La grosse Monique et les ouvriers

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La grosse Monique et les ouvriers Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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La grosse Monique et les ouvriers
À l’époque, je travaillais comme vendeuse dans une grande boulangerie-pâtisserie située en plein centre-ville. Nous portions toutes un uniforme de travail composé d’une jupe, d’un chemisier et d’une veste, ce qui me donnait une certaine élégance malgré mes rondeurs. Le patron prenait en charge le coût de nos tenues ainsi que leur nettoyage. Cependant, il avait un comportement un peu déplacé : nos jupes étaient taillées juste au-dessus du genou et fendues de manière discrète, ce qui semblait lui plaire. Parfois, il se permettait quelques gestes inappropriés, laissant traîner une main indiscrète.
Chaque matin, je me rendais au travail en transports en commun, avec un arrêt situé à environ 200 mètres de la boulangerie. Sur le chemin, je passais devant un grand chantier de construction, bruyant et animé, où une équipe d’ouvriers travaillait chaque jour. Dès les premiers jours, certains d’entre eux ont commencé à me remarquer, me lançant des sourires ou un “bonjour” avec un petit clin d’œil quand je passais.

Au début, c’était plutôt discret : un regard un peu appuyé, un compliment lancé à la volée, toujours avec une touche de malice. Puis, en repérant mon uniforme de vendeuse, ils ont compris que je travaillais à la boulangerie-pâtisserie du coin. Rapidement, certains ont pris l’habitude de venir pendant leur pause, sous prétexte de se procurer des sandwiches ou des viennoiseries. Ils me taquinaient gentiment à chaque passage au comptoir, demandant quel était “le secret de mon sourire” ou comment je faisais pour être de si bonne humeur de si bon matin.

Avec le temps, ils sont devenus un peu plus audacieux dans leur manière de me draguer. L’un d’eux, un certain Youri, m’offrait parfois un petit compliment : “Alors, c’est toi qui rends le soleil jaloux ce matin ?” disait-il, avec un clin d’œil. Un autre me demandait malicieusement si je n’avais pas “un petit pain au chocolat spécial” juste pour lui. Certains attendaient même mon passage chaque matin pour me saluer chaleureusement, s’arrangeant pour être sur mon chemin avec un “Alors, la plus jolie vendeuse de la ville, bien réveillée ?”
Parfois, en réponse à leurs sifflements et leurs sourires amusés je me permettais un geste un peu audacieux. Dans un moment de malice il m’arrivait de relever discrètement me jupe , juste un peu, laissant entrevoir une parcelle de ma cuisse, voire même dans un geste maladroit la naissance de ma fesse en collants.
Petit à petit, ces échanges sont devenus un rituel amusant, entre taquineries et compliments bienveillants. Nous avons fini par bien nous connaître, et un lien de camaraderie s’est installé.
Un matin j’avais légèrement relevé ma jupe laissant entrevoir mes cuisses. Youri c est exclamé avec un sourire ;
-Hey, Monique tu mets des bas toi aussi ?
-oui cela m’arrives parfois.
-Demain c’est samedi et comme on ne travaille que le matin, on a un petit rituel; on fait un barbecue ensemble a midi. Tu voudrais te joindre a nous?
-Avec plaisir, je termine à treize heures, je vous ramènerai des baguettes et le dessert.
-Et tes miches!
Tous les ouvriers éclatèrent de rire en entendant notre échange.
Le lendemain, sans trop savoir pourquoi, j’enfilai des bas, comme si je pressentais vaguement ce qui m’attendait à ce barbecue. En passant devant le chantier, j’entendis les ouvriers siffler en me voyant. Avec un sourire en coin, je relevai discrètement ma jupe pour leur montrer mes bas, sous leurs regards vicieux et leurs rires complices.
À treize heures, mon service terminé, je me dirigeai vers le chantier, deux baguettes sous le bras. Les trois ouvriers, dont Youri, qui avait travaillé ce jour-là, m’attendaient autour du barbecue en sirotant l’apéro.
-Salut Monique ! me lancèrent-ils en souriant. Je fis la bise à chacun d’eux, puis ils m’invitèrent. -Allez, entre dans notre baraque de chantier et mets-toi à l’aise. Tu veux un verre ?.
-Oui, volontiers !” répondis-je en me détendant.
-On a de la bière, du coca, de l’eau, ou du rosé !
-Un rosé, s’il te plaît.
-Bonne idée, il est bien frais.
La chaleur commençait à devenir étouffante dans leur petite cabane de chantier, où l’odeur du barbecue et la chaleur de l’été remplissaient l’air. Pour me sentir plus à l’aise, j’avais déboutonné les premiers boutons de mon chemisier, relâchant un peu l’étoffe pour laisser passer un peu de fraîcheur, laissant ainsi voir la naissance de ma poitrine opulente . Nous continuions à rire et à plaisanter, profitant de l’atmosphère détendue et complice qui s’installait autour de ce déjeuner improvisé. L’alcool aidant, l’ambiance devenait détendue , remplie de rires et de plaisanteries devenant plus friponnes au fur et à mesure du repas. À un moment, un des ouvriers lança avec un clin d’œil :
-Monique, c’est l’anniversaire de Youri demain… Tu ne lui as pas apporté un petit cadeau par hasard ?
-Ben non, je n’ai pas apporté de cadeau,” répondis-je en riant, “le cadeau, c’est moi !”
Tout le monde éclata de rire à ma réplique, et Mamadou lança en plaisantant : “Allez, Youri, déballe ton cadeau !”
Je répondis « je plaisantais », mais eux devenaient de plus en plus insistants sous couvert d’humour. « Allez, Monique, maintenant tu ne peux plus te défiler ! » lançaient-ils avec un sourire taquin. Alors, avec un petit rire, je répondis simplement : “Bon, d’accord.”
Je souris et ajoutai en me levant : “Oui, mais c’est à lui seul de l’ouvrir !” Je me tournai alors vers Youri, faisant en sorte de cacher la scène aux autres, tout en maintenant cette ambiance chaude et décontractée.
Je déboutonnai mon chemisier avec un sourire mystérieux, sous le regard curieux de Youri, puis l’ouvris grand devant lui. Lentement, je sortis mes deux seins, les déballant de leur soutien-gorge pour lui révéler. Youri écarquilla les yeux, surpris par la taille des deux grosses miches, avant de les prendre dans ses mains et de les pétrir . Les autres, étaient bouches béé en voyant mon « cadeau » bien généreux.
Le gros Serge lança : “Allez, Youri, fais voir aussi aux copains !”

