La Grosse Sucette de Papy (Partie 2)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de CCCandice ont reçu un total de 41 510 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 281 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Grosse Sucette de Papy (Partie 2)
Je me réveille ce matin-là et remarque sur mon téléphone que Flavien m’avait envoyé un texto pour me souhaiter une bonne nuit. Mais tout de suite après avoir envoyé la vidéo à « l’homme à la grosse sucette », je suis allée me coucher, éprouvée par ce qui venait de se passer. Je réponds à Flavien, prétextant que je me suis mise au lit tout de suite en rentrant chez moi (s’il savait) et la première chose que je fais, c’est d’aller m’installer devant mon bureau pour allumer mon ordinateur. Je constate les traces de salive séchées à l’endroit où se trouvait le sextoy la veille et je frissonne de plaisir rien qu’en repensant à ce que j’ai fait pour satisfaire ce vieux pervers…L’ordinateur allumé, je vais sur la boîte mail. Il a répondu mais simplement par une pièce jointe. Une vidéo. Je l’ouvre : dans la pénombre, il est assis, son énorme tige entre les jambes qui pointe en l’air. Je ne vois pas son visage, je vois son torse musclé, imberbe comme ses couilles. Il se caresse en respirant bruyamment. Il dit dans un chuchotement à peine audible : « Tu vois l’effet que tu me fais Candice ? » il se frotte les couilles et les prend dans sa main pour bien que je les voie sur le vidéo : « Elles sont bien pleines pour ta bouche… » dit-il. Il prend son engin, toujours avec cette forte respiration semblable a un râle et commence à le masturber de tout son long, m’offrant la vision de son gland épais. Il crache dans son autre main et astique sa bite avec. Ses deux mains ne sont pas de trop pour empoigner un tel manche.Je ne peux pas m’empêcher de passer ma main sous ma nuisette et me caresser tandis qu’il se masturbe d: « Tu l'aimes ma sucette ? » dit-il en repirant vite et en augmentant le rythme de sa branlette. « Tu veux jouer avec, ma petite ? Hein ? J’ai très envie que tu me fasses du bien ! Que tu t’occupes de moi, que tu sois ma petite chienne » ma chatte mouille abondamment comme la veille, pendant que ses paroles m’obsèdent et me captivent : oui. Je la veux dans la bouche (et d’ailleurs pas que) mais surtout, j’ai envie de lui en offrir encore plus, qu’il me possède. Sa voix a quelque chose d’envoutant. Et ce n’est pas le minuscule gode que je possède qui me satisfera quand je le vois se branler sur l’écran. Je me touche à son rythme, je l’entends pousser des grognements tandis qu’il respire de plus en plus vite. Je mets une main sur un de mes seins et me touche le téton. Haletante, la chatte trempée de désir, je le vois se lever, les deux mains sur la queue, il va venir, je le perçois dans sa voix quand il dit : « prends mon jus…avale tout Candice, avale…tooout ! » Dans un gémissement rauque, il déverse de longs jets de semence droit devant lui pendant que sa queue est prise de tressaillements. Je gémis aussi, dans un cri étouffé, en ouvrant la bouche en grand comme si je prenais son jus. Je jouis tout ce que je sais, mes doigts humides de mouille et retombe dans le fauteuil du bureau. Il a tellement éjaculé, je n’avais encore jamais vu ça. Sa bite reste un moment face à l’écran, son gland visqueux et couvert de sperme puis il dit dans un souffle : « j’ai un autre cadeau pour toi Candice, dis moi si tu le veux et je t’en dévoilerai un peu plus dans un prochain message… » puis il coupe la caméra.
J’ai du mal à me concentrer durant le reste de la journée : les cours ont repris, et en fin d’après midi, ma pote Zoé me propose d’aller boire un thé dans un petit boui-boui tout près du bahut. Bien entendu, j’ai dit à l’homme dans un autre mail que je voulais son « autre cadeau » tout en me demandant bien ce que cela pouvait bien être : - Ça va miss jambes à l’air ? Me demande Zoé, assise en face de moi.
- Euh oui, oui, je réponds. Pourquoi tu me demandes ça ?
- T’es pas comme d’habitude ! Me dit-elle. Tu me rappelles la Candice que j’ai connu il y a 3 mois…celle qui me faisait des cachotteries, tu te souviens ?
Zoé…elle a toujours eu le chic pour me capter, me comprendre en un instant et là encore, elle tombait juste.
