La grosse Monique et son cousin
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La grosse Monique et son cousin
Aujourd'hui, à 46 ans, avec un mari cocu consentant, Me motivant à le faire, après avoir été fidèle jusqu’à 40 ans, j’écartai désormais facilement. J’avais des relations relations extra-conjugales , je n’avais jamais eu de relations avec de la famille. Mais Laurent, le filleul de mon père et mon cousin par l’occasion, a changé la donne lors d‘un repas de famille.
Pour l’anniversaire de mon père, j’avais choisi une tenue soignée : une jupe beige arrivant juste au-dessus des genoux, un chemisier blanc assorti à un soutien-gorge et une culotte gainante, ainsi que des bas autofixants de couleur claire, tirant sur le blanc. Ma sœur et moi étions arrivées un peu plus tôt pour aider aux préparatifs.
Alors que je m’apprêtais à mettre les couverts sur la table, j’ai accidentellement fait tomber une fourchette. En me baissant pour la ramasser sans plier les genoux, ma jupe est remontée, dévoilant mes bas presque jusqu’à mes fesses. Mon cousin, qui se trouvait juste derrière moi, a eu une vue imprévue de la situation. Il dit :
-Tu sais, c'est difficile de ne pas regarder, tout cul tendu mérite son du.
Je lui tendis en plaisantant.
-Alors tu attends quoi ?
A ma grande surprise, il réagit instinctivement. Visiblement troublé, il me prit par les hanches et, mimant un geste audacieux, pressa son corps contre mes fesses, son désir devenant évident.Je rétorquai discrètement, sans vouloir attirer l’attention des autres :
-Chut, pas touche, vilain garçon, en me dégageant doucement de son emprise.
-Alors tu ne veux plus jouer au docteur ?
-Non, tu n’es pas médecin.
Je continuai à mettre les couverts, et, avec l'apéritif, j'étais légèrement pompette lorsque nous nous sommes mis à table. Mon cousin était assis en face de moi, au bout de la table, avec sa compagne à sa droite, tandis que mon mari était à côté de moi. Le vin blanc servi pendant l'entrée n'a pas amélioré ma lucidité. L'ambiance était détendue, et avec l'alcool, je me sentais de plus en plus légère.
Soudain, je sentis le pied déchaussé de mon cousin remonter le long de ma jambe, de la cheville au genou. Je serrai les cuisses et repoussai discrètement son pied avec ma main.
Deux minutes plus tard il réessaya en insistant. Je serrai les cuisses et nos regards se croisèrent. Je pense que nous avons eu la même pensée que lorsque nous étions enfants et jouions à 'touche-pipi'." Finalement, je cédai en écartant légèrement les jambes, ce qui lui permit de remonter un peu plus le long de ma cuisse.
Il caressait mes cuisses, et discrètement, je basculais le bassin tout en ouvrant légèrement les jambes, ce qui lui permit d’atteindre le fond de ma culotte avec son orteil. Il tenta d’écarter ma culotte, mais finalement, il se contenta de masser ma fente a travers le tissu du bout du pied, ce qui était agréable. Je sentais mon sexe s’humidifier et commencer a s’ouvrir.
Je me levai finalement pour aider à débarrasser et apporter le plat de résistance, en profitant de l'occasion pour aller aux toilettes. Je pense qu'il avait interprété mon geste comme une demande d'arrêter, car il ne recommença pas pendant le repas. Plus tard, je déchaussai mes chaussures et, cette fois, ce fut moi qui alla à sa rencontre, remontant le long de sa jambe vers son sexe. Il ne fallut pas longtemps pour que son désir se manifeste sous mon pied. Il dut dégager sa verge et la mettre vers le haut pour plus de confort. A mon tour je le massai du bas de la tige jusqu’au casque. N’hésitant aussi à jouer avec ses boules en les soulevant avec mes orteils essayant de les malaxer comme si c était de mes mains.
Sa compagne fit un mouvement brusque, ce qui me fit arrêter immédiatement. Peu après cette alerte il reglissa son pied sous ma jupe. Assise alors en bord de chaise, je remarquai alors son visage étonné. En effet, pendant que j étais aux toilettes, j avais retiré ma culotte.
Mon mari tourna doucement la tête vers moi. Je serrai les cuisses pour retenir le pied de Laurent et il dit : 'Je sais ce qu’il te fait, continue salope.’
Laurent avait trouvé mon clitoris et le frottait du bout de l orteil. Cela me faisait un bien fou, au point que je devais me pincer les lèvres pour ne pas laisser transparaître la moindre émotion.
Je serais les cuisses pour qu'il s'arrête avant que je ne sois plus capable de dissimuler ce qu'il me faisait ressentir.
Il me fit un signe de la tête. Il se leva et dit : « Je vais fumer une cigarette en regardant le jardin. » Je répliquai : « Bonne idée, je vais aux toilettes et je te rejoins, ça me fera du bien de marcher un peu. » Personne ne remarqua rien, puisque Laurent était le seul fumeur. Pour atteindre le jardin, il fallait passer par la cave, où, par coïncidence, se trouvaient les toilettes.
