La grosse Monique l’exhibe a la rivière
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La grosse Monique l’exhibe a la rivière
La grosse Monique l’exhibe à la rivière.
Cela s’est passé à la fin de l’été, au mois de septembre. La chaleur de la journée persistait encore dans l’air, et une douce lumière dorée baignait le village. Après le dîner, mon mari et moi avons décidé de faire une promenade digestive pour profiter de la douceur du soir. Nous avons emprunté un petit chemin de terre qui descendait vers la rivière, serpentant entre les arbres et les buissons encore verts.
La rivière coulait paisiblement en contrebas, reflétant les dernières lueurs du crépuscule. Il faisait encore chaud, et je portais une robe légère qui flottait au moindre souffle de vent, frôlant mes jambes à chaque pas. Nous marchions en silence, savourant le calme de la nature et le chant discret des oiseaux qui résonnait tout autour de nous.
Mon mari s’arrêta et me dit : “Tu n’as pas chaud ? Tu ne veux pas enlever ta culotte ?” J’ai souri en reconnaissant qu’il avait raison. Je me suis alors penchée pour dégrafer mes sandales et retirer ma culotte, appréciant la fraîcheur d’une brise sous mes fesses nues.
Au même moment, un souffle de vent souleva ma robe, dévoilant brièvement mes jambes. Mon mari, me regardant avec un sourire admiratif, s’exclama : “Oh là là !” Nous avons éclaté de rire, complices, savourant la douceur de cette fin d’été et ce moment simple, presque magique.
Je marchais devant mon mari en descendant le sentier vers la rivière, mon popotin se balançant légèrement à chaque pas. Je sentais son regard attentif sur mes fesses derrière moi. À un moment, il me dit en souriant : “Tu ne veux pas relever ta robe ? Ce serait plus pratique pour te déplacer.”
Je lui ai fait un clin d’œil amusé et, suivant son conseil, j’ai relevé ma robe pour qu’elle soit plus haut sur mes hanches. Profitant de l’instant, il a sorti son téléphone pour prendre quelques photos de moi. “Mmm… je bande,” dit-il, un sourire dans la voix, et nous avons poursuivi notre descente, moi les fesses a l’air, entourés par la beauté paisible de la nature.
Nous sommes arrivés au bord de la rivière, et j’avais discrètement relâché le bas de ma robe, par crainte qu’un regard indiscret puisse nous surprendre. Mais tout autour, il n’y avait que le calme de la nature ; le lieu semblait désert et paisible.
Le soleil, bas sur l’horizon, brillait derrière moi, projetant une douce lumière dorée. À contre-jour, je sentais sa chaleur caresser mon dos, et je devinais que mes formes apparaissaient en transparence à travers le tissu léger de ma robe. Mon mari, fasciné par cette silhouette dessinée par la lumière, me photographia avec un sourire émerveillé.
“Relève un peu les bras au dessus de ta tête et écarte pour laisser la lumière danser entre tes jambes,” murmura-t-il en souriant.
Il prit quelques photos, et je me sentais comme une nymphe, légère et libre. Sur un coup de tête, j’ai décidé d’enlever mes sandales et de plonger mes pieds dans l’eau fraîche. J’ai relevé ma robe jusqu’à mi-cuisses pour éviter de la mouiller. “Elle est fraîche, ça fait du bien ! Tu devrais venir,” lui ai-je dit en riant.
Avec un sourire complice, il enleva son short et son caleçon pour se retrouver le bite a l’air toute raide et continua à me photographier tout en s’approchant. J’ai alors relevé entièrement ma robe, dévoilant ma chatte et mon ventre sous la lumière douce. Il s’approcha de moi pour m’embrasser, et je sentais son sexe tendu s’ajuster maladroitement, glissant le long de mon ventre et venant se loger dans le creux de ma vulve. Nous avons ri de cette maladresse, ce qui rendait ce moment encore plus naturel et complice. Il m’accompagna jusqu’à un rocher où je m’y installai confortablement. En enlevant totalement ma robe et mon soutien-gorge , je laissai la douce chaleur du soleil frôler ma peau. Mon mari me regarda un instant, admirant la lumière qui illuminait mon corps nu alors que je prenais le soleil.