- Je sais que c’est pas Flavien, me dit-elle en allumant une cigarette. T’es pas amoureuse Candice alors qu’est ce que c’est ? De nouveau ce mec dont tu m’as caché l’existence avant Noël ?? Je sais très bien qu’il s’est passé quelque chose avec quelqu’un…Je ne réponds pas tout de suite parce que si je devais être franche, je répondrai : « Zoé, je kiffe les vieux. Et je crois que ce que je kiffe le plus, c’est quand ils sont bien pervers…et avant Noël ma chérie, je me suis faite enculer par un mec beaucoup plus vieux que moi, j’ai fait la pute avec un autre qui a l’âge de nos grands pères et enfin, Bruno 73 ans, a éjaculé en moi alors qu’on baisait dans ma voiture. » Bien entendu, je ne pourrais jamais lui avouer un tel truc donc je me contente de dire : « Je me pose juste des questions vis-à-vis de moi-même…je sais pas si j’ai vraiment envie d’être en couple et… »- Candice ! Me coupe Zoé. Je veux bien que tu te poses des questions sur ta nouvelle relation. Mais ne me mens pas s’il te plaît ! Je sais qu’il y a un « truc »…Elle me jette un regard pénétrant et je baisse les yeux sur ma tasse de thé. Mais cependant, elle n’insiste pas et nous changeons de sujet très rapidement.
Lorsque je rentre chez moi, je reçois un texto de la part de Flavien qui me demande si je suis dispo ce soir. Néanmoins, je décide de consulter ma boîte mail et je vois que l’homme à la sucette m’a répondu : « Candice, je suis ravi de voir que tu acceptes mon cadeau. Je l’ai commandé et il est disponible dès maintenant à cet endroit, tu peux aller le chercher… » je regarde l’adresse et constate que c’est une boutique dans le centre-ville au nom très évocateur. Je ne connais pas cet endroit mais j’ai une idée de ce que ça peut être, je poursuis la lecture de son mail : « tout est payé, tu as juste à récupérer le colis. Dis moi quand c’est fait, j’attends ton retour, et nous pourrions jouer dès ce soir si tu as envie… » je regarde l’heure : 17h30. Il est encore temps d’aller en ville. Je réponds à Flavien en lui disant que j’qi une tonne de devoirs et je m’habille pour aller à l’adresse indiquée par l’homme. Un quart d’heure plus tard, je me retrouve face à la devanture d’un sex shop, comme je m’en doutais. Je n’ai pas très envie de rentrer et je regarde autour de moi afin de m’assurer que personne ne me voit pénétrer dans le magasin. Une fois dedans, je vais directement qu comptoir ou un petit homme à lunettes, bedonnant, se trouve derrière. Je vais le voir, dit que je suis Candice et que je viens récupérer un colis. L’homme m’adresse un sourire entendu et part dans l’arrière boutique pour en sortir avec un cartons de petite taille. Il me le donne et je repart retrouver ma voiture pour rentrer à mon studio.
Une fois de retour, je m’empresse d’ouvrir le carton : il contient un collier. Un collier de cuir noir massif duquel pend une chaine métallique. Il y a également un autre paquet et vu la forme, je devine de quoi il s’agit. Je le défait et tombe sur un gode. Pas le même que je possède. Là, il s’agit d’un énorme gode rose bonbon, probablement de la même taille que le membre de l’homme à la sucette, bien large également, qui se termine par une ventouse. Je commence à comprendre ce qu’il attend de moi et me demande avec une pointe d’inquiétude si j’arriverai à engloutir un sextoy de ce calibre et de cette taille ! Il y a également un petit masque de satin noir qui cacherait mon visage mais pas mes yeux et qui me permettrait toutefois de coir ce que je fais ; plus pratique que mon masque de nuit. Je m’empresse de lui répondre par mail pour lui dire que j’ai récupéré son « cadeau » et 5 minutes plus tard, il me répond en me donnant son Skype et me dit : « J’ai envie de te voir en direct engloutir quelque chose qui se rapproche au mieux de ma sucette. Je voudrais que pour l’occasion, tu mettes ce collier de chienne. La chaine n’a pas d’importance pour le moment…peut être plus tard, qui sait ? Je comprendrais que tu refuses mais sinon, je t’attends sur Skype pour que l’on puisse s’amuser Candice. » l’idée me fait beaucoup d’effet, je sens ma chatte se dilater sous ma jupe et j’accepte. En revanche, je crée un nouveau compte Skype pour garder encore un semblant d’anonymat. Je prépare le terrain : je n’allume qu’une petite lampe pour ne pas trop me dévoiler mais assez pour qu’il n’en rate pas une miette. Je me mets nue, totalement, enfile une paire de bas résilles, et le collier de chienne qu’il m’a offert. Toute excitée, je pose la webcam vers le sol et colle le gode ventouse à même le parquet. Je le regarde une dernière fois : sa couleur de bonbon lui donne un aspect alléchant tout en représentant parfaitement un pénis avec son gros gland parfaitement modelé dans le silicone. Je vais sur Skype, allume ma Webcam et appelle l’homme à la sucette…Il répond instantanément : il est nu, sur son canapé, sa bite énorme pas encore en érection, posée le long de sa cuisse comme une épaisse masse de chaire. J’en salive d’avance. « Bonsoir Candice » me dit-il de sa voix douce. À quatre pattes sur le parquet à côté du gode, ma poitrine se balançant sous moi, je lui adresse un léger signe de la main.
