elle remarque un vivarium contenant quatre petites grenouilles vivantes.

Un panneau indique : « Grenouilles sexuelles ! Location 20 € pièce pour un forfait de 12 heures ! Avec les instructions complètes. » Sous les gros caractères se trouve une ligne plus petite indiquant : « Mesdames, vivez une expérience inoubliable »
La jeune femme regarde autour d'elle avec curiosité et appréhension pour voir si quelqu'un la remarque. Il y a juste un vendeur derrière le comptoir, un peu plus loin. Il semble s’apercevoir de l’intérêt de la cliente pour la boîte de grenouilles, mais il ne bouge pas. Elle le regarde plus intensément, mais peine perdue, c’est elle qui doit se déplacer jusqu’au comptoir pour obtenir quelques éclaircissements.

Il lui sourit commercialement et s’enquiert : « Bonjour, mademoiselle, puis-je vous être utile ? »
Elle a peur que quelqu’un l’entende demander des détails, alors après avoir jeté un coup d'œil à gauche et à droite, elle se penche au-dessus du comptoir pour chuchoter doucement au gars : « Je serais éventuellement intéressée pour louer une grenouille »
Le vendeur, un solide gaillard dans la trentaine, profite du panorama que lui procure le décolleté très échancré. Il se courbe légèrement en avant, pour lui répondre sur le même ton confidentiel :
« Je crains que cela ne soit pas possible »
Elle se redresse, interloquée : « Et pourquoi, je vous prie ? »
« Vous portez une alliance. Nous ne louons pas nos grenouilles aux femmes mariées. Les maris n'aiment pas ce genre de concurrence, et ça pourrait mal finir pour ma grenouille ! »
« Oh, c'est bon ! Il n’est pas là, et il n’en saura jamais rien ! »
« Dans ce cas, si vous me promettez d’être discrète, je pourrais vous louer une grenouille »
Il a emballé la grenouille dans une boîte de transport, et souriant, il lui a remis la boîte en lui disant de suivre les instructions. Avant de relâcher la boîte, leurs deux mains se touchant, l’intensité de son regard informe la jeune femme de la vigueur de son désir pour elle.

La blonde sait qu'ils partagent quelque chose d'intime, lui sourit, attrape la boîte et rentre rapidement chez elle. Dès qu'elle referme la porte de son appartement, elle ne perd pas de temps, ouvre la notice pour la lire très attentivement. Les instructions sont simples :
1) Posez la boîte sur votre lit en laissant la grenouille à l’intérieur
2) Prenez une douche
3) Séchez-vous soigneusement et parfumez-vous
4) Revêtez une nuisette sexy sans rien dessous
5) Allongez-vous sur le lit, sortez la grenouille de la boîte en la prenant délicatement par les flancs, et placez-la à côté de vous sur le lit. (Si vous craignez de la toucher, renversez simplement la boîte)
6) Allongez-vous tranquillement sur le dos et laissez la grenouille faire ce qu’elle sait faire
Lorsque le temps sera écoulé, rapportez la grenouille au magasin. À votre demande, nous pourrons passer récupérer la grenouille, selon un forfait de 10 € supplémentaire. Vous pouvez garder la grenouille plus longtemps, mais nous vous recommandons de passer au magasin pour réclamer de la nourriture spéciale pour grenouille.

Elle suit très exactement les instructions, ouvre son lit, prend une douche, s'asperge de son parfum préféré, et se pare de sa nuisette la plus sexy.

Elle se positionne sur le lit, à plat dos, avec la grenouille à côté d’elle. Elle écarte légèrement les jambes et libère la grenouille. Sa respiration s’accélère, ses tétons durcissent, son excitation atteint des sommets, mais rien ne se passe. La grenouille reste assise là, tranquille, sans bouger.

« Allez, petite grenouille, sois gentille, fais ton truc » lui dit-elle. Mais rien. La blonde est très déçue et assez perturbée à ce moment. Elle relit les instructions, tourne la feuille, au dos il est écrit : « Si vous rencontrez des problèmes, ou si vous avez des questions, veuillez appeler l'animalerie »
Alors, la blonde appelle l'animalerie. C’est le vendeur qui l’avait servie qui lui répond : « J’arrive tout de suite. Indiquez-moi votre adresse »
Quelques instants plus tard, l'homme sonne à sa porte. La blondinette est assez troublée pour ne pas penser à se vêtir décemment. Sans rien d’autre que sa nuisette, elle va accueillir son visiteur : « J’ai suivi les instructions à la lettre, et cette foutue grenouille ne veut rien faire. Elle reste juste assise là »
Le gars est agréablement surpris par le spectacle de la jolie fille dans sa nuisette. C’est rare qu’on l’accueille ainsi. La nuisette est translucide, pour le moins. Mais ses formes sexy, son buisson ardent ou les aréoles de ses mamelons sont parfaitement visibles.

