La grosse Monique a Djerba
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La grosse Monique a Djerba
Nous étions en vacances à Djerba. Tous les matins nous allions à la piscine. J’avais l habitude de ne pas utiliser les toilettes communes , je montais faire pipi en chambre.
Tous les matin je voyais Farid un homme de chambre qui travaillait à l’hôtel. J’étais, charmée par sa beauté et son charisme, je commençais à lui adresser des sourires complices à chaque passage dans les couloirs.
-Bonjour,
-Bonjour gazelle, répondait-il.
L'homme de chambre, flatté par l'attention d’une femme beaucoup plus âgée, répondait avec respect et politesse. Au fil des jours, notre relation prit un tournant plus intime. Ce matin la il était en train de faire notre chambre et j’entrai pour faire pipi.
-Bonjour gazelle.
-Bonjour Farid.
-Ton gazou toujours à la piscine? Il s’occupe pas de toi?
-Non il nage et fait bronzette.
Je suis entrée dans la salle de bain et me suis assise sur les toilettes.
Soudain, le seul bruit que l’on pouvait entendre était celui de l’urine qui s’écoulait dans les toilettes. Il était clair qu’il écoutait ce que je faisais. J’ai demandé : « Farid, je n’ai plus de papier. » Il a légèrement entrouvert la porte de la salle de bain et m’a tendu un rouleau de papier toilette. D’un geste du pied, j’ai ouvert la porte. Farid, debout, semblait surpris, me regardant assise sur les toilettes avec un air perplexe. Je vis la bosse sur son pantalon ,je pris l'initiative d’aller vers lui , Je me mis a genoux, j’ouvris sa braguette du pantalon et je me mis a le suçer. Il se laissa emporté par la situation et se laissa faire. Je sentis du liquide pré séminal sortir de la bite de Farid .il grognait de plus en plus fort , alors je le branlais sachant qu’il allait jouir. Je pris plusieurs giclées sur mon maillot une pièce. Je changeais ma tenue de bain toute spermée . Il me regardait me réajuster et je dis a Farid de me rejoindre dans la chambre le soir après le spectacle de l’hôtel.
De retour a la piscine mon mari avait vu que j’avais changé de maillot, et il me demandait pourquoi . Je lui racontais , mon candauliste de mari bandait rien que à l’idée. Il cachait son chapiteau avec ma serviette.
J’avais hâte qu’il soit 23 h. J’allais réaliser mon fantasme me faire sauter par un maghrébin.
À l'heure convenue, il frappa à la porte. Il était surpris que mon mari lui ouvre. Je l'ai rassuré en lui disant qu’il était candau et qu’il voulait nous regarder faire l'amour. Il accepta et entra dans la chambre.
Je l’attendais sur le lit en culotte soutif avec des bas noirs assortis. Sans perdre de temps, je me mis à quatre pattes écartant son string culotte sur le coté. Il avait maintenant une belle vue sur ma fente et qui était déjà bien humide.
Il se mit à me caresser la chatte avec le pouce de haut en bas en insistant un peu plus sur le clitoris. Je bougeais discrètement les fesses de haut en bas comme pour accompagner ses caresses et ma respiration se modifiait, j’étais bien excitée de me faire caresser par Farid. Je ne m'étais toujours par retournée et je ne voyais donc pas qu’il avait ouvert son pantalon et qu’il sortait sa bite. Il avait une bite assez courte , une quinzaine de centimètres, mais très large avec un gros gland qui ressemblait un peu au chapeau d'un gros champignon. J’avais maintenant la tête dans les coussins, en position de levrette. J’avais aussi davantage écarté les cuisses et il introduit directement l'intégralité d'un de ses gros doigts au fond de ma chatte qui me fit sursauter de surprise devant ce geste peu délicat. Avec un plaisir difficilement dissimulé, il entrait et il sortait doucement de ma chatte toute mouillée. Il respirait fort et sa trique était sans doute déjà maximale. Il ne devait pas avoir eu souvent l'occasion de baiser une quinquagénaire ,blanche toute fraiche.
Il avait lâché sa queue et de l'autre main il écartait une de mes fesses, pour regarder mon petit trou qui avait l'air de lui faire de l'œil. Je savais les arabes très portés sur l'anal.
Il enleva sa chemise pour se retrouver en marcel blanc assez transparent.
Il vint se placer derrière moi le pantalon aux chevilles et mon mari l'arrêta juste à temps avant qu'il n'enfonce sa queue dans ma chatte sans autre forme de procès.
