La Grosse Sucette de Papy (Partie 3)
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de CCCandice ont reçu un total de 41 511 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 865 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Grosse Sucette de Papy (Partie 3)
J-2.
Dans deux petits jours, je vais enfin rencontrer l’homme à la sucette, ce qui m’excite de plus en plus ! J’ai réutilisé le gros gode rose bonbon qu’il m’a offert mais uniquement dans mon vagin ; j’appréhende de me l’enfiler dans le cul lorsque je réalise qu’il est long et surtout très large ! Mais je dois me préparer : je veux que tout soit parfait pour mon rendez-vous. Par contre je n’ai aucune nouvelle de sa part encore et je trépigne d’impatience.
Ce soir-là, je suis chez Flavien. En levrette sur son lit, il me prend dans un rythme effréné et il a l’air de vraiment adorer ça ! Pour ma part, sans dire que je m’ennuie, mon esprit est absorbé par le membre que je vais prendre samedi et qui est facilement deux fois plus long que celui de mon nouveau petit copain. Mais surtout, il faut que je dilate mon anus. C’est pourquoi, alors que je sens que Flavien ne va pas tarder à jouir, je m’avance pour retirer son membre de ma chatte : - Non ! Lâche-t-il, frustré. Tu veux changer de position ?
Toujours à quatre pattes, je tords mon cou pour le regarder : - Non, j’aimerais…Je m’interrompt pour trouver les bons mots.
- Tu veux pas passer par…euh…enfin, tu comprends ?
Je lui sourit nerveusement et je vois que l’idée ne l’enchante pas plus que ça.
- Tu veux dire, changer de…trou ? Dit-il un peu honteusement.
- Oui, voilà ! Je lui réponds. Il faut que je t’avoue que j’adore ça…Ce n’est pas faux : la seule fois où j’ai été prise par le cul, c’était chez le voisin pervers de Bruno. Je pensais naïvement que tous les gars étaient partants pour ça, mais Flavien me prouve le contraire :- J’ai jamais essayé, me dit-il. Puis tu sais Candice…c’est pas mon délire en fait. Je trouve pas ça très sain, à vrai dire, tu vois le truc ?
- Ok. Je comprends.
Malgré son refus, il tente de revenir dans la chatte mais cet interlude l’a un peu émoussé et il bande mou. Impossible pour lui de rentrer à nouveau en moi ni même de rebander dur. Ça le frustre et pour moi, c’était déjà le cas après son refus : même avec sa bite de taille plutôt moyenne, j’avais envie qu’il m’encule, histoire de « m’ouvrir » un peu plus mais aussi, je l’avoue, parce que j’ai très envie de le faire ! Il faut que je le refasse avant samedi, c’est devenu une obsession pour moi ! Nous nous rhabillons, je vois que Flavien n’est plus trop dans son assiette et je décide de rentrer chez moi histoire de le laisser un peu seul : il en a apparemment besoin. Je m’en vais donc sans que nous échangions le moindre baiser, ni geste tendre. Arrivée à mon studio, je me mets nue, intégralement. Je constate sur la boîte mail que je n’ai toujours pas de nouvelles de l’homme à la sucette ; je ne sais toujours rien par rapport à notre RDV de samedi et j’espère de tout cœur qu’il ne va pas me faire de faux plan. Je m’allonge sur mon lit et prend, en dessous, l’énorme gode qu’il m’a offert. Je le lèche doucement puis le prend en bouche jusqu’à le gober en entier dans un drôle de bruit de gorge. Je ressors et réitère l’opération à plusieurs reprises tout en me frottant l’entrejambe : je mouille énormément. Je vais de plus en plus vite, me bave dessus à grands filets (j’en ai jusque sur les seins) lorsqu’une idée jailli soudainement dans mon esprit : je me lève et me rhabille en toute hâte puis je ressors pour retrouver ma voiture.
20 minutes plus tard, je suis sur le parking de chez feu Bruno. L’idée que j’ai en tête est simple : j’ai envie de le refaire, toujours par derrière, avec le voisin qui m’a dépucelé l’anus. Certes sa queue n’était pas bien grosse mais elle était longue et je me souviens avoir adoré ! Puis ce serait un bon entraînement avant la grosse sucette de Papy ! Je sors de la voiture : j’ai mis des bas sous une jupe noire et j’ai laissé ma culotte dans la boîte à gants. Je me souviens de son nom. J’approche de l’interphone et hésite, le doigt en l’air, mais je me dis que maintenant que je suis là, il faut foncer. Je sonne. Quelques instants plus tard, la voix familière non pas du voisin, mais de Mélissa (avec qui j’ai eu quelques ennuis par le passé) retentit : - Oui ? Qui est là ?
Je ne réponds pas dans un premier temps, je me sens bête ; le voisin m’avait plus ou moins fait comprendre que lui et Mélissa couchaient ensemble parfois.
- C’est qui ? S’impatiente Mélissa sur un ton que je connais déjà trop bien.
- Euh…- Non ! S’exclame-t-elle. Alors comme ça tu reviens dans le coin, toi ? Je t’avais dit que je ne voulais plus te voir par ici ! Qu’est ce que tu veux ? Réponds !
Je décide de prendre mes jambes à mon cou et de retourner vers ma voiture mais là, horreur ! Dans la précipitation, mes clés glissent de mes doigts et tombent sous une bouche d’égout heureusement peu profonde. Je me penche en avant pour soulever la grille avec mes petites mains mais je galère à mort, surtout dans cet état de stress ! Trop tard ! La porte de l’allée s’ouvre à la volée et je vois Mélissa, le visage déformé par la colère, se précipiter sur moi ! Je pars en courant à travers le parking mais elle est plus rapide : elle m’agrippe le bras.
- Non ! Je fais d’une voix implorante. Désolée, je ..je me suis trompée !
- Trompée mon cul ! Rétorque-t-elle. Je sais que tu t’es faite sauter par Jean-Marc ! Viens par là !
Le cœur à cent à l’heure, je tente une dernière fois de lui échapper mais elle a plus de force que moi.
- Tu vas me suivre ! Ordonne-t-elle.
J’ai pour idée première de me mettre à hurler mais cela est au-dessus de mes forces. J’abdique et je la suit. Sous bonne escorte, je monte les escaliers pour retrouver un appartement qui m’est familier. Lorsque j’arrive, il y a le voisin. Jean-Marc, donc, qui semble surpris de me voir dans un premier temps. À côté de lui, un homme d’un certain âge – soixante dix ans peut être- au visage parsemé de rides et au crâne dégarni, me contemple avec des petits yeux bruns et perçants.
- Qui est-ce ? Demande-t-il curieux.
- Qu’est ce que tu fous là, toi ? S’étonne le dénommé Jean-Marc. C’est toi qui a sonné ?
- Oui, c’est elle ! Dit Mélissa dans mon dos qui ferme la porte d’entrée et reste devant pour pas que je ne m’échappe.
Je me sens idiote, prise au piège, sans savoir quoi faire. Je baisse les yeux tout en pinçant mes lèvres.
- T’as deux minutes pour t’expliquer , dit Mélissa d’un ton autoritaire. Sans ça, je risque de devenir dingue, Candice. Je crois que tu sais de quoi je suis capable n’est-ce pas ?!