Le gars fait de son mieux pour ne pas dévisager ouvertement la jeune beauté. Ses seins, ses hanches et ses longues jambes lui donnent le tournis. La gorge sèche, il lui demande : « Je suis toujours inquiet à propos de cette alliance. Votre mari ? Où est-il ? Va-t-il rentrer prochainement ? »
« Oh, non, il est en déplacement pour quelques jours »
« Je vois. Vous avez besoin d’une délicate émotion pour compenser son absence » Leurs regards se croisent et elle baisse les yeux, rougissante.

« Où est la grenouille maintenant ? »
« Dans ma chambre, sur le lit »
« Bien, je vous suis »
Elle le précède en se dirigeant vers la chambre. Sa nuisette est si courte qu’elle laisse la moitié de ses fesses à nu. Elle a bien suivi les instructions, le gars en profite pour admirer le paysage, mais il est à l’étroit dans son pantalon. D’un mouvement discret, il met de l’ordre dans ses affaires. Ça commence à sentir bon.

Dans l’esprit de la femme, le gars du magasin c’est quelqu'un qui l'aidera à résoudre son problème, de la même manière qu'un médecin l'aiderait à soigner un bon rhume.

Le vendeur, lui, a des pensées bien différentes. Il a compris que la cliente n’est pas la personne la plus intelligente de la ville. Il doit l’aider à obtenir ce pour quoi elle a payé, mais sa plastique parfaite, et sa tenue dénudée, ne l’aide pas à réfléchir. Elle est extrêmement belle, autant qu’une starlette de film érotique, mais cette fille est bien en chair, et bien présente, juste à portée de main.

Elle avait remis la grenouille dans la boîte. Pendant que le vendeur la regarde procéder, la blonde s’allonge sur le lit, sort la grenouille de la boîte, et pose la grenouille à côté d'elle. Elle reste là un moment en regardant la grenouille, et en fronçant les sourcils. Sachant qu'elle s’est aperçue que sa tenue est révélatrice, car elle tire nerveusement sur le bas de sa chemisette pour cacher son minou, et pensant qu’elle pourrait changer d’avis à tout moment, l'homme dit rapidement : « Vous ne devez pas bouger »
Elle hoche la tête, dévisage le gars, puis tire à nouveau sur sa chemise de nuit. Dans une tentative pudique, elle maintient le bas de sa nuisette à deux mains et pivote pour s'allonger sur le côté.

Elle est maintenant allongée sur le côté avec la grenouille face à elle. Elle tire sur la nuisette autant que possible, et ses jambes sont jointes et repliées. De son point de vue, l'homme ne peut plus rien voir de révélateur, sauf le galbe global de ce corps parfait, avec ses longues jambes, ces fesses dodues, et ces seins gonflés.

« Je ne peux plus voir la grenouille, maintenant » dit-il en contournant le lit :  « D'ici, je peux voir la voir »
Il peut voir la grenouille, bien sûr, mais il peut admirer de près les formes généreuses de la jeune femme.Il peut même voir ses boucles blondes sur son mont de vénus. Ses joues rougissent un peu lorsqu'elle croise le regard du gars, mais elle ne dit rien.

« C'est comme ça que vous avez procédé, la première fois ? »
« Oui, et j'ai attendu qu’elle se décide. Je lui ai même parlé pour l’encourager, mais elle n’a pas bougé »
« Je vais vous dire ce que je pense. Vous êtes mal positionnée. Le mieux, ce serait de vous étendre sur le dos, jambes écartées, afin que la grenouille puisse venir atterrir quand elle sautera. Maintenant, vous êtes en position refermée. Vos genoux sont joints. Vous empêcher la grenouille de sauter entre vos jambes »
En fait, la première fois, elle s'était allongée sur le dos, les jambes légèrement écartées. Mais elle n’a pas osé le dire, en pensant que peut-être, la première fois, elle ne les avait pas assez ouvertes. Alors, elle écarte timidement les jambes pour que la grenouille puisse passer entre ses cuisses.