- Est-ce que tu es prête à me faire plaisir ? Demande-t-il calmement.
Un peu impressionnée par la situation, je déglutit difficilement et acquiesce d’un petit signe de tête. Je constate que je ne vois pas sa tête ; il a incliné sa webcam de façon à ce que je ne distingue que les contours de son menton et son cou, rien au dessus.
- J’aimerais que tu sois ma chienne, dit-il. Tu veux être ma petite chienne à moi ?
Sans réfléchir, j’acquiesce d’un mouvement de tête rapide.
- Bien. Abois comme une chienne. Vas-y.
Instinctivement, je pousse un petit cri aigü, semblable à un aboiement.
- Parfait ! Dit-il dans un petit rire satisfait. Marche sur tes pattes, trémousse moi un peu ce gros cul, petite !
Me laissant contrôler, comme si je ne pouvais plus réfléchir à rien, je me mets à onduler sur les mains et les genoux devant la webcam, cambrant mon gros derrière d’un blanc laiteux, mes seins se balançant dans tous les sens. Je me paye même le luxe d’aboyer légèrement tandis que la chaine Métal racle le parquet. Il se caresse la queue qui commence à grandir à vue d’œil : - J’adore tes bas ! Approche de la caméra, montre moi bien ce cul !
Je m’execute et approche mes fesses de la cam. Je me cambre en avant, mes seins sont collés au parquet tandis qu’il a une vue imprenable sur mon anus et ma petite chatte rasée entre mes cuisses. Il laisse échapper des petits « huuuum ! » De délice et je l’entend bouger, j’en déduis qu’il doit se caresser encore.
- Allez, bouge moi ce cul, allez !
J’ondule du bassin pour son plaisir, obéissant à ses ordres. Je me caresse une fesse et l’écarte pour bien lui montrer mon petit trou.
- Claque-toi !
Je me met une fessée « CLAC ! » « ENCORE ! » Ordonne-t-il. « CLAC ! » « ENCORE PETITE CHIENNE ENCORE ! » « CLAC ! CLAC ! CLAC ! » je l’entend soupirer de plaisir tandis qu’il ne s’arrête plus et m’ordonne « ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !ENCORE ENCORE ! » Un nombre incalculable de fois auxquelles je reponds en me claquant les fesses frénétiquement sous ses ordres ! À un moment il s’arrête et je tourne légèrement ma tête vers l’écran : je vois mes propres fesses, habituellement blanches, recouvertes d’une teinte rose. Il m’ordonne ensuite de passer la chaine entre mes fesses, ce que je fais, tirant par la même occasion sur le collier de cuir, ce qui me presse un peu à la gorge mais j’adore ça, et l’excitation est encore plus intense quand je sens le métal froid de la chaine frotter mon anus et ma chatte dans laquelle je rentre quelques maillons. Il apprécie : - Huuum ! T’es joueuse ! J’adore ça, petite chienne ! Maintenant, va à ta sucette, allez ! Dépêche toi !
Je ne me fais pas prier ; je me dirige sur mes pattes de chienne jusqu’au gode collé au parquet et le lape avec ma langue. Je vois d’un coup d’œil qu’il tient entre ses deux mains son énorme hampe et se l’astique doucement.
- Suce moi ça Candice !
Je continue de polir le silicone du gode rose, de haut en bas, et je réalise encore à quel point il est long et large. Je pose mes lèvres sur le bout du gland et les entrouvre. Je mets le sextoy dans ma bouche et entame une descente lente pour l’engloutir. J’attache mes cheveux en arrière en même temps et continue de descendre. : Le gode remplit ma bouche entièrement et je ne suis même pas à la moitié de sa taille. Je le sens sur mes amygdales et je manque de m’étouffer, je remonte et le ressort de ma bouche de chienne dans une multitude de filets de bave.
- Pour me faire plaisir, tu dois le prendre entier, chienne ! Allez !
Soumise, j'obeis et remet le gode dans ma bouche en descendant progressivement et en salivant sur tout son long. Arrivé vers la moitié, je bloque et remonte un peu, puis redescend de nouveau en essayant de grappiller quelques centimètres.
- C’est bien Candice, continue comme ça, t’es une bonne chienne.