J’avale ma salive difficilement ; oui, je sais bien que Mélissa est bien capable de me pourrir la vie, pire : elle m’a déjà giflée et je ne vois pas ce qui pourrait l’empêcher de refaire pareil, voire même pire ?! Je prends une profonde inspiration, et décide de raconter la vérité, toute la vérité, d’une seule traite.
Lorsque j’ai terminé, Mélissa est prise d’un rire sans joie : - T’aimes vraiment te faire prendre comme une chienne par des vieux, hein ?
Je ne réponds pas et ça l’énerve :- Réponds quand je te parle ! M’ordonne t’elle en me mettant une grande tape sur les fesses.
- Oui ! Je dis. J’aime ça !
- Ça tombe très bien, me glisse-t-elle à l’oreille. Ce Monsieur à côté de Jean-Marc est un de mes clients ! Je lui ai d’ailleurs raconté ton histoire de quand tu as faite l’infirmière-pute pour un autre de mes clients, tu t’en souviens ?
- Oui, je me souviens, je réponds en regardant mes bottines, un peu honteuse.
- Ah ! C’est elle ? Demande l’homme.
Il se lève doucement du canapé et s’approche de moi.
- T’avais pas menti ! Dit-il à Mélissa en s’approchant doucement de moi. Elle est bien en chaire !
Il me jauge de haut en bas en passant sa langue sur ses lèvres.
- Dis-moi petite, me demande-t-il d’une voix calme et posée. T’aimes ça te faire enculer ?
- Oui, j’adore ça, je lui réponds, tête baissée.
- Et comment se fait-il que tu sois là ?
- Comme je vous ai dit, je réponds timidement, samedi je vais me faire baiser par le cul, par un homme qui en a une énorme. Je voulais me faire préparer par…Je fais un signe de tête en direction de Jean-Marc qui sourit, apparemment flatté. Le vieil homme me jauge encore en se léchant les lèvres puis se tourne vers Mélissa : - Annule pour l’autre femme !
- Mais, tente de le couper Mélissa.
- C’est elle que je veux, dit-il en me désignant. Je suis prêt à payer double ! Elle a de l’audace et j’aime ça !
Il penche sa tête vers moi : - Regarde-moi, Candice.
Je lève les yeux vers lui.
- Tu veux que je t’encule ?
Je déglutit avec difficultés et jette un regard vers Mélissa qui me fixe d’un air malfaisant.
- Je veux bien, je dis d’une petite voix.
L’homme cherche dans sa poche et sort son portefeuille : dedans, il en ressort une grosse liasse de billets qu’il tend à Mélissa : - Voilà, disons que j’achète sa liberté, on est quitte ?
Melissa respire fort en me dévisageant puis, quelques secondes plus tard, elle prend l’argent des mains de l’homme.
- Personne ne te sauvera la mise la prochaine fois que tu reviens par ici, tu m’entends ? Me dit-elle en jetant des éclairs avec ses yeux. La prochaine fois, tu m’appartiens et je ferai tout ce que je veux de toi ! C’est compris ?
- Oui, je dit en baissant les yeux.
- Cassez-vous, dit-elle en arrachant presque la poignée de la porte d’entrée qu’elle ouvre en grand. Hors de ma vue, tous les deux !
Une fois dehors, l’homme plutôt habile pour son âge, ouvre la grille à ma place et récupère mes clés qu’il me tend avec un sourire :- Voilà pour toi, Candice.
- Merci, je fais en évitant son regard.
- Passe une bonne soirée et fais attention à toi, dit-il avec un nouveau sourire avant de tourner les talons.
Il fait quelques mètres sur le parking lorsque je me surprend moi-même à lui dire : - Attendez !
- Oui ? Me fait-il en se retournant.
Je me rapproche : - On…on doit pas…vous voyez ?
- Oh ! Fait-il. T’es vraiment déterminée, ajoute-t-il dans un rire. Non, t’inquiètes pas, te sens pas obligée. Tu sais, j’avais besoin de compagnie ce soir mais tout compte fait, je préfère payer pour sortir une jeune fille du pétrin que pour mon propre intérêt : je connais Melissa et je sais de quoi elle est capable. En même temps, j’avoue que ton histoire m’a faite saliver mais je préfère les femmes plus âgées.
- Pourtant, quand vous me regardiez tout à l’heure, je laisse échapper.
- Tu dégouline de désir petite, mais je ne veux pas que tu te sentes forcée de quoi que ce soit parce que j’ai donné de l’argent à cette folle !
- Je ne me sens pas forcée, je lui dit en minaudant.
Je me rapproche de lui et le regarde droit dans les yeux : - Vous voulez …euh, monsieur ?
Il me jauge encore et lorgne sur mes seins en se léchant de nouveau les lèvres.
- T’es vraiment très chaude, Candice. J’adore ça. Si tu le demande alors, je suis ton homme. Ou ton Papy, si tu préfères ! Dit-il dans un rire caverneux.
- Je vous le demande, je lui réponds simplement.
- Ok, prends ta voiture et suis moi.
Je roule une dizaine de minutes derrière sa voiture. Nous arrivons dans une résidence de maisons, dans un coin plutôt calme à quelques kilomètres de chez Bruno. Je me gare derrière sa voiture. Je sors, il me sourit et rentre ses clés dans la porte d’une des maisons. À l’intérieur, tout est en ordre et tout semble plutôt neuf et bien entretenu.
- Mets-toi à l’aise, me dit-il en me désignant le salon d’où une immense baie vitrée donne sur un beau jardin.
Je me dirige dans le salon, il allume un interrupteur et j’entrevoie un canapé en cuir plutôt large et en très bon état ! Il y a un immense home cinéma dans un coin. Le sol est carrelé et les murs sont blancs, sans aucune imperfections. Je remarque quelques tableaux aussi sur les murs et des plantes vers dans des recoins.
- Tu veux boire quelque chose ? Me demande-t-il d’un ton courtois en retirant son manteau.
- Non, ça ira, je lui réponds debout sans savoir quoi faire.
Il s’asseoit dans le canapé et me regarde avec un drôle d’air : - Tu peux retirer ta veste Candice, et…me montrer ce que tu caches, dit-il sans me brusquer d’un air toujours aussi doux en lorgnant sur ma poitrine.
Je retire mon manteau et mon pull. Mon chemisier en dessous me serre les seins et petit à petit, je détache les boutons et le laisse tomber sur le sol. Mes seins sont pris dans un de mes soutien-gorges – rouge à dentelles- et il se passe de nouveau la langue sur les lèvres. Je passe mes mains dans le dos et le dégraffe, laissant retomber le soutif à mes pieds.
- Ils sont magnifiques ! Me dit-il les yeux sur mes immenses seins blancs qui retombent sur moi. Approche, ma belle.
Je m’avance vers lui et me penche en avant. Il pose délicatement ses mains ridées sur mes deux fruits et les caresse sensuellement, passant le bout de ses doigts sur mes petits tétons roses. Je me sens rougir, mon visage est en feu et il s’avance : il m’embrasse la poitrine délicatement et descend sur mon ventre, jusque mon nombril. Avec ses mains, il soulève ma jupe : - Oh oh ! Fait-il avec une pointe de surprise. Jolie fleur que tu as là.