L'homme, posté au pied du lit, la regarde en détaillant ses formes parfaites. Il se contient difficilement. Les lèvres de sa chatte, finement ourlées, s’entrebâillent à peine. Elles attendent la pénétration. L'homme fait semblant de regarder la grenouille, mais il fixe la chatte blonde à s’en abîmer la vue. 
Elle a tellement envie que la grenouille fasse ce pourquoi elle est là, qu’elle reste figée comme un morceau de bois, refusant de faire le moindre geste. Son regard va de la grenouille au vendeur, attendant impatiemment que quelque chose bouge.

Puis quelque chose d'autre lui vient à l'esprit. Que se passera-t-il si la grenouille commence à faire son truc, et que l'homme est toujours là et regarde ? Cela pourrait être très embarrassant. Alors elle lui demande.

Il rit doucement : « J'attendrai juste assez longtemps pour m'assurer qu'elle fait son truc, puis je partirai, en refermant bien la porte derrière moi. »
« OK. Faites le nécessaire pour que la grenouille fasse son truc. Je reste allongée sans bouger »
Ils attendent encore une minute. Rien ne se passe. Lorsque la blonde lève les yeux vers l'homme, et que son visage montre un regard scrutateur, il place ses doigts sur ses lèvres pour indiquer qu'ils doivent se taire en continuant à attendre. Il tire une chaise vers le lit et s'assoit dessus, juste au pied du lit. Il continue de reluquer, elle continue d'attendre. Elle écarte un peu plus ses jambes, de son propre chef, montrant qu'elle est plus préoccupée maintenant par la performance de la grenouille, que par ce que l'homme pourrait voir.

Chaque fois qu'elle regarde l'homme, il déplace son regard vers la grenouille, puis de nouveau vers le minou de la jeune femme. Chaque fois que leurs regards se croisent, il lui sourit. Son visage rougit vivement, puis il se calme. Après quelques minutes, l'homme s’impatiente et dit :
« Généralement, mes grenouilles sont plus vives. Celle-ci me semble un peu empotée. Peut-être que son dressage devrait être revu et corrigé. Ou alors, elle ne sait tout simplement pas sauter. Cette grenouille a peut-être seulement besoin d'être placée entre vos jambes »
Se levant, il contourne le pied du lit, pour se pencher sur elle. En ramassant la grenouille, il dit : « Ouvrez un peu plus grand » Au fur et à mesure qu'elle écarte les jambes, sa nuisette remonte légèrement plus haut. Audacieusement, il se baisse et remonte sa nuisette encore un peu plus haut. Maintenant, aucun voile ne bloque sa vue, même lorsqu'il se tient debout au-dessus d'elle. Elle est nue sous son nombril.

Il y a de l'électricité dans l'air maintenant. Plus aucune illusion de pudeur. Plus aucun voile, même vaporeux. Elle est ouvertement exposée. « Ça devrait suffire » Il pose la grenouille face à sa chatte, sur le lit. Ses lèvres sont un peu plus entrouvertes maintenant, et elles se couvrent d’humidité. Le rose sombre de sa chair apparaît, contrastant avec sa blondeur. Il reste debout juste au-dessus d'elle, près de son terrain de jeu. 
Puis il lui dit : « Vous avez l'air très attrayante, maintenant. J'ai placé la grenouille juste en face de … vous. Peut-être qu'elle arrivera à se débrouiller seule, maintenant » Ils attendent, mais rien ne se passe.

« Peut-être avez-vous besoin d’ouvrir un peu plus votre ... » Il hésite, puis ajoute : « Essayez de replier un peu vos jambes en ouvrant un peu plus ... » Rougissante, elle s'exécute en repliant et en ouvrant ses longues jambes aussi largement qu'elle le peut. Ses seins dardés pointent sous sa nuisette.

Mais l'homme ne peut détourner son regard de sa chatte si ravissante. Elle s’est entrebâillée, presque ouverte, dans le mouvement, et la vue est magnifique. Le gars a remarqué que ses lèvres se couvrent maintenant de mouillure. Et la grenouille reste assise là, sans rien faire. Parlant d'un ton clinique, comme un médecin, il dit : « Bien, je vois que vous êtes prête pour la grenouille. Essayons de découvrir vos seins. J'ai déjà vu des grenouilles s’intéresser d'abord aux seins, avant de ... faire le truc »
Elle hésite une fraction de seconde. Bien sûr, des hommes ont déjà vu ses seins. Pas que son mari, ou son médecin, ou des flirts, avant son mariage. Elle est fière de sa poitrine, et n’hésite pas à la montrer. Mais là, seule avec ce gars, dans l’intimité de sa chambre. Surtout qu’il est plutôt beau gosse, ce mec.

