La grosse Monique et le boulanger

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 9 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Momonique ont reçu un total de 39 337 visites.
Récit libertin : La grosse Monique et le boulanger Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 966 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
La grosse Monique et le boulanger
J'étais inscrite depuis longtemps sur un célèbre site de rencontres. Ce samedi matin-là, je me réveillai très tôt et décidai de préparer mon petit-déjeuner avec une baguette chaude et des croissants. Je me rendis donc à la boulangerie du coin, où j'allais de temps en temps pour acheter mon pain.

En entrant dans la boutique, je remarquai qu'il n'y avait personne. J'entendis une voix masculine :
- J'arrive.

Deux minutes plus tard, le boulanger fit son apparition :
- Bonjour madame, je m'excuse pour l'attente, ma serveuse n'est pas encore arrivée.
- Bonjour, il n'y a pas de souci.
- Que désirez-vous ?
- Une baguette et deux croissants simples, s'il vous plaît.

Pendant qu'il me servait, il me dévisagea et dit :
- Ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés quelque part ?
- À part ici, je ne vois pas où.
- Ah… il me semblait. Cela fera trois euros quarante.
- Voilà, monsieur.
- Merci, au plaisir.
- Au revoir.

Je rentrai chez moi pour prendre mon petit-déjeuner. La journée se déroula avec diverses occupations. Le soir venu, je m'installai devant mon clavier et me connectai au site de rencontres.
Le soir venu, je m’installai devant mon clavier et me connectai au site de rencontres. Il y avait un message du pseudo “Masterbaker” qui disait :
Bonjour coquine, je savais où je vous avais vue, c’est ici. J’aimerais que nous discutions. Au plaisir de vous lire.
Sans doute avais-je dû discuter avec lui auparavant et lui montrer une photo de mon visage découvert. Je répondis positivement à son message. De fil en aiguille, nous avons fini par discuter régulièrement sur le site, et il m’a finalement donné rendez-vous chez lui.
Avant notre rencontre, il m’avait donné des instructions très précises pour ma tenue. Étant plutôt ronde, il avait été directif : il voulait que je porte une robe moulante, sans soutien-gorge, avec une culotte ( ouverte à l entre cuisses si j’avais)et des bas.
Je sonnai à sa porte. Il ouvrit, très élégant, vêtu d’une chemise et d’un pantalon de costume. Quant à moi, j’avais suivi ses instructions à la lettre et mis ma robe la plus moulante.
J’entrai, il referma derrière moi et me fit la bise tout en posant sa main sur un de mes seins.
Son geste eu directement un effet érectile sur mon téton. Je savais que je n’étais venue pour discuter trivialités, mais il était plutôt direct. Il dit:
-Très bien, tu as suivi mes instructions. Tu as l’air plutôt docile.
-J’aime faire plaisir a mon partenaire.
-Nous allons descendre à ma cave. Ne t'inquiète pas, tu n'as rien à craindre.
J'avais tout de même un peu peur, mais je le suivais dans son sous-sol. À ma grande stupéfaction, je découvris un endroit au style de donjon. À l'entrée de la pièce, se trouvait une table ronde très haute avec un seau à champagne contenant une bouteille et deux flûtes.
Sur le côté droit se trouvait un lit, dont le couvre-lit était tigré, rappelant la peau d’un tigre. La tête de lit et le pied de lit étaient à barreaux, où je pouvais voir des chaînes et des liens .
Plus loin, il y avait un genre de chevalet avec de grandes marches de chaque côté. Au fond de la pièce, se trouvait une croix de Saint-André munie de ceintures en cuir. À côté, une armoire probablement destinée à ranger des accessoires. Une de ses portes était restée ouverte, révélant de la cordelette, un martinet, une cravache, un plumeau , un gros gode noir, et divers objets métalliques.. Près de moi, sur la gauche, se trouvait une chaise de type gynécologique.J'étais effaré de voir un tel équipement.
-Nous allons prendre du champagne, dit-il.
-Oui, volontiers. Eh bien, tu as beaucoup de matériel, répondis-je.
-Ce n’est pas pour rien que je m’appelle Master-Baker. Cela te fait peur ?
-Oui, un peu, je ne m’attendais pas à ça.
-Ne t’inquiète pas, on n'est pas obligé d’utiliser mes jouets.
-Certains doivent faire mal!
-C’est la jouissance , par la souffrance et l’obéissance. Tu m'avais dit avoir déjà fait des séances SM et que tu aimerais recommencer.
-C’est vrai, mais je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi impressionnant. On m’a déjà ligoté les mains, fessée, menottée, mais jamais attachée sur une croix ou un chevalet.
-mmmm et dis des mots crus ?
-oui, ca j’aime.
-Tu ne veux pas essayer ? Je resterai soft, j'irai progressivement et ne dépasserai pas tes limites.
Tu n’auras cas prononcer le mot ‘ cistere ’ ( cesser en latin) et j’arrêterai.
-Promis ?
-Oui, je te le promets.
-Alors, je veux bien.
À ces mots, son ton devint plus ferme.
-Va au milieu de la pièce, dépêche-toi !
-Oui.
-Oui qui ? Désormais, tu ne t'adresseras à moi que si je t'adresse la parole ! Et tu m'appelleras Maître.
-Oui maître.
Je me trouvais debout au milieu de cette pièce. Il tournait autour de moi en me regardant, puis soudain, il me donna une claque sur les fesses qui me fit sursauter. Il dit : “Ne bouge pas, salope.”
Il se tenait maintenant devant moi. Il me pinça légèrement mes tétons, visibles à travers ma robe car je n’avais pas de soutien gorge, les tourna, me faisant me dresser sur la pointe des pieds.
« aie », poussait je. « Ta gueule ! », repliqua-t-il.
-Ôte-moi cette robe ridicule qui te boudine.
-Oui, Maître.
Je me retrouvai nue, ne portant plus que ma culotte, mes bas et mes talons hauts.