Mon mari mit une main sur mes fesses pour faire barrage et Farid le regarda surpris. Il lui dit "comme ça sans préliminaires ? Et sans capote ?".
Il le regarda surpris comme s'il ne comprenait pas et il répondit "j’en peux plus et de toute façon elle est déjà trempée".
Je tournais la tête et jetant un air interrogatif. Mon Mari sortit un préservatif de sa poche et le lui donna. Farid marmonna un truc dans sa moustache. Je retirais ma culotte et mon soutien gorges. J’étais nue avec mes bas noirs sur les draps blancs. La scène était un peu surréaliste. Le gars ne quitta pas son marcel et retira tout de même le reste de ses affaires.
Je me mit sur le dos, écartant les cuisses, lui enfilant le préservatif sur sa bite. La scène était très excitante, Moi les jambes écartées ouvrant mes lèvres avec mes deux mains, l’homme de chambre tout près ,bien raide , son chibre tellement tendu qu’il se courbait vers le haut. Il présenta sa bite au bord de mon vagin et entra méticuleusement en moi en missionnaire. Il m’embrassait à pleine bouche et faisant des va et viens pas trop rapide mais à cadence constante. Je le suppliais de cogner plus fort.
Je me remit à quatre pattes, et sans perdre de temps, Farid posa ses deux grosses mains de chaque côté de mes fesses et s'enfonça d'un coup sec, comme il l'avait fait avec ses doigts. A nouveau, je me crispais mais il m'attirait vers lui pour rester bien au fond. J’ avais bien senti passer son gros gland, et ça me plaisait. Son membre bien épais me remplissait, faisant en moi monter l’extase.
Il se mit à ma limer avec plus de ferveur, s'appliquant à bien aller au fond à chaque mouvement. Il était relativement musclé et athlétique, ce qui lui permettait de maintenir une allure rapide et puissante, avec des coups de queue lourds et décidés.
Je me mit assez rapidement à chouiner, ce qui avait dû encourager Farid qui se mit à me ramoner avec encore plus de vigueur. Le lit se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
Mon mari restant devant le lit et voyait simplement le cul de Farid aller et venir et ses couilles pendantes qui venaient claquer sur mon clito de salope, ce qui devait surement lui plaire.
Farid marmonnait de temps en temps des choses à voix basse dans sa langue, sûrement des insultes ou des trucs dégueulasses.
Farid suait à grosses gouttes, les poils de ses fesses et de son torse perlaient.
Ma chatte faisait des bruits de succion sur la queue de mon amant, de la cyprine coulait abondamment mouillant les couilles de mon étalon arabe ,c'était très excitant.
Après un bon quart d'heure de limage dans cette position et sans prévenir, Farid se retira et me fit basculer sur le dos de façon assez brutale. J’etais assez surprise mais j’écartais les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue de Farid.
Celui-ci s'introduit à nouveau à fond et ses couilles venaient frotter sur les draps avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur moi, pour me baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule. Il frottait son gros corps contre moi et m'enduisait de sa sueur.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous mes mollets et ramena mes jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça mes chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait grincer le lit assez fortement. Je jouissais bruyamment et cela dû accentuer l’excitation de Farid et il jouit vaillamment quelques minutes plus tard au fond de moi, a son tour, en se penchant et en m'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression en langue étrangère.
Il resta allongé quelques minutes sur moi, me roulant des pelles et faisant encore de temps en temps des allés et retours. Je le retenait en l’encerclant avec mes jambes. Notre excitation descendit progressivement. Il se retira d'un coup et enleva sa capote pendante de jus blanchâtre. Celle ci claqua projetant le sperme sur le lit. Farid se rhabilla.
J étais restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec la chatte dilatée et le clito gonflé.
Sans savoir ce qui lui a prit, mon mari vint placer la tête entre mes cuisses pour me lécher le clito.