Son mari la tuerait s'il savait. Elle n'avait pas envisagé que cela puisse se produire, mais elle lui en a déjà montré pas mal. Ses fesses, sa chatte, toute son intimité, quoi ! Et maintenant, cet enfoiré demande qu'elle lui montre ses nichons. Bon, après tout, si elle est déjà allée aussi loin, et comme le gars l'a dit, elle est mouillée et prête, alors pourquoi pas ?

Elle ne réfléchit pas longtemps et se contorsionne pour faire passer sa nuisette par-dessus la tête. Elle s’allonge à nouveau, les mains sous la nuque, les jambes repliées et grandes ouvertes. Elle est dans sa chambre conjugale, allongée nue sur son lit, exposée, offerte, sous le regard admiratif d’un inconnu !

Une des plus belles paire de seins qu’il n'ait jamais vue. Bien ronds, malgré la position. Surmontés de tétons carmins dressés. La fraîcheur, ou l’excitation d’être exposée, les ont fait durcir et s’ériger. Il avait déjà bien admiré le bas, le haut ne le déçoit pas. Elle est parfaite, où que se pose son regard. Et il ne se prive pas de regarder. Ses yeux vont et viennent, balayant l’ensemble de ce corps splendide, enregistrant chaque détail.

Les pommettes rougissantes sous le coup de l’émotion, et voulant détendre l’atmosphère, il sourit et tente une petite blague : « Vos seins sont magnifiques. Je ne sais pas si cette grenouille sera intéressée. Mais si elle ne l’est pas, je suis volontaire ! » Aimablement, elle lui sourit en retour.

« Voyons ce qu'elle va faire, maintenant » dit l'homme qui reste debout à côté d’elle. Nul besoin de retourner au pied du lit, sa vision du panorama est parfaite d’ici. Ses pommettes continuent de rougir. L'atmosphère est tendue en attendant. Elle ne peut pas voir la grenouille, alors elle regarde le visage de l’homme. Qui ne peut détacher son regard de ce corps de déesse. Et ses émotions se lisent dans ses yeux.

Elle sait qu'il est extrêmement excité par ce qu’il voit d’elle. Si la grenouille ne fait pas le truc, pense-t-elle, est-ce que cet homme va se porter volontaire ? Non, non, je ne dois pas penser à ça. Elle est troublée. Elle est mariée, et elle respecte son mari. Même si parfois, mais pas ici, dans la chambre conjugale.

Elle regarde ses yeux, son regard est fixé sur son entrejambe, soit sur la grenouille, soit sur sa chatte. Se sentant en sécurité, elle jette un coup d'œil à son entrejambe, pour voir son renflement. Une bosse, bien arrondie, il y a quelque chose d’intéressant là-dessous.

« Allez, petite grenouille, décide-toi » L'homme chuchote à la grenouille. Un silence assourdissant empli la chambre. Finalement, espérant baisser la tension, il engage la conversation. Qui sait ce qu’elle pense de la situation ? « Je ne comprends pas le problème avec cette bestiole. Si j'étais à sa place, entre vos jambes, je saurais quoi faire ! »
La discussion est ouverte maintenant, ce n'était pas trop direct, mais c'est une offre. Elle sait que si elle l’invite à prendre la place de la grenouille, il ne refusera pas. Dans d’autres circonstances, elle aurait pu être tentée. Mais ce n’est pas le but de la visite. Elle reste préoccupée par la grenouille : « Peut-être pourriez-vous prendre une autre grenouille ? »
Il a l'air un peu irrité : « J'entraîne toutes mes grenouilles de la même manière. Celle-ci est peut-être malade. Je ne veux pas vous laisser frustrée et seule ici pendant que je vais chercher une autre grenouille. Attendons encore une minute »
« Avez-vous déjà dû intervenir à la place de la grenouille, avant aujourd’hui, ou vos grenouilles se comportent-elles généralement mieux ? »
Il sourit. Enfin, elle y vient : « J'ai dû intervenir deux fois, avant »
Elle hésite : « Et ces femmes, étaient-elles mariées ? »
« Une l'était. C'était toute une aventure pour elle, je dirais »
Elle rigole : « Je suis sûre que ça l'était »
Il y a un truc qu'il voudrait lui dire, il hésite un peu, puis il se lance : « Je dirais seulement que vous êtes de loin, même de très loin, la plus jolie des clientes que j’ai eu à secourir. La plus belle, mais aussi la plus désirable, la plus féminine ... » Sa voix s’éteint, il est interloqué par son audace.