-T’as dû en bouffer des kilos pour en arriver là.
-Non, Maître.
-Ne m’interromps pas et baisse la tête quand je te parle.
- Tu n’as pas honte ?
-Si, Maître.
-Tu ressembles à une truie. Je vais maintenant vérifier l’intérieur de ta chatte pourrie. Ecarte-moi ça.
Il entrouvrit ma culotte fendu et y glissa la main, s’attardant d’abord le clitoris, puis introduisit l’index et le majeur.
-Très bien cette culotte de pute, comme je le pensais, ce n’est pas du tout humide là-dedans. Va falloir remédier à cela installe-toi sur la chaise.
-Oui, Maître.
-Et débarrasse-toi de cette culotte de merde.
Assise sur la chaise gynécologique, il fixa mes jambes aux étriers et attacha mes bras aux accoudoirs. Chaque mouvement était méticuleusement contrôlé, chaque geste exécuté avec soin pour ne pas me brusquer. Il écarta les étrier au maximum dévoilant ainsi mon sexe.
-Mais! même ta chatte est charnue! Vraiment t’es une grosse vache.
Il approcha sa tête de ma vulve, en sentant l’odeur, s’exclama : “Ça pue !” Il alla chercher une bassine, de l’eau et du savon intime. “Je ne mets pas ma main là-dedans, ni ma bite. Je vais nettoyer tout ça.” Il savonna le clitoris, faisant mousser le gel, et nettoya soigneusement l’extérieur de mon con. Ensuite, il plaça un entonnoir dans mon vagin et le remplit d’eau et de savon.
-Contracte pour éjecter l'eau."
-Oui, Maître.
J'éjectai l'eau comme demandé. Il répéta l'opération plusieurs fois puis rinça le tout. Il sécha l extérieur de ma chatte, et poussa la serviette à l’intérieur comme si il nettoyait un verre. "C'est propre maintenant. Je vais m'occuper de toi." »
Il enfila des gants en latex, appliqua du lubrifiant sur ses mains. Il écarta mes lèvres, passant son index en force.
Il effectua des mouvements de va-et-vient lents, grattant l’intérieur de mon vagin et cherchant probablement le point de G. Il en inséra deux et exerça une pression ferme puis me doigta.
Après avoir insisté, un peu de liquide commença à s'écouler. Voyant cela, il redoubla d'efforts, allant de plus en plus vite.Finalement, mon jus commençait à couler abondamment hors de mon vagin.
-Mmm mmm oh oh oh .Je gémissai.
-Je vais m’arrêter avant de te faire trop jouir.
-Non maître continuez.
-Tais-toi, tu n'as pas à me donner d'ordres, espèce de baleine. Je vais finir par te mettre un bâillon. Non, plutôt un bâillon avec un anneau, vu que tu ne peux pas t'empêcher de parler. Comme ça j’y fourrerai ma queue pour tu la la ferme. Attends, grosse salope et tu vas voir.
Il alla dans son armoire, fouilla et revint avec des chaînettes à la main. Aux extrémités de ces chaînes se trouvaient des pinces à tétons et clitoris. Il fixa une pince sur mon clitoris et les deux autres sur chaque téton. Il ajusta le serrage des pinces pour éviter que cela me fasse trop mal.
-Tu es novice , je ne vais pas serrer trop fort.
Il enleva son pantalon en prenant soin de le plier, retira sa chemise et la déposa sur une chaise, puis ôta également son caleçon. Je voyais son sexe tendu. Les photos ne mentaient pas il était monté comme un poney.Il y avait une lumière tamisée, ce qui rendait les détails difficilement discernables, mais je voyais qu'il mettait un étrange préservatif.
Il me pénétrais, a la sensation j’avais tout de suite compris. Il avait mis un manchon a penis avec des picots. Il me pinait doucement, me scrutant pour observer mes réactions. En voyant que je plissais les yeux, il comprit que c’était supportable, mais je n’osais lui avouer de peur qu'il s'arrête. Il accéléra le rythme, et je me pinçais les lèvres.
-Tu aimes ça, hein ?
-ouiiiiii maiiiitre.
Il intensifia ses mouvements en appuyant profondément, en tirant sur les chaînettes, ce qui me fit crier et jouir.
-Salope tu jouis déjà.
-Oui maître.
Il se retira.
-Je vais interrompre ton plaisir grosse catin.
-Non s’il vous plaît maître.
-Qu’est que je t’ai dis ? Tais toi , tu l’auras voulu.
Il dirigea vers son armoire et prit un bâillon avec un anneau.
J’avais maintenant un grand anneaux qui m’ouvrait la bouche. Il me détacha de la chaise , il saisit les chaînettes pincées sur mon clitoris et mes tétons. En tirant dessus, cela augmentait la pression au bout des pinces, car il y avait un mécanisme pour les resserrer en cas d’arrachement. Je n’eu pas d’autre choix que de le suivre, ce qui attira ma poitrine et mon sexe en avant.Il les retirâ. M’empoignant fermement, et m’installant a califourchon sur un chevalet, la tête dans le vide. Il fixa mes jambes et mes bras aux supports latéraux.
-Je vais te la fermer ta grande gueule.
Dit-il.
Il prit son penis et s’enfonça jusqu’à la gorges ce qui me provoqua une nausée. Il attendit et recommença , encore et encore.
-Alors quelques chose a dire?
Je marmonnais une réponse indistincte.Il déposa son sexe dans ma bouche, me demandant de le sucer et de le lécher mais l’anneau me compliquait la tache. Il me gifla avec sa bite. Des grands mouvement de gauche a droite.
-Lèches bien mon gland grosse garce.Tu mériterais que je te pisses dans la bouche, tu es ouverte comme un urinoir. Comme tu es novice, cela sera pour la prochaine fois, je vais m’occuper de tes mamelles.
Mes gros seins pendaient de chaques cotés.Il alla chercher ce qui me semblait deux pompes a tétons. Il en positionna une sur le sein gauche.Il tourna la molette de la pompe, créant un effet de succion qui empêcha la pompe de tomber. Il se rendit de l'autre côté et répéta l'opération. Voyant que je ne réagissais pas, il fit deux tours sur le sein gauche puis deux tours sur le bras droit. Cela commençait à exercer une forte aspiration.