Il baisse la tête et embrasse mon clito avant de descendre sur mes lèvres. Là, il sort une petite langue qui s’aventure aux portes de mon vagin. Le souffle court, je me permets de prendre sa tête entre mes mains pour qu’il continue. Il me mange la chatte avec une dextérité que j’ai rarement connue ! Je mouille beaucoup et il semble adorer ça, poussant des « hum » de délectation en effectuant sa besogne. Il positionne ses main sur mon cul et le pétrit fermement mais toujours avec une once de délicatesse qui me donne encore plus de plaisir. Baissant les yeux, je constate une bosse dans son jean ; une très belle bosse ! Il a l’air bien membré, ce sui est parfait !
- Monsieur ! Je gémis. Oui, c’est….oh…tellement bon !
Il continue et aventure un de ses doigts dans la raie de mon cul, je le sens qui cherche mon petit trou qu’il ne tarde pas à trouver et titiller maintenant ! Je gémis de nouveau, dans une plainte aiguë et je décide de relâcher sa tête et de me pencher sur lui, à la recherche de sa ceinture. Je la défait, ouvre sa braguette et retire son jean ainsi que son caleçon jusque sur ses genoux. Il s’enfonce dans le canapé : une énorme bite s’offre à moi. Peut-être un poil moins grande et large que le gode mais énorme quand même ! Je me mets à genoux et frotte mon nez sur son gland. Il me regarde avec un immense plaisir, attendant que je m’occupe de son membre : je m’en empare à deux mains et le branle de haut en bas doucement. Il relève la tête sans me quitter du regard et savoure le spectacle. Je le masturbe longuement tout en le fixant et crache une filet de bave sur le sommet de son gland violacé. J’accélère un peu, il expire dans un long soupir : - Mets le entre tes seins, Candice.
Je prends sa queue gluante de salive et la place entre mes grosses mamelles. De mes mains, je les serre autour de son membre et le masturbe comme ça, en allers-retours rapides. Je recrache sur mes seins les lubrifier et je sens sa queue, prisonnière de ma poitrine, glisser à l’intérieur dans un léger bruit de succion qui m’excite ! Je le vois, bouche ouverte, tête levée, prenant son pied, et je baisse mes lèvres jusque son manche : vue la taille, j’arrive sans mal à en prendre une bonne partie en bouche : il a un gout délicieux et je prends plaisir à faire tourner ma langue sur tout son gland englué de pré sperme. Il lâche à nouveau des « hum » de plaisir sonore et rocailleux et je sens sa grosses bite gorgée de sang se raidir. Je retire mes seins et cette fois, posant mes mains sur ses cuisses, j’enfourne l’intégralité de sa bite dans ma bouche, jusqu’à la garde. Je sens son gland caresser ma gorge après mes amygdales et je le ressors d’un coup sec, laissant de gros filets de salive . Il soupire longuement encore en faisant « oh ! » Et me regarde comme s’il n'y croyait pas ! Comme par défi, je refais la même chose, repensant à l’énorme gode de l’homme à la sucette. J’essaye de garder sa queue le plus longtemps possible et entière dans ma bouche, jusqu’à ce que je me sente en manque d’air : dans un bruit significatif d’engorgement, je ressors le membre, encore plus couvert de mon épaisse salive ! Je m’empare de sa bite gluante avec mes deux mains en le regardant – avec des yeux de chienne- et je l’astique à toute vitesse : - Candice ! Qu’est ce que c’est bon !
- Monsieur ! Je souffle dans un soupir. Je veux votre queue en moi !
Je viens me positionner à califourchon sur lui sans réfléchir, sa bite mouillante de salive et ma chatte dégoulinante de cyprine s’emboîtent instinctivement, comme si leurs routes avaient été toutes tracées ! Je relève la tête et pousse un long gémissement aigü, sans penser à me protéger. Il râle de plaisir longuement en relevant également sa tête et ses yeux me contemplent avec un désir fou. J’ai un souvenir qui me traverse l’esprit : je me remémore Bruno, dans ma voiture au milieu de nulle part en cette fin d’après midi neigeuse, lorsqu’il fût en moins sans capote. C’est-à-dire la dernière fois que j’ai été prise « à nue » sans protection, même Flavien n’y a pas eu droit ! Son énorme queue me touche le fond et je le chevauche rapidement, dans un besoin urgent d’être prise par cet homme. Il agrippe mes fesses volumineuses et très vite, sa bouche trouve les petits boutons de roses de mes seins. Je me cramponne contre lui en passant mes bras à son cou et continue ma folle chevauchée en poussant des cris aigus réguliers tant sa queue me fait un bien fou !
Tandis que je le chevauche, un de ses doigts pénètre mon anus. Il le masturbe longuement et je me sens décoller encore plus.
- Oui, oui, allez-y !
Je le regarde ; il a le teint rouge vif à présent et je sais que je ne dois pas être mieux. Sans réfléchir, j’avance mon visage vers le sien, il en fait de même et nos bouches s’entrelacent avant que sa langue ne rentre dans ma bouche, dansant avec la mienne. Il me ramone encore le cul avec son doigt et je décide de me retirer pour me mettre dos à lui. Je m’empalle de nouveau sur son membre dans une plainte aiguë et il s’empare de mes fesses qu’il écarte pour avoir une vue sur mon petit trou. Dans des mouvements de bassin, je reprends ma chevauchée sauvage et il rentre de nouveau un doigt dans mon anus avec lequel il effectue encore des vas et viens. Je me vois dans le reflet de l’écran plasma, mes immenses seins se balançant dans tous les sens au rythme de mes hanches. Il retire son doigt, crache à en juger par le bruit de bouche et il m’enfile maintenant deux de ses doigts dans mon cul, lubrifié de salive, sans aucun mal. Il passe son autre main devant et me caresse le bas ventre jusque sur mont Mont de Venus, à la recherche de mon clitoris auquel il parvient. Il dessine des cercles dessus et il ne m’en faut pas plus pour me sentir partir toujours plus loin ! Au bout de quelques minutes durant lesquelles mon anus est pris par ses doigts et ma chatte par son énorme bite, je me mets sur les pieds cette-fois. Je fais ressortir sa queue de tout son long avant de retomber lourdement dessus en gémissant. Je refais la même chose une fois, deux fois, il a l’air de savourer à en juger par les légers grognement qu’il émet de concert avec ma voix suraiguë. Il embrasse doucement la peau doucereuse de mon dos pendant que je retombe encore sèchement sur sa hampe lubrifiée. Il retire ses doigts de mon cul et je ressors sa queue ; j’écarte mes fesses pour lui offrir la vue de mon anus dilaté : - Mettez-la moi, Monsieur ! Je lui fais dans une voix suppliante.
- Ok, Candice !
Il s’empare de son membre et le colle juste à l’entrée de mon petit trou ; c’est à moi de gérer. Sur mes pieds, je plie doucement les genoux tandis que je descend peu à peu sur sa queue. Dans un silence pendant lequel je me concentre et je prends beaucoup de plaisir, je sens – et j’entends dans un bruit mouillant- son gros gland me pénétrer. C’est si bon !
- Oui, c’est ça ma belle, doucement, continues !