Il écarta mes cuisses et il y me pénétra . Il me cognait dedans vigoureusement , et je commençai à jouir sur ce rocher, bercée par la chaleur, les coups de bites et la sérénité du moment. Je remarquais le front de mon mari perler de transpiration, mais son visage trahissait le bonheur qu’il éprouvait à savourer cet instant paisible à mes côtés.
Soudain, nous entendîmes un bruit sourd près de nous, suivi d’un fracas de pierres tombant dans l’eau. Nous nous arrêtâmes, surpris, pour voir ce qui se passait. À notre grande surprise, un homme dévala sur les fesses le versant de l’autre rive, perdant l’équilibre avant de tomber dans l’eau, son short lamentablement à mi-cuisses.
La scène était à la fois cocasse et inattendue, et nous ne pûmes nous empêcher de rire en voyant sa chute maladroite, tandis qu’il tentait de se redresser, tout en éclaboussant autour de lui.
Il se releva, la bite a l’air, et tenta de remonter son short, visiblement embarrassé. Sans doute nous avait-il regardés depuis un moment et il se masturbait. C’était un vieil homme du village, que je reconnaissais. Pour dédramatiser la situation, je lui dis avec un sourire : “Venez nous rejoindre sur la rive !” Je cherchais le consentement de mon mari du regard.
Mon mari, en bon candauliste, ne perdit pas ses moyens et répondit avec enthousiasme : “Bien sûr, venez nous rejoindre ! Ce n’est pas tous les jours qu’on assiste à une scène comme celle-ci !” L’homme acquiesça et commença à traverser la rivière peu profonde, l’eau lui arrivant à mi-cuisse.Il arriva sur la rive, tandis que je restais assise nue les jambes écartées sur le rocher. Il s’approcha de moi, un sourire un peu gêné aux lèvres. Il s’approcha le sexe à la main, mais je ris et dis :
-Non, papi, pas sans capote !
-Oh je ne risque pas de te faire grand mal ! Je bande mou. En vous voyant tous les deux, ça m’a donné envie.
-Vous pouvez profiter de la vue alors.
-Puis-je toucher votre chatte? Je n’en ai jamais touché une aussi lisse. Celle de ma femme est plutôt velu.
-Oui faites vous plaisir, même lécher si vous désirez.
Il s’approcha doucement effleurant mon sexe du bout des doigts, il écarta les lèvres et lécha mon clitoris. Il savourait ma chatte avec un plaisir évident, l’explorant de langue avec une curiosité gourmande. Il me faisait du bien, cela se voyait avec l’abondance de mon flux vaginal.
-Mmmm c’est délicieux , ça mouille bien.
-Régales toi.
-Même avec cette bonne chatte je bande mou, regardes.
Je pris une grande inspiration et décidai d’essayer de résoudre le problème. M’agenouillant devant la vieille bite molle, je pris son sexe en main, prête à m’attaquer à le faire bander. Mes doigts entouraient ce penis endormi, je le branlais, tentant de le réanimer. Mais rien n’y faisait : la bistouquette restait obstinément a demie raide.
Devant moi, il se tenait debout, fermant les yeux. Il levait la tête au ciel, soupirant de bien être . “Bon,” murmurai-je, “je vais essayer une autre méthode.”
Je pris sa bite en bouche, afin de libérer mes mains, puis je lui massas ses grosses couilles. Avec soin, je fis glisser sa verge dans ma bouche et commençai à sucer délicatement, alternant mouvements lents et rapides. Au fil des allers-retours, je sentais une érection croissante, il me tenait la tête de ses mains. Elle devenait de plus en plus dure, prête à céder.
Puis, soudainement, au moment où je m’y attendais le moins, je sentais un léger spasme. Il éjacula dans ma bouche.
Sous le coup de la surprise, je déglutis involontairement, sentant se liquide mélange de satisfaction et de soulagement. Il me regarda avec des yeux ronds, avant de sourire et de s’exclamer : “Ohhh, tu es la meilleure !”
Mon mari n en pouvait plus d’excitation. Il m’attrapât et me fit assoir sur le rocher. Il m’embrassa goûtant aussi au reste sperme dans ma bouche.