Elle a soif de compliments, car son mari lui en fait rarement. Quand elle est dénudée, en sortant de la douche, ou dans le lit, il se contente de l’attraper, sans faire l’effort de la complimenter. Elle le dévisage, amusée : « Belle ? Mon visage ? »
Le gars espère qu’une conversation intime, salace même, décoincera un peu la belle afin qu’ils puissent jouer ensemble : « Oui, bien sûr, votre visage est très beau. Mais c'est votre corps qui fait la différence, parce que c’est lui qui est censé séduire la grenouille. La beauté de vos longues jambes fuselées, de votre corps tonique, de vos seins aux tétons dressés. Je ne sais même pas si les grenouilles s’intéressent au visage »
Audacieusement, saisissant sa chance, il prend en coupe un sein nu : « Grenouille, regarde ce gros nichon » Elle ne proteste pas, alors il envoie l’autre main saisir le deuxième sein : « Très beaux seins, vraiment très beaux » s’exclame-t-il pensivement. Saisissant les tétons entre ses doigts, il les presse et les fait tournoyer : « Grenouille, tu vois ces seins, comme ils sont beaux et fermes ? »
Elle se laisse faire. Croit-elle qu’il agit ainsi à des fins pédagogiques ? Elle est nue, dans le lit conjugal, et un inconnu lui tripote la poitrine. Elle ne se sent pas embarrassée, ni contrainte, elle est juste émoustillée. Elle est confuse. Seul son mari a le privilège de son corps. Ce type la tripote, intimement, et ça l’excite !

Tout en massant gaillardement sa poitrine, l'homme passe au sujet principal, celui qui le préoccupe depuis son arrivée, la chatte de la jeune femme blonde : « Votre sexe est splendide. Je n’avais jamais vue une petite chatte aussi mignonne, aussi bien dessinée. Vous pourriez servir de modèle pour un peintre avec une chatte aussi fabuleuse. En plus, elle est à peine entrouverte, elle brille dans la lumière, on dirait une rivière de diamants disposée sur un lit de velours »
Le désir lui monte au cerveau, et il devient lyrique. Mais il se reprend vite et se concentre sur le sujet qui l’intéresse : « D’où je suis placé, je peux voir entre vos lèvres entrebâillées que vous êtes remplie de mouille, donc parfaitement excitée. La grenouille peut le voir aussi, je ne comprends pas ce qu’elle attend. Décidément, je ne comprends pas cette grenouille. À sa place, je sais bien ce que je ferais »
Elle est tout simplement subjuguée. Son mari n’est pas très bavard, avare de compliments, et parfois un peu rustre dans son approche des rapports sexuels. Elle est décontenancée par l’attitude cavalière de ce type qui s’empare de ses seins, les tripote, la fait mouiller, en lui racontant des bêtises sur sa beauté. Comme elle ne semble pas s’offusquer, le type profite de son avantage : « Au fait, votre chatte est à présent béante, et trempée de mouille, ai-je raison de penser que vous êtes prête pour la grenouille ? J’ai raison, n'est-ce pas ? »
Elle hoche la tête sans pouvoir parler. On dirait une petite fille prise en faute. Cet homme séduisant la captive, mais pas seulement. Il l’ensorcelle et la désoriente.

Une autre minute passe, sans évolution notable. Elle ne lui a rien proposé, et elle n’est pas assez excitée pour qu’il puisse lui grimper dessus. Il faut la travailler encore un peu pour qu’elle dépasse ses inhibitions. Il libère ses seins et se redresse :
« Essayons autre chose. Nous devons appâter la grenouille. L’attirer, pour ainsi dire. Posez vos deux mains à plat de part et d’autre de votre chatte, et écartez au maximum. Il faut que le grenouille voit bien ce que vous attendez d’elle. Allez, ouvrez bien ! »
Sans aucune timidité, elle obtempère, le regard fixé sur le visage du gars, pour épier ses réactions. Elle écarte largement ses chairs pour permettre à la grenouille, et à l'homme, de bien voir son entrée rosée exsuder ses sucs. La vue est attrayante, au moins pour l'homme. Elle contemple la montée du désir dans les yeux de l'homme, mais aucune offre directe ne vient, ni de l'un, ni de l'autre. Elle s’attend toujours à ce que la grenouille fasse ce qu’elle a été entraînée à faire.