Encouragée, j’abaisse mes fesses et descend encore lentement, très lentement. Lubrifié, mon anus prend son épaisse queue et je le sens gagner du terrain tout doucement dans mon conduit. Je souffle tandis que je le sens cheminer en moi, glaner de précieux centimètres au fur et à mesure. Je ne ressens aucune douleur et comme la première fois, j’adore terriblement me faire baiser le cul. Par un vieux. Je continue ma descente et je le sens bien ancré, au plus profond ! Je descend encore un peu, très lentement et je ne tiens plus : je lâche un long « ooooooouuuuh » surraigu, probablement perceptible par tout le voisinage ! Néanmoins, il m’encourage : - C’est bien ma belle, continues, tu y es presque !
Je ne ressens toujours pas de douleur, à mon grand étonnement et quelques secondes plus tard, mes fesses touche son pubis : j’ai réussi ! Il est tout en moi ! Il me tient par les hanches pour pas que je tombe et avec mes mains sur les cuisses, je remonte doucement le long de sa hampe : je le sens en moi, son membre me ramone pendant que je remonte les fessess mais je n’attends pas qu’il ressorte : à mi chemin, je redescend sur son pubis. Je remonte de nouveau et mon conduit s’adapte totalement à la largeur de sa queue. Je redescend encore une fois, précautionneusement, puis remonte encore jusqu’à son gland puis redescend de nouveau, avec plus d’aisance. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles je sens que je sue à grosses gouttes sur mon visages et sous mes aisselles, je peux me déplacer librement, avec aisance, sur son énorme mat qui pilonne et élargit mon petit trou. Dans le reflet de l’écran plasma, je distingue sa grosse tige de chair sur laquelle je m’effondre en gémissant comme une chienne, au rythme que j’avais imposé précédemment quand il était dans ma chatte ! Et pendant quelques minutes, je vais et viens joyeusement sur son membre, dans un plaisir intense encore inégalé pour moi.
- Allonges-toi ! Me dit-il à bout de souffle.
Je retire sa bite de mon anus – je la sens de toute sa longueur me quitter- et j’ai besoin de me sentir de nouveau prise, remplie ! Je m’allonge sur le canapé, je vois qu’il ruisselle également de sueur. Il retire tout : son pantalon, sa chemise, et j’en fait de même avec ma jupe, gardant simplement mes bas. Il tient sa bite dans sa main ; je relève mes cuisses et les ramène sur moi. Il s’insère sans aucune difficulté vu comment mon est grand ouvert. Il va jusqu’au fond, prenant appui sur mes cuisses. En relevant le cou, je vois son membre rentrer et sortir, me limer l’anus sur un rythme rapide que maintenant l’homme impose. Je me rallonge sur le dos en gémissant et le regarde me baiser, les traits de son visage déformés par l’effort ! Il vient s’allonger sur moi et je mets mes cuisse autour de lui. Il me lime toujours aussi vite mais en étant collé contre moi, presque avec tendresse. Il met sa langue dans ma bouche une fois de plus et nous échangeons un long baiser mouillant avant qu’il ne me morde dans le cou. Je prends sa tête et la place dans mes seins transpirants au rythme de ses vas et viens. Il se redresse et me mets sur le côté, quittant sa bite momentanément de mon cul : « non ! Encore ! » Je dis. Dans un sourire ponctué d’essoufflement, il vient se placer derrière moi en cuillère. Il crache dans sa main et revient placer ses doigts dans mon anus au trou déjà bien élargi. Il remet sa queue et remonte mon conduit en écartant bien ma fesse. Mon anus reprend sa queue dans un immense plaisir, un bonheur même ! Et je repars dans mes gémissements suraigus pendant qu’il me lime toujours aussi rapidement. Je me sens tellement bien et je pense furtivement à quel point j’adore me faire enculer, cette sensation de sentir une bite me pilonner le cul est extra !
Dans le reflet de l’écran plasma, je vois sa tête dépasser tandis qu’il est dans mon dos : il m’embrasse, me mord même, encore dans le cou et soulève mon bras pour passer sa tête dessous : il lèche mon aisselle goulument en tenant fermement ma fesse. Je n’en peux plus et tout en me faisant prendre, je caresse mon clito avec force, puis, j’insère plusieurs doigts dans ma chatte complètement trempée de mouille ! Je fais les mêmes vas et viens que sa bite dans mon cul et mon cœur bat encore plus vite, je sens quelque chose, l’orgasme, monter de plus en plus, mais pas comme d’habitude : tout se passe du côté de mon anus ! Cette sensation de plaisir m’envahit tout le corps, je me raidis, je m’essouffle le visage en feu, les cheveux collants par-dessus : - Ouiiiii ! Je hurle presque. Ouiiiii Monsieur, je viens !
- Ooooh ! Grogne-t-il en me limant de plus en plus vite et de plus en plus profond. Candi…Candice, je vais jouir aussi, je vais jouiiiiir !
Il enfonce ses ongles violemment dans la chaire de ma fesses mais je ne ressens aucune douleur. J’appuie comme une folle sur mon clito en poussant un très long cri aigu dans tout le salon tandis que ma chatte projette des gouttes de mouille sur son canapé en cuir et un long jet qui part sur le carrelage en dessous. Derrière moi, une plainte sourde retentit et je sens qu’il retire tout son membre d’un coup : il se masturbe très vite en respirant comme s’il agonisait et son sperme chaud, à grands jets, vient me tapisser mes énormes fesses ; je suis trempée, signe qu’il a beaucoup éjaculé. À bout de souffles tous les deux, nous restons dans son canapé en cuillère, nos rythmes cardiaques redevenant peu à peu normaux, couverts de sueur – et de mouille et de sperme pour moi. Il me prend avec son bras au niveau du ventre et me lèche dans le cou tout en caressant mon bas-ventre et mon Mont de Venus. J’aime beaucoup cet instant tendre et je sens la fatigue m’envahir ainsi qu’un doux sentiment de satiété. Le cul endoloris ( je ne le ressens qu’à présent) je souffle doucement, savourant cet état dans lequel je me sens bien. Très bien.
Après ces quelques instants, je décide de me relever : c’est là que je mesure l’ampleur de la dilatation de mon anus, ouvert en un trou béant dans lequel passe de l’air. Je me dirige vers la salle de bain dans l’entrée et me mouille le visage : mon cul commence à me brûler un peu. Je rentre trois doigts dans mon conduit sanss la moindre difficulté,. Preuve qu’il m’a bien élargie ! Mission accomplie et…bonne partie de jambes en l’air ! Je retourne au salon pour me rhabiller, il m’attend avec des mouchoirs et une verre d’eau : - T’as été parfaite ! Me dit-il. Attends, tourne toi !
Il me frotte les fesses pour essuyer son sperme sur mon postérieur et me tend le verre que je vide d’un trait. Nous nous regardons sans rien dire, encore essoufflés.
- Je vais y aller, je dis en reposant le verre. Merci Monsieur, c’était fou !
- C’était ma première fois avec une jeune fille et, j’ai adoré ça aussi ! Tu peux revenir quand tu veux !!
Nous échangeons nos numéro, il me prend contre lui pour enfiler sa langue dans ma bouche une dernière fois (qu’est ce que j’adore ça !) En me touchant les fesses. Puis, je sors de chez lui et m’installe dans ma voiture, le cul commençant à être douloureux en cette fin de soirée.