Il entrouvrit mes cuisses et pénétra ma chatte de sa bonne bite. Visiblement impatient il éjacula rapidement avant de ressortir sa verge humide de mon vagin.
Tout c’était passer si vite que je n’avais même pas eu le temps de jouir. Par contre en bonne salope à jus, j’avais la satisfaction d’avoir purgé deux mâles dans mes entrailles.
Le viel homme, qui avait saisit la situation en une seconde, ne pouvait se résoudre à me laisser comme cela. Il s’approcha calmement, avec le regard de celui qui avait déjà vécu bien des choses.
Sans un mot il écarta mes cuisses, dévoilant ma chatte chaude et dégoulinante. Il prit un instant pour me regarder, ses yeux scrutant mon corps. Puis, il me doigta, ses doigts agiles titillaient mon clitoris.
A mesure qu’il intensifiait son rythme je sentais une montée de sensations qui me submergeaient peu à peu. Chaque geste devenait plus précis, chaque mouvements plus affirmés, et je ne pouvais contenir les petits gémissements qui m’échappaient malgré moi. Puis d’un coup, une vague de plaisir intense me traversa, me faisant pousser un cri spontané, presque libérateur.
Enfin alors tout se calmait, un profond râle de soulagement conclu ce moment, laissant une sensation d’accomplissement et de plénitude.
Il porta alors sa main encore gluante à sa bouche, et se mit à lécher chacun de ses doigts pour en collecter la substance, comme un enfant goutant une friandise après un travail bien fait.
Nous nous sommes rhabillés tous les trois, remontant le chemin sinueux qui menait au village. La lumière du soleil filtrait a travers les arbres, créant des jeux d’ombres sur notre peau encore humide. Nous discutâmes de tout et de rien, partageant nos impressions sur cette expérience.
Dans un élan de complicité, nous nous sommes promis de garder cet instant intime secret , contient de la magie qui c’était installée entre nous. Nous échangions des regards complices sachant que, si le cœur nous en disait, nous nous retrouverions bientôt pour revivre un moment chaleureux.
Cela s’est passé à la fin de l’été, au mois de septembre. La chaleur de la journée persistait encore dans l’air, et une douce lumière dorée baignait le village. Après le dîner, mon mari et moi avons décidé de faire une promenade digestive pour profiter de la douceur du soir. Nous avons emprunté un petit chemin de terre qui descendait vers la rivière, serpentant entre les arbres et les buissons encore verts.
La rivière coulait paisiblement en contrebas, reflétant les dernières lueurs du crépuscule. Il faisait encore chaud, et je portais une robe légère qui flottait au moindre souffle de vent, frôlant mes jambes à chaque pas. Nous marchions en silence, savourant le calme de la nature et le chant discret des oiseaux qui résonnait tout autour de nous.
Mon mari s’arrêta et me dit : “Tu n’as pas chaud ? Tu ne veux pas enlever ta culotte ?” J’ai souri en reconnaissant qu’il avait raison. Je me suis alors penchée pour dégrafer mes sandales et retirer ma culotte, appréciant la fraîcheur d’une brise sous mes fesses nues.
Au même moment, un souffle de vent souleva ma robe, dévoilant brièvement mes jambes. Mon mari, me regardant avec un sourire admiratif, s’exclama : “Oh là là !” Nous avons éclaté de rire, complices, savourant la douceur de cette fin d’été et ce moment simple, presque magique.
Je marchais devant mon mari en descendant le sentier vers la rivière, mon popotin se balançant légèrement à chaque pas. Je sentais son regard attentif sur mes fesses derrière moi. À un moment, il me dit en souriant : “Tu ne veux pas relever ta robe ? Ce serait plus pratique pour te déplacer.”
Je lui ai fait un clin d’œil amusé et, suivant son conseil, j’ai relevé ma robe pour qu’elle soit plus haut sur mes hanches. Profitant de l’instant, il a sorti son téléphone pour prendre quelques photos de moi. “Mmm… je bande,” dit-il, un sourire dans la voix, et nous avons poursuivi notre descente, moi les fesses a l’air, entourés par la beauté paisible de la nature.