L'homme peut voir que son clitoris, légèrement émergé, est en érection. Il se redresse fièrement, semblant réclamer un peu d’attention. Il attend un petit moment, puis demande : « Essayez de jouer avec vous-même, pendant que la grenouille regarde, peut-être cela la motivera »
Le gars lui demande de faire exactement ce qu'elle avait envie de faire depuis un moment, mais elle n'osait pas. Elle pose lentement le bout de ses doigts sur son clitoris. Elle commence à se caresser lentement, en faisant des cercles concentriques. Progressivement, elle accélère le mouvement. À travers ses paupières mi-closes, elle surveille le visage du gars penché sur elle : « Comme ça ? » Sa voix hachée traduit son excitation et son trouble.

« Faites-le comme vous le faites d’habitude »
Elle ferme les yeux et resserre légèrement ses doigts, puis prolonge sa caresse. Il est évident, à la façon dont elle respire, qu'elle apprécie cela : « Oui, comme ça ! Et avec l’autre main, ouvrez les petites lèvres pour mettre vos doigts dedans » Il la regarde se faire plaisir. Il est évident que ce n’est pas la première fois.

« Comme ça ? C’est bien comme ça ? » demande-t-elle d’une voix mourante.

Il se penche hardiment pour la regarder de masturber. Elle a probablement atteint un niveau d’excitation au-delà du point de non-retour, et elle ne pourra pas le chasser si elle le voit faire. De plus, se masturber, nue, devant un inconnu, semble lui apporter un surcroît de motivation. Son vagin, gorgé de sang et de cyprine, est devenu rouge.

Il la regarde de près pendant qu'elle se manipule. Puis il tourne la tête pour regarder l’expression de son visage. Le hasard fait qu’elle ouvre les yeux juste à ce moment-là. Leurs regards se croisent. Il lui sourit. Elle referme les yeux instantanément. Il est évident qu’elle n’est pas à l’aise. Nue sur la couche conjugale, se masturber devant un inconnu, à l’insu de son mari … N’empêche, ses mamelons se dressent un peu plus sous le coup de l’émotion.

Elle est au comble de l’excitation. Elle lui a dévoilé plus d'elle-même qu’à personne d’autre, son mari compris. Personne, pas même son mari, ne l’a vu agir ainsi. Et elle ne se rappelle pas avoir déjà atteint un tel niveau d’excitation. Ensuite, le gars, devinant sa faiblesse, outrepasse l’interdit : « Grenouille, regarde »
Sur ce, il se penche et retire lentement le doigt qu’elle avait enfilé dans sa vulve, pour le remplacer par deux doigts à lui, nettement plus gros. Aussitôt, elle se met à panteler en gémissant doucement. Elle est serrée, mais mouillée, et tous deux peuvent sentir comment elle agrippe ses doigts tandis qu'ils coulissent lentement en elle.

Les yeux fermés, les dents serrées, la respiration haletante, elle astique son petit bouton avec une rage fougueuse. Elle ne proteste pas contre l’intrusion des doigts étrangers. Ces doigts vont et viennent dans son con trempé, ils la baisent comme une bite le ferait. Leurs mains libres ont rejoint la poitrine de la jeune femme, chacun s’est emparé d’un sein, qu’ils massent rudement.

Les secondes défilent, elle ne fait aucun commentaire, ne proteste pas contre l’audace de son geste. Enfin, elle cède à ses émotions, et commence à se confier à cet inconnu qui l’encourage à se dévergonder : « Je n'avais jamais fait ça auparavant, me caresser devant quelqu’un » Étonnamment, elle ne mentionne pas le fait qu'il la doigte énergiquement.

« Pas même devant votre mari ? »
« Surtout pas. Il se mettrait probablement en colère, et ne comprendrait pas pourquoi je fais ça, alors qu’il est là pour prendre soin de moi »
« Et votre mari prend bien soin de vous ? »
Elle a l'air gênée, presque contrariée au moment de répondre ; « Il travaille beaucoup, et il n’est pas souvent là. Quand il rentre, il est fatigué, ou surexcité. Dans ce cas, je suis son jouet, le repos du guerrier. Parfois, je lui sers d’ornement, comme un trophée qu’il aime montrer à ses amis. Il me demande alors de m’habiller sexy, pour lui faire honneur. Mais si d’autres hommes me convoitent, il se met dans des colères terribles en rentrant à la maison, comme si c’était de ma faute »
Le vendeur pense : « Ouais, si ça se trouve, ce crétin la trompe quand il est en déplacement. Selon sa bonne fortune, il rentre abattu ou surexcité. Mais il n’apprécie probablement pas ce qu’il a chez lui »
« Et ton mari est le seul homme à avoir eu accès à ton intimité ? » Il voudrait lui demander si elle a déjà eu des aventures, mais il ne sait pas comment formuler la question sans la froisser. Sa réponse le surprend.