A SUIVRE
Dans deux petits jours, je vais enfin rencontrer l’homme à la sucette, ce qui m’excite de plus en plus ! J’ai réutilisé le gros gode rose bonbon qu’il m’a offert mais uniquement dans mon vagin ; j’appréhende de me l’enfiler dans le cul lorsque je réalise qu’il est long et surtout très large ! Mais je dois me préparer : je veux que tout soit parfait pour mon rendez-vous. Par contre je n’ai aucune nouvelle de sa part encore et je trépigne d’impatience.
Ce soir-là, je suis chez Flavien. En levrette sur son lit, il me prend dans un rythme effréné et il a l’air de vraiment adorer ça ! Pour ma part, sans dire que je m’ennuie, mon esprit est absorbé par le membre que je vais prendre samedi et qui est facilement deux fois plus long que celui de mon nouveau petit copain. Mais surtout, il faut que je dilate mon anus. C’est pourquoi, alors que je sens que Flavien ne va pas tarder à jouir, je m’avance pour retirer son membre de ma chatte : - Non ! Lâche-t-il, frustré. Tu veux changer de position ?
Toujours à quatre pattes, je tords mon cou pour le regarder : - Non, j’aimerais…Je m’interrompt pour trouver les bons mots.
- Tu veux pas passer par…euh…enfin, tu comprends ?
Je lui sourit nerveusement et je vois que l’idée ne l’enchante pas plus que ça.
- Tu veux dire, changer de…trou ? Dit-il un peu honteusement.
- Oui, voilà ! Je lui réponds. Il faut que je t’avoue que j’adore ça…Ce n’est pas faux : la seule fois où j’ai été prise par le cul, c’était chez le voisin pervers de Bruno. Je pensais naïvement que tous les gars étaient partants pour ça, mais Flavien me prouve le contraire :- J’ai jamais essayé, me dit-il. Puis tu sais Candice…c’est pas mon délire en fait. Je trouve pas ça très sain, à vrai dire, tu vois le truc ?
- Ok. Je comprends.
Malgré son refus, il tente de revenir dans la chatte mais cet interlude l’a un peu émoussé et il bande mou. Impossible pour lui de rentrer à nouveau en moi ni même de rebander dur. Ça le frustre et pour moi, c’était déjà le cas après son refus : même avec sa bite de taille plutôt moyenne, j’avais envie qu’il m’encule, histoire de « m’ouvrir » un peu plus mais aussi, je l’avoue, parce que j’ai très envie de le faire ! Il faut que je le refasse avant samedi, c’est devenu une obsession pour moi ! Nous nous rhabillons, je vois que Flavien n’est plus trop dans son assiette et je décide de rentrer chez moi histoire de le laisser un peu seul : il en a apparemment besoin. Je m’en vais donc sans que nous échangions le moindre baiser, ni geste tendre. Arrivée à mon studio, je me mets nue, intégralement. Je constate sur la boîte mail que je n’ai toujours pas de nouvelles de l’homme à la sucette ; je ne sais toujours rien par rapport à notre RDV de samedi et j’espère de tout cœur qu’il ne va pas me faire de faux plan. Je m’allonge sur mon lit et prend, en dessous, l’énorme gode qu’il m’a offert. Je le lèche doucement puis le prend en bouche jusqu’à le gober en entier dans un drôle de bruit de gorge. Je ressors et réitère l’opération à plusieurs reprises tout en me frottant l’entrejambe : je mouille énormément. Je vais de plus en plus vite, me bave dessus à grands filets (j’en ai jusque sur les seins) lorsqu’une idée jailli soudainement dans mon esprit : je me lève et me rhabille en toute hâte puis je ressors pour retrouver ma voiture.
20 minutes plus tard, je suis sur le parking de chez feu Bruno. L’idée que j’ai en tête est simple : j’ai envie de le refaire, toujours par derrière, avec le voisin qui m’a dépucelé l’anus. Certes sa queue n’était pas bien grosse mais elle était longue et je me souviens avoir adoré ! Puis ce serait un bon entraînement avant la grosse sucette de Papy ! Je sors de la voiture : j’ai mis des bas sous une jupe noire et j’ai laissé ma culotte dans la boîte à gants. Je me souviens de son nom. J’approche de l’interphone et hésite, le doigt en l’air, mais je me dis que maintenant que je suis là, il faut foncer. Je sonne. Quelques instants plus tard, la voix familière non pas du voisin, mais de Mélissa (avec qui j’ai eu quelques ennuis par le passé) retentit : - Oui ? Qui est là ?
Je ne réponds pas dans un premier temps, je me sens bête ; le voisin m’avait plus ou moins fait comprendre que lui et Mélissa couchaient ensemble parfois.
- C’est qui ? S’impatiente Mélissa sur un ton que je connais déjà trop bien.
- Euh…- Non ! S’exclame-t-elle. Alors comme ça tu reviens dans le coin, toi ? Je t’avais dit que je ne voulais plus te voir par ici ! Qu’est ce que tu veux ? Réponds !
Je décide de prendre mes jambes à mon cou et de retourner vers ma voiture mais là, horreur ! Dans la précipitation, mes clés glissent de mes doigts et tombent sous une bouche d’égout heureusement peu profonde. Je me penche en avant pour soulever la grille avec mes petites mains mais je galère à mort, surtout dans cet état de stress ! Trop tard ! La porte de l’allée s’ouvre à la volée et je vois Mélissa, le visage déformé par la colère, se précipiter sur moi ! Je pars en courant à travers le parking mais elle est plus rapide : elle m’agrippe le bras.
- Non ! Je fais d’une voix implorante. Désolée, je ..je me suis trompée !
- Trompée mon cul ! Rétorque-t-elle. Je sais que tu t’es faite sauter par Jean-Marc ! Viens par là !
Le cœur à cent à l’heure, je tente une dernière fois de lui échapper mais elle a plus de force que moi.
- Tu vas me suivre ! Ordonne-t-elle.
J’ai pour idée première de me mettre à hurler mais cela est au-dessus de mes forces. J’abdique et je la suit. Sous bonne escorte, je monte les escaliers pour retrouver un appartement qui m’est familier. Lorsque j’arrive, il y a le voisin. Jean-Marc, donc, qui semble surpris de me voir dans un premier temps. À côté de lui, un homme d’un certain âge – soixante dix ans peut être- au visage parsemé de rides et au crâne dégarni, me contemple avec des petits yeux bruns et perçants.
- Qui est-ce ? Demande-t-il curieux.
- Qu’est ce que tu fous là, toi ? S’étonne le dénommé Jean-Marc. C’est toi qui a sonné ?
- Oui, c’est elle ! Dit Mélissa dans mon dos qui ferme la porte d’entrée et reste devant pour pas que je ne m’échappe.
Je me sens idiote, prise au piège, sans savoir quoi faire. Je baisse les yeux tout en pinçant mes lèvres.
- T’as deux minutes pour t’expliquer , dit Mélissa d’un ton autoritaire. Sans ça, je risque de devenir dingue, Candice. Je crois que tu sais de quoi je suis capable n’est-ce pas ?!
