La grosse Monique et le Boulanger suite
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La grosse Monique et le Boulanger suite
J’avais continué à aller chercher mon pain à la boulangerie chaque matin, comme d’habitude, sans qu’il ne se passe quoi que ce soit d’inhabituel. Puis, deux mois plus tard, le boulanger reprit contact avec moi. Il me proposa une relation intime, mais à une condition essentielle : que nous effectuions tous les deux un test de dépistage préalable.
Un matin, je me rendis à la boulangerie, mon test en main. Je demandai à la vendeuse de prévenir le boulanger. Peu après, il me fit venir dans l’arrière-boutique, près du pétrin.
Il avait également son test avec lui. Il me regarda et dit : « Très bien, rendez-vous ce soir sur le site. Je te poserai quelques questions avant. »
C’était l’automne, et j’étais emmitouflée dans mon manteau pour me protéger du froid. « Ouvre ton manteau, » me dit-il soudain, « et mets-toi en valeur. »
Je pris une pose glamour, posant une jambe légèrement sur un marchepied, cherchant à me mettre en valeur. Il m’observa longuement, puis dit d’un ton sérieux : « Surtout, ne bouge pas. »
Il s’éloigna un instant et revint avec un croissant.
Intriguée, je restai immobile tandis qu’il sortait son sexe. Sans dire un mot, il se mit à se branler. Étonnée, je le regardais, fascinée par l’acharnement qu’il mettait dans chacun de ses gestes.
Il éjacula sous mes yeux, garnissant le croissant de son sperme avec soin.Il me tendit le croissant, puis dit fermement : « Mange-le. »
Je commençai à le déguster lentement, sous son regard attentif. Il esquissa un léger sourire avant de murmurer :
-Tu aimes ça, hein, le sperme ?
-Mmm, oui, j’adore, répondis-je en savourant chaque bouchée, sa semence fondant doucement en bouche.
Il continua de m’observer, un mélange de satisfaction et de curiosité dans le regard, comme s’il cherchait à déchiffrer mes réactions. « Parfait, » dit-il enfin, d’un ton presque satisfait.
Il ajouta : « Tu auras droit à un croissant comme celui-ci, chaque matin, gracieusement, jusqu’à notre rencontre, si elle a lieu. »
Je quittai la boulangerie, le cœur battant, encore sous l’emprise du goût exquis de ce croissant si spécial. L’idée que j’aurais droit à cette gourmandise chaque matin, gracieusement, me laissait rêveuse.
Le soir venu, à vingt heures précises, je me connectai sur le site. À ma surprise, MasterBaker était déjà en ligne, comme s’il m’attendait. Après quelques formules de politesse échangées, il ne tarda pas à entrer dans le vif du sujet.
Ses questions devinrent rapidement très personnelles, presque troublantes. Je sentais son ton assuré et précis, cherchant à sonder mes pensées les plus intimes.
Il me demanda : As-tu tes périodes ?
- Oui.
Sont-elles régulières ?
Oui, à peu près tous les trente-six jours.
Sont-elles abondantes ?
Oui très.
Douloureuses?
Non pas trop.
- As-tu déjà eu des rapports pendant tes règles ?
Je pris une légère pause avant de répondre honnêtement : Oui.
- Intéressant… Tu as aimé ?
- C’était spécial,
-Tu aimerais recommencer ?
Je haussai légèrement les épaules, même si nous étions en ligne, avant de répondre avec un sourire : « Oui, pourquoi pas. »
Il prit un instant, comme s’il réfléchissait à ma réponse, puis poursuivit avec la même intensité dans son regard virtuel.
« Parfait. Tu viendras chercher ton croissant spécial chaque matin, et fais-moi signe quand tu seras menstruée, que je puisse m’organiser pour notre rencontre, » dit-il avant de se déconnecter.
Je restai un instant devant l’écran, réalisant ce qu’il venait d’insinuer : il me désirait précisément pendant mes règles. Cette pensée me troubla, mais je continuai mes visites quotidiennes à la boulangerie, où je récupérais mon pain et mon fameux croissant.
Un matin, deux semaines plus tard, je me réveillai en sentant que mon flux avait commencé à couler pendant la nuit. En allant chercher mon pain ce jour-là, je prévins discrètement le boulanger. Il me regarda, un éclat dans les yeux, et après un court échange, nous convenâmes d’un rendez-vous pour le samedi soir, deux jours plus tard.
Lors de notre échange, il me posa une autre question, encore plus inattendue : « Est-ce que cela te dérangerait si j’avais un assistant ? Il ne te touchera pas, il aura simplement le droit de te lécher et te nettoyer. Il se contentera de rien de plus. »
Sa proposition me surprit, mais l’idée, étrangement, m’enchanta. Sans hésiter, je répondis : « Oui. »
Il ajouta alors, d’un ton ferme : « Dans ce cas, il sera inutile que tu portes la moindre tenue. »
Je sentis un mélange d’excitation et de curiosité m’envahir, mon esprit déjà emporté par l’idée de ce moment particulier à venir.
Le moment tant attendu arriva, et je me retrouvai enfin devant sa porte. Je sonnai, et un homme m’ouvrit. Il portait une cagoule, un harnais en cuir, et il avait son sexe encagé.
« Bonsoir, je suis Lacrampe. Notre maître, le père, m’a demandé de vous accueillir et de vous installer. »
« Bonsoir, enchantée, je suis Monique, » répondis-je, intriguée par cette atmosphère qui se faisait plus pesante à chaque instant.
Il me fixa un moment avant de déclarer d’un ton autoritaire : « Très bien. Désormais, je n’ai plus le droit de vous adresser la parole, car vous êtes une pécheresse. Suivez-moi. »
Je le suivis, étonnée mais fascinée. Il me conduisit dans une cave que j’avais déjà vue auparavant, mais cette fois, elle avait changé. L’atmosphère était sombre, presque mystique. Des bougies brûlaient partout, projetant des ombres vacillantes sur les murs.