-Bon , j’en ai marre je vais passer aux choses sérieuses. Je vais me charger de ton anus.
Il me repositionna vers l’arrière, toujours à califourchon sur le chevalet. Le postérieur tendu offert pour une sodomie , ou ce que j’espérais une bonne levrette dans ma foufoune.
Il m’enleva le bâillon et dit «  maintenant tu va pouvoir couiner pour quelque chose ». Il appliqua du gel lubrifiant sur mon anus et l’introduisait avec ses deux doigt pour le faire pénétrer. J‘eus a peine le temps de respirer que je sentais son gland gonflé a l’entré de ma rondelle, puis il poussa d’un coup sec.
-OUTCH. Poussais-je
-La maintenant tu peux gueuler.
Il me limait les intestins presque à sec. Chaque coups de reins allaient jusqu’aux couilles.
Je criais, cela me faisais du bien et du mal à la fois. Pourtant j’aimais ce qu’il m’affligeait. Cela durait depuis cinq bonnes minutes et il dit:
-Je me retire , je vais gicler, j’ai pas de capotes, tu encaisses bien ma grosse salope.
-Oui maitre.
-Je mets une capote attends.De toute façon tu ne peux pas te sauver ah ah ah.
Surprise J’écarquillais les yeux, le salopart m’avait entrer un gros plugg dans le cul.
-Putain un diamètre de six centimètre tu l’as englouti !
-Maître vous m’avez bien préparée.
Il me prit la chatte avec le plugg dans l’oignon. Ses main enserraient mes grosses cuisses pour me maintenir contre lui. Il me cognait dedans avec une intensité presque divine.
-Salope t’aimes ça la bite hein?
-ouiii, mm, mm, maitre.
-Je vais te donner ce que tu veux. T’es une bonne pute, dis le.
-Je suis une bb, bob, bonne pute.
-Supplies moi.
-Baisez ma chatte de pute , Maitre.
-Tu aimes ma bite.
-Oui encore, Maitre, plus fort.
Une jouissance extreme monta en moi je me mis a hurler.
-Ahh ouiiii , ahhh, ahhh.
-Je jouis en toi salope.
Il s’arrêta , je sentais les spasme de sa bite libérer son sperme. Il me mettait encore quelques coup sporadiquement , et resta sans bouger.
Il se retiras de moi , ôtas le plug de mon anus et il me libéras du chevalet.
-Ôtes moi la capote.
-Oui maître.Je dis ensuite « cistere » ce qui signifiais que je voulais arrêter.
J’ôtais le préservatif de sa verge qui étais vraiment bien remplit.
-Tu as fais une grosse ejaculation.
-J’aurai préfère laissé ma semence en toi.
-Peut être une prochaine fois.
Il s’approcha de moi et m’embrassa sur la joue.
-Tu as été superbe. Ça va ? Ça s’est bien passé ?
– Oui, c’était supportable. Tu veux que je continue ? il faut attendre un peu que ça remonte.
– Une prochaine fois, peut-être. J’ai eu beaucoup d’émotions.
-Tu aimerais que je devienne ton maître et que je te fasse progresser ?
– Oui, mais tu sais, je suis volage et j’aime butiner de bites en bites.
– Très bien, alors des séances de temps en temps ?
– Oui, cela me plairait.
-J'aimerais que tu portes un corset en latex pour la prochaine séance. Un corset sans bonnets, qui laisse tes fesses nues. Je connais un endroit où ils font des grandes tailles. Si tu veux, je pourrais t'y emmener, et tu pourrais essayer devant moi et le vendeur, qui est un ami, pour voir.
– D'accord, mais ça ne doit pas être donné ?
– Ne t'inquiète pas, c'est pour moi, je paierai. Mais si tu acceptes, il faudra être encore plus docile.
– Oui, d'accord."
Nous avons encore discuté un peu, puis nous nous sommes rhabillés, car il devait se lever tôt le lendemain pour ouvrir sa boulangerie. Nous nous sommes quittés en nous donnant rendez-vous pour la semaine suivante afin d'aller acheter le corset…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vous êtes vraiment très excitante Madame !!! Serait-il possible de tchate ensemble de vos désirs pervers et lubriques !!!