Nous sommes arrivés au bord de la rivière, et j’avais discrètement relâché le bas de ma robe, par crainte qu’un regard indiscret puisse nous surprendre. Mais tout autour, il n’y avait que le calme de la nature ; le lieu semblait désert et paisible.
Le soleil, bas sur l’horizon, brillait derrière moi, projetant une douce lumière dorée. À contre-jour, je sentais sa chaleur caresser mon dos, et je devinais que mes formes apparaissaient en transparence à travers le tissu léger de ma robe. Mon mari, fasciné par cette silhouette dessinée par la lumière, me photographia avec un sourire émerveillé.
“Relève un peu les bras au dessus de ta tête et écarte pour laisser la lumière danser entre tes jambes,” murmura-t-il en souriant.
Il prit quelques photos, et je me sentais comme une nymphe, légère et libre. Sur un coup de tête, j’ai décidé d’enlever mes sandales et de plonger mes pieds dans l’eau fraîche. J’ai relevé ma robe jusqu’à mi-cuisses pour éviter de la mouiller. “Elle est fraîche, ça fait du bien ! Tu devrais venir,” lui ai-je dit en riant.
Avec un sourire complice, il enleva son short et son caleçon pour se retrouver le bite a l’air toute raide et continua à me photographier tout en s’approchant. J’ai alors relevé entièrement ma robe, dévoilant ma chatte et mon ventre sous la lumière douce. Il s’approcha de moi pour m’embrasser, et je sentais son sexe tendu s’ajuster maladroitement, glissant le long de mon ventre et venant se loger dans le creux de ma vulve. Nous avons ri de cette maladresse, ce qui rendait ce moment encore plus naturel et complice. Il m’accompagna jusqu’à un rocher où je m’y installai confortablement. En enlevant totalement ma robe et mon soutien-gorge , je laissai la douce chaleur du soleil frôler ma peau. Mon mari me regarda un instant, admirant la lumière qui illuminait mon corps nu alors que je prenais le soleil.
Il écarta mes cuisses et il y me pénétra . Il me cognait dedans vigoureusement , et je commençai à jouir sur ce rocher, bercée par la chaleur, les coups de bites et la sérénité du moment. Je remarquais le front de mon mari perler de transpiration, mais son visage trahissait le bonheur qu’il éprouvait à savourer cet instant paisible à mes côtés.
Soudain, nous entendîmes un bruit sourd près de nous, suivi d’un fracas de pierres tombant dans l’eau. Nous nous arrêtâmes, surpris, pour voir ce qui se passait. À notre grande surprise, un homme dévala sur les fesses le versant de l’autre rive, perdant l’équilibre avant de tomber dans l’eau, son short lamentablement à mi-cuisses.
La scène était à la fois cocasse et inattendue, et nous ne pûmes nous empêcher de rire en voyant sa chute maladroite, tandis qu’il tentait de se redresser, tout en éclaboussant autour de lui.
Il se releva, la bite a l’air, et tenta de remonter son short, visiblement embarrassé. Sans doute nous avait-il regardés depuis un moment et il se masturbait. C’était un vieil homme du village, que je reconnaissais. Pour dédramatiser la situation, je lui dis avec un sourire : “Venez nous rejoindre sur la rive !” Je cherchais le consentement de mon mari du regard.
Mon mari, en bon candauliste, ne perdit pas ses moyens et répondit avec enthousiasme : “Bien sûr, venez nous rejoindre ! Ce n’est pas tous les jours qu’on assiste à une scène comme celle-ci !” L’homme acquiesça et commença à traverser la rivière peu profonde, l’eau lui arrivant à mi-cuisse.Il arriva sur la rive, tandis que je restais assise nue les jambes écartées sur le rocher. Il s’approcha de moi, un sourire un peu gêné aux lèvres. Il s’approcha le sexe à la main, mais je ris et dis :
-Non, papi, pas sans capote !
-Oh je ne risque pas de te faire grand mal ! Je bande mou. En vous voyant tous les deux, ça m’a donné envie.
-Vous pouvez profiter de la vue alors.
-Puis-je toucher votre chatte? Je n’en ai jamais touché une aussi lisse. Celle de ma femme est plutôt velu.