Il était fou d'excitation, ma cyprine lui coulait dans la gorge . Il me pénétrait, je ne le sentais pas tellement j’étais dilatée et humide après le passage de Farid
Quelques aller retour avec sa petite queue entièrement noyée suffirent à le faire éjaculer à grosses giclées. mettant sa semence sur les draps. Farid alla chercher des draps propres, et il nous souhaita bonne nuit. Il ne restait plus que un jour, j’avais le vagin nostalgique et mouillais encore en m’endormant. J’ espérais encore me faire limer par mon beau maghrébin, car rarement un homme m’avait procurer une jouissance vaginale aussi intense…
Le lendemain matin, nous avons quitté la chambre au même moment que notre voisin. Il m'a fait un clin d'œil complice et un geste de la main avec un pouce levé, signifiant "super". Il avait probablement entendu les bruits provenant de notre chambre à travers les parois peu isolées. Il ignorait totalement que c’était pas mon mari qui était impliqué dans cet ébat.J’étais silencieuse pendant le petit déjeuner. Je pensais a Farid. Je souriait et répondait aux questions de mon époux, mais nos échanges manquaient de profondeur. Aucun mot n'a été prononcé au sujet de la soirée précédente ; j’y songeais fortement, mais j’évitais d'en discuter dès que il abordait le sujet. Comme à l'accoutumée, nous avons ensuite rejoint la piscine. Moi plongée dans ma lecture d'un polar tandis que lui faisais des longueurs. Au bout d’un moment, je décidai de retourner pour voir si Farid s’occupait des chambres.
Concentré sur l'amélioration de sa performance, il n'avait pas remarqué mon départ.
Je vis le chariot de Farid devant une chambre, alors je toquai. À ma surprise, ce n’était pas lui. L’homme qui faisait le ménage m’expliqua qu’aujourd’hui était son jour de repos. J’étais déçue, j’aurais espéré renouveler nos ébats de la veille. C’était notre dernier jour de vacances, et je ne reverrais plus Farid, notre vol retour étant prévu pour 6 heures du matin le lendemain.
Tous les matin je voyais Farid un homme de chambre qui travaillait à l’hôtel. J’étais, charmée par sa beauté et son charisme, je commençais à lui adresser des sourires complices à chaque passage dans les couloirs.
-Bonjour,
-Bonjour gazelle, répondait-il.
L'homme de chambre, flatté par l'attention d’une femme beaucoup plus âgée, répondait avec respect et politesse. Au fil des jours, notre relation prit un tournant plus intime. Ce matin la il était en train de faire notre chambre et j’entrai pour faire pipi.
-Bonjour gazelle.
-Bonjour Farid.
-Ton gazou toujours à la piscine? Il s’occupe pas de toi?
-Non il nage et fait bronzette.
Je suis entrée dans la salle de bain et me suis assise sur les toilettes.
Soudain, le seul bruit que l’on pouvait entendre était celui de l’urine qui s’écoulait dans les toilettes. Il était clair qu’il écoutait ce que je faisais. J’ai demandé : « Farid, je n’ai plus de papier. » Il a légèrement entrouvert la porte de la salle de bain et m’a tendu un rouleau de papier toilette. D’un geste du pied, j’ai ouvert la porte. Farid, debout, semblait surpris, me regardant assise sur les toilettes avec un air perplexe. Je vis la bosse sur son pantalon ,je pris l'initiative d’aller vers lui , Je me mis a genoux, j’ouvris sa braguette du pantalon et je me mis a le suçer. Il se laissa emporté par la situation et se laissa faire. Je sentis du liquide pré séminal sortir de la bite de Farid .il grognait de plus en plus fort , alors je le branlais sachant qu’il allait jouir. Je pris plusieurs giclées sur mon maillot une pièce. Je changeais ma tenue de bain toute spermée . Il me regardait me réajuster et je dis a Farid de me rejoindre dans la chambre le soir après le spectacle de l’hôtel.
De retour a la piscine mon mari avait vu que j’avais changé de maillot, et il me demandait pourquoi . Je lui racontais , mon candauliste de mari bandait rien que à l’idée. Il cachait son chapiteau avec ma serviette.
J’avais hâte qu’il soit 23 h. J’allais réaliser mon fantasme me faire sauter par un maghrébin.
À l'heure convenue, il frappa à la porte. Il était surpris que mon mari lui ouvre. Je l'ai rassuré en lui disant qu’il était candau et qu’il voulait nous regarder faire l'amour. Il accepta et entra dans la chambre.
Je l’attendais sur le lit en culotte soutif avec des bas noirs assortis. Sans perdre de temps, je me mis à quatre pattes écartant son string culotte sur le coté. Il avait maintenant une belle vue sur ma fente et qui était déjà bien humide.