« J'étais vierge le jour de mon mariage »
Le gars est surpris d'entendre qu’une aussi jolie fille ait pu passer entre les mailles du filet, sans qu’aucun macho qu’elle a pu croiser dans sa jeunesse n’ait réussi à la corrompre. Mais aussitôt, il a l’explication, quand elle lui confie qu’elle s’est mariée à tout juste 17 ans. Elle n’a pas arrêté de se caresser tout le temps des confidences. Il est évident qu’elle a du plaisir à se confier à ce jeune homme si avenant. Peut-être même que ça l’excite un peu de raconter ses affaires privées avec son mari.

Elle est sincère, et spontanée. Mise en confiance par ce bel inconnu, elle lui permet de faire des gestes qu’elle n’oserait pas demander à son mari, de peur qu’il la repousse. Et les caresses prodiguées par ce gars lui font de l’effet. Beaucoup d’effet. Sa voix devient rauque. Elle est mouillée maintenant, très mouillée. De temps en temps, elle jette même un coup d'œil vers la bosse qui gonfle son pantalon, et ses doigts accélèrent le mouvement sur son clitoris.

« Je ne peux pas attendre plus longtemps. Peux-tu faire quelque chose avec cette grenouille ? »
Il regarde la grenouille toujours immobile, retire ses doigts de l’intimité de la jeune femme, se saisit de la grenouille et l’approche de la chatte en effervescence. Il demande à la jeune femme d’arrêter de se masturber et de se servir de ses deux mains pour s’ouvrir au maximum. La grenouille ne montre pas la moindre émotion. Alors, en la replaçant dans sa boîte, il lui dit :
« Écoute-moi bien ! C’est la dernière fois que je te montre ! »
La jeune femme ne dit pas un mot en regardant le gars se déshabiller. Pas une plainte, pas une protestation. Elle continue de tenir sa chatte grande ouverte, les jambes écartées et légèrement repliées. Ses yeux fixent la virilité du jeune homme. Son pénis n’est pas très long, mais épais, très épais.

Quand il s’installe sur le lit, à genoux entre ses jambes ouvertes, elle a un frisson d’anticipation. Il semble beaucoup plus fort que son mari. Déjà qu’avec son mari, les rapports sont parfois douloureux. Elle fixe son membre palpitant et impressionnant, qui ressemble à un bélier prêt à défoncer sa petite chatte.

Il se positionne à l’entrée et caresse sa chatte avec son gland, tout le long de sa fente, allant du clitoris jusqu’à la raie culière. Il recueille sa mouille sur la pointe de sa bite et fait mine d’entrer. Dans son état, mouillée et excitée comme jamais, elle ne peut plus attendre, alors elle enroule ses jambes autour du gars, et l’attire en elle.

Un gémissement profond s’échappe de ses lèvres Il la regarde en souriant. Il n’est pas pressé. Il veut profiter du moment. Il commence à s’enfoncer en elle, progressivement, par paliers, se retire un peu, s’insère un peu plus loin. Elle le supplie, s’impatiente, voudrait qu’il la baise plus énergiquement.

La sensation de cette bite qui écarte ses chairs est délicieuse. Tout ce temps passé à la chauffer en la tripotant l’a rendue parfaitement réceptive. Elle est prête. Elle veut se faire démonter. Maintenant. Un long gémissement s’échappe de ses lèvres et c’est elle, en prenant appui avec ses talons sur les fesses du gars, qui commence à osciller du bassin, s’empalant sur la bite tendue.

Des petits cris aigus ont remplacé ses gémissements. Les yeux résolument clos, bouche grande ouverte, elle halète et s’excite en se contorsionnant sous lui. Il la regarde, même pas étonné, tellement il était sûr que cette nana était une affaire au lit.

Délibérément, Il ne se livre pas entièrement. Non, pas encore. Il l’accompagne un peu, se révèle petit à petit. Elle semble en transe, s’accroche à ses épaules, un râle profond s’échappe de ses lèvres tandis qu’elle frissonne sous lui. Se pourrait-il qu’elle jouisse déjà ?

