La Grosse 4
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Grosse 4
La Grosse 4
Mes études ont été passionnantes et exigeantes. Le campus proche de Lyon me permettait de me fondre dans l'anonymat d'une grande ville et de trouver toutes sortes de lieux de débauche dans la nature, les wc publics, les parcs, les cinémas pornos et nouvelle découverte pour moi, les clubs et saunas libertins.
Malgré ma corpulence 1.75 pour 120 kg, mon sexe , mon âge et mon 120 E me permettait l'accès gratuit.
J'essayais de me libérer au moins une fois par mois, je fus aussi invitée à des soirées privées, offre que je déclinais le plus souvent, n'étant pas libre, les études avant tout, mais aussi pour préserver mon anonymat.
J'ai participé à une de ces soirées par curiosité. C'était une soirée SM mais c'est une autre histoire.
Les soirées en club étaient mon lieu de rencontre favori. Je m'habillais d'un ensemble résille élastique et de bottines, je m'exhibais sur la scène sur l'air de 37.5 le matin puis je me baladais dans les coins intimes.
J'affectionnais toujours les gloryholes. Ceux-ci étaient percés de trous à différentes hauteurs et moi j'étais debout à un niveau inférieur.
J'avais aussi du succès auprès de mes congénères qui appréciaient ma langue. Elles venaient sur moi en 69, nous discutions ensuite de nos préférences mais je gardais une certaine distance même si il y avait beaucoup de connivence.
C'est grâce à ces discussions que j'en vins à accepter la sodomie.
Dans les salles X, on m’avait beaucoup sollicité, j'avais eu beaucoup de plaisir à ce que l'on me caresse cette zone, certains hommes m'avaient léché, j'avais trouvé cela très agréable mais je refusais d'aller plus loin.
Aussi un soir, je m'étais préparée après avoir fait un lavement . Une amie m'avait prêté un rosebud.
Elle m'avait montré comment l'enduire de gel et j'avais été surprise de la sensation éprouvée par le poids et la consistance.
Ce soir là, j'avais retrouvé le couple et nous sommes installés dans un coin câlin. Moi à genoux, les fesses relevées au bord du matelas.
Mon amie a commencé par sucer son homme, lui m'a préparé avec sa bouche et sa salive puis avec du gel en insérant l’index et en le faisant tourner puis glisser. Après, il a ajouté le majeur. J'ai senti mon anneau céder, je croyais qu'il avait ajouté l'annulaire quand je me suis rendu compte que c'était son sexe recouvert d'un préservatif qui me pénétrait jusqu'à la garde.
Je sentais ses poils du pubis sur ma peau. Aucune douleur mais la sensation d'être pénétrer, plus que vaginalement.
Il est vrai que seule une main d'homme au fond de mon vagin m'apporte du plaisir. Cela s'était produit plusieurs fois ,la main dans un préservatif. Par des mouvements amples et rapides, j'atteignais l'orgasme. Je suis même une femme fontaine. Lors d'une soirée gangband, j'avais demandé que l'on me torture les seins, particulièrement les tétons et de me présenter un maximum de queues à sucer tout en me fistant vaginalement.
A l'époque, il n'y avait pas de téléphone portable ni de réseau sociaux. Le minitel venait d'apparaitre mais les consultations en 36/15 n'étaient pas dans mes moyens.
Le Sida faisait des ravages dans la communauté homosexuelle et les échangistes se protège aient.
Sur le campus, j'ai eu de très bonnes relations de travail et amicales mais je voulais avant tout garder mon jardin secret.
Après mon diplôme, j'ai exercé des remplacements auprès de cabinets vétérinaires, j'ai aussi travaillé aves des laboratoires de recherche.
Mais l'idée la plus commune c'est qu'un femme XXL n' a pas de besoins sexuels, de libido.
Je donne le change par ma force de travail et mon côté jovial même si certains hommes sont attirés par des grosses, je ne pas près à faire mon coming out.