Il se mit à me caresser la chatte avec le pouce de haut en bas en insistant un peu plus sur le clitoris. Je bougeais discrètement les fesses de haut en bas comme pour accompagner ses caresses et ma respiration se modifiait, j’étais bien excitée de me faire caresser par Farid. Je ne m'étais toujours par retournée et je ne voyais donc pas qu’il avait ouvert son pantalon et qu’il sortait sa bite. Il avait une bite assez courte , une quinzaine de centimètres, mais très large avec un gros gland qui ressemblait un peu au chapeau d'un gros champignon. J’avais maintenant la tête dans les coussins, en position de levrette. J’avais aussi davantage écarté les cuisses et il introduit directement l'intégralité d'un de ses gros doigts au fond de ma chatte qui me fit sursauter de surprise devant ce geste peu délicat. Avec un plaisir difficilement dissimulé, il entrait et il sortait doucement de ma chatte toute mouillée. Il respirait fort et sa trique était sans doute déjà maximale. Il ne devait pas avoir eu souvent l'occasion de baiser une quinquagénaire ,blanche toute fraiche.
Il avait lâché sa queue et de l'autre main il écartait une de mes fesses, pour regarder mon petit trou qui avait l'air de lui faire de l'œil. Je savais les arabes très portés sur l'anal.
Il enleva sa chemise pour se retrouver en marcel blanc assez transparent.
Il vint se placer derrière moi le pantalon aux chevilles et mon mari l'arrêta juste à temps avant qu'il n'enfonce sa queue dans ma chatte sans autre forme de procès.
Mon mari mit une main sur mes fesses pour faire barrage et Farid le regarda surpris. Il lui dit "comme ça sans préliminaires ? Et sans capote ?".
Il le regarda surpris comme s'il ne comprenait pas et il répondit "j’en peux plus et de toute façon elle est déjà trempée".
Je tournais la tête et jetant un air interrogatif. Mon Mari sortit un préservatif de sa poche et le lui donna. Farid marmonna un truc dans sa moustache. Je retirais ma culotte et mon soutien gorges. J’étais nue avec mes bas noirs sur les draps blancs. La scène était un peu surréaliste. Le gars ne quitta pas son marcel et retira tout de même le reste de ses affaires.
Je me mit sur le dos, écartant les cuisses, lui enfilant le préservatif sur sa bite. La scène était très excitante, Moi les jambes écartées ouvrant mes lèvres avec mes deux mains, l’homme de chambre tout près ,bien raide , son chibre tellement tendu qu’il se courbait vers le haut. Il présenta sa bite au bord de mon vagin et entra méticuleusement en moi en missionnaire. Il m’embrassait à pleine bouche et faisant des va et viens pas trop rapide mais à cadence constante. Je le suppliais de cogner plus fort.
Je me remit à quatre pattes, et sans perdre de temps, Farid posa ses deux grosses mains de chaque côté de mes fesses et s'enfonça d'un coup sec, comme il l'avait fait avec ses doigts. A nouveau, je me crispais mais il m'attirait vers lui pour rester bien au fond. J’ avais bien senti passer son gros gland, et ça me plaisait. Son membre bien épais me remplissait, faisant en moi monter l’extase.
Il se mit à ma limer avec plus de ferveur, s'appliquant à bien aller au fond à chaque mouvement. Il était relativement musclé et athlétique, ce qui lui permettait de maintenir une allure rapide et puissante, avec des coups de queue lourds et décidés.
Je me mit assez rapidement à chouiner, ce qui avait dû encourager Farid qui se mit à me ramoner avec encore plus de vigueur. Le lit se mit à grincer avec la régularité d'un métronome.
Mon mari restant devant le lit et voyait simplement le cul de Farid aller et venir et ses couilles pendantes qui venaient claquer sur mon clito de salope, ce qui devait surement lui plaire.
Farid marmonnait de temps en temps des choses à voix basse dans sa langue, sûrement des insultes ou des trucs dégueulasses.
Farid suait à grosses gouttes, les poils de ses fesses et de son torse perlaient.
Ma chatte faisait des bruits de succion sur la queue de mon amant, de la cyprine coulait abondamment mouillant les couilles de mon étalon arabe ,c'était très excitant.
Après un bon quart d'heure de limage dans cette position et sans prévenir, Farid se retira et me fit basculer sur le dos de façon assez brutale. J’etais assez surprise mais j’écartais les cuisses en grand à nouveau pour recevoir la queue de Farid.
