La Grosse 1 - histoire érotique

La grosse 1

Depuis ma plus tendre enfance, j'étais une fille enrobée, j'avais bon appétit et j'étais nourrie aux produits de la ferme. Du lait entier, de la crème, du beurre, du fromage, des œufs … sans parler des confitures maisons.

Bref, des l'école primaire, on m'a appelé la grosse. Encore pire au collège où j'occupais systématiquement la table du fond. J'avais bon caractère, plutôt rigolarde, j'étais une bonne camarade et je m'acceptais avec fatalisme.
A l'époque, j'avais 16 ans et la poitrine d'une femme mais économie oblige, je ne portais pas de soutien gorge. Je n'en réclamais pas car j'aimais me sentir libre et j’aimais le frottement de mes tétons sur le tissus de mes robes et corsages. Je sentais les pointes s'ériger et l'envie de me caresser.
Mes doigts partaient à la recherche de mon petit bouton, j’ai mouillé très tôt abondamment et cela me démangeait. Je me frottais sur des coins de table, j'utilisais ma brosse à dents avec du dentifrice mentholé, je faisais du vélo sans culotte….
Ensuite des légumes ont remplacé mes doigts et je me suis dépucelé très jeune.
Très tôt, mon physique a excité la curiosité de mes camarades. Dans les vestiaires collectifs de la piscine ou du stade, je n'hésitais pas à me déshabiller et à m'exhiber devant des filles plates et pudiques.
A certaines de mes amis, j'offrais facilement mes seins à caresser, devant les autres qui se pressaient en gloussant.
J'étais précoce, une toison brune et épaisse recouvrait mon pubis et j'avais de grandes lèvres.
J'entrainais la plus délurée dans les toilettes pour une leçon d'anatomie comparée, j'adorais qu'elle me fouille de ses doigts à l'intérieur de ma vulve puis à la découverte de mon capuchon et de mon clitoris. Elle se mettait à genoux et observait mon clitoris pointer sous l'action de ses doigts et de mon excitation. Certaines allaient jusqu'à utiliser leur langue pour augmenter mon plaisir. C'est ainsi que j'ai eu mon premier orgasme.
Ma réputation a vite fait le tour du lycée provoquant sarcasmes et envies. Mon sobriquet de grosse s'est enrichi de noms divers : grosse salope, grosse truie…. Puis les garçons ont voulu les imiter.
Une fille exhib et consentante quelle aubaine.
Les rendez-vous se faisaient dans la nature, les granges ou une maison abandonnée. Parfois un appartement quand les parents s'absentaient.
Je me déshabillais, c'est-à-dire que j'enlevais ma robe par dessus et j'étais nue dessous puis je me trémoussais et prenais mes seins par-dessous à pleines mains et je les agitais sous leurs nez, j'étirais les pointes, les faisais rouler et je prenais leurs mains pour qu'ils me pelottent.
J'étais très sensible des seins et des pointes en particulier.
Le scénario se répétait mais souvent ils étaient plusieurs , ils sortaient leurs queues pour se masturber et je les masturbais à mon tour.
J'aimais voir le sperme gicler et se répandre à leurs pieds puis ils repartaient honteux.
Plus tard, j'ai pu aussi les prendre en bouche, les sucer sous leurs encouragements et c'est comme ça que j'ai reçu ma première ration de sperme que j'ai recraché sous l'effet de la surprise.
A ce moment là, mes petits camarades giclaient sur ma poitrine, j'aimais voir le sperme s'étaler, sentir son odeur et sa chaleur.
Mon sobriquet a encore évolué, je suis devenu la Grosse pute.
J'étais accro à ces jeux, je ne pensais qu'au sexe et j’y prenais beaucoup de plaisir. J'assumais sans honte et même je provoquais les situations. J'adorais les exciter, les voir sortir leurs bites et s'astiquer, les voir grossir, les comparer aussi, j'aimais les prendre en main ,les soupeser, les décalotter, les caresser puis les lécher comme un esquimau avant de les mettre en bouche.
J'ai déniaisé ainsi pratiquement tous les garçons du village souvent en groupe de deux ou trois puis quelques grands frères qui eux me voulaient pour eux seuls et manifestaient plus d'exigences.
Ils se montraient plus autoritaires, m'insultant, me tenant la tête, m'imposant des gorges profondes à me faire vomir, au mieux, éjaculant sur mes seins puis l'étalant avant de porter leurs doigts à ma bouche. Mais leurs plus grands plaisirs étaient de le faire au fond de ma bouche et de me demander d'avaler.
Si l'idée au départ me déplaisait, j'ai vite surmonté mon dégout pour en apprécié le goût. Je savais qu'ils me traitaient mal, qu'ils me méprisaient mais cela augmentait encore mon excitation et mon plaisir, j'aurais voulu qu'ils me frappent, me trainent dans la boue, me transforment en esclave.
Mon activité sexuelle s'arrêtait à la pipe. Je restais vierge même si mon hymen avait depuis longtemps disparu.
A cette époque, on ne pouvait pas prendre le risque de tomber enceinte, l'avortement était interdit et dangereux, on ne parlait ni de préservatifs ni du Sida.

Évidemment ma réputation est arrivée aux gens du village et aux oreilles de mes parents.
Bien que j'ai tout nié en bloc, en argumentant que c'était à cause de mon physique, ils m'ont traité de trainée et de tous les noms d'oiseaux en me frappant.
A l'école, j'étais très bonne en physique chimie et sciences naturelles, je voulais quitter la ferme, devenir infirmière ou mieux vétérinaire. Je préparais le concours de Lyon, réputé difficile.
Aussi mes parents m'encourageaient, et étaient très contents de me voir quitter le village.
J'étais boursière et l'avenir s'offrait à moi.