Au centre, un prie-Dieu se trouvait face à une table transformée en autel, sur laquelle un calice reposait sur un plateau. À côté, un seau et un goupillon, probablement pour des rituels.
Le mur était orné d’un grand portrait représentant une divinité étrange, presque dérangeante. À première vue, son regard imposait une aura de puissance et de mystère, mais en m’approchant, un détail saisissant attira mon attention : dans chacune de ses mains, la figure divine tenait des pénis stylisés, presque cérémoniels.
Je ne savais pas quoi penser. Était-ce une provocation, un symbole, ou une part d’un rituel à venir ? L’ambiance mystique et troublante de la pièce ne faisait qu’ajouter à mon incertitude, tandis que les bougies vacillantes et es baguettes d’encens projetaient des ombres étranges sur ce tableau énigmatique.
Lacrampe, sans un mot, m’empoigna fermement et entreprit de me déshabiller. Ses gestes étaient précis, presque rituels, et je me laissai faire, emportée par l’etrangeté du moment. Une fois nue, il récupéra ma serviette hygiénique, encore souillée, et la regarda un instant avant de se diriger vers l’autel. Avec une lenteur cérémonieuse, il la deposa sur le plateau, juste a coté du calice.
Revenant vers moi, il m’invita à m’allonger sur une table. Là il commença à me nettoyer la vulve avec une douceur surprenante. Du clitoris à l’anus, ses mains suivaient un mouvement méticuleux, presque révérencieux, comme s’il accomplissait un rituel sacré.
Une fois qu’il eu terminer de me nettoyer avec une intention presque solennelle, Lacrampe m’aida à me redresser et m’invita à m’asseoir sur une chaise percée placée près de l’autel.
« Maintenant urinez » dit-il calmement, d’un ton qui laissait entendre que cela faisait partie du rituel.
Malgré une certaine gène, je m’éxécutai sous son regard attentif. Une fois que j’eus terminé, il récupéra mes urines avec soin, utilisant un récipient, et alla les verser dans le calice posé sur l’autel, juste a cté de ma serviette hygiénique.
Après avoir terminer son étrange rituel, Lacrampe me guida vers le prie dieu. Sans un mot il me fit m’agenouiller dessus, puis il me saisit les poignes et avec une assurance troublante pour les attacher au support. Je me retrouvait ligottée, contrainte de faire face à l’autel et au portrait de ce dieu étrange, au phallus énorme.
Les bougies vacillantes projetaient des ombres dansantes sur les murs, renforçant l’aura mystique et dérangeante de la scène. Mon regard etait captif de ce tableau troublant, et je sentais que ce qui allait suivre faisait partie d’un rituel soigneusement orchestré.
Lacrampe, d’un ton solennel, s’exclama : « Maître, notre vénéré père, la pécheresse est à présent prête. »
Un silence pesant suivit ses paroles, avant que des pas ne résonnent sur les marches de l’escalier. MasterBaker fit son apparition, descendant lentement, chaque mouvement empreint de gravité. Il était vêtu d’une longue aube immaculée, simple mais impressionnante. Le tissu, léger, laissait deviner qu’il ne portait rien en dessous, bien que son allure restât digne et imposante.
Il avançait avec une présence presque divine, l’éclat des bougies rehaussant l’aura mystérieuse qu’il dégageait. Tout dans sa démarche et son regard indiquait que le rituel allait commencer.
Il s’avança lentement vers l’autel, ou il s’inclina vers le portrait de la divinité.
D’une voix grave et solennelle il s’adressa à la figure divine.
« Oh grand Dieu Chibrax, nous sommes réuni pour accomplir ta volonté sacré. Je t’implore de me donner la force nécéssaire pour convertit cette pécheresse en une catin dévouée, avide de sexe et de plaisir. Puisse ta puissance transférée à mon chibre, me guider dans cette mission divine ».
Masteraker prit un rameau d’Olivier symbole de renouveau et de purification, puis commença a tourner autour de moi. Avec lenteur, il fit glisser les feuilles délicatement sur mon visage, comme pour m’apaiser, avant de descendre vers mon corps.
Il effleura mes épaules et mes seins avec des mouvements mesurés, le rameau produisant des légers picotements. Lorsqu’il atteignit mes hanches ses gestes devinrent plus insistants, le rameau frappant mes fesses. Chaque coup, laissait une sensation de picotement vif faisant rougir mes fesses, et je laissai échapper un « Aie » sous l’effet de la surprise et de la douleur.
« Accepte cette purification, » déclara-t-il d’une voix ferme.
Puis il prit le seau et le goupillon, dont le bout était orné d’un gland de penis sculpté. Avec soin, il trempa l’objet dans un mélange de son sperme et de vaseline contenu dans le seau, tout en murmurant et répétant :
« Par ce rituel sacré, je te purifie au nom du Dieu Chibrax. »
Il se déplaça autour de moi avec lenteur, m’aspergeant délicatement à chaque passage, dans une gestuelle précise et solennelle. Chaque geste semblait porter un sens symbolique, une invocation.
Puis, il s’arrêta derrière moi et, avec une autorité douce mais ferme, il m’invita à me cambrer légèrement. « Accepte cette bénédiction, » murmura-t-il, continuant son rituel. Lacrampe écarta mes fesses et le maitre présenta le goupillon au bord mon anus. Il était gros et huileux, il poussa progressivement l’objet, qui entra en forçant légèrement dans mon rectum.
Au début, je baissai la tête et plissai les yeux, légèrement décontenancée par ces sensations nouvelles.
Je me surprenais à apprécier cette étrange expérience, à la fois inédite et inattendue. Chaque geste de MasterBaker, éveillait en moi une curiosité et une forme de plaisir que je n’avais pas anticipée
Une fois terminé, il revint devant moi, le regard empreint de gravité. « Maintenant que l’essence de Chibrax est en toi, il est temps de compléter le rite. »
Avec un mouvement précis, il ouvrit une fente discrète sur le devant de son aube pour révéler son penis dressé, emblème de son autorité. Il dit :
« Par mon appendice, Chibrax va entrer dans ta bouche. Ouvres et suces ce baton divin pour faire pénitence ».