Celui-ci s'introduit à nouveau à fond et ses couilles venaient frotter sur les draps avec les va et viens. Il se coucha presque entièrement sur moi, pour me baiser quelques minutes avec le corps quasiment immobile, juste en bougeant les fesses d'avant en arrière comme un pendule. Il frottait son gros corps contre moi et m'enduisait de sa sueur.
Soudain, Il glissa ses avant-bras sous mes mollets et ramena mes jambes vers le milieu quasiment à la verticale, et il plaça mes chevilles sur ses épaules.
Il reprit son affaire à grands coups de bite, ce qui faisait grincer le lit assez fortement. Je jouissais bruyamment et cela dû accentuer l’excitation de Farid et il jouit vaillamment quelques minutes plus tard au fond de moi, a son tour, en se penchant et en m'écrasant de son poids, dans un mélange de gros râles et d'expression en langue étrangère.
Il resta allongé quelques minutes sur moi, me roulant des pelles et faisant encore de temps en temps des allés et retours. Je le retenait en l’encerclant avec mes jambes. Notre excitation descendit progressivement. Il se retira d'un coup et enleva sa capote pendante de jus blanchâtre. Celle ci claqua projetant le sperme sur le lit. Farid se rhabilla.
J étais restée allongée les cuisses grandes ouvertes avec la chatte dilatée et le clito gonflé.
Sans savoir ce qui lui a prit, mon mari vint placer la tête entre mes cuisses pour me lécher le clito.
Il était fou d'excitation, ma cyprine lui coulait dans la gorge . Il me pénétrait, je ne le sentais pas tellement j’étais dilatée et humide après le passage de Farid
Quelques aller retour avec sa petite queue entièrement noyée suffirent à le faire éjaculer à grosses giclées. mettant sa semence sur les draps. Farid alla chercher des draps propres, et il nous souhaita bonne nuit. Il ne restait plus que un jour, j’avais le vagin nostalgique et mouillais encore en m’endormant. J’ espérais encore me faire limer par mon beau maghrébin, car rarement un homme m’avait procurer une jouissance vaginale aussi intense…
Le lendemain matin, nous avons quitté la chambre au même moment que notre voisin. Il m'a fait un clin d'œil complice et un geste de la main avec un pouce levé, signifiant "super". Il avait probablement entendu les bruits provenant de notre chambre à travers les parois peu isolées. Il ignorait totalement que c’était pas mon mari qui était impliqué dans cet ébat.J’étais silencieuse pendant le petit déjeuner. Je pensais a Farid. Je souriait et répondait aux questions de mon époux, mais nos échanges manquaient de profondeur. Aucun mot n'a été prononcé au sujet de la soirée précédente ; j’y songeais fortement, mais j’évitais d'en discuter dès que il abordait le sujet. Comme à l'accoutumée, nous avons ensuite rejoint la piscine. Moi plongée dans ma lecture d'un polar tandis que lui faisais des longueurs. Au bout d’un moment, je décidai de retourner pour voir si Farid s’occupait des chambres.
Concentré sur l'amélioration de sa performance, il n'avait pas remarqué mon départ.
Je vis le chariot de Farid devant une chambre, alors je toquai. À ma surprise, ce n’était pas lui. L’homme qui faisait le ménage m’expliqua qu’aujourd’hui était son jour de repos. J’étais déçue, j’aurais espéré renouveler nos ébats de la veille. C’était notre dernier jour de vacances, et je ne reverrais plus Farid, notre vol retour étant prévu pour 6 heures du matin le lendemain.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Apprenez à écrire le français correctement.
Quand au fait de niquer c’est de l’hypocrisie on nique avec les mécréantes puis on épouse les filles pure !!!
Bande d’hypocrites !!! 🤦♀️👿🤬
Quand au fait de niquer c’est de l’hypocrisie on nique avec les mécréantes puis on épouse les filles pure !!!
Bande d’hypocrites !!! 🤦♀️👿🤬
Wallah le principe des musulmans de ne pas aller avec d autres femmes est bien respecté, et après c'est ces gens là qui vont venir donner des leçons de morale et de vie.
Bravo c'est une belle histoire et si votre mari aime vous voir prise par un autre de mon côté j'adore prendre une femme devant son mari
j'attends avec impatience votre prochain récit et j'espère qu'un jour vus nous raconterez votre première sodomie
j'attends avec impatience votre prochain récit et j'espère qu'un jour vus nous raconterez votre première sodomie