J’avale ma salive difficilement ; oui, je sais bien que Mélissa est bien capable de me pourrir la vie, pire : elle m’a déjà giflée et je ne vois pas ce qui pourrait l’empêcher de refaire pareil, voire même pire ?! Je prends une profonde inspiration, et décide de raconter la vérité, toute la vérité, d’une seule traite.
Lorsque j’ai terminé, Mélissa est prise d’un rire sans joie : - T’aimes vraiment te faire prendre comme une chienne par des vieux, hein ?
Je ne réponds pas et ça l’énerve :- Réponds quand je te parle ! M’ordonne t’elle en me mettant une grande tape sur les fesses.
- Oui ! Je dis. J’aime ça !
- Ça tombe très bien, me glisse-t-elle à l’oreille. Ce Monsieur à côté de Jean-Marc est un de mes clients ! Je lui ai d’ailleurs raconté ton histoire de quand tu as faite l’infirmière-pute pour un autre de mes clients, tu t’en souviens ?
- Oui, je me souviens, je réponds en regardant mes bottines, un peu honteuse.
- Ah ! C’est elle ? Demande l’homme.
Il se lève doucement du canapé et s’approche de moi.
- T’avais pas menti ! Dit-il à Mélissa en s’approchant doucement de moi. Elle est bien en chaire !
Il me jauge de haut en bas en passant sa langue sur ses lèvres.
- Dis-moi petite, me demande-t-il d’une voix calme et posée. T’aimes ça te faire enculer ?
- Oui, j’adore ça, je lui réponds, tête baissée.
- Et comment se fait-il que tu sois là ?
- Comme je vous ai dit, je réponds timidement, samedi je vais me faire baiser par le cul, par un homme qui en a une énorme. Je voulais me faire préparer par…Je fais un signe de tête en direction de Jean-Marc qui sourit, apparemment flatté. Le vieil homme me jauge encore en se léchant les lèvres puis se tourne vers Mélissa : - Annule pour l’autre femme !
- Mais, tente de le couper Mélissa.
- C’est elle que je veux, dit-il en me désignant. Je suis prêt à payer double ! Elle a de l’audace et j’aime ça !
Il penche sa tête vers moi : - Regarde-moi, Candice.
Je lève les yeux vers lui.
- Tu veux que je t’encule ?
Je déglutit avec difficultés et jette un regard vers Mélissa qui me fixe d’un air malfaisant.
- Je veux bien, je dis d’une petite voix.
L’homme cherche dans sa poche et sort son portefeuille : dedans, il en ressort une grosse liasse de billets qu’il tend à Mélissa : - Voilà, disons que j’achète sa liberté, on est quitte ?
Melissa respire fort en me dévisageant puis, quelques secondes plus tard, elle prend l’argent des mains de l’homme.
- Personne ne te sauvera la mise la prochaine fois que tu reviens par ici, tu m’entends ? Me dit-elle en jetant des éclairs avec ses yeux. La prochaine fois, tu m’appartiens et je ferai tout ce que je veux de toi ! C’est compris ?
- Oui, je dit en baissant les yeux.
- Cassez-vous, dit-elle en arrachant presque la poignée de la porte d’entrée qu’elle ouvre en grand. Hors de ma vue, tous les deux !
Une fois dehors, l’homme plutôt habile pour son âge, ouvre la grille à ma place et récupère mes clés qu’il me tend avec un sourire :- Voilà pour toi, Candice.
- Merci, je fais en évitant son regard.
- Passe une bonne soirée et fais attention à toi, dit-il avec un nouveau sourire avant de tourner les talons.
Il fait quelques mètres sur le parking lorsque je me surprend moi-même à lui dire : - Attendez !
- Oui ? Me fait-il en se retournant.
Je me rapproche : - On…on doit pas…vous voyez ?
- Oh ! Fait-il. T’es vraiment déterminée, ajoute-t-il dans un rire. Non, t’inquiètes pas, te sens pas obligée. Tu sais, j’avais besoin de compagnie ce soir mais tout compte fait, je préfère payer pour sortir une jeune fille du pétrin que pour mon propre intérêt : je connais Melissa et je sais de quoi elle est capable. En même temps, j’avoue que ton histoire m’a faite saliver mais je préfère les femmes plus âgées.
- Pourtant, quand vous me regardiez tout à l’heure, je laisse échapper.
- Tu dégouline de désir petite, mais je ne veux pas que tu te sentes forcée de quoi que ce soit parce que j’ai donné de l’argent à cette folle !
- Je ne me sens pas forcée, je lui dit en minaudant.
Je me rapproche de lui et le regarde droit dans les yeux : - Vous voulez …euh, monsieur ?
Il me jauge encore et lorgne sur mes seins en se léchant de nouveau les lèvres.
- T’es vraiment très chaude, Candice. J’adore ça. Si tu le demande alors, je suis ton homme. Ou ton Papy, si tu préfères ! Dit-il dans un rire caverneux.
- Je vous le demande, je lui réponds simplement.
- Ok, prends ta voiture et suis moi.
Je roule une dizaine de minutes derrière sa voiture. Nous arrivons dans une résidence de maisons, dans un coin plutôt calme à quelques kilomètres de chez Bruno. Je me gare derrière sa voiture. Je sors, il me sourit et rentre ses clés dans la porte d’une des maisons. À l’intérieur, tout est en ordre et tout semble plutôt neuf et bien entretenu.
- Mets-toi à l’aise, me dit-il en me désignant le salon d’où une immense baie vitrée donne sur un beau jardin.
Je me dirige dans le salon, il allume un interrupteur et j’entrevoie un canapé en cuir plutôt large et en très bon état ! Il y a un immense home cinéma dans un coin. Le sol est carrelé et les murs sont blancs, sans aucune imperfections. Je remarque quelques tableaux aussi sur les murs et des plantes vers dans des recoins.
- Tu veux boire quelque chose ? Me demande-t-il d’un ton courtois en retirant son manteau.
- Non, ça ira, je lui réponds debout sans savoir quoi faire.
Il s’asseoit dans le canapé et me regarde avec un drôle d’air : - Tu peux retirer ta veste Candice, et…me montrer ce que tu caches, dit-il sans me brusquer d’un air toujours aussi doux en lorgnant sur ma poitrine.
Je retire mon manteau et mon pull. Mon chemisier en dessous me serre les seins et petit à petit, je détache les boutons et le laisse tomber sur le sol. Mes seins sont pris dans un de mes soutien-gorges – rouge à dentelles- et il se passe de nouveau la langue sur les lèvres. Je passe mes mains dans le dos et le dégraffe, laissant retomber le soutif à mes pieds.
- Ils sont magnifiques ! Me dit-il les yeux sur mes immenses seins blancs qui retombent sur moi. Approche, ma belle.
Je m’avance vers lui et me penche en avant. Il pose délicatement ses mains ridées sur mes deux fruits et les caresse sensuellement, passant le bout de ses doigts sur mes petits tétons roses. Je me sens rougir, mon visage est en feu et il s’avance : il m’embrasse la poitrine délicatement et descend sur mon ventre, jusque mon nombril. Avec ses mains, il soulève ma jupe : - Oh oh ! Fait-il avec une pointe de surprise. Jolie fleur que tu as là.