Guidée par l’atmosphère étrange et rituelle de la scène, je me retrouvai à sucer goulûment le maitre. Lacrampe tenait délicatement ma tête, orientant chacun de mes mouvements avec précision.
Par moments, il appuyait légèrement, insistant pour que je prolonge ma succion , tout en s’assurant que je restais en harmonie avec le rythme imposé par MasterBaker. Chaque instant semblait minutieusement chorégraphié.
MasterBaker, visiblement transporté par l’intensité du moment, leva les yeux au ciel comme pour s’adresser à une force supérieure.
« Chibrax, ne m’abandonne pas dans ce moment de faiblesse… Cette pécheresse pourrait me faire éjaculer… » murmura-t-il d’une voix grave, presque suppliante.
Soudain, il recula brusquement, poussant un râle, comme pour reprendre le contrôle de lui-même. Après un bref instant de silence, il sembla entendre une réponse divine dans son esprit.
« Tu veux que je la prenne, Chibrax ? Très bien… » déclara-t-il avec conviction, avant de se placer derrière moi avec une intention nouvelle.
Masterbaker ôta le goupillon qui semblait le gêner. Il commença a me pénétrer en levrette doucement.
Peu a peu , ses mouvements devinrent plus intense, jusqu’à trouver un rythme régulier et appuyé. Cette cadence presque hypnotique, résonnait à travers mon corps, créant des vagues qui animaient délicatement mes formes et faisaient balloter mes seins sous l’effet de se mouvement singulier. Je sentai une vague d’émotion m’envahir, chaque geste éveillant en moi de petites sensations de plaisir inattendu. Le Maitre remarqua mon état, leva les yeux comme pour s’adresser à une force supérieure.
« Chibrax donne moi ta puissance » déclara-t-il avec ferveur.
Il accéléra alors ses gestes, chaque mouvement devenant plus marqué, plus appuyé, cognant dans le fond, dans une sorte de frénésie controlée.
Je ne pu retenir un cri qui s échappa de mes lèvres, marquant l’apogée de ma jouissance.
MasterBaker se retira, brandissant son sexe marqué de sang de mes règles. Dans un ton autoritaire, il s’adressa à Lacrampe, l’appelant comme on appellerait un serviteur docile : « Viens ici, maintenant. »
Lacrampe accourut à quatre pattes, obéissant sans hésiter. Il suça le maitre.Cela me laissa mal à l’aise, un mélange de fascination et de dégoût se disputant en moi alors que j’observais la scène.
Je regardais sa bite, désormais nettoyée avec soin. Jamais encore je n’avais vu une forme aussi incurvée vers le haut, et la rigidité de son érection semblait presque irréelle.
MasterBaker, d’un ton impérieux, ordonna à Lacrampe : « Détache-la et place-la sur la croix de saint André. »
Lacrampe obéit immédiatement, me libérant avec soin avant de me guider vers la grande croix qui se dressait face au portrait imposant du dieu. Avec une précision méthodique, il m’y attacha solidement, chaque mouvement renforçant l’atmosphère solennelle et troublante du rituel.
MasterBaker observa un instant, puis déclara calmement : « Ça coule… Lacrampe, prends des échantillons et place-les dans le calice en offrande à notre dieu. »
,Lacrampe s’exécuta sans hésiter, recueillant avec soin ce qu’il appelait l’essence sacrée. Une fois la tâche accomplie, MasterBaker, d’un ton autoritaire, ajouta : « Tu l’as salie. Lèche-la correctement. »
Lacrampe obéit immédiatement, effectuant son travail avec une minutie presque rituelle, dans un silence chargé de solennité.
Il me léchait le clitoris, ce qui me faisait mouiller et couler encore davantage. Il se régalait, le dégoût m’empêchait d’en tirer la moindre émotion.
« Ça suffit ! » déclara le Maître d’une voix ferme, comme s’il venait de recevoir une révélation divine. Il se tourna vers Lacrampe et ajouta : « Tu vas t’accoupleras à elle. »
D’un geste précis, il libéra la bite de Lacrampe de sa cage. Surprise, je protestai aussitôt : « Ce n’était pas prévu, ce n’était pas dans l’accord ! »
MasterBaker me fixa intensément, son ton empreint de gravité : « Oserais-tu remettre en question la volonté de notre dieu ? »
Attachée et immobilisée, je me rendis compte que je n’avais aucune échappatoire.
« Notre dieu m’a confié une mission, » déclara le Maître avec une ferveur presque mystique. « Tu dois recevoir plusieurs unions pour que ta transformation soit complète. Je vais exécuter sa volonté. »
Lacrampe, obéissant sans hésiter, s’équipa d’un soigneusement d’un préservatif. Avec sa stature imposante, il parvint maladroitement à mener à bien cette partie du rituel. Toujours attachée debout à la croix cela compliqua l’acte. Après quelques ajustements il arriva finalement à entrer en moi sous le regard approbateur du Maître.
Lacrampe m’agrippa fermement par la taille, rapprochant nos corps dans une étreinte serrée. À chaque mouvement, il accentuait cette proximité, rendant l’instant plus intense et contrôlé.
Il ne fallut que peu de temps pour qu’il ejacule. Il se retira , son sperme pendait dans le réservoir du préservatif.
« Attends ! » ordonna le Maître en levant la main, arrêtant Lacrampe dans son élan. D’un geste solennel, il s’agenouilla devant lui et, avec soin, retira le préservatif.
Fixant le contenu avec intensité, il déclara d’une voix grave : « Chibrax, observe ce liquide… Cette femme a réussi à faire plier notre fidèle serviteur. Cela ne peut rester impuni. »
Son ton laissait présager qu’une nouvelle étape du rituel allait commencer.