Laurent m'attendait en bas des escaliers. Il m'attira dans la cave voisine, et je le suivis, sachant parfaitement ce qu'il avait en tête. Il alluma la lumière et referma la porte derrière lui. Nous étions tous les deux excités.
Sans perdre de temps, il ouvrit son pantalon, et libéra sa queue qui paru jaillir tant elle était raide . Il me tourna vers le congélateur , j’y pris appui des deux mains. , il leva ma jupe et il me pénétra car j étais déjà bien humide et sans culotte. Il me pénétra immédiatement étant déjà bien mouillée et sans culotte. Je sentais qu’il était sportif, car il allait de bon train. Étant grand, il devait fléchir les genoux, et la position semblait inconfortable pour lui.C'était une véritable machine, et je ne regrettais pas de m'être laissée faire. Mon vagin réagissait, il se serait au fur et a mesure. Soudain, il s'arrêta et se retira de ma chatte, son sexe gouttant de cyprine. Pensant qu’il avait terminé, je me tournais vers lui. Mais il s'approcha de moi et il me leva et m’assit sur le congélateur.. Il entra dans ma chatte et commença le coït avec énergie, tenant mes lourdes cuisses sous chaque bras. Il s'y investissait pleinement, car le temps pressait, par peur de nous faire prendre. Je le regardais dans les yeux et posai mes mains sur ses épaules. L’intensité était telle que je me mis a jouir.
Il le sentit et se mit aussi à jouir. En retirant sa bite de ma chatte, il tira avec lui une quantité de sperme, en ayant éjaculer beaucoup. Il en étendit par inadvertance sur ma cuisse. Essoufflé, car nous avions copulé rapidement pour éviter l'attention des invités. Je m'essuyais la semence dégoulinante de ma fente avec du sopalin qui traînait.
Je me suis réajustée, nous nous sommes rhabillés. En remontant tranquillement, je me dirigeai vers la salle a manger où se trouvait les convives. C'est alors que je sentis que cela coulait encore entre mes cuisses et que je n'avais pas tout essuyé. Ne pouvant pas me nettoyer devant tout le monde, ayant laissé ma culotte dans mon sac a main, je fis comme si de rien n'était et m'assis à table.
Je pris alors ma serviette en papier et épongeai discrètement mon entrejambe. Mon mari remarqua ce que je faisais, et je lui montrai fièrement le contenu de la serviette. Il me répondit simplement : « Salope. »
Pour l’anniversaire de mon père, j’avais choisi une tenue soignée : une jupe beige arrivant juste au-dessus des genoux, un chemisier blanc assorti à un soutien-gorge et une culotte gainante, ainsi que des bas autofixants de couleur claire, tirant sur le blanc. Ma sœur et moi étions arrivées un peu plus tôt pour aider aux préparatifs.
Alors que je m’apprêtais à mettre les couverts sur la table, j’ai accidentellement fait tomber une fourchette. En me baissant pour la ramasser sans plier les genoux, ma jupe est remontée, dévoilant mes bas presque jusqu’à mes fesses. Mon cousin, qui se trouvait juste derrière moi, a eu une vue imprévue de la situation. Il dit :
-Tu sais, c'est difficile de ne pas regarder, tout cul tendu mérite son du.
Je lui tendis en plaisantant.
-Alors tu attends quoi ?
A ma grande surprise, il réagit instinctivement. Visiblement troublé, il me prit par les hanches et, mimant un geste audacieux, pressa son corps contre mes fesses, son désir devenant évident.Je rétorquai discrètement, sans vouloir attirer l’attention des autres :
-Chut, pas touche, vilain garçon, en me dégageant doucement de son emprise.
-Alors tu ne veux plus jouer au docteur ?
-Non, tu n’es pas médecin.
Je continuai à mettre les couverts, et, avec l'apéritif, j'étais légèrement pompette lorsque nous nous sommes mis à table. Mon cousin était assis en face de moi, au bout de la table, avec sa compagne à sa droite, tandis que mon mari était à côté de moi. Le vin blanc servi pendant l'entrée n'a pas amélioré ma lucidité. L'ambiance était détendue, et avec l'alcool, je me sentais de plus en plus légère.
Soudain, je sentis le pied déchaussé de mon cousin remonter le long de ma jambe, de la cheville au genou. Je serrai les cuisses et repoussai discrètement son pied avec ma main.
Deux minutes plus tard il réessaya en insistant. Je serrai les cuisses et nos regards se croisèrent. Je pense que nous avons eu la même pensée que lorsque nous étions enfants et jouions à 'touche-pipi'." Finalement, je cédai en écartant légèrement les jambes, ce qui lui permit de remonter un peu plus le long de ma cuisse.
Il caressait mes cuisses, et discrètement, je basculais le bassin tout en ouvrant légèrement les jambes, ce qui lui permit d’atteindre le fond de ma culotte avec son orteil. Il tenta d’écarter ma culotte, mais finalement, il se contenta de masser ma fente a travers le tissu du bout du pied, ce qui était agréable. Je sentais mon sexe s’humidifier et commencer a s’ouvrir.