Je redescend dessus, salivant comme jamais auparavant et continue de descendre sur la hampe en silicone. Sous les encouragements de l’homme, j’arrive encore à l’enfoncer plus loins dans le fond de ma bouche, il arrive dans la gorge, Je remonte pour ne pas m’étouffer :- Encore ma petite, encore, fais moi plaisir, allez, fais moi plaisir !
Tentant le tout pour le tour, je retiens mon souffle et descend dessus rapidement. Cette fois, je sais que j’ai tout en moi, jusque dans ma gorge, mais je dois remonter d’un coup, manquant de m’étouffer voire même de vomir ; je le ressors d’un mouvement de tête vers le haut et tousse, crachant des filets de bave sur le parquet.
- C’est très bien Candice ! Me felicite-t-il dans un souffle en se branlant des deux mains. Tu y retournes, plus vite que ça.
Tel un automate, bien que j’ai manqué de m’étouffer, je me plie à ses désirs et redescend le long du gode, éprouvant beaucoup moins de difficulté pour le prendre en entier. Bientôt, je peux le sucer du gland jusqu’à la base en faisant de longs allers-retours, le recouvrant d’une salive de plus en plus visqueuse. Je vais de plus en plus vite, émettant de drôle de bruit de gorge lorsque j’arrive au bout et que je sens le gland en silicone me chatouiller dans la gorge. L’homme apprécie beaucoup : il grogne en s’astiquant et fait des commentaires de temps à autres « T’es une bonne chienne ! » « Voilà, comme ça » « sacrée suceuse ! » Flattée, je branle le gode glissant en faisant une pipe à toute vitesse. Je regarde du coin de l’œil l’écran et imagine que c’est la vraie sucette qui me comble la bouche jusqu’à la gorge. Je la veux, pour de vrai !
- Allez ! Mets-moi ça dans ta chatte !
Je me place au-dessus du gode, les pieds bien à plat et fléchis mes cuisses. Le gland arrive à mes grandes puis mes petites lèvres. Vu comment je mouille, il rentre sans aucun soucis en moi alors que je fléchis de nouveau mes jambes. Je le fais rentrer entièrement, sentant mon cul taper sur le parquet. Je ne peux plus me retenir : haletante, je gémis tout ce que je sais tandis que je ressors pour revenir m’empaler sur ce pieu en silicone. Me voir à l’écran me fait encore plus d’effet ! Je frotte mon clitoris rageusement tandis que mes seins se soulèvent à chaque mouvement, faisant balancer la chaine de mon collier dans tous les sens dans un petit bruit métallique. L’homme a la sucette se lève du canapé et vient branler son membre au plus près de la webcam. Je l’imagine, cette énorme queue au-dessus de laquelle je danse. Je l’entend aussi être à bout de souffle, s’astiquant de plus en plus vite.
- Tourne-toi ! Que je vois ton gros cul ! Grogne-t-il.
Je suis sous ses ordres : gardant le gode en moi, je fais un demi-tour habile et continue de m’empaler dessus à toute vitesse, toujours sur mes deux pieds. Je suis de plus en plus excitée, je ne pensais pas ressentir autant de plaisir avec un sextoy un jour ; sa largeur et sa taille me font un bien fou dans la chatte et je mouille terriblement ! Je m’affaisse sur les genoux, polissant mon clito à pleine main, ne faisant plus attention au volume de mes gémissement. Je chevauche l’enorme sextoy au galop ! J’entends l’homme respirer fort derrière, je tourne la tête et vois qu’il gicle en longues traînées de sperme blanc. Je l’entends jurer en même temps dans un râle : « OH C’EST BON SALE CHIENNE, OUIIII ! » Je chevauche le gode à m’en défoncer les genoux sur le parquet, imaginant que son sperme se déverse en moi, je vais vite, très vite, ignorant la douleur et je l’entends m’encourager tandis qu’il astique encore sa queue que je mate par-dessus mon épaule. J’en deviens presque sauvage, me claque les fesses rageusement :- Oui Candice, vas’y ma fille, prends ton pied ! M’encourage-t-ilCLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Et enfin, je viens en poussant une longue plainte suraiguë que doit probablement entendre tout l’immeuble. Ma chatte projette de grosses gouttes sur le parquet et je me recroqueville sur le sol, encore empalée sur le gode, reprenant mon souffle, couverte de mouille et de sueur. Une bonne minute plus tard, m’ayant laisser le temps de reprendre mes esprits, il me dit :- C’était bon Candice ! Tourne-toi vers moi’, approche !
Je pousse une dernière fois sur mes genoux douloureux et me redresse difficilement. Le gode s’extirpe de ma chatte dans un bruit mouillant et je vais vers l’écran d’ordinateur.