Il baisse la tête et embrasse mon clito avant de descendre sur mes lèvres. Là, il sort une petite langue qui s’aventure aux portes de mon vagin. Le souffle court, je me permets de prendre sa tête entre mes mains pour qu’il continue. Il me mange la chatte avec une dextérité que j’ai rarement connue ! Je mouille beaucoup et il semble adorer ça, poussant des « hum » de délectation en effectuant sa besogne. Il positionne ses main sur mon cul et le pétrit fermement mais toujours avec une once de délicatesse qui me donne encore plus de plaisir. Baissant les yeux, je constate une bosse dans son jean ; une très belle bosse ! Il a l’air bien membré, ce sui est parfait !
- Monsieur ! Je gémis. Oui, c’est….oh…tellement bon !
Il continue et aventure un de ses doigts dans la raie de mon cul, je le sens qui cherche mon petit trou qu’il ne tarde pas à trouver et titiller maintenant ! Je gémis de nouveau, dans une plainte aiguë et je décide de relâcher sa tête et de me pencher sur lui, à la recherche de sa ceinture. Je la défait, ouvre sa braguette et retire son jean ainsi que son caleçon jusque sur ses genoux. Il s’enfonce dans le canapé : une énorme bite s’offre à moi. Peut-être un poil moins grande et large que le gode mais énorme quand même ! Je me mets à genoux et frotte mon nez sur son gland. Il me regarde avec un immense plaisir, attendant que je m’occupe de son membre : je m’en empare à deux mains et le branle de haut en bas doucement. Il relève la tête sans me quitter du regard et savoure le spectacle. Je le masturbe longuement tout en le fixant et crache une filet de bave sur le sommet de son gland violacé. J’accélère un peu, il expire dans un long soupir : - Mets le entre tes seins, Candice.
Je prends sa queue gluante de salive et la place entre mes grosses mamelles. De mes mains, je les serre autour de son membre et le masturbe comme ça, en allers-retours rapides. Je recrache sur mes seins les lubrifier et je sens sa queue, prisonnière de ma poitrine, glisser à l’intérieur dans un léger bruit de succion qui m’excite ! Je le vois, bouche ouverte, tête levée, prenant son pied, et je baisse mes lèvres jusque son manche : vue la taille, j’arrive sans mal à en prendre une bonne partie en bouche : il a un gout délicieux et je prends plaisir à faire tourner ma langue sur tout son gland englué de pré sperme. Il lâche à nouveau des « hum » de plaisir sonore et rocailleux et je sens sa grosses bite gorgée de sang se raidir. Je retire mes seins et cette fois, posant mes mains sur ses cuisses, j’enfourne l’intégralité de sa bite dans ma bouche, jusqu’à la garde. Je sens son gland caresser ma gorge après mes amygdales et je le ressors d’un coup sec, laissant de gros filets de salive . Il soupire longuement encore en faisant « oh ! » Et me regarde comme s’il n'y croyait pas ! Comme par défi, je refais la même chose, repensant à l’énorme gode de l’homme à la sucette. J’essaye de garder sa queue le plus longtemps possible et entière dans ma bouche, jusqu’à ce que je me sente en manque d’air : dans un bruit significatif d’engorgement, je ressors le membre, encore plus couvert de mon épaisse salive ! Je m’empare de sa bite gluante avec mes deux mains en le regardant – avec des yeux de chienne- et je l’astique à toute vitesse : - Candice ! Qu’est ce que c’est bon !
- Monsieur ! Je souffle dans un soupir. Je veux votre queue en moi !
Je viens me positionner à califourchon sur lui sans réfléchir, sa bite mouillante de salive et ma chatte dégoulinante de cyprine s’emboîtent instinctivement, comme si leurs routes avaient été toutes tracées ! Je relève la tête et pousse un long gémissement aigü, sans penser à me protéger. Il râle de plaisir longuement en relevant également sa tête et ses yeux me contemplent avec un désir fou. J’ai un souvenir qui me traverse l’esprit : je me remémore Bruno, dans ma voiture au milieu de nulle part en cette fin d’après midi neigeuse, lorsqu’il fût en moins sans capote. C’est-à-dire la dernière fois que j’ai été prise « à nue » sans protection, même Flavien n’y a pas eu droit ! Son énorme queue me touche le fond et je le chevauche rapidement, dans un besoin urgent d’être prise par cet homme. Il agrippe mes fesses volumineuses et très vite, sa bouche trouve les petits boutons de roses de mes seins. Je me cramponne contre lui en passant mes bras à son cou et continue ma folle chevauchée en poussant des cris aigus réguliers tant sa queue me fait un bien fou !
Tandis que je le chevauche, un de ses doigts pénètre mon anus. Il le masturbe longuement et je me sens décoller encore plus.
- Oui, oui, allez-y !
Je le regarde ; il a le teint rouge vif à présent et je sais que je ne dois pas être mieux. Sans réfléchir, j’avance mon visage vers le sien, il en fait de même et nos bouches s’entrelacent avant que sa langue ne rentre dans ma bouche, dansant avec la mienne. Il me ramone encore le cul avec son doigt et je décide de me retirer pour me mettre dos à lui. Je m’empalle de nouveau sur son membre dans une plainte aiguë et il s’empare de mes fesses qu’il écarte pour avoir une vue sur mon petit trou. Dans des mouvements de bassin, je reprends ma chevauchée sauvage et il rentre de nouveau un doigt dans mon anus avec lequel il effectue encore des vas et viens. Je me vois dans le reflet de l’écran plasma, mes immenses seins se balançant dans tous les sens au rythme de mes hanches. Il retire son doigt, crache à en juger par le bruit de bouche et il m’enfile maintenant deux de ses doigts dans mon cul, lubrifié de salive, sans aucun mal. Il passe son autre main devant et me caresse le bas ventre jusque sur mont Mont de Venus, à la recherche de mon clitoris auquel il parvient. Il dessine des cercles dessus et il ne m’en faut pas plus pour me sentir partir toujours plus loin ! Au bout de quelques minutes durant lesquelles mon anus est pris par ses doigts et ma chatte par son énorme bite, je me mets sur les pieds cette-fois. Je fais ressortir sa queue de tout son long avant de retomber lourdement dessus en gémissant. Je refais la même chose une fois, deux fois, il a l’air de savourer à en juger par les légers grognement qu’il émet de concert avec ma voix suraiguë. Il embrasse doucement la peau doucereuse de mon dos pendant que je retombe encore sèchement sur sa hampe lubrifiée. Il retire ses doigts de mon cul et je ressors sa queue ; j’écarte mes fesses pour lui offrir la vue de mon anus dilaté : - Mettez-la moi, Monsieur ! Je lui fais dans une voix suppliante.
- Ok, Candice !
Il s’empare de son membre et le colle juste à l’entrée de mon petit trou ; c’est à moi de gérer. Sur mes pieds, je plie doucement les genoux tandis que je descend peu à peu sur sa queue. Dans un silence pendant lequel je me concentre et je prends beaucoup de plaisir, je sens – et j’entends dans un bruit mouillant- son gros gland me pénétrer. C’est si bon !
- Oui, c’est ça ma belle, doucement, continues !