Ils me libérèrent de mes attaches avec une précision presque cérémonieuse, puis m’escortèrent jusqu’à un matelas disposé dans un coin de la pièce.
Ils m’y allongèrent délicatement à plat ventre, tandis que MasterBaker, d’un ton solennel, déclara : « La sodomie, cette punition sera une épreuve qui te rapprochera de la rédemption. »
À aucun moment il ne se doutait que j'aimais la sodomie. Il écarta doucement mes fesses et s'y glissa, son souffle chaud effleurant ma peau. Sa queue, tendue et avide, trouva directement le chemin de mon anus. Je sentais tout son corps, lourd et pressant, posé sur moi, pénétrant mon rectum jusqu’à la garde. Pendant ce temps, son assistant attendait à côté, les bras croisés, le regard fixe, comme s'il attendait un ordre divin. Son maître, concentré et fébrile, continuant à travailler frénétiquement mon trou du cul.
Je me mis à pousser des gémissements. Le maître, d'une voix ferme, dit : "Suffit." Il fit signe à son assistant de me faire taire. Le maître se releva lentement, son regard perçant fixé sur moi. Son assistant, obéissant, me saisit par les hanches et me releva pour me positionner en levrette.
Comme s'ils se comprenaient sans rien dire, Lacrampe présenta son sexe tout mou devant ma bouche pour me faire taire. J'ouvris la bouche et sentis cette bite molle que je suçais avec délice, qui gonflait sur ma langue.
Masterbeker s'affairait maintenant dans ma chatte, en même temps que j'étais occupée à savourer cette bite molle. Il était à genoux, et je sentais ses couilles taper contre ma vulve, ainsi que sa grosse bite qui bousculait mes organes à chaque pilonnage.
Immobile entre les deux, je pouvais me dégager, mais je n'en avais pas l'intention tant j'appréciais ce qu'ils me faisaient. Lacrampe se retira un instant pour aller chercher le rameau d'olivier et le tendre au maître. Il reprit rapidement sa place, se laissant aller à la douce sensation d'une caresse buccale sur son sexe. Le maître, concentré, prit le rameau, continua à me limer avec une précision presque divine et me flagella les fesses. Pendant ce temps, je restais immobile, partagée entre l'excitation et une légère appréhension, savourant chaque instant.
Devrais-je vraiment apprécier cela autant ? Pourtant, chaque geste, chaque sensation me faisait jouir. Chaque mouvement de Masterbaker était précis et puissant. La force de ses coups me poussait inexorablement vers son assistant, le suçant au rythme de ses assauts. Bien que Lacrampe se soit déjà oublié en moi, il restait ferme dans ma bouche. Prêt à revenir, Je sentais du liquide pré-séminal sortir de sa bite et couler lentement dans ma gorge. Une émotion devenait de plus en plus intense. Un fort orgasme épileptique me fit perdre pied, me relâchant totalement.
J'étais en extase et le maître l'avait bien compris. Alors, il s'arrêta. " Cette salope est mure, c'est maintenant le moment de ta consécration," dit-il. Il se dirigea vers l'autel. Son assistant me positionna à genoux devant le portrait de ce dieu, ses mains fermes mais délicates. Mon cœur battait plus fort, chaque fibre de mon être vibrant d'anticipation.
Son aube était rougie au niveau de la fente ou il passait son sexe , mélange de mes règles et de mouille. Il prit le calice sur l'autel et dit : "Oh mon Dieu, consacre maintenant ce jus divin que cette femme a uriné dans mon calice." Il le leva vers le portrait et en but une pleine gorgée. Il s'essuya la bouche avec ma serviette hygiénique souillée. Sa bouche était barbouillée de mon flux vaginal . L'assistant, les yeux écarquillés, regardait la scène avec une fascination mêlée de respect. Il se tenait prêt, attentif à chaque mouvement du maître, comme s'il attendait le prochain ordre avec une dévotion silencieuse.
Le maître dit : "C'est maintenant le moment." Son assistant me tenait la tête pour que je ne loupe rien. Le maître se mit à se branler devant moi, disant : "Chibrax, donne-moi la force maintenant que tu es en moi." D'une forte éjaculation incontrôlée, je reçus de le sperme divin du maître sur le visage et dans la bouche. Le bon goût âpre et épais du sperme se mêlait à ma salive, tandis que l'assistant, toujours attentif, me maintenait fermement.
Je fis "hmmm". Le maître, remarquant ma réaction, dit : "Tu aimes ça ? C'est l’âme de notre dieu, désormais en toi." Il prit son gland, encore enduit de sperme, et l'approcha de ma bouche. Je suçais le reste de jute sur sa queue, savourant la saveur du jus sacré. Le maître sourit, visiblement satisfait, et dit : "Je savais que tu apprécierais. Continue, il y en a encore."
Je pompais le reste avec conviction. Le maitre dit : "C'est maintenant la fin. Je vais me retirer afin de méditer. Tu fais désormais partie de notre caste. Je vais t'offrir comme salope à d'autres hommes la prochaine fois, pour qu'ils te désirent, toi seule, eux et la force de notre dieu." J'acquiesçai avec sourire, comprenant qu'il voulait me gang-banguer. Il remonta lentement vers ses appartements.
e me rhabillai et demandai à Lacrampe, tout en remarquant qu’il me fixait attentivement :
— Peux-tu parler maintenant ?
Il hocha la tête.
— Oui, je le peux.
— Ils étaient nombreux pour la dernière œuvre ? demandai-je.
— Ils étaient six disciples, moi compris, répondit-il calmement.
— Ça promet ! lançai-je avec un sourire.
— Oui, ils étaient très investis. Cela a duré toute une journée, ajouta-t-il.
— Oh ! dis-je, un peu surprise.
Il éclata de rire et ajouta avec légèreté :
— Mais ne vous inquiétez pas, il y a eu des pauses, ha ha ha…
Cette expérience inoubliable éveilla en moi un désir profond et une impatience intense d’en découvrir davantage. Le Maître tenta de réunir ses disciples afin de préparer cette rencontre, mais, quelques jours plus tard, il fut victime d’un AVC qui le laissa paralysé du côté gauche. Je ne l’ai jamais revu.