- A genoux devant ma sucette, dépêche-toi !
Je m’execute, mes genoux me font super mal ! Il reprend la parole sur un ton autoritaire mais toujours d’une voix douce et posée :- Dis-moi que tu la veux ! Ordonne-t-il en branlant doucement sa bite, toujours droite et dure. Je veux t’entendre le dire !
Me mordant la lèvre inferieur, je lui dis dans un souffle : « Je la veux ! »- Où ça ?
- En moi. Dans ma bouche ! Elle a l’air si délicieuse !
- Huuum, dis moi où tu la veux encore, petite chienne ?
- Dans mon cul…oui, je…je la veux dans mon cul !
- Ah, tu veux que je te l’enfonce dans le cul hein ?!
Je me tourne et lui montre mon petit trou. Je mouille un de mes doigts et l’enfonce dedans en tirant la langue à l’écran.
- T’es parfaite ! Prévois rien le weekend prochain, je vais m’occuper de toi, tu verras !
- Non ! Je dis. Non, c’est trop long ! Demain…même cette nuit…Monsieur…Il part dans un ricanement rauque et sonore : - T’es vraiment chaude, putain j’adore ça ! C’est pas le cas pour d’autres…- D’autres ? Je m’étonne.
- Quoi ? Ça te gêne de pas être ma seule chienne ? Aucun problème, on coupe tout si…- Non, non, je suis…je suis à vous…- Je préfère. Utilise le gode pour préparer ton anus, samedi je te défonce ! Sois prête.
- Oui !
Il s’avance et coupe sa webcam. Je me sens chienne, soumise, encore plus excitée qu’avant et du coup, je m’allonge tout bonnement sur le parquet et me caresse le chatte à nouveau, imaginant comment allait se dérouler la véritable rencontre avec l’homme à la sucette.
A SUIVRE
J’ai du mal à me concentrer durant le reste de la journée : les cours ont repris, et en fin d’après midi, ma pote Zoé me propose d’aller boire un thé dans un petit boui-boui tout près du bahut. Bien entendu, j’ai dit à l’homme dans un autre mail que je voulais son « autre cadeau » tout en me demandant bien ce que cela pouvait bien être : - Ça va miss jambes à l’air ? Me demande Zoé, assise en face de moi.
- Euh oui, oui, je réponds. Pourquoi tu me demandes ça ?
- T’es pas comme d’habitude ! Me dit-elle. Tu me rappelles la Candice que j’ai connu il y a 3 mois…celle qui me faisait des cachotteries, tu te souviens ?
Zoé…elle a toujours eu le chic pour me capter, me comprendre en un instant et là encore, elle tombait juste.
- Je sais que c’est pas Flavien, me dit-elle en allumant une cigarette. T’es pas amoureuse Candice alors qu’est ce que c’est ? De nouveau ce mec dont tu m’as caché l’existence avant Noël ?? Je sais très bien qu’il s’est passé quelque chose avec quelqu’un…Je ne réponds pas tout de suite parce que si je devais être franche, je répondrai : « Zoé, je kiffe les vieux. Et je crois que ce que je kiffe le plus, c’est quand ils sont bien pervers…et avant Noël ma chérie, je me suis faite enculer par un mec beaucoup plus vieux que moi, j’ai fait la pute avec un autre qui a l’âge de nos grands pères et enfin, Bruno 73 ans, a éjaculé en moi alors qu’on baisait dans ma voiture. » Bien entendu, je ne pourrais jamais lui avouer un tel truc donc je me contente de dire : « Je me pose juste des questions vis-à-vis de moi-même…je sais pas si j’ai vraiment envie d’être en couple et… »- Candice ! Me coupe Zoé. Je veux bien que tu te poses des questions sur ta nouvelle relation. Mais ne me mens pas s’il te plaît ! Je sais qu’il y a un « truc »…Elle me jette un regard pénétrant et je baisse les yeux sur ma tasse de thé. Mais cependant, elle n’insiste pas et nous changeons de sujet très rapidement.