Le côté maso n'est pas ce que je préfère.
Et l'idée d'une femme soumise à tout les délires les plus pervers des hommes m'étonneras toujours.
Mais j'aime la plupart de vos histoires
C'est des vrais ??

Histoire Erotique
Quel plaisir de lire tes histoires, j'aime le SM quand il est respecté ainsi...
Vivement la prochaine visite chez MasterBacker...

Cyrille

Histoire Libertine
Vivement la suite

Histoire Libertine
Quelle chance d'avoir un bon commercant comme ca
Le pied ca m a excité



Texte coquin : La grosse Monique et le boulanger
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Momonique

La grosse Monique l’exhibe a la rivière - Récit érotique publié le 10-11-2024
La grosse Monique et le boulanger - Récit érotique publié le 29-09-2024
La grosse Monique et son cousin - Récit érotique publié le 21-09-2024
Monique et la bicyclette - Récit érotique publié le 07-09-2024
La premiere sodomie de la grosse Monique - Récit érotique publié le 26-08-2024
La grosse Monique a Djerba - Récit érotique publié le 14-08-2024
La premiere cocufication de la grosse Monique - Récit érotique publié le 04-08-2024
Monique et le routier - Récit érotique publié le 25-07-2024
Une demande spéciale - Récit érotique publié le 12-07-2024