-Oui faites vous plaisir, même lécher si vous désirez.
Il s’approcha doucement effleurant mon sexe du bout des doigts, il écarta les lèvres et lécha mon clitoris. Il savourait ma chatte avec un plaisir évident, l’explorant de langue avec une curiosité gourmande. Il me faisait du bien, cela se voyait avec l’abondance de mon flux vaginal.
-Mmmm c’est délicieux , ça mouille bien.
-Régales toi.
-Même avec cette bonne chatte je bande mou, regardes.
Je pris une grande inspiration et décidai d’essayer de résoudre le problème. M’agenouillant devant la vieille bite molle, je pris son sexe en main, prête à m’attaquer à le faire bander. Mes doigts entouraient ce penis endormi, je le branlais, tentant de le réanimer. Mais rien n’y faisait : la bistouquette restait obstinément a demie raide.
Devant moi, il se tenait debout, fermant les yeux. Il levait la tête au ciel, soupirant de bien être . “Bon,” murmurai-je, “je vais essayer une autre méthode.”
Je pris sa bite en bouche, afin de libérer mes mains, puis je lui massas ses grosses couilles. Avec soin, je fis glisser sa verge dans ma bouche et commençai à sucer délicatement, alternant mouvements lents et rapides. Au fil des allers-retours, je sentais une érection croissante, il me tenait la tête de ses mains. Elle devenait de plus en plus dure, prête à céder.
Puis, soudainement, au moment où je m’y attendais le moins, je sentais un léger spasme. Il éjacula dans ma bouche.
Sous le coup de la surprise, je déglutis involontairement, sentant se liquide mélange de satisfaction et de soulagement. Il me regarda avec des yeux ronds, avant de sourire et de s’exclamer : “Ohhh, tu es la meilleure !”
Mon mari n en pouvait plus d’excitation. Il m’attrapât et me fit assoir sur le rocher. Il m’embrassa goûtant aussi au reste sperme dans ma bouche.
Il entrouvrit mes cuisses et pénétra ma chatte de sa bonne bite. Visiblement impatient il éjacula rapidement avant de ressortir sa verge humide de mon vagin.
Tout c’était passer si vite que je n’avais même pas eu le temps de jouir. Par contre en bonne salope à jus, j’avais la satisfaction d’avoir purgé deux mâles dans mes entrailles.
Le viel homme, qui avait saisit la situation en une seconde, ne pouvait se résoudre à me laisser comme cela. Il s’approcha calmement, avec le regard de celui qui avait déjà vécu bien des choses.
Sans un mot il écarta mes cuisses, dévoilant ma chatte chaude et dégoulinante. Il prit un instant pour me regarder, ses yeux scrutant mon corps. Puis, il me doigta, ses doigts agiles titillaient mon clitoris.
A mesure qu’il intensifiait son rythme je sentais une montée de sensations qui me submergeaient peu à peu. Chaque geste devenait plus précis, chaque mouvements plus affirmés, et je ne pouvais contenir les petits gémissements qui m’échappaient malgré moi. Puis d’un coup, une vague de plaisir intense me traversa, me faisant pousser un cri spontané, presque libérateur.
Enfin alors tout se calmait, un profond râle de soulagement conclu ce moment, laissant une sensation d’accomplissement et de plénitude.
Il porta alors sa main encore gluante à sa bouche, et se mit à lécher chacun de ses doigts pour en collecter la substance, comme un enfant goutant une friandise après un travail bien fait.
Nous nous sommes rhabillés tous les trois, remontant le chemin sinueux qui menait au village. La lumière du soleil filtrait a travers les arbres, créant des jeux d’ombres sur notre peau encore humide. Nous discutâmes de tout et de rien, partageant nos impressions sur cette expérience.
Dans un élan de complicité, nous nous sommes promis de garder cet instant intime secret , contient de la magie qui c’était installée entre nous. Nous échangions des regards complices sachant que, si le cœur nous en disait, nous nous retrouverions bientôt pour revivre un moment chaleureux.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merveilleuse rencontre très bien narrée...
Je suis très excité
Cyrille
Je suis très excité
Cyrille