Lorsque je rentre chez moi, je reçois un texto de la part de Flavien qui me demande si je suis dispo ce soir. Néanmoins, je décide de consulter ma boîte mail et je vois que l’homme à la sucette m’a répondu : « Candice, je suis ravi de voir que tu acceptes mon cadeau. Je l’ai commandé et il est disponible dès maintenant à cet endroit, tu peux aller le chercher… » je regarde l’adresse et constate que c’est une boutique dans le centre-ville au nom très évocateur. Je ne connais pas cet endroit mais j’ai une idée de ce que ça peut être, je poursuis la lecture de son mail : « tout est payé, tu as juste à récupérer le colis. Dis moi quand c’est fait, j’attends ton retour, et nous pourrions jouer dès ce soir si tu as envie… » je regarde l’heure : 17h30. Il est encore temps d’aller en ville. Je réponds à Flavien en lui disant que j’qi une tonne de devoirs et je m’habille pour aller à l’adresse indiquée par l’homme. Un quart d’heure plus tard, je me retrouve face à la devanture d’un sex shop, comme je m’en doutais. Je n’ai pas très envie de rentrer et je regarde autour de moi afin de m’assurer que personne ne me voit pénétrer dans le magasin. Une fois dedans, je vais directement qu comptoir ou un petit homme à lunettes, bedonnant, se trouve derrière. Je vais le voir, dit que je suis Candice et que je viens récupérer un colis. L’homme m’adresse un sourire entendu et part dans l’arrière boutique pour en sortir avec un cartons de petite taille. Il me le donne et je repart retrouver ma voiture pour rentrer à mon studio.
Une fois de retour, je m’empresse d’ouvrir le carton : il contient un collier. Un collier de cuir noir massif duquel pend une chaine métallique. Il y a également un autre paquet et vu la forme, je devine de quoi il s’agit. Je le défait et tombe sur un gode. Pas le même que je possède. Là, il s’agit d’un énorme gode rose bonbon, probablement de la même taille que le membre de l’homme à la sucette, bien large également, qui se termine par une ventouse. Je commence à comprendre ce qu’il attend de moi et me demande avec une pointe d’inquiétude si j’arriverai à engloutir un sextoy de ce calibre et de cette taille ! Il y a également un petit masque de satin noir qui cacherait mon visage mais pas mes yeux et qui me permettrait toutefois de coir ce que je fais ; plus pratique que mon masque de nuit. Je m’empresse de lui répondre par mail pour lui dire que j’ai récupéré son « cadeau » et 5 minutes plus tard, il me répond en me donnant son Skype et me dit : « J’ai envie de te voir en direct engloutir quelque chose qui se rapproche au mieux de ma sucette. Je voudrais que pour l’occasion, tu mettes ce collier de chienne. La chaine n’a pas d’importance pour le moment…peut être plus tard, qui sait ? Je comprendrais que tu refuses mais sinon, je t’attends sur Skype pour que l’on puisse s’amuser Candice. » l’idée me fait beaucoup d’effet, je sens ma chatte se dilater sous ma jupe et j’accepte. En revanche, je crée un nouveau compte Skype pour garder encore un semblant d’anonymat. Je prépare le terrain : je n’allume qu’une petite lampe pour ne pas trop me dévoiler mais assez pour qu’il n’en rate pas une miette. Je me mets nue, totalement, enfile une paire de bas résilles, et le collier de chienne qu’il m’a offert. Toute excitée, je pose la webcam vers le sol et colle le gode ventouse à même le parquet. Je le regarde une dernière fois : sa couleur de bonbon lui donne un aspect alléchant tout en représentant parfaitement un pénis avec son gros gland parfaitement modelé dans le silicone. Je vais sur Skype, allume ma Webcam et appelle l’homme à la sucette…Il répond instantanément : il est nu, sur son canapé, sa bite énorme pas encore en érection, posée le long de sa cuisse comme une épaisse masse de chaire. J’en salive d’avance. « Bonsoir Candice » me dit-il de sa voix douce. À quatre pattes sur le parquet à côté du gode, ma poitrine se balançant sous moi, je lui adresse un léger signe de la main.
- Est-ce que tu es prête à me faire plaisir ? Demande-t-il calmement.
Un peu impressionnée par la situation, je déglutit difficilement et acquiesce d’un petit signe de tête. Je constate que je ne vois pas sa tête ; il a incliné sa webcam de façon à ce que je ne distingue que les contours de son menton et son cou, rien au dessus.
- J’aimerais que tu sois ma chienne, dit-il. Tu veux être ma petite chienne à moi ?
Sans réfléchir, j’acquiesce d’un mouvement de tête rapide.
- Bien. Abois comme une chienne. Vas-y.
Instinctivement, je pousse un petit cri aigü, semblable à un aboiement.
- Parfait ! Dit-il dans un petit rire satisfait. Marche sur tes pattes, trémousse moi un peu ce gros cul, petite !
Me laissant contrôler, comme si je ne pouvais plus réfléchir à rien, je me mets à onduler sur les mains et les genoux devant la webcam, cambrant mon gros derrière d’un blanc laiteux, mes seins se balançant dans tous les sens. Je me paye même le luxe d’aboyer légèrement tandis que la chaine Métal racle le parquet. Il se caresse la queue qui commence à grandir à vue d’œil : - J’adore tes bas ! Approche de la caméra, montre moi bien ce cul !