Un matin, je me rendis à la boulangerie, mon test en main. Je demandai à la vendeuse de prévenir le boulanger. Peu après, il me fit venir dans l’arrière-boutique, près du pétrin.
Il avait également son test avec lui. Il me regarda et dit : « Très bien, rendez-vous ce soir sur le site. Je te poserai quelques questions avant. »
C’était l’automne, et j’étais emmitouflée dans mon manteau pour me protéger du froid. « Ouvre ton manteau, » me dit-il soudain, « et mets-toi en valeur. »
Je pris une pose glamour, posant une jambe légèrement sur un marchepied, cherchant à me mettre en valeur. Il m’observa longuement, puis dit d’un ton sérieux : « Surtout, ne bouge pas. »
Il s’éloigna un instant et revint avec un croissant.
Intriguée, je restai immobile tandis qu’il sortait son sexe. Sans dire un mot, il se mit à se branler. Étonnée, je le regardais, fascinée par l’acharnement qu’il mettait dans chacun de ses gestes.
Il éjacula sous mes yeux, garnissant le croissant de son sperme avec soin.Il me tendit le croissant, puis dit fermement : « Mange-le. »
Je commençai à le déguster lentement, sous son regard attentif. Il esquissa un léger sourire avant de murmurer :
-Tu aimes ça, hein, le sperme ?
-Mmm, oui, j’adore, répondis-je en savourant chaque bouchée, sa semence fondant doucement en bouche.
Il continua de m’observer, un mélange de satisfaction et de curiosité dans le regard, comme s’il cherchait à déchiffrer mes réactions. « Parfait, » dit-il enfin, d’un ton presque satisfait.
Il ajouta : « Tu auras droit à un croissant comme celui-ci, chaque matin, gracieusement, jusqu’à notre rencontre, si elle a lieu. »
Je quittai la boulangerie, le cœur battant, encore sous l’emprise du goût exquis de ce croissant si spécial. L’idée que j’aurais droit à cette gourmandise chaque matin, gracieusement, me laissait rêveuse.
Le soir venu, à vingt heures précises, je me connectai sur le site. À ma surprise, MasterBaker était déjà en ligne, comme s’il m’attendait. Après quelques formules de politesse échangées, il ne tarda pas à entrer dans le vif du sujet.
Ses questions devinrent rapidement très personnelles, presque troublantes. Je sentais son ton assuré et précis, cherchant à sonder mes pensées les plus intimes.
Il me demanda : As-tu tes périodes ?
- Oui.
Sont-elles régulières ?
Oui, à peu près tous les trente-six jours.
Sont-elles abondantes ?
Oui très.
Douloureuses?
Non pas trop.
- As-tu déjà eu des rapports pendant tes règles ?
Je pris une légère pause avant de répondre honnêtement : Oui.
- Intéressant… Tu as aimé ?
- C’était spécial,
-Tu aimerais recommencer ?
Je haussai légèrement les épaules, même si nous étions en ligne, avant de répondre avec un sourire : « Oui, pourquoi pas. »
Il prit un instant, comme s’il réfléchissait à ma réponse, puis poursuivit avec la même intensité dans son regard virtuel.
« Parfait. Tu viendras chercher ton croissant spécial chaque matin, et fais-moi signe quand tu seras menstruée, que je puisse m’organiser pour notre rencontre, » dit-il avant de se déconnecter.
Je restai un instant devant l’écran, réalisant ce qu’il venait d’insinuer : il me désirait précisément pendant mes règles. Cette pensée me troubla, mais je continuai mes visites quotidiennes à la boulangerie, où je récupérais mon pain et mon fameux croissant.
Un matin, deux semaines plus tard, je me réveillai en sentant que mon flux avait commencé à couler pendant la nuit. En allant chercher mon pain ce jour-là, je prévins discrètement le boulanger. Il me regarda, un éclat dans les yeux, et après un court échange, nous convenâmes d’un rendez-vous pour le samedi soir, deux jours plus tard.
Lors de notre échange, il me posa une autre question, encore plus inattendue : « Est-ce que cela te dérangerait si j’avais un assistant ? Il ne te touchera pas, il aura simplement le droit de te lécher et te nettoyer. Il se contentera de rien de plus. »
Sa proposition me surprit, mais l’idée, étrangement, m’enchanta. Sans hésiter, je répondis : « Oui. »
Il ajouta alors, d’un ton ferme : « Dans ce cas, il sera inutile que tu portes la moindre tenue. »
Je sentis un mélange d’excitation et de curiosité m’envahir, mon esprit déjà emporté par l’idée de ce moment particulier à venir.
Le moment tant attendu arriva, et je me retrouvai enfin devant sa porte. Je sonnai, et un homme m’ouvrit. Il portait une cagoule, un harnais en cuir, et il avait son sexe encagé.
« Bonsoir, je suis Lacrampe. Notre maître, le père, m’a demandé de vous accueillir et de vous installer. »
« Bonsoir, enchantée, je suis Monique, » répondis-je, intriguée par cette atmosphère qui se faisait plus pesante à chaque instant.
Il me fixa un moment avant de déclarer d’un ton autoritaire : « Très bien. Désormais, je n’ai plus le droit de vous adresser la parole, car vous êtes une pécheresse. Suivez-moi. »
Je le suivis, étonnée mais fascinée. Il me conduisit dans une cave que j’avais déjà vue auparavant, mais cette fois, elle avait changé. L’atmosphère était sombre, presque mystique. Des bougies brûlaient partout, projetant des ombres vacillantes sur les murs.
Au centre, un prie-Dieu se trouvait face à une table transformée en autel, sur laquelle un calice reposait sur un plateau. À côté, un seau et un goupillon, probablement pour des rituels.