Mes études ont été passionnantes et exigeantes. Le campus proche de Lyon me permettait de me fondre dans l'anonymat d'une grande ville et de trouver toutes sortes de lieux de débauche dans la nature, les wc publics, les parcs, les cinémas pornos et nouvelle découverte pour moi, les clubs et saunas libertins.
Malgré ma corpulence 1.75 pour 120 kg, mon sexe , mon âge et mon 120 E me permettait l'accès gratuit.
J'essayais de me libérer au moins une fois par mois, je fus aussi invitée à des soirées privées, offre que je déclinais le plus souvent, n'étant pas libre, les études avant tout, mais aussi pour préserver mon anonymat.
J'ai participé à une de ces soirées par curiosité. C'était une soirée SM mais c'est une autre histoire.
Les soirées en club étaient mon lieu de rencontre favori. Je m'habillais d'un ensemble résille élastique et de bottines, je m'exhibais sur la scène sur l'air de 37.5 le matin puis je me baladais dans les coins intimes.
J'affectionnais toujours les gloryholes. Ceux-ci étaient percés de trous à différentes hauteurs et moi j'étais debout à un niveau inférieur.
J'avais aussi du succès auprès de mes congénères qui appréciaient ma langue. Elles venaient sur moi en 69, nous discutions ensuite de nos préférences mais je gardais une certaine distance même si il y avait beaucoup de connivence.
C'est grâce à ces discussions que j'en vins à accepter la sodomie.
Dans les salles X, on m’avait beaucoup sollicité, j'avais eu beaucoup de plaisir à ce que l'on me caresse cette zone, certains hommes m'avaient léché, j'avais trouvé cela très agréable mais je refusais d'aller plus loin.
Aussi un soir, je m'étais préparée après avoir fait un lavement . Une amie m'avait prêté un rosebud.
Elle m'avait montré comment l'enduire de gel et j'avais été surprise de la sensation éprouvée par le poids et la consistance.
Ce soir là, j'avais retrouvé le couple et nous sommes installés dans un coin câlin. Moi à genoux, les fesses relevées au bord du matelas.
Mon amie a commencé par sucer son homme, lui m'a préparé avec sa bouche et sa salive puis avec du gel en insérant l’index et en le faisant tourner puis glisser. Après, il a ajouté le majeur. J'ai senti mon anneau céder, je croyais qu'il avait ajouté l'annulaire quand je me suis rendu compte que c'était son sexe recouvert d'un préservatif qui me pénétrait jusqu'à la garde.
Je sentais ses poils du pubis sur ma peau. Aucune douleur mais la sensation d'être pénétrer, plus que vaginalement.
Il est vrai que seule une main d'homme au fond de mon vagin m'apporte du plaisir. Cela s'était produit plusieurs fois ,la main dans un préservatif. Par des mouvements amples et rapides, j'atteignais l'orgasme. Je suis même une femme fontaine. Lors d'une soirée gangband, j'avais demandé que l'on me torture les seins, particulièrement les tétons et de me présenter un maximum de queues à sucer tout en me fistant vaginalement.
A l'époque, il n'y avait pas de téléphone portable ni de réseau sociaux. Le minitel venait d'apparaitre mais les consultations en 36/15 n'étaient pas dans mes moyens.
Le Sida faisait des ravages dans la communauté homosexuelle et les échangistes se protège aient.
Sur le campus, j'ai eu de très bonnes relations de travail et amicales mais je voulais avant tout garder mon jardin secret.
Après mon diplôme, j'ai exercé des remplacements auprès de cabinets vétérinaires, j'ai aussi travaillé aves des laboratoires de recherche.
Mais l'idée la plus commune c'est qu'un femme XXL n' a pas de besoins sexuels, de libido.
Je donne le change par ma force de travail et mon côté jovial même si certains hommes sont attirés par des grosses, je ne pas près à faire mon coming out.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bof
Pourquoi coming out ?
Pourquoi autant de fautes , pensez à vous relire.
Peu importe la taille , le poids 1 femme est toujours belle.
Pourquoi autant de fautes , pensez à vous relire.
Peu importe la taille , le poids 1 femme est toujours belle.
superbe confession