Encouragée, j’abaisse mes fesses et descend encore lentement, très lentement. Lubrifié, mon anus prend son épaisse queue et je le sens gagner du terrain tout doucement dans mon conduit. Je souffle tandis que je le sens cheminer en moi, glaner de précieux centimètres au fur et à mesure. Je ne ressens aucune douleur et comme la première fois, j’adore terriblement me faire baiser le cul. Par un vieux. Je continue ma descente et je le sens bien ancré, au plus profond ! Je descend encore un peu, très lentement et je ne tiens plus : je lâche un long « ooooooouuuuh » surraigu, probablement perceptible par tout le voisinage ! Néanmoins, il m’encourage : - C’est bien ma belle, continues, tu y es presque !
Je ne ressens toujours pas de douleur, à mon grand étonnement et quelques secondes plus tard, mes fesses touche son pubis : j’ai réussi ! Il est tout en moi ! Il me tient par les hanches pour pas que je tombe et avec mes mains sur les cuisses, je remonte doucement le long de sa hampe : je le sens en moi, son membre me ramone pendant que je remonte les fessess mais je n’attends pas qu’il ressorte : à mi chemin, je redescend sur son pubis. Je remonte de nouveau et mon conduit s’adapte totalement à la largeur de sa queue. Je redescend encore une fois, précautionneusement, puis remonte encore jusqu’à son gland puis redescend de nouveau, avec plus d’aisance. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles je sens que je sue à grosses gouttes sur mon visages et sous mes aisselles, je peux me déplacer librement, avec aisance, sur son énorme mat qui pilonne et élargit mon petit trou. Dans le reflet de l’écran plasma, je distingue sa grosse tige de chair sur laquelle je m’effondre en gémissant comme une chienne, au rythme que j’avais imposé précédemment quand il était dans ma chatte ! Et pendant quelques minutes, je vais et viens joyeusement sur son membre, dans un plaisir intense encore inégalé pour moi.
- Allonges-toi ! Me dit-il à bout de souffle.
Je retire sa bite de mon anus – je la sens de toute sa longueur me quitter- et j’ai besoin de me sentir de nouveau prise, remplie ! Je m’allonge sur le canapé, je vois qu’il ruisselle également de sueur. Il retire tout : son pantalon, sa chemise, et j’en fait de même avec ma jupe, gardant simplement mes bas. Il tient sa bite dans sa main ; je relève mes cuisses et les ramène sur moi. Il s’insère sans aucune difficulté vu comment mon est grand ouvert. Il va jusqu’au fond, prenant appui sur mes cuisses. En relevant le cou, je vois son membre rentrer et sortir, me limer l’anus sur un rythme rapide que maintenant l’homme impose. Je me rallonge sur le dos en gémissant et le regarde me baiser, les traits de son visage déformés par l’effort ! Il vient s’allonger sur moi et je mets mes cuisse autour de lui. Il me lime toujours aussi vite mais en étant collé contre moi, presque avec tendresse. Il met sa langue dans ma bouche une fois de plus et nous échangeons un long baiser mouillant avant qu’il ne me morde dans le cou. Je prends sa tête et la place dans mes seins transpirants au rythme de ses vas et viens. Il se redresse et me mets sur le côté, quittant sa bite momentanément de mon cul : « non ! Encore ! » Je dis. Dans un sourire ponctué d’essoufflement, il vient se placer derrière moi en cuillère. Il crache dans sa main et revient placer ses doigts dans mon anus au trou déjà bien élargi. Il remet sa queue et remonte mon conduit en écartant bien ma fesse. Mon anus reprend sa queue dans un immense plaisir, un bonheur même ! Et je repars dans mes gémissements suraigus pendant qu’il me lime toujours aussi rapidement. Je me sens tellement bien et je pense furtivement à quel point j’adore me faire enculer, cette sensation de sentir une bite me pilonner le cul est extra !
Dans le reflet de l’écran plasma, je vois sa tête dépasser tandis qu’il est dans mon dos : il m’embrasse, me mord même, encore dans le cou et soulève mon bras pour passer sa tête dessous : il lèche mon aisselle goulument en tenant fermement ma fesse. Je n’en peux plus et tout en me faisant prendre, je caresse mon clito avec force, puis, j’insère plusieurs doigts dans ma chatte complètement trempée de mouille ! Je fais les mêmes vas et viens que sa bite dans mon cul et mon cœur bat encore plus vite, je sens quelque chose, l’orgasme, monter de plus en plus, mais pas comme d’habitude : tout se passe du côté de mon anus ! Cette sensation de plaisir m’envahit tout le corps, je me raidis, je m’essouffle le visage en feu, les cheveux collants par-dessus : - Ouiiiii ! Je hurle presque. Ouiiiii Monsieur, je viens !
- Ooooh ! Grogne-t-il en me limant de plus en plus vite et de plus en plus profond. Candi…Candice, je vais jouir aussi, je vais jouiiiiir !
Il enfonce ses ongles violemment dans la chaire de ma fesses mais je ne ressens aucune douleur. J’appuie comme une folle sur mon clito en poussant un très long cri aigu dans tout le salon tandis que ma chatte projette des gouttes de mouille sur son canapé en cuir et un long jet qui part sur le carrelage en dessous. Derrière moi, une plainte sourde retentit et je sens qu’il retire tout son membre d’un coup : il se masturbe très vite en respirant comme s’il agonisait et son sperme chaud, à grands jets, vient me tapisser mes énormes fesses ; je suis trempée, signe qu’il a beaucoup éjaculé. À bout de souffles tous les deux, nous restons dans son canapé en cuillère, nos rythmes cardiaques redevenant peu à peu normaux, couverts de sueur – et de mouille et de sperme pour moi. Il me prend avec son bras au niveau du ventre et me lèche dans le cou tout en caressant mon bas-ventre et mon Mont de Venus. J’aime beaucoup cet instant tendre et je sens la fatigue m’envahir ainsi qu’un doux sentiment de satiété. Le cul endoloris ( je ne le ressens qu’à présent) je souffle doucement, savourant cet état dans lequel je me sens bien. Très bien.
Après ces quelques instants, je décide de me relever : c’est là que je mesure l’ampleur de la dilatation de mon anus, ouvert en un trou béant dans lequel passe de l’air. Je me dirige vers la salle de bain dans l’entrée et me mouille le visage : mon cul commence à me brûler un peu. Je rentre trois doigts dans mon conduit sanss la moindre difficulté,. Preuve qu’il m’a bien élargie ! Mission accomplie et…bonne partie de jambes en l’air ! Je retourne au salon pour me rhabiller, il m’attend avec des mouchoirs et une verre d’eau : - T’as été parfaite ! Me dit-il. Attends, tourne toi !
Il me frotte les fesses pour essuyer son sperme sur mon postérieur et me tend le verre que je vide d’un trait. Nous nous regardons sans rien dire, encore essoufflés.
- Je vais y aller, je dis en reposant le verre. Merci Monsieur, c’était fou !
- C’était ma première fois avec une jeune fille et, j’ai adoré ça aussi ! Tu peux revenir quand tu veux !!
Nous échangeons nos numéro, il me prend contre lui pour enfiler sa langue dans ma bouche une dernière fois (qu’est ce que j’adore ça !) En me touchant les fesses. Puis, je sors de chez lui et m’installe dans ma voiture, le cul commençant à être douloureux en cette fin de soirée.
A SUIVRE
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CCCandice
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...