Je me levai finalement pour aider à débarrasser et apporter le plat de résistance, en profitant de l'occasion pour aller aux toilettes. Je pense qu'il avait interprété mon geste comme une demande d'arrêter, car il ne recommença pas pendant le repas. Plus tard, je déchaussai mes chaussures et, cette fois, ce fut moi qui alla à sa rencontre, remontant le long de sa jambe vers son sexe. Il ne fallut pas longtemps pour que son désir se manifeste sous mon pied. Il dut dégager sa verge et la mettre vers le haut pour plus de confort. A mon tour je le massai du bas de la tige jusqu’au casque. N’hésitant aussi à jouer avec ses boules en les soulevant avec mes orteils essayant de les malaxer comme si c était de mes mains.
Sa compagne fit un mouvement brusque, ce qui me fit arrêter immédiatement. Peu après cette alerte il reglissa son pied sous ma jupe. Assise alors en bord de chaise, je remarquai alors son visage étonné. En effet, pendant que j étais aux toilettes, j avais retiré ma culotte.
Mon mari tourna doucement la tête vers moi. Je serrai les cuisses pour retenir le pied de Laurent et il dit : 'Je sais ce qu’il te fait, continue salope.’
Laurent avait trouvé mon clitoris et le frottait du bout de l orteil. Cela me faisait un bien fou, au point que je devais me pincer les lèvres pour ne pas laisser transparaître la moindre émotion.
Je serais les cuisses pour qu'il s'arrête avant que je ne sois plus capable de dissimuler ce qu'il me faisait ressentir.
Il me fit un signe de la tête. Il se leva et dit : « Je vais fumer une cigarette en regardant le jardin. » Je répliquai : « Bonne idée, je vais aux toilettes et je te rejoins, ça me fera du bien de marcher un peu. » Personne ne remarqua rien, puisque Laurent était le seul fumeur. Pour atteindre le jardin, il fallait passer par la cave, où, par coïncidence, se trouvaient les toilettes.
Laurent m'attendait en bas des escaliers. Il m'attira dans la cave voisine, et je le suivis, sachant parfaitement ce qu'il avait en tête. Il alluma la lumière et referma la porte derrière lui. Nous étions tous les deux excités.
Sans perdre de temps, il ouvrit son pantalon, et libéra sa queue qui paru jaillir tant elle était raide . Il me tourna vers le congélateur , j’y pris appui des deux mains. , il leva ma jupe et il me pénétra car j étais déjà bien humide et sans culotte. Il me pénétra immédiatement étant déjà bien mouillée et sans culotte. Je sentais qu’il était sportif, car il allait de bon train. Étant grand, il devait fléchir les genoux, et la position semblait inconfortable pour lui.C'était une véritable machine, et je ne regrettais pas de m'être laissée faire. Mon vagin réagissait, il se serait au fur et a mesure. Soudain, il s'arrêta et se retira de ma chatte, son sexe gouttant de cyprine. Pensant qu’il avait terminé, je me tournais vers lui. Mais il s'approcha de moi et il me leva et m’assit sur le congélateur.. Il entra dans ma chatte et commença le coït avec énergie, tenant mes lourdes cuisses sous chaque bras. Il s'y investissait pleinement, car le temps pressait, par peur de nous faire prendre. Je le regardais dans les yeux et posai mes mains sur ses épaules. L’intensité était telle que je me mis a jouir.
Il le sentit et se mit aussi à jouir. En retirant sa bite de ma chatte, il tira avec lui une quantité de sperme, en ayant éjaculer beaucoup. Il en étendit par inadvertance sur ma cuisse. Essoufflé, car nous avions copulé rapidement pour éviter l'attention des invités. Je m'essuyais la semence dégoulinante de ma fente avec du sopalin qui traînait.
Je me suis réajustée, nous nous sommes rhabillés. En remontant tranquillement, je me dirigeai vers la salle a manger où se trouvait les convives. C'est alors que je sentis que cela coulait encore entre mes cuisses et que je n'avais pas tout essuyé. Ne pouvant pas me nettoyer devant tout le monde, ayant laissé ma culotte dans mon sac a main, je fis comme si de rien n'était et m'assis à table.
Je pris alors ma serviette en papier et épongeai discrètement mon entrejambe. Mon mari remarqua ce que je faisais, et je lui montrai fièrement le contenu de la serviette. Il me répondit simplement : « Salope. »
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Donc elle a nique sans capotes comme ça l’amant risquera de re fourguer 1 merde à sa femme ou elle même a son mari. 🤷♀️
Elle n’a pas d’ami de niquer comme ça dans la famille. 😂
Elle n’a pas d’ami de niquer comme ça dans la famille. 😂
Magnifique
M
Toujours aussi excitante..
Ça semble du vécu ??
J'aime beaucoup tes récits
Rudy
Ça semble du vécu ??
J'aime beaucoup tes récits
Rudy
Chère Monique, tu m'as fait bandé tout le long de ton récit 🥰🥰🥰
Cyrille
Cyrille