Sans vraiment comprendre comment, je me retrouvai assise à table, jupe relevée, les cuisses gainées de bas grandes ouvertes, le seins à l’air, un peu surprise mais amusée. Après tout, je les avais bien appâtés avec mon petit jeu, et au fond de moi, je savais que cela finirait ainsi, alors je laissai faire.
Youri, baissa son pantalon, puis sortit son sexe de son caleçon. Derrière moi, j’entendais les autres bouger pour faire de la place, prêts à partager ce moment. Visiblement, les compères avaient tout prévu, car une grande boîte de préservatifs trônait déjà sur la table, prête pour l’occasion. Ils avaient manifestement planifié de faire de moi leur repas et me passer à la casserole.
Assise au bord de la table, je m’appuyai sur mes mains derrière moi pour garder mon équilibre, observant Youri mettre une capote.
Youri s’appliquait avec soin à laisser un reversoir, puis, se tenant entre mes cuisses, il posa ses mains sur mes hanches, et me pénétra doucement. J’avais sa bonne queue en moi, et il me limait doucement. Pendant ce temps, Gérard pelotait mon sein gauche, tandis que Mamadou me tétait le sein droit.

Cela durait et Youri prenait son temps. Le coup de rein assuré j’appréciai ses coups de bites. S’impatientant , Gérard et Mamadou se levèrent chacun de leur côté pour s’approcher et participer. Le gros Gérard sortit sa petite bite en disant : “Mais non, c’est pas comme ça qu’on fait, laisse-nous un peu de place !” En un clin d’œil, il enfila une capote, montrant que malgré la bonne humeur, il prenait son rôle de “chef” au sérieux. Youri protesta : “Je vous rappelle que c’est mon cadeau !”
Mamadou, profitant de la petite dispute entre ses deux compères, me glissa sa bite généreuse dans la bouche. Surprise, je ne pus m’empêcher de sucer, incapable de répondre aux chamailleries des autres.
Alors que Youri s’écartait pour laisser sa place, Gérard s’exclama avec un large sourire : “Eh ben Monique, tu perds pas de temps ! Regardez-moi cette salope, elle gobe Mamadou !”
La bouche pleine, je ne pouvais que lever les yeux au ciel incapable de répondre…
Gérard s’agitait comme il pouvait dans ma chatte, mais son gros ventre le limitait dans ses mouvements, ce qui réduisait sa profondeur de pénétration. On aurait dit une tortue qui s’efforce d’aller plus vite, et je ne pus m’empêcher de lui lancer en riant : “Eh ben, pour un chef, c’est pas terrible !”
Il leva un sourcil et répondit avec défi : “Ah oui ? Tu vas voir de quoi je suis capable !”