Le mur était orné d’un grand portrait représentant une divinité étrange, presque dérangeante. À première vue, son regard imposait une aura de puissance et de mystère, mais en m’approchant, un détail saisissant attira mon attention : dans chacune de ses mains, la figure divine tenait des pénis stylisés, presque cérémoniels.
Je ne savais pas quoi penser. Était-ce une provocation, un symbole, ou une part d’un rituel à venir ? L’ambiance mystique et troublante de la pièce ne faisait qu’ajouter à mon incertitude, tandis que les bougies vacillantes et es baguettes d’encens projetaient des ombres étranges sur ce tableau énigmatique.
Lacrampe, sans un mot, m’empoigna fermement et entreprit de me déshabiller. Ses gestes étaient précis, presque rituels, et je me laissai faire, emportée par l’etrangeté du moment. Une fois nue, il récupéra ma serviette hygiénique, encore souillée, et la regarda un instant avant de se diriger vers l’autel. Avec une lenteur cérémonieuse, il la deposa sur le plateau, juste a coté du calice.
Revenant vers moi, il m’invita à m’allonger sur une table. Là il commença à me nettoyer la vulve avec une douceur surprenante. Du clitoris à l’anus, ses mains suivaient un mouvement méticuleux, presque révérencieux, comme s’il accomplissait un rituel sacré.
Une fois qu’il eu terminer de me nettoyer avec une intention presque solennelle, Lacrampe m’aida à me redresser et m’invita à m’asseoir sur une chaise percée placée près de l’autel.
« Maintenant urinez » dit-il calmement, d’un ton qui laissait entendre que cela faisait partie du rituel.
Malgré une certaine gène, je m’éxécutai sous son regard attentif. Une fois que j’eus terminé, il récupéra mes urines avec soin, utilisant un récipient, et alla les verser dans le calice posé sur l’autel, juste a cté de ma serviette hygiénique.
Après avoir terminer son étrange rituel, Lacrampe me guida vers le prie dieu. Sans un mot il me fit m’agenouiller dessus, puis il me saisit les poignes et avec une assurance troublante pour les attacher au support. Je me retrouvait ligottée, contrainte de faire face à l’autel et au portrait de ce dieu étrange, au phallus énorme.
Les bougies vacillantes projetaient des ombres dansantes sur les murs, renforçant l’aura mystique et dérangeante de la scène. Mon regard etait captif de ce tableau troublant, et je sentais que ce qui allait suivre faisait partie d’un rituel soigneusement orchestré.
Lacrampe, d’un ton solennel, s’exclama : « Maître, notre vénéré père, la pécheresse est à présent prête. »
Un silence pesant suivit ses paroles, avant que des pas ne résonnent sur les marches de l’escalier. MasterBaker fit son apparition, descendant lentement, chaque mouvement empreint de gravité. Il était vêtu d’une longue aube immaculée, simple mais impressionnante. Le tissu, léger, laissait deviner qu’il ne portait rien en dessous, bien que son allure restât digne et imposante.
Il avançait avec une présence presque divine, l’éclat des bougies rehaussant l’aura mystérieuse qu’il dégageait. Tout dans sa démarche et son regard indiquait que le rituel allait commencer.
Il s’avança lentement vers l’autel, ou il s’inclina vers le portrait de la divinité.
D’une voix grave et solennelle il s’adressa à la figure divine.
« Oh grand Dieu Chibrax, nous sommes réuni pour accomplir ta volonté sacré. Je t’implore de me donner la force nécéssaire pour convertit cette pécheresse en une catin dévouée, avide de sexe et de plaisir. Puisse ta puissance transférée à mon chibre, me guider dans cette mission divine ».
Masteraker prit un rameau d’Olivier symbole de renouveau et de purification, puis commença a tourner autour de moi. Avec lenteur, il fit glisser les feuilles délicatement sur mon visage, comme pour m’apaiser, avant de descendre vers mon corps.
Il effleura mes épaules et mes seins avec des mouvements mesurés, le rameau produisant des légers picotements. Lorsqu’il atteignit mes hanches ses gestes devinrent plus insistants, le rameau frappant mes fesses. Chaque coup, laissait une sensation de picotement vif faisant rougir mes fesses, et je laissai échapper un « Aie » sous l’effet de la surprise et de la douleur.
« Accepte cette purification, » déclara-t-il d’une voix ferme.
Puis il prit le seau et le goupillon, dont le bout était orné d’un gland de penis sculpté. Avec soin, il trempa l’objet dans un mélange de son sperme et de vaseline contenu dans le seau, tout en murmurant et répétant :
« Par ce rituel sacré, je te purifie au nom du Dieu Chibrax. »
Il se déplaça autour de moi avec lenteur, m’aspergeant délicatement à chaque passage, dans une gestuelle précise et solennelle. Chaque geste semblait porter un sens symbolique, une invocation.
Puis, il s’arrêta derrière moi et, avec une autorité douce mais ferme, il m’invita à me cambrer légèrement. « Accepte cette bénédiction, » murmura-t-il, continuant son rituel. Lacrampe écarta mes fesses et le maitre présenta le goupillon au bord mon anus. Il était gros et huileux, il poussa progressivement l’objet, qui entra en forçant légèrement dans mon rectum.
Au début, je baissai la tête et plissai les yeux, légèrement décontenancée par ces sensations nouvelles.
Je me surprenais à apprécier cette étrange expérience, à la fois inédite et inattendue. Chaque geste de MasterBaker, éveillait en moi une curiosité et une forme de plaisir que je n’avais pas anticipée
Une fois terminé, il revint devant moi, le regard empreint de gravité. « Maintenant que l’essence de Chibrax est en toi, il est temps de compléter le rite. »
Avec un mouvement précis, il ouvrit une fente discrète sur le devant de son aube pour révéler son penis dressé, emblème de son autorité. Il dit :
« Par mon appendice, Chibrax va entrer dans ta bouche. Ouvres et suces ce baton divin pour faire pénitence ».