Il attend qu’elle se calme, qu’elle reprenne ses esprits, et il prend le temps de lui glisser un oreiller sous ses fesses. Le bassin ainsi surélevé, les jambes relevées, elle sera parfaite pour ce qu’il veut faire d’elle. Il prend son temps, la câline, l’embrasse amoureusement en lui disant qu’elle est la plus belle et la plus merveilleuse des femmes.

Cet mec est brillant au lit, il est expérimenté, et la beauté sculpturale de sa partenaire le pousse à se surpasser. Et donner du plaisir est le nom du jeu. Elle commence à apprendre ce que peut ressentir une femme bien baisée. Ce gars au-dessus d’elle, qui la maintient en place avec ses bras puissants, qui la fouille au plus profond de son être avec sa bite à tête chercheuse, la rend folle.

Alors, profitant de son euphorie passionnelle, il la questionne, pour obtenir ses confidences : « Est-ce que ma bite n’est pas trop grosse, ce n’est pas trop douloureux ? »
Il ne s’attendait pas à ce qu’elle lui fournisse d’elle-même l’information capitale : « Oh, non, tu es beaucoup plus gros que mon mari, mais c’est si fascinant. Je te sens partout en moi, j’ai une sensation de plénitude, tu me rempli toute ! » Il n’en demandait pas tant, mais elle en rajoute : « Et tu dures plus longtemps, aussi ! »
Cette jeune femme manque visiblement d’expérience, et il veut lui fournir matière à comparaison. Qu’elle sache définitivement que son mari est un petit branleur, et qu’un vendeur en animalerie peut être un amant parfait qui lui permettra d’exulter. Il la serre fort dans ses bras musclés, en s’enterrant vigoureusement au fond de sa vulve.

Le visage blotti dans le cou de l’homme qui la révèle, elle gémit et l’encourage par de petits cris féminins.
Maintenant, avec les fesses relevées par l’oreiller, avec les jambes enroulées autour de ses hanches, elle subit de plein fouet la charge fantastique qui l’asservit et l’enchaîne.

Il a une dernière épreuve à franchir. Le test ultime. Cette femme mariée acceptera-t-elle de l’embrasser ? Au-delà du simple fait de tendre ses lèvres à un inconnu, de s’offrir corps et âme, d’accepter de se soumettre au désir du mâle. Mais donner tout son amour. Ses sentiments les plus purs, les plus profonds. Il pose se lèvres sur les siennes. Et la jeune femme blonde lui répond immédiatement, en l’embrassant passionnément, et en le pressant fortement contre elle. Maintenant, ils sont amants.

Tout cela est nouveau pour elle. L’idée de départ, s’amuser un moment avec une grenouille, est bien loin. Son mari aussi. Elle veut l’oublier, ne pas penser à lui. Elle veut se consacrer à l’instant présent. Profiter du moment, de ce beau garçon qui lui a procuré tant de plaisir. Un plaisir qu’elle ne connaissait pas, mais qu’elle recherchera désormais.

L’homme sur elle, son amant, ne faiblit pas. Il continue de la baiser en cadence, passionnément, car il est proche. Elle attrape sa tête et l’embrasse amoureusement. Elle le sent convulser et jaillir en elle. Il l’entraîne dans un tourbillon de sensations folles. Puis le calme revient, lentement. Pour lui, ce n'est qu'une aventure, une nouvelle conquête. C'est une très jolie femme, et une bonne baise. Pour elle, c'est le début d’un roman d’aventure. Une chose dont elle n’avait jamais rêvé, parce qu’elle ignorait son existence. Cet homme, entre ses cuisses ouvertes, lui a fait découvrir le plaisir charnel. Elle soupire bruyamment, et une petite larme de bonheur perle au coin de ses yeux.

Sa grosse bite est restée enfouie profondément en elle. Il recommence à bouger lentement sur elle, et elle s'enroule autour de lui avec tout ce qu'elle a. Ses bras et ses jambes s'agrippent à lui tandis qu'il continue de bouger ses hanches avec un mouvement ample et régulier. Il a glissé ses mains sous son cul, empoigné ses fesses, et il la baise farouchement en augmentant son rythme.

Pour la première fois de sa vie, elle se fait baiser, vraiment défoncer. Son premier orgasme à peine achevé, il remet le couvert sans prendre de pause. Elle ignorait que cela soit possible. Une première vague la prend, la soulève et l’emporte. Suivie d’une autre, puis d’une autre. Cela semble éternel, comme la longue plainte qui s’échappe de ses lèvres.

Maintenant, elle le sait, elle lui appartient. Définitivement. Maintenant, il sait qu’il pourra la baiser quand il voudra, dès qu’il aura un moment.