Déterminé, Gérard redoubla d’efforts et se mit à me démonter à une cadence impressionnante. Cette soudaine accélération, presque théâtrale, me combla. Entre chaque coups de hanches, je ne pus retenir des petits gémissements, ce qui l’encouragea encore plus. Tout fier de lui, Gérard déclara essoufflé : “Alors, t’as vu le chef en action ?”
Je me mis à jouir et Gérard, voyant mon état, semblait particulièrement fier de lui. Dans un élan de faiblesse et, sans ajouter de surprise, il lâcha sa purée maison, en mettant quelques derniers coups appuyés.
Je ne pus m’empêcher de sourire en voyant son plaisir.
Je pris une voix douce et appelai : “Allez, viens, Mamadou !”
Mamadou s’approcha et enfila un préservatif. Mais, à la surprise générale, la capote ne couvra que la moitié de son penis, tant son sexe était large, ce qui impressionna autour toute la table.
Mamadou écarta mes cuisses et, brandit son gourdin, tel un guerrier prêt à s’attaquer à son ouvrage. Il positionna mes jambes, mettant mes chevilles sur ses épaules, puis se mit a presenter son sexe au portes de mon vagin avec une précision. Malgré la taille imposante de son pénis, il entrait dans mon intimité avec une délicatesse extrême, chaque centimètre étant entré parfaitement, sans forcer, jusqu’au fond.

À chaque mouvement, sa bite frappait mon utérus avec un rythme régulier, poussant mes organes génitaux à chacun de ses coups, rendant le rapport à la fois intense et agréable. Voyant que je suivais chaque mouvement avec envie, Mamadou augmenta un peu la cadence, comme pour me mettre l’eau à la chatte. Et ça marchait : je sentais déjà la mouille me couler le long des lèvres vaginales !
Finalement, je ne résistai plus et je criai de jouissace. Youri, remarquant mon excitation , me tendit sa bite : “Tiens, suce moi ça !” Je tournai la tête vers lui, et il glissa sa queue dans ma bouche entière.
Il alla un peu trop loin, déclenchant un léger spasme de nausée. Voyant cela, Youri, me maintenu doucement la tête pour rester en bouche. Puis, Il la bloqua la empêchant tout mouvements et baisa ma bouche comme une chatte.
Le moment était tellement intense que Youri et Mamadou se retirèrent. Voyant cela, je me redressai, puis me mis à genoux en les regardant avec un sourire amusé, comme pour les inciter à revenir.
Ils échangèrent un regard complice et, sans se faire prier, se rapprochèrent à nouveau, prêts à m’offrir leurs bites. Je les branlai et je les suçai tour à tour comme une actrice porno et savourai pleinement chaque bites. Face à ce traitement inattendu , les deux hommes ne purent se retenir et éjaculèrent. Prise par surprise, ils en crachèrent leur sperme, m’aspergeant volontairement la poitrine dans un véritable geyser.
Amusée, je les taquinai en leur lançant un regard faussement indigné, avant de prendre un peu de leur foutre que j’étalai soigneusement sur toute ma poitrine. Après un dernier pompage, je m’essuyai la bouche.

Le gros Gérard était assis, l’air maussade, marmonnant à demi-mot, visiblement contrarié d’avoir éjaculé trop tôt dans un moment de faiblesse. Nous nous sommes rhabillés puis j’ai sorti le dessert que j’avais ramené de la pâtisserie : une tarte aux pommes bien dorée. Ils étaient désormais moins distants, assis tout près de moi, chacun d’un côté, tandis que Mamadou, lui, se tenait en face. Gérard, soudain plus léger, lança avec un sourire : « Alors, on remet ça samedi prochain, en heures sup ? » en plaisantant. J’ai répliqué en souriant que rien n’était certain, que je n’étais pas sûr de revenir. Il était 15 heures lorsque nous avons finalement décidé de rentrer chacun chez nous.
La semaine suivante, maintenant que nous étions devenus plus complices, je me permettrai un peu plus de légèreté à mon passage devant le chantier. Dans un esprit de plaisanterie, je m’amusais à leur montrer mon popotin, levant rapidement ma jupe. J’entendis : « A samedi Monique ».

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quelle gourmande vous êtes !!!!
J'aurai aimé être sur le chantier avec eux...
Bises coquines.
Lolo



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