Guidée par l’atmosphère étrange et rituelle de la scène, je me retrouvai à sucer goulûment le maitre. Lacrampe tenait délicatement ma tête, orientant chacun de mes mouvements avec précision.
Par moments, il appuyait légèrement, insistant pour que je prolonge ma succion , tout en s’assurant que je restais en harmonie avec le rythme imposé par MasterBaker. Chaque instant semblait minutieusement chorégraphié.
MasterBaker, visiblement transporté par l’intensité du moment, leva les yeux au ciel comme pour s’adresser à une force supérieure.
« Chibrax, ne m’abandonne pas dans ce moment de faiblesse… Cette pécheresse pourrait me faire éjaculer… » murmura-t-il d’une voix grave, presque suppliante.
Soudain, il recula brusquement, poussant un râle, comme pour reprendre le contrôle de lui-même. Après un bref instant de silence, il sembla entendre une réponse divine dans son esprit.
« Tu veux que je la prenne, Chibrax ? Très bien… » déclara-t-il avec conviction, avant de se placer derrière moi avec une intention nouvelle.
Masterbaker ôta le goupillon qui semblait le gêner. Il commença a me pénétrer en levrette doucement.
Peu a peu , ses mouvements devinrent plus intense, jusqu’à trouver un rythme régulier et appuyé. Cette cadence presque hypnotique, résonnait à travers mon corps, créant des vagues qui animaient délicatement mes formes et faisaient balloter mes seins sous l’effet de se mouvement singulier. Je sentai une vague d’émotion m’envahir, chaque geste éveillant en moi de petites sensations de plaisir inattendu. Le Maitre remarqua mon état, leva les yeux comme pour s’adresser à une force supérieure.
« Chibrax donne moi ta puissance » déclara-t-il avec ferveur.
Il accéléra alors ses gestes, chaque mouvement devenant plus marqué, plus appuyé, cognant dans le fond, dans une sorte de frénésie controlée.
Je ne pu retenir un cri qui s échappa de mes lèvres, marquant l’apogée de ma jouissance.
MasterBaker se retira, brandissant son sexe marqué de sang de mes règles. Dans un ton autoritaire, il s’adressa à Lacrampe, l’appelant comme on appellerait un serviteur docile : « Viens ici, maintenant. »
Lacrampe accourut à quatre pattes, obéissant sans hésiter. Il suça le maitre.Cela me laissa mal à l’aise, un mélange de fascination et de dégoût se disputant en moi alors que j’observais la scène.
Je regardais sa bite, désormais nettoyée avec soin. Jamais encore je n’avais vu une forme aussi incurvée vers le haut, et la rigidité de son érection semblait presque irréelle.
MasterBaker, d’un ton impérieux, ordonna à Lacrampe : « Détache-la et place-la sur la croix de saint André. »
Lacrampe obéit immédiatement, me libérant avec soin avant de me guider vers la grande croix qui se dressait face au portrait imposant du dieu. Avec une précision méthodique, il m’y attacha solidement, chaque mouvement renforçant l’atmosphère solennelle et troublante du rituel.
MasterBaker observa un instant, puis déclara calmement : « Ça coule… Lacrampe, prends des échantillons et place-les dans le calice en offrande à notre dieu. »
,Lacrampe s’exécuta sans hésiter, recueillant avec soin ce qu’il appelait l’essence sacrée. Une fois la tâche accomplie, MasterBaker, d’un ton autoritaire, ajouta : « Tu l’as salie. Lèche-la correctement. »
Lacrampe obéit immédiatement, effectuant son travail avec une minutie presque rituelle, dans un silence chargé de solennité.
Il me léchait le clitoris, ce qui me faisait mouiller et couler encore davantage. Il se régalait, le dégoût m’empêchait d’en tirer la moindre émotion.
« Ça suffit ! » déclara le Maître d’une voix ferme, comme s’il venait de recevoir une révélation divine. Il se tourna vers Lacrampe et ajouta : « Tu vas t’accoupleras à elle. »
D’un geste précis, il libéra la bite de Lacrampe de sa cage. Surprise, je protestai aussitôt : « Ce n’était pas prévu, ce n’était pas dans l’accord ! »
MasterBaker me fixa intensément, son ton empreint de gravité : « Oserais-tu remettre en question la volonté de notre dieu ? »
Attachée et immobilisée, je me rendis compte que je n’avais aucune échappatoire.
« Notre dieu m’a confié une mission, » déclara le Maître avec une ferveur presque mystique. « Tu dois recevoir plusieurs unions pour que ta transformation soit complète. Je vais exécuter sa volonté. »
Lacrampe, obéissant sans hésiter, s’équipa d’un soigneusement d’un préservatif. Avec sa stature imposante, il parvint maladroitement à mener à bien cette partie du rituel. Toujours attachée debout à la croix cela compliqua l’acte. Après quelques ajustements il arriva finalement à entrer en moi sous le regard approbateur du Maître.
Lacrampe m’agrippa fermement par la taille, rapprochant nos corps dans une étreinte serrée. À chaque mouvement, il accentuait cette proximité, rendant l’instant plus intense et contrôlé.
Il ne fallut que peu de temps pour qu’il ejacule. Il se retira , son sperme pendait dans le réservoir du préservatif.
« Attends ! » ordonna le Maître en levant la main, arrêtant Lacrampe dans son élan. D’un geste solennel, il s’agenouilla devant lui et, avec soin, retira le préservatif.
Fixant le contenu avec intensité, il déclara d’une voix grave : « Chibrax, observe ce liquide… Cette femme a réussi à faire plier notre fidèle serviteur. Cela ne peut rester impuni. »
Son ton laissait présager qu’une nouvelle étape du rituel allait commencer.
Ils me libérèrent de mes attaches avec une précision presque cérémonieuse, puis m’escortèrent jusqu’à un matelas disposé dans un coin de la pièce.
Ils m’y allongèrent délicatement à plat ventre, tandis que MasterBaker, d’un ton solennel, déclara : « La sodomie, cette punition sera une épreuve qui te rapprochera de la rédemption. »
À aucun moment il ne se doutait que j'aimais la sodomie. Il écarta doucement mes fesses et s'y glissa, son souffle chaud effleurant ma peau. Sa queue, tendue et avide, trouva directement le chemin de mon anus. Je sentais tout son corps, lourd et pressant, posé sur moi, pénétrant mon rectum jusqu’à la garde. Pendant ce temps, son assistant attendait à côté, les bras croisés, le regard fixe, comme s'il attendait un ordre divin. Son maître, concentré et fébrile, continuant à travailler frénétiquement mon trou du cul.
Je me mis à pousser des gémissements. Le maître, d'une voix ferme, dit : "Suffit." Il fit signe à son assistant de me faire taire. Le maître se releva lentement, son regard perçant fixé sur moi. Son assistant, obéissant, me saisit par les hanches et me releva pour me positionner en levrette.
Comme s'ils se comprenaient sans rien dire, Lacrampe présenta son sexe tout mou devant ma bouche pour me faire taire. J'ouvris la bouche et sentis cette bite molle que je suçais avec délice, qui gonflait sur ma langue.
Masterbeker s'affairait maintenant dans ma chatte, en même temps que j'étais occupée à savourer cette bite molle. Il était à genoux, et je sentais ses couilles taper contre ma vulve, ainsi que sa grosse bite qui bousculait mes organes à chaque pilonnage.
Immobile entre les deux, je pouvais me dégager, mais je n'en avais pas l'intention tant j'appréciais ce qu'ils me faisaient. Lacrampe se retira un instant pour aller chercher le rameau d'olivier et le tendre au maître. Il reprit rapidement sa place, se laissant aller à la douce sensation d'une caresse buccale sur son sexe. Le maître, concentré, prit le rameau, continua à me limer avec une précision presque divine et me flagella les fesses. Pendant ce temps, je restais immobile, partagée entre l'excitation et une légère appréhension, savourant chaque instant.
Devrais-je vraiment apprécier cela autant ? Pourtant, chaque geste, chaque sensation me faisait jouir. Chaque mouvement de Masterbaker était précis et puissant. La force de ses coups me poussait inexorablement vers son assistant, le suçant au rythme de ses assauts. Bien que Lacrampe se soit déjà oublié en moi, il restait ferme dans ma bouche. Prêt à revenir, Je sentais du liquide pré-séminal sortir de sa bite et couler lentement dans ma gorge. Une émotion devenait de plus en plus intense. Un fort orgasme épileptique me fit perdre pied, me relâchant totalement.
J'étais en extase et le maître l'avait bien compris. Alors, il s'arrêta. " Cette salope est mure, c'est maintenant le moment de ta consécration," dit-il. Il se dirigea vers l'autel. Son assistant me positionna à genoux devant le portrait de ce dieu, ses mains fermes mais délicates. Mon cœur battait plus fort, chaque fibre de mon être vibrant d'anticipation.
Son aube était rougie au niveau de la fente ou il passait son sexe , mélange de mes règles et de mouille. Il prit le calice sur l'autel et dit : "Oh mon Dieu, consacre maintenant ce jus divin que cette femme a uriné dans mon calice." Il le leva vers le portrait et en but une pleine gorgée. Il s'essuya la bouche avec ma serviette hygiénique souillée. Sa bouche était barbouillée de mon flux vaginal . L'assistant, les yeux écarquillés, regardait la scène avec une fascination mêlée de respect. Il se tenait prêt, attentif à chaque mouvement du maître, comme s'il attendait le prochain ordre avec une dévotion silencieuse.
Le maître dit : "C'est maintenant le moment." Son assistant me tenait la tête pour que je ne loupe rien. Le maître se mit à se branler devant moi, disant : "Chibrax, donne-moi la force maintenant que tu es en moi." D'une forte éjaculation incontrôlée, je reçus de le sperme divin du maître sur le visage et dans la bouche. Le bon goût âpre et épais du sperme se mêlait à ma salive, tandis que l'assistant, toujours attentif, me maintenait fermement.
Je fis "hmmm". Le maître, remarquant ma réaction, dit : "Tu aimes ça ? C'est l’âme de notre dieu, désormais en toi." Il prit son gland, encore enduit de sperme, et l'approcha de ma bouche. Je suçais le reste de jute sur sa queue, savourant la saveur du jus sacré. Le maître sourit, visiblement satisfait, et dit : "Je savais que tu apprécierais. Continue, il y en a encore."
Je pompais le reste avec conviction. Le maitre dit : "C'est maintenant la fin. Je vais me retirer afin de méditer. Tu fais désormais partie de notre caste. Je vais t'offrir comme salope à d'autres hommes la prochaine fois, pour qu'ils te désirent, toi seule, eux et la force de notre dieu." J'acquiesçai avec sourire, comprenant qu'il voulait me gang-banguer. Il remonta lentement vers ses appartements.
e me rhabillai et demandai à Lacrampe, tout en remarquant qu’il me fixait attentivement :
— Peux-tu parler maintenant ?
Il hocha la tête.
— Oui, je le peux.
— Ils étaient nombreux pour la dernière œuvre ? demandai-je.
— Ils étaient six disciples, moi compris, répondit-il calmement.
— Ça promet ! lançai-je avec un sourire.
— Oui, ils étaient très investis. Cela a duré toute une journée, ajouta-t-il.
— Oh ! dis-je, un peu surprise.
Il éclata de rire et ajouta avec légèreté :
— Mais ne vous inquiétez pas, il y a eu des pauses, ha ha ha…
Cette expérience inoubliable éveilla en moi un désir profond et une impatience intense d’en découvrir davantage. Le Maître tenta de réunir ses disciples afin de préparer cette rencontre, mais, quelques jours plus tard, il fut victime d’un AVC qui le laissa paralysé du côté gauche. Je ne l’ai jamais revu.
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Les avis des lecteurs
Fais mieux
N'importe quoi...
Beaucoup d'imagination, récit imagé très agréable.