Je m’execute et approche mes fesses de la cam. Je me cambre en avant, mes seins sont collés au parquet tandis qu’il a une vue imprenable sur mon anus et ma petite chatte rasée entre mes cuisses. Il laisse échapper des petits « huuuum ! » De délice et je l’entend bouger, j’en déduis qu’il doit se caresser encore.
- Allez, bouge moi ce cul, allez !
J’ondule du bassin pour son plaisir, obéissant à ses ordres. Je me caresse une fesse et l’écarte pour bien lui montrer mon petit trou.
- Claque-toi !
Je me met une fessée « CLAC ! » « ENCORE ! » Ordonne-t-il. « CLAC ! » « ENCORE PETITE CHIENNE ENCORE ! » « CLAC ! CLAC ! CLAC ! » je l’entend soupirer de plaisir tandis qu’il ne s’arrête plus et m’ordonne « ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !ENCORE ENCORE ! » Un nombre incalculable de fois auxquelles je reponds en me claquant les fesses frénétiquement sous ses ordres ! À un moment il s’arrête et je tourne légèrement ma tête vers l’écran : je vois mes propres fesses, habituellement blanches, recouvertes d’une teinte rose. Il m’ordonne ensuite de passer la chaine entre mes fesses, ce que je fais, tirant par la même occasion sur le collier de cuir, ce qui me presse un peu à la gorge mais j’adore ça, et l’excitation est encore plus intense quand je sens le métal froid de la chaine frotter mon anus et ma chatte dans laquelle je rentre quelques maillons. Il apprécie : - Huuum ! T’es joueuse ! J’adore ça, petite chienne ! Maintenant, va à ta sucette, allez ! Dépêche toi !
Je ne me fais pas prier ; je me dirige sur mes pattes de chienne jusqu’au gode collé au parquet et le lape avec ma langue. Je vois d’un coup d’œil qu’il tient entre ses deux mains son énorme hampe et se l’astique doucement.
- Suce moi ça Candice !
Je continue de polir le silicone du gode rose, de haut en bas, et je réalise encore à quel point il est long et large. Je pose mes lèvres sur le bout du gland et les entrouvre. Je mets le sextoy dans ma bouche et entame une descente lente pour l’engloutir. J’attache mes cheveux en arrière en même temps et continue de descendre. : Le gode remplit ma bouche entièrement et je ne suis même pas à la moitié de sa taille. Je le sens sur mes amygdales et je manque de m’étouffer, je remonte et le ressort de ma bouche de chienne dans une multitude de filets de bave.
- Pour me faire plaisir, tu dois le prendre entier, chienne ! Allez !
Soumise, j'obeis et remet le gode dans ma bouche en descendant progressivement et en salivant sur tout son long. Arrivé vers la moitié, je bloque et remonte un peu, puis redescend de nouveau en essayant de grappiller quelques centimètres.
- C’est bien Candice, continue comme ça, t’es une bonne chienne.
Je redescend dessus, salivant comme jamais auparavant et continue de descendre sur la hampe en silicone. Sous les encouragements de l’homme, j’arrive encore à l’enfoncer plus loins dans le fond de ma bouche, il arrive dans la gorge, Je remonte pour ne pas m’étouffer :- Encore ma petite, encore, fais moi plaisir, allez, fais moi plaisir !
Tentant le tout pour le tour, je retiens mon souffle et descend dessus rapidement. Cette fois, je sais que j’ai tout en moi, jusque dans ma gorge, mais je dois remonter d’un coup, manquant de m’étouffer voire même de vomir ; je le ressors d’un mouvement de tête vers le haut et tousse, crachant des filets de bave sur le parquet.
- C’est très bien Candice ! Me felicite-t-il dans un souffle en se branlant des deux mains. Tu y retournes, plus vite que ça.
Tel un automate, bien que j’ai manqué de m’étouffer, je me plie à ses désirs et redescend le long du gode, éprouvant beaucoup moins de difficulté pour le prendre en entier. Bientôt, je peux le sucer du gland jusqu’à la base en faisant de longs allers-retours, le recouvrant d’une salive de plus en plus visqueuse. Je vais de plus en plus vite, émettant de drôle de bruit de gorge lorsque j’arrive au bout et que je sens le gland en silicone me chatouiller dans la gorge. L’homme apprécie beaucoup : il grogne en s’astiquant et fait des commentaires de temps à autres « T’es une bonne chienne ! » « Voilà, comme ça » « sacrée suceuse ! » Flattée, je branle le gode glissant en faisant une pipe à toute vitesse. Je regarde du coin de l’œil l’écran et imagine que c’est la vraie sucette qui me comble la bouche jusqu’à la gorge. Je la veux, pour de vrai !
- Allez ! Mets-moi ça dans ta chatte !
Je me place au-dessus du gode, les pieds bien à plat et fléchis mes cuisses. Le gland arrive à mes grandes puis mes petites lèvres. Vu comment je mouille, il rentre sans aucun soucis en moi alors que je fléchis de nouveau mes jambes. Je le fais rentrer entièrement, sentant mon cul taper sur le parquet. Je ne peux plus me retenir : haletante, je gémis tout ce que je sais tandis que je ressors pour revenir m’empaler sur ce pieu en silicone. Me voir à l’écran me fait encore plus d’effet ! Je frotte mon clitoris rageusement tandis que mes seins se soulèvent à chaque mouvement, faisant balancer la chaine de mon collier dans tous les sens dans un petit bruit métallique. L’homme a la sucette se lève du canapé et vient branler son membre au plus près de la webcam. Je l’imagine, cette énorme queue au-dessus de laquelle je danse. Je l’entend aussi être à bout de souffle, s’astiquant de plus en plus vite.
- Tourne-toi ! Que je vois ton gros cul ! Grogne-t-il.
Je suis sous ses ordres : gardant le gode en moi, je fais un demi-tour habile et continue de m’empaler dessus à toute vitesse, toujours sur mes deux pieds. Je suis de plus en plus excitée, je ne pensais pas ressentir autant de plaisir avec un sextoy un jour ; sa largeur et sa taille me font un bien fou dans la chatte et je mouille terriblement ! Je m’affaisse sur les genoux, polissant mon clito à pleine main, ne faisant plus attention au volume de mes gémissement. Je chevauche l’enorme sextoy au galop ! J’entends l’homme respirer fort derrière, je tourne la tête et vois qu’il gicle en longues traînées de sperme blanc. Je l’entends jurer en même temps dans un râle : « OH C’EST BON SALE CHIENNE, OUIIII ! » Je chevauche le gode à m’en défoncer les genoux sur le parquet, imaginant que son sperme se déverse en moi, je vais vite, très vite, ignorant la douleur et je l’entends m’encourager tandis qu’il astique encore sa queue que je mate par-dessus mon épaule. J’en deviens presque sauvage, me claque les fesses rageusement :- Oui Candice, vas’y ma fille, prends ton pied ! M’encourage-t-ilCLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! Et enfin, je viens en poussant une longue plainte suraiguë que doit probablement entendre tout l’immeuble. Ma chatte projette de grosses gouttes sur le parquet et je me recroqueville sur le sol, encore empalée sur le gode, reprenant mon souffle, couverte de mouille et de sueur. Une bonne minute plus tard, m’ayant laisser le temps de reprendre mes esprits, il me dit :- C’était bon Candice ! Tourne-toi vers moi’, approche !
Je pousse une dernière fois sur mes genoux douloureux et me redresse difficilement. Le gode s’extirpe de ma chatte dans un bruit mouillant et je vais vers l’écran d’ordinateur.
- A genoux devant ma sucette, dépêche-toi !
Je m’execute, mes genoux me font super mal ! Il reprend la parole sur un ton autoritaire mais toujours d’une voix douce et posée :- Dis-moi que tu la veux ! Ordonne-t-il en branlant doucement sa bite, toujours droite et dure. Je veux t’entendre le dire !
Me mordant la lèvre inferieur, je lui dis dans un souffle : « Je la veux ! »- Où ça ?
- En moi. Dans ma bouche ! Elle a l’air si délicieuse !
- Huuum, dis moi où tu la veux encore, petite chienne ?
- Dans mon cul…oui, je…je la veux dans mon cul !
- Ah, tu veux que je te l’enfonce dans le cul hein ?!
Je me tourne et lui montre mon petit trou. Je mouille un de mes doigts et l’enfonce dedans en tirant la langue à l’écran.
- T’es parfaite ! Prévois rien le weekend prochain, je vais m’occuper de toi, tu verras !
- Non ! Je dis. Non, c’est trop long ! Demain…même cette nuit…Monsieur…Il part dans un ricanement rauque et sonore : - T’es vraiment chaude, putain j’adore ça ! C’est pas le cas pour d’autres…- D’autres ? Je m’étonne.
- Quoi ? Ça te gêne de pas être ma seule chienne ? Aucun problème, on coupe tout si…- Non, non, je suis…je suis à vous…- Je préfère. Utilise le gode pour préparer ton anus, samedi je te défonce ! Sois prête.
- Oui !
Il s’avance et coupe sa webcam. Je me sens chienne, soumise, encore plus excitée qu’avant et du coup, je m’allonge tout bonnement sur le parquet et me caresse le chatte à nouveau, imaginant comment allait se dérouler la véritable rencontre avec l’homme à la sucette.
A SUIVRE